Forum des Religions - Les Origines

La Tour de Babel :: l'origine de l'empire mondial des religions

    Église Universelle de Dieu

    Arlitto
    Arlitto
    Admin
    Admin


    Sexe : Masculin Messages : 11539
    Date d'inscription : 03/10/2020

    Église Universelle de Dieu Empty Église Universelle de Dieu

    Message  Arlitto Sam 21 Nov 2020 - 13:14

    Église Universelle de Dieu

    Partager l'Évangile par Joseph Tkach pasteur général de l'Église Universelle de Dieu.

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

    L'Église universelle de Dieu s'engage à vivre et à annoncer l'Évangile de Jésus-Christ. L'évangélisation est au cœur de notre mission, et nous citons parfois Marc 16.15 pour la décrire : " Allez dans le monde entier, annoncez la Bonne Nouvelle à tous les hommes ". Jésus est venu chercher les perdus (Lc. 19.10), et il veut que nous poursuivions cette mission en son nom.

    Dans le même ordre d'idées, Matthieu 28.19,20 dit : " Allez donc dans le monde entier, faites des disciples parmi tous les peuples, baptisez-les au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit et apprenez-leur à obéir à tout ce que je vous ai prescrit. "
      

    Que pour les apôtres ?

    Cependant, quelques personnes ont posé la question : " Étant donné que ce commandement de prêcher l'Évangile dans ces versets a été donné aux apôtres, comment savons-nous qu'ils s'appliquent à nous aujourd'hui ? Notre rôle ne consiste-t-il pas seulement à donner le bon exemple, et ensuite à n'annoncer l'Évangile qu'aux gens qui le demandent ? La Bible ne nous commande pas réellement de prêcher en public, n'est-ce pas ? "

    Certains peuvent soutenir que la commission a été donnée aux apôtres, pas à nous. Il est vrai que le commandement s'adressait aux apôtres, qu'ils devaient prêcher l'Évangile et baptiser les croyants. Mais ce n'est pas tout.

    Retournons à Matthieu 28.19,20 où Jésus dit à ses disciples d'enseigner les gens à obéir à tout ce qu'il leur avait ordonné. Ayant reçu le commandement de prêcher, les apôtres ont alors enseigné aux croyants à obéir à la commission de Jésus de prêcher l'Évangile. En effet, Jésus a donné un commandement qui se perpétue. Les futurs disciples devaient poursuivre la mission. Matthieu termine donc son livre par un commandement auquel ses lecteurs devaient obéir.

    Le verset 20 dit que Jésus a fait cette promesse : " Et voici : je suis moi-même avec vous chaque jour, jusqu'à la fin du monde ". Jésus n'a pas promis simplement d'être avec les apôtres, mais avec l'Église à travers les siècles. La commission est donc applicable à toute l'Église, à partir des premiers apôtres jusqu'à la fin des temps. Le Nouveau Testament fait mention de situations où Jésus, étant parmi ses apôtres et beaucoup d'autres croyants, les motive à prêcher l'Évangile.

    Un mot à propos de " prêcher "

    Avant de jeter un coup d'œil à des exemples dans le Nouveau Testament sur la façon dont l'Église a répondu au commandement de prêcher, examinons un moment, dans le but de mieux comprendre, les mots grecs traduits habituellement par " prêcher " ou " prédication ". Certains chrétiens sont déconcertés à l'idée que tous les croyants doivent " prêcher ". Pour eux, le mot " prêcher " signifie se tenir devant un groupe et parler avec conviction et force de l'Évangile. Évidemment, bien peu de gens sont doués pour exercer ce genre de ministère de " prédication " publique avec efficacité et responsabilité.

    Mais " prêcher " ne représente qu'une possibilité de la traduction des mots grecs. Un des autres mots habituellement traduit par " prêcher " est euaggelizo qui signifie " apporter ou annoncer la bonne nouvelle ". Il ne fait aucun doute que la compréhension courante du mot " prêcher " est une façon importante par laquelle la bonne nouvelle est annoncée, mais elle ne représente certainement pas la seule manière de communiquer l'Évangile.

    Remarquez, par exemple, des passages, tels que Luc 1.19 et 2.10, où le mot euaggelizo est traduit par " annoncer la bonne nouvelle ". Notre concept de la " prédication " doit s'élargir et inclure les plusieurs autres manières de partager l'Évangile aux gens.

    Le concept proposé par le mot euaggelizo est celui d'une personne ou de personnes qui transmettent le message de la bonne nouvelle de l'Évangile aux autres. Il existe bien des façons par lesquelles nous pouvons le faire, à part la prédication.

    Un autre mot traduit habituellement par " prêcher " est kerusso, qui signifie annoncer, proclamer, faire connaître. Cela peut se faire par la prédication publique, bien sûr, mais également de plusieurs autres manières. Le mot utilisé en Marc 16.15 et traduit par " annoncer " est kerusso.

    Diverses versions de la Bible utilisent différents mots pour traduire kerusso et euaggelizo. Par exemple, en Luc 9.2, la version Le Semeur traduit kerusso par " proclamer ", tandis que la version Louis Second le traduit par " prêcher ". En Luc 1.19, la version Le Semeur traduit euaggelizo par " annoncer ", tandis que la version en Français courant le traduit par " apporter cette bonne nouvelle ".

    Transmettre l'Évangile aux autres n'est donc pas limité à la notion populaire de la prédication. Au contraire, informer les gens à propos de la grâce de Dieu en Jésus-Christ peut se faire sous plusieurs formes, et chacun de nous a reçu le don du Saint-Esprit pour communiquer l'Évangile aux gens d'une façon ou d'une autre.

    L'évangélisation dans l'Église primitive

    Dans tout le livre des Actes, nous voyons les apôtres poursuivre la mission de Jésus. Ils ont déclaré que Jésus est le Christ, qu'il a été crucifié et est ressuscité d'entre les morts, et que le salut n'est accessible qu'à travers lui. C'était un message axé sur Christ, un message évangélique, centré sur la bonne nouvelle.

    Mais l'Évangile n'était-il proclamé que par les apôtres ? Certainement pas ! Étienne a fait de grandes choses au nom de Christ, et affirmait que Jésus était le Christ (Ac. 6.8-10). Devant le sanhédrin, il proclama vigoureusement que Jésus était le Juste, le Messie, prédit dans l'Écriture (Ac. 7.51,52), et ses dernières paroles furent un témoignage du pardon de Dieu en Jésus-Christ (v. 60).

    Dieu a inspiré Étienne et en a inspiré bien d'autres. " À partir de ce jour-là, une violente persécution se déchaîna contre l'Église de Jérusalem ; tous les croyants se dispersèrent [...] Les croyants qui s'étaient dispersés parcouraient le pays, en proclamant (euaggelizo) le message de la Bonne Nouvelle " (Ac. 8.1,4). Même au péril de leur vie, ces chrétiens laïcs se préoccupaient d'annoncer l'Évangile aux âmes perdues.

    Ils ne faisaient que ce que les chrétiens doivent faire naturellement. Ils étaient poussés - guidés par le Saint-Esprit - à raconter aux autres la bonne nouvelle dont Dieu les avait bénis. Luc présente l'histoire comme un bon exemple à suivre.

    Ensuite, Philippe " se rendit dans la capitale de la Samarie et prêcha le Christ à la population " (v. 5). Dieu a béni cet effort d'évangélisation en convertissant quelques Samaritains. L'Évangile continuait à se répandre.

    " Les disciples s'étaient dispersés lors de la persécution survenue après la mort d'Étienne. Ils allèrent jusqu'en Phénicie, dans l'île de Chypre et à Antioche, mais ils n'annonçaient la Parole qu'aux Juifs. Toutefois, quelques-uns d'entre eux, qui étaient originaires de Chypre et de Cyrène, se rendirent à Antioche et s'adressèrent aussi aux non-Juifs en leur annonçant la Bonne Nouvelle qui concerne le Seigneur Jésus. Or le Seigneur était avec eux ; un grand nombre de personnes crurent et se convertirent au Seigneur " (Ac. 11.19-21). Encore une fois, Dieu inspira ses enfants à annoncer la bonne nouvelle de Jésus, et en bénit les résultats.

    Paul reçut une commission spéciale en tant qu'apôtres des païens. Mais Luc nous dit que Paul n'était pas le seul à partager la bonne nouvelle avec les gentils. " Paul et Barnabas restèrent à Antioche, continuant avec beaucoup d'autres à enseigner et à annoncer la Parole du Seigneur (Ac. 15.34). Visiblement, Luc ne pense pas que la commission ne s'appliquait qu'aux apôtres. Son livre sert d'exemple aux générations futures de ce que l'Église devrait faire.

    De même dans le livre des Actes, nous pouvons remarquer l'exemple d'Apollos, qui " réfutait avec vigueur, en public, les arguments des Juifs, et démontrait par les Écritures que Jésus est le Messie " (Ac. 18.28). Plus tard, Paul se réjouit que de toute manière plus de gens prêchent l'Évangile (Ph. 1.15-18 ; le mot kerusso se trouve au verset 15 et le mot kataggello, qui signifie " proclamer " est utilisé aux versets 16 et 18).

    Paul dit à Timothée (2 Ti. 4,5) de faire l'œuvre d'un évangéliste (euaggelistes - un annonceur de bonne nouvelle). Dieu donne à certains de ses enfants un don pour l'évangélisation (Ép. 4.11), mais une bonne formation peut toutefois rendre leur don encore plus efficace. L'Église ne pourrait pas remplir sa mission si elle ne faisait qu'attendre que les gens viennent à elle. Aller au nom de Jésus et atteindre les gens avec la bonne nouvelle doit être un acte intentionnel.

    L'évangélisation personnelle

    D'une manière ou d'une autre, l'évangélisation implique chaque membre de l'église, chaque disciple de Jésus-Christ. À mesure que nous croissons dans la foi, nous devrions devenir plus compétents à dispenser le message chrétien. " En effet, après tout ce temps, vous devriez êtres des maîtres dans les choses de Dieu ", nous dit Hébreux 5.12, impliquant que celui qui est chrétien depuis un certain temps devrait être en mesure d'enseigner aux autres la bonne nouvelle.

    Dieu a donné le " message de la réconciliation " à tous ceux qui sont réconciliés par Jésus-Christ (2 Co. 5.18,19). Il faut donc encourager les gens à se réconcilier avec Dieu par le message de l'Évangile de Jésus-Christ.

    Si l'Église obéit aux commandements de Christ et si elle " mène une vie digne de l'Évangile du Christ " (Ph. 1.27), les gens viendront naturellement à elle et lui demanderont de l'aide. Voilà une évangélisation par l'exemple, qui s'ajoute à notre responsabilité de prêcher et non la remplace. Les deux formes d'évangélisation sont essentielles, et une partie de notre exemple devrait être notre volonté de donner la gloire à celui qui œuvre en nous.

    Nous somme un peuple saint, " appelé à célébrer bien haut les œuvres merveilleuses de celui qui nous a appelés à passer des ténèbres à son admirable lumière " (1 Pi. 2.9). Et comment peut-on y arriver ? En partie, en ayant " une bonne conduite au milieu des païens. Ainsi, dans les domaines mêmes où ils vous calomnient en vous accusant de faire le mal. Ils verront vos bonnes œuvres et loueront Dieu le jour où il interviendra dans leur vie " (v. 12).

    C'est dans ce contexte de donner le bon exemple que Pierre écrit : " Reconnaissez, dans votre cœur, le Seigneur - c'est-à-dire le Christ - comme le Saint ; si l'on vous demande de justifier votre espérance, soyez toujours prêts à la défendre avec humilité et respect " (1 Pi. 3.15). Le bon exemple et l'évangélisation vont main dans la main.

    Dans notre monde d'aujourd'hui, la façon de vivre chrétienne tranche considérablement. Quand la société est pessimiste et apathique, l'espérance et l'attitude chrétiennes sont plus que remarquables. Les gens ont besoin de la paix de Christ et la désirent, qu'ils la comprennent ou non. Quand ils demandent de l'aide, nous pouvons expliquer dans nos propres mots pourquoi nous espérons en Jésus-Christ. Un bon exemple et un sage témoignage de notre foi contribuent à prêcher la bonne nouvelle.

    Paul encourage les chrétiens à " être irréprochables et purs, des enfants de Dieu sans tache au sein d'une humanité corrompue et perverse. Dans cette humanité, vous brillez comme des flambeaux dans le monde (Ph. 2.15). Mais le rôle des chrétiens dans la communauté ne limite pas à éviter le péché. Paul ajoute ensuite : " en portant la Parole de vie " (v. 16). Leurs actions devaient s'allier à leurs paroles. Les bonnes œuvres vont de pair avec l'Évangile, et la combinaison des deux représente une forme efficace d'évangélisation.

    Prêt à répondre aux gens

    Chaque chrétien devrait être en mesure d'expliquer les fondements de sa foi, peut-être pas nécessairement de façon éloquente, et certainement pas d'une manière argumentative, mais simplement avec confiance. Nous connaissons la paix de Dieu dans notre vie. Nous savons que nous ressusciterons, et que la vie vaut la peine d'être vécue. Nous savons également que nos péchés sont pardonnés, que Dieu a envoyé son Fils mourir pour nous, et qu'il vit maintenant pour nous. Nous savons qu'il veut que nous cessions de vivre pour nous-mêmes et vivions pour lui (2 Co. 5.15).

    Les chrétiens ne peuvent pas expliquer chaque verset de la Bible, mais ils sont capables, par leur propre témoignage, d'expliquer la raison de leur foi. Ils ne peuvent par prouver chaque point avec un argument incontestable, et ils n'ont à le faire. Ce qui rend leur témoignage crédible est " [leur] conduite, qui découle de [leur] consécration au Christ " (1 Pi. 3.16).

    Quand nous expliquons aux gens la raison de notre espérance, l'évidence se trouve dans nos œuvres aussi bien que dans nos paroles. Les deux se renforcent mutuellement pour rendre chaque aspect plus efficace qu'ils le seraient séparément.

    Tous les membres ne sont pas également doués pour expliquer éloquemment la grâce de Dieu, et personne ne le fera de la même manière. " L'évangélisation " dans le sens de continuellement approcher les gens avec le message de la bonne nouvelle, est un don spirituel, et nous ne pouvons pas nous attendre à ce que chaque chrétien possède ce don particulier. Mais tous les chrétiens ont reçu le commandement d'être prêts à donner une réponse aux questions des gens. Chacun de nous devrait vouloir que ses voisins jouissent de la bénédiction de connaître Christ, plutôt que de vivre dans l'ignorance. Tous les croyants devraient être préparés à être utilisés par Dieu quand se présentent des situations appropriées.

    L'évangélisation personnelle ne doit pas être négligée. Le Saint-Esprit conduit chaque chrétien dans sa conduite et ses paroles. Cela signifie que chacun de nous devrait être un bon exemple dans la communauté et être un témoin fidèle de la foi qui réside en nous.

    Si vous êtres une personne réservée, si la religion n'est pas le premier sujet dont vous voulez parler, c'est bien. Mais soyez zélé pour Christ de la façon que Dieu vous a doué - toujours prêt à répondre aux gens. Être prêt implique de la hardiesse, et non simplement de bonnes paroles.

    La commission de Christ d'annoncer l'Évangile aux autres est une partie continuelle de notre mission. C'est pourquoi nous sommes engagés dans le travail d'évangélisation - c'est l'une des façons par laquelle nous obéissons à Jésus-Christ. Cela fait partie de notre commission, de notre responsabilité.

    Tout comme Paul a prié pour Philémon, je prie également pour vous : " Je demande à Dieu que la solidarité qui nous unit à cause de ta foi se traduise en actes et qu'ainsi tout le bien que nous t'aurons amené à faire pour le Christ soit rendu manifeste (Phi. 6).
    Arlitto
    Arlitto
    Admin
    Admin


    Sexe : Masculin Messages : 11539
    Date d'inscription : 03/10/2020

    Église Universelle de Dieu Empty Re: Église Universelle de Dieu

    Message  Arlitto Sam 21 Nov 2020 - 13:15

    Le vin nouveau

    Par Gary Moore directeur national canadien de l'Église Universelle de Dieu.

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

    J'ai entendu dire que, si un adulte devait endurer la douleur qu'un enfant souffre pendant le processus de dentition, il en mourrait possiblement. Il faut beaucoup d'efforts pour simplement croître ! Pensez à ce que peut représenter pour un enfant de passer à travers le pénible processus de l'apprentissage de la marche. Ce dernier s'accompagne de maladresse, d'insécurité, d'inconnu, ainsi que de la douleur qu'une bosse sur la tête peut causer après une chute. 
     
    Toutefois, si l'enfant décidait de continuer à ramper sur ses genoux à l'aide de ses mains, il ne serait jamais béni de l'expérience d'une pleine mobilité. Il semble qu'une règle de vie prévaut : " Pas de bonheur sans douleur ". Malgré tout, il existe quelques exceptions, dont la plus importante est notre salut, qui est un immense bonheur que nous obtenons gratuitement - un don que Dieu nous accorde par grâce. Cependant, dans bien des domaines, il existe incontestablement un élément de vérité dans ce vieil adage. 

    Tout comme l'apprentissage de la marche, la croissance spirituelle implique un changement. Elle nécessite une volonté de passer à travers une période de maladresse, en acceptant d'entrer dans une nouvelle expérience ou arène dans laquelle nous sommes présentement incompétents. Il nous faut devenir d'humbles apprentis en laissant les autres nous enseigner, et en acceptant de souffrir un peu, à mesure que nous entreprenons ce qui nous est nouveau et inconnu. 

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

    Devant quelque chose de nouveau qui exige un changement, une puissante tendance humaine nous pousse à retourner au statu quo. Quand Jésus a présenté le message de l'Évangile, certains ont dit : " L'ancien (vin) est meilleur " (Lu. 5.36-39). Ils étaient familiers avec l'ancien et ont rejeté initialement le nouveau. Néanmoins, ce n'est qu'en embrassant entièrement Jésus et la bonne nouvelle que nous pouvons être sauvés et obtenir la vie éternelle. L'" ancien vin " n'était manifestement pas meilleur, mais c'est ce à quoi les gens étaient habitués. 

    Ce désir pour la stabilité et le familier est tout à fait compréhensible. Nous ne pourrions jamais survivre si tout changeait constamment. Toutefois, nous devons prendre garde que ce désir pour la routine et le connu ne fasse pas obstacle à une croissance et à une amélioration véritables. Les chrétiens sont appelés à une vie de changement et de maturité. La volonté de Dieu pour chacun de nous est de mûrir à la ressemblance de Christ (Ép. 4.15). Par conséquent, que ce soit dans le domaine physique ou spirituel de notre vie, nous devons désirer apprendre et croître. 

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

    Tout changement n'est pas nécessairement un bon changement. Nous devons rechercher la sagesse de Dieu pour comprendre notre développement et discerner les bénéfices qui découleraient de notre transformation. Si le changement s'avère positif, alors nous aurons besoin de courage, de foi et d'une confiance en Dieu, pour aller de l'avant et prendre des risques. 

    Avez-vous déjà imaginé comment les choses pourraient s'améliorer si vous apportiez quelques changements dans votre vie ? Gardez cette vision devant vos yeux, et elle vous donnera de l'espoir lorsque vous faites face au désir inévitable de retourner à l'ancienne façon. 

    On dit que, dans la vie, le changement est inévitable : soit que nous avancions, soit que nous reculions. De toute façon, nous bougeons. Demeurer sur place est simplement une illusion et masque le fait que si nous ne croissons pas, nous reculons lentement. Dieu nous appelle au changement. 

    Jésus-Christ promet de ne jamais nous laisser ni de nous abandonner (Hébreux 13.5), et notre Père céleste est là pour nous relever en cas de chute. Le Saint-Esprit de plus est là pour nous guider et nous encourager. L'univers est un endroit sécuritaire pour les enfants de Dieu. Alors n'ayons pas peur du changement ! 

    Rappelez-vous que si vous ne vous étiez pas relevé dans une position verticale et n'aviez pas mis un pied devant l'autre, vous n'auriez jamais appris à marcher. Vous êtes probablement tombé à plusieurs reprises et avez versé quelques larmes, mais vos parents vous ont réconforté, et vous avez réussi. N'en êtes-vous pas heureux ? 

    Maintenant, continuez d'appliquer la leçon !
    Arlitto
    Arlitto
    Admin
    Admin


    Sexe : Masculin Messages : 11539
    Date d'inscription : 03/10/2020

    Église Universelle de Dieu Empty Re: Église Universelle de Dieu

    Message  Arlitto Sam 21 Nov 2020 - 13:16

    Le bonheur

    Terry Connors. Membre de la congrégation de Lloydminster

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

    Au bas des courriers électroniques de mon père il y avait une citation: "Si la mère n'est pas heureuse, personne n'est heureux." Je pensais que c'était une citation drôle et j'en ai bien ri quand je l'ai lu. Cependant quelques jours plus tard je l'ai vu sur un autocollant et j'ai commencé à penser à ce qu'elle disait. Plus j'y pense, plus je comprends comment c'est triste lorsque nous permettons à nos émotions de blesser les autres. 

    Le bonheur est quelque chose dont nous avons le contrôle que nous le comprenions ou non. Notre tristesse a un effet négatif sur nous et sur ceux qui sont autour de nous. Demandez à une femme qui vit avec un mari auquel elle ne peut réussir à plaire, ou au mari qui redoute d'aller à la maison à cause d'une femme qui se plaint sans cesse et des enfants qui veulent toujours plus et ne sont jamais satisfaits. Le lieu de travail peut être une place de commérage et de compétition négative. Toutes ces choses détruisent la joie. 
      

    Avez-vous déjà remarqué que se ne sont pas les circonstances qui déterminent comment les gens seront heureux? Si vous y pensez pour un instant, je suis certain que vous connaissez des gens qui ont eu des vies faciles avec peu de problèmes et qui sont encore très malheureux et négatifs. L'argent ne fait pas le bonheur comme nous avons tous lu au sujet des gens riches et célèbres et de leurs vies malheureuses. Puis il y a tout ceux qui ont eu de grandes tragédies et souffrances, un grand nombre demeure encore heureux et positifs. 

    Voici des points qui peuvent nous aider à être plus heureux, des chrétiens plus positifs. 

    1.Le secret principal pour être heureux est la gratitude! Tous les gens heureux sont reconnaissants. 


    2.En ayant des activités qui donnent un but à notre vie. 


    3.En ayant un système de croyance, une foi en Dieu. En sachant qu'il y a quelque chose de plus grand que nous et dans lequel on peut avoir confiance. 


    Ça prend du travail pour avoir une vie heureuse. Le bonheur est sous notre contrôle - c'est une bataille à être gagnée, pas un sentiment qu'on espère. Le bonheur ne vient pas à vous et vous ne pouvez pas l'obtenir ou l'acheter. Le bonheur vient seulement quand vous le choisissez. 

    1.Voici des points qui détruisent le bonheur: Se comparer aux autres. 


    2.Les attentes irréalistes au sujet de nous-mêmes et des autres. 


    3.Se concentrer sur ce qui va mal dans nos vies et ce qui nous manque au lieu d' apprécier ce qui nous arrive de bon et ce que nous avons. 


    Oprah a rendu populaire l'idée d'un Livre de Gratitude, mais vous pouvez lire au sujet du même principe dans Philippiens 4:8: "Enfin, frères, portez toute votre attention sur ce qui est vrai, respectable, juste, pur, agréable et honorable. "

    Quand nous avons des pensées négatives ou des critiques envers quelqu'un d'autre, sortons notre Livre de Gratitude et ajoutons-y leur nom. Inscrivez ensuite en dessous, cinq choses que vous appréciez de cette personne. Ce sera difficile pour commencer, mais une fois que vous aurez mis votre esprit dans un état positif, des choses de plus en plus positives concernant cette personne vous viendrons à l'esprit. Je sais par expérience que si nous faisons cela, bientôt nous constaterons que les détails irritants au sujet des autres ne nous dérangent plus vraiment et nous serons plus heureux pour cela.
    Arlitto
    Arlitto
    Admin
    Admin


    Sexe : Masculin Messages : 11539
    Date d'inscription : 03/10/2020

    Église Universelle de Dieu Empty Re: Église Universelle de Dieu

    Message  Arlitto Sam 21 Nov 2020 - 13:16

    Quelque chose de nouveau

    Dennis Lawrence. Pasteur des congrégations de Montréal anglais, Rock Forest et de Cornwall,Ontario.

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

    Parfois dans la vie nous avons simplement besoin de quelque chose de nouveau. Il y a plus d'une année, je me suis trouvé dans le besoin de quelque chose de nouveau. Je suis ministre depuis environ 27 ans et je suis impliqué dans de nombreuses congrégations. J'étais fatigué et j'avais besoin de régénération. C'est étonnant de voir tout ce que Dieu a fait pour moi. Il m'a donné une occasion d'aller en Corée, d'enseigner l'anglais dans un camp d'hiver et aussi d'être l'aumônier chrétien du camp. Je constate souvent que Dieu nous étonne quand il pourvoit à nos besoins. 

    J'ai passé un mois incroyable avec 120 campeurs dans un camp d'immersion anglaise à l'Université Mokwon de Daejon. Daejon est la cinquième plus grande ville de la Corée, à environ deux heures au sud de Séoul, la capitale. J'ai appris beaucoup de choses pendant que j'étais là : comment mieux enseigner l'anglais; sur les camps (qui m'ont enrichi en tant que directeur de camp) et sur l'enthousiasme pour le Seigneur. Au camp, j'avais beaucoup d'occasions de partager ma foi avec plusieurs étudiants et plusieurs m'ont pris à part pour discuter et m'encourager. 

    Les églises chrétiennes coréennes sont clairement visibles la nuit. Elles ont des croix orangées au néon. Je me souviens une fin de semaine, en route pour un court voyage, comme nous arrivions sur une colline, j'ai compté 10 églises chrétiennes sur un côté de l'autobus. Toutes déclaraient leur amour et dévotion pour le Seigneur avec leurs croix au néon. 

    Une autre fin de semaine, j'ai eu l'occasion d'adorer à l'église Yoido Full Gospel, sous le pastorat du docteur Paul Yonggi Cho. C'est la plus grande église protestante dans le monde. La plus grande partie des informations que nous avons apprises au sujet des petits groupes vient de cette église. L'amitié entre les gens était étonnante tout comme leur ardeur de discuter des questions spirituelles avant et après l'adoration. J'ai passé quelque temps à voyager en autobus avec un groupe de leurs membres à leur centre de retraite. Quand un membre a appris que je parlais l'anglais, nous avons passé une heure complète dans une profonde discussion l'un avec l'autre. 


    En Corée, j'ai vu une nation tenant beaucoup à apprendre de l'Ouest. Ils désirent apprendre l'anglais, ce qui représente une occasion pour accroître l'impact de l'évangile. Dans cette nation de 47 millions de personnes, 47 pour cent de la population est déjà chrétienne. Il y a un grand potentiel pour plus de croissance si ceux qui vont là sont prudents dans leur témoignage et dans la présentation du message de Jésus. Le message chrétien offre l'espoir que les fois orientales et que l'adoration des ancêtres n'ont pas. 

    Quelle est la plus grande leçon que j'ai apprise de cette expérience ? Soyez prudent quand vous demandez à Dieu quelque chose. Je Lui ai demandé la régénération. Il a pourvu de façon que je ne pouvais imaginer! Il S'est révélé à moi à nouveau et m'a fourni une occasion qui m'a stimulé pour vouloir voyager et agir réciproquement avec les gens que je n'avais jamais considérés auparavant. 

    Hier j'ai lu, dans le livre intitulé "101 Ways Your Church Can Change the World" de Tony Campolo et de Gordon Aeschliman, ce que ces leaders chrétiens doivent planifier à travers les voyages et les études et une exposition annuelle à d'autres cultures. C'est ce que j'ai fait inconsciemment. Il est merveilleux d'avoir l'assurance que nous pourrions faire quelque chose de bien. 

    Quand vous lirez ceci, je serai de nouveau en Corée, enseignant et apprenant. Je suis sûr que Dieu continuera son travail en moi, m'enrichira, ainsi que ma famille et les congrégations que j'ai le privilège de servir.
    Arlitto
    Arlitto
    Admin
    Admin


    Sexe : Masculin Messages : 11539
    Date d'inscription : 03/10/2020

    Église Universelle de Dieu Empty Re: Église Universelle de Dieu

    Message  Arlitto Sam 21 Nov 2020 - 13:17

    QUEL RÔLE L'AMOUR PEUT-IL BIEN JOUER DANS TOUT CELA?

    Par Linda Moore.

    Mon conjoint et moi-même sommes retrouvés enfermés dans un bureau en désordre, dévoilant nos secrets à un pur étranger. L'individu est un conseiller matrimonial, très hautement recommandé et de toute évidence, un auditeur de renommée internationale. Il parle rarement durant ce temps, mais il nous remet rapidement sur nos pieds avec la déclaration qui nous a semblé à tous deux presque profonde. " Eh bien, a-t-il déclaré, il y a eu certainement beaucoup de frustration et de larmes ". Frustration et larmes! Les mots sont parfaits. Chacun d'entre nous, tous les deux ensembles, nous sommes épuisés et déchirés par cette relation qui fut la source d'aucun bonheur réel, d'aucune camaraderie, d'aucun support. Je suis fermement convaincue, même après avoir scruté tout l'univers, qu'il serait presque impossible de trouver deux individus aussi mal assortis que nous.

    " Comment toi et papa, avez pu vous retrouvez ensemble pour commencer? " nous demanda notre fille de 16 ans. " Le sexe ". Je ne l'ai pas dit même si j'en avais envie. Très éloignée de Dieu durant cette période de ma vie, j'ai non seulement épousé un homme qui ne connaissait pas Dieu alors, mais ne connaît toujours pas Jésus-Christ maintenant. J'avais facilement confondu sexe et amour. Je pourrais apporter plusieurs arguments à ma fille adolescente en faveur de la chasteté avant le mariage, mais celui qui a le plus de poids se trouve être l'argument consistant à faire l'erreur de confondre la passion avec l'amour nécessaire au fondement d'un mariage solide.

    Pointer du doigt

    Maintenant, 26 ans plus tard, me voici allongée dans mon lit, un samedi soir, passé minuit. Je suis plus éveillée que jamais, furieuse, écoutant la respiration légère de l'homme couché à mes côtés, que j'aurais envie de réveiller, de secouer et lui crier à pleine tête (mais je sais trop bien que ce mari serait loin de vouloir s'excuser). La colère m'étreint plus que jamais. Ses paroles cruelles et ses silences glaciaux durant la soirée m'ont complètement sidérée. Je veux lui hurler " Comment peux-tu dormir quand je suis couchée ici, étreinte par la colère et la fureur, en proie à une nuit blanche? ". J'essaie de prier mais cela ne fonctionne pas. Je ne veux pas prier, je veux me battre, je veux lui dire - J'ai raison, tu as tort, admets-le. Tu as été horrible à mon égard. Dis-moi que c'est vrai et que tu es plus désolé que jamais auparavant! - Mais je sais que ce mari que j'ai épousé est aussi loin de vouloir s'excuser quand il dort profondément que lorsqu'il est tout à fait éveillé " " Je suis désolé " n'appartient pas à son vocabulaire. Ne vous y trompez pas, je ne veux pas suggérer qu'il est coupable dans ce mariage. D'habitude, je suis plus que d'accord à porter le blâme pour tout ce qui ne va pas entre nous. Là où je pèche le plus dans ma vie se situe au niveau de ma conduite dans cette relation. Pour des années, j'ai été incapable de dormir, me détestant, tourmentée par l'idée de ce que je pouvais bien représenter pour lui quand je dormais à ses côtés. Je ne pouvais m'imaginer avoir pu inventer tout cela ou que je pouvais aller directement vers Dieu qui est Amour et qui donne généreusement à celui qui demande.

    Ayant atteint le désespoir, je me tournai vers ma table de chevet et attrapai la bible qui s'y trouvait. " Mon Dieu, la prière ne fonctionne pas et je ne peux pas me calmer assez pour prier. S'il-te-plaît, accorde-moi quelque chose, n'importe quoi, de ce livre. J'ai besoin de le voir écrit de mes yeux. " La bible tomba ouverte sur le livre aux Corinthiens. Le 13e chapitre. Je ne l'avais pas lu depuis très, très longtemps, mais sans aucun doute, je ne pouvais le faire sans être ébranlée par en dedans. Je me rendis rapidement au verset 4. Ce genre d'amour est patient et il est plein de bonté. Par lui-même, ce verset pourrait faire tourner ce mariage sur lui-même. J'ai lu le verset 5. Eureka : " ...il ne soupçonne pas le mal, il ne cherche pas son intérêt, il ne s'irrite pas facilement, il pardonne tout. " Cela commence à faire boule de neige. Protège, fais confiance, espère, persévère. Persévère!

    Dieu est Amour

    Étendue sur mon lit, je m'éclatai de rire. Je m'arrêtai mais je continuai à sourire encore, c'était trop formidable! Un homme s'est assis quelque part, peut-être tard la nuit, 2000 ans passés et a écrit ces paroles claires et précieuses qui ont envahi mon âme cette nuit. Cet homme était inspiré par l'Esprit du Dieu vivant de façon à ce que moi, et des millions d'autres personnes les lisent - à travers les siècles - au milieu de la nuit et puissent leur révéler ce miracle : Dieu est Amour. Dieu est Amour. C'est tout! C'est la réponse à tout. Non seulement la paix m'envahit le cœur mais je finis par avoir sommeil. Bonne nuit mon Dieu! Je remets tout cela entre tes mains ce soir et j'espère beaucoup, pour toujours. Et je me suis endormie. Et je me suis éveillée. Avant que j'ai pu ouvrir mes yeux, je suis consciente qu'aujourd'hui c'est un jour spécial. Quelque chose s'est produit aujourd'hui. Ah oui!, je me souviens, l'Amour. Et pour cette journée et pour les jours à venir et les semaines et les mois qui vont suivre, il y a l'amour! Pas celui qui vient de moi, Jésus l'auteur de ma foi. Pas celui qui vient de mes propres forces. Jésus celui qui la rend parfaite.

    L'amour venant de sa propre justice

    Je considère avec une sensibilité nouvelle cet homme que j'ai épousé. Je regarde ses échecs et je sais trop bien dans le fond de mon cœur, la sorte de personne que je serais devenue sans la grâce de Dieu.. Je sens un élan du cœur envers mon conjoint. Je peux imaginer graphiquement quelle douleur peut résulter d'une vie débranchée de la Source de bénédictions, de celui qui a donné cette vie. Être la personne coupée, isolée! " Je peux voir que tu agis avec beaucoup de gentillesse à mon égard dernièrement " déclara finalement mon mari. J'ai raconté mon histoire à un ami. Je l'ai raconté à deux autres amis. Lorsque nous racontons les faveurs de Dieu, nous devons être conscients des péchés subtils qui peuvent entacher toute intention pure reliée à ces nouvelles. Il est trop facile de débuter en parlant de la grâce de Dieu et de terminer en se louangeant du " Regardez moi ". Je commençai à me sentir quelque peu vertueuse, peut-être même un tantinet plus juste. Wow!, je suis vraiment quelqu'un n'est-ce-pas!. était l'étape suivante qui m'attendait. Je commençai à démontrer à mon mari mon intention de devenir Madame Souffre-douleur-dans-la-patience. En l'espace d'un seul après-midi, je pouvais me balancer entre une attitude de confiance totale envers Dieu pour une effusion de son amour vers l'illusion d'en être une copie conforme de ma propre invention. Je pouvais pour 15 secondes, m'imaginer que ma fausse-charité en était une authentique. " Ta virtuosité me fait grimper les murs " me lança mon mari quand je faisais appel à sa bonté afin de répondre à la mienne. Il est temps de retourner à 1 Corinthien 13. J'ai relu le texte qui parlait de l'amour. Mais attendez donc, il y a plus encore. Il y a toujours plus. Il n'y a pas seulement une vaste étendue de sa miséricorde, Dieu a aussi une infinie sagesse dans Sa Parole. " Mais quand la perfection est venue, ce qui est imparfait a disparu " ( verset 10). Ayant reçu en en révélation un aperçu de la perfection, je peux voir très bien la pâle imitation de ma part. " Quand j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant. Quand je suis devenu un homme, j'ai mis l'enfant de côté " Ici se trouve la source de maturité, de croissance dans la grâce. Dieu m'a démontré par un miracle comment on devait aimer. Sans effort, d'une manière entièrement merveilleuse, satisfaisante et la plus satisfaisante. J'ai expérimenté pour l'homme qui est mon mari, une sorte d'amour plus substantiel que n'importe quel amour j'aurais pu connaître. Mais la routine quotidienne est venue. Et avec elle, les frictions. La vraie vie, quoi!. Celle en proie aux affrontements, aux blessures, aux ajustements, aux combats et aux périodes d'égocentrisme. Des irritations insignifiantes qui dégénèrent en croisades. C'est l'authenticité versus l'imitation. Je me retrouve dans ma cuisine. J'ai besoin d'un œuf pour confectionner un gâteau. Deux choix se présentent : je peux faire des efforts surhumains pour en créer un ou je peux chercher l'aide de la poule - ou quelques intermédiaire - pour obtenir la vraie chose. De même avec l'amour, je peux m'imaginer être capable de l'inventer ou je peux aller directement vers le Dieu d'Amour qui donne généreusement à quiconque demande. " Maintenant, nous voyons comme à travers d'un miroir " (verset 12). Je ne pense pas réussir à faire accepter ma fausse gentillesse devant Dieu, face à face. Une misérable réflexion dans un miroir!. J'avais toujours pensé que Paul avait changé de sujet une fois rendu au verset 10 dans 1 Corinthien. 13. Mais Dieu avait utilisé ces versets pour me révéler ce que l'amour pouvait signifier, qui en est la source, la sorte de soutien qu'il apporte, comment l'on ne peut y parvenir sans avoir avant tout abandonner totalement notre vie à Jésus-Christ et devenir dépendant de Son amour.

    Que veut vraiment dire " aimer "

    Au fil des semaines, riche de cette nouvelle compréhension et de cette expérience transformant mon cœur et ma conduite, mon mari a eu un changement d'attitude et a pris une autre direction. Il s'est montré encore plus irritable, susceptible, facilement blessé, souvent en colère. Un ami psychologue m'a expliqué que lorsque la colère du partenaire cesse, celle de la parti adverse augmente pour combler le vide. Malgré la nouvelle dynamique et malgré l'augmentation de la méchanceté de sa part, je demeure dans un état de grâce exceptionnel. Je ne porte plus l'affreux fardeau d'une culpabilité continuelle. L'amour donné sans retenu infecte son donateur. Ma compassion envers mon mari grandit sans cesse parce que je sais trop bien comment on se sent quand on porte les chaussures de la colère, étant le porteur et le receveur d'émotions négatives. Une autre remarque surprenante. Comme je devenais de plus en plus impliquée dans ma relation avec Dieu, par l'adoration et ma dépendance envers Lui, je commençai a en ressentir les retombées. Un certain homme avec qui je travaillais à l'église, me critiqua au sujet d'un article que j'avais publié dans un magasine qu'il avait lu. Ce qui s'en est suivi dans les jours suivants fut plusieurs courriers électroniques touchant certains sentiments, de vieilles blessures, de surprenantes compréhensions. Le dimanche suivant, j'entrai à l'église et lorsque je l'aperçus, je fondis en larmes. C'était une sorte d'émotion, un élan d'amour comme pour un ami cher que nous n'avons pas vu depuis longtemps. C'était la façon que je me sentais quand je l'aperçus. On s'est rencontré et on s'est fait l'accolade. Je commençai à ressentir un nouvel amour envers mes frères et sœurs en Jésus-Christ!

    À l'église un autre dimanche, j'ai approché une dame avec laquelle j'avais une relation assez perturbée depuis plusieurs années. Elle avait répandu des rumeurs à mon sujet, manqué de gentillesse à mon égard de plusieurs façons inimaginables et m'avait affirmé de différentes manières qu'elle me détestait. Après le service, je m'empressai d'aller vers elle et étendant mes mains, je lui exprimai mon désir de devenir ami ensemble. Elle interpréta mon geste comme un affront. Aucune larme de réconciliation ici. Mais ce n'était pas le but visé. Nous n'aimons pas pour parvenir à des résultats. Cet amour de Dieu n'est pas une valeur d'échange que nous offrons pour obtenir ce que nous voulons. C'est un cadeau, une preuve d'obéissance, de gratitude et de foi, un miracle que l'on ne peut pas produire de nous-mêmes, et surtout, quelque chose de tellement agréable à notre grand Dieu.

    Linda Moore est un écrivain demeurant dans l'Ouest du Massachusett, auteur d'un roman et de plus d'une centaine d'essais et de courts récits de fiction.
    Arlitto
    Arlitto
    Admin
    Admin


    Sexe : Masculin Messages : 11539
    Date d'inscription : 03/10/2020

    Église Universelle de Dieu Empty Re: Église Universelle de Dieu

    Message  Arlitto Sam 21 Nov 2020 - 13:18

    Fenêtre sur le Monde

    Par Randal Dick

    Quelques congrégations m'ont demandé ces derniers mois quelques conseils pour devenir des instruments plus efficaces de Christ. Je considère cette tâche un privilège car j'ai appris autant des membres qu'ils ont appris de moi. 

    Une congrégation s'était donné comme objectif de groupe de demander à Dieu de les transformer afin qu'ils puissent faire sa volonté. Ensembles, nous avons découvert que nous sommes liés à de faux paradigmes devant être changés si nous voulons être des dispensateurs efficaces de l'Évangile.

    Des paradigmes toxiques

    Des paradigmes sont des valeurs et suppositions que nous ne questionnons jamais. Ils sont difficiles à changer parce qu'ils sont invisibles. Tout le monde <<sait>> qu'une telle façon de faire ou de penser est la bonne. Les paradigmes sont donc considérés comme étant la vérité et ne sont que rarement questionnés. Certains sont faux dès le départ. D'autres ont pu être vrais au début, mais comme les situations changent, un paradigme pouvant initialement donner des résultats positifs, peut cesser d'être valide et devenir toxique.

    Il serait peut-être désirable de jeter la lumière sur quelques sujets où nous (la chrétienté occidentale, incluant EUD) avons tendance à être attachés à des paradigmes. J'essaierai ensuite de mettre en contraste un paradigme vicié de celui qui reflète plus fidèlement l'intention de Christ.

    Statique vs. Dynamique 

    Christ avait l'intention que ses disciples embarquent dans un voyage avec Lui qui durerait la vie entière. L'Église du début était dynamique. Elle se propageait comme du levain, pénétrant dans divers endroits, traversant des barrières ethniques et culturelles. L'Église ne pouvait pas être contenue dans une strate économique et surmonter toutes les barrières de classes. C'est seulement après quelques siècles que l'Église a pu commencer à se positionner au centre de la société, du gouvernement et de la culture. Elle est devenue l'Église statique - on s'attendait à ce que tout le monde et tout ce qui faisait parti de la société tourne autour de l'Église.

    Aux États-Unis nous ne ressentons pas consciemment ce dynamisme.Cependant, c'est là où le paradigme chrétien dominant a pris ses débuts. Durant les quelques derniers siècles, le gouvernement et la société ont rejeté l'Église comme étant le centre de tout. L'Église a été forcée d'accepter ce nouvel état de choses mais n'est pas revenue à son ancien rôle dynamique de voyageur. A la place, l'Église s'est mise à compétitionner pour se faire une place dans la vie des individus. Ce qui nous emmène à notre deuxième paradigme vicié. 

    L'Attraction

    Comme l'Église devenant de plus en plus délaissée, continuait à s'agripper à la sécurité de son paradigme statique vieux de plusieurs siècles, elle a été forcée d'adopter une approche pour tâcher d'attirer à elle les non-croyants. Il en résulta donc que presque tous les programmes et efforts pour évangéliser ont été construits autour du concept, soit d'attirer les gens pour qu'ils se joignent à l'Église statique, soit de renforcer la sensibilisation envers l'Église et la réputation de l'Église. Voilà une partie de l'effort pour croître par attraction. Le paradigme de l'attraction est essentiel si l'Église doit rester statique et en même temps croître. Cette approche obtint des résultats plus ou moins heureux, selon la réceptivité de son auditoire cible. 

    Le Paradigme du Marketing 

    Depuis la deuxième guerre mondiale, l'Église occidentale a été considérée de moins en moins pertinente. L'auditoire cible est devenu de plus en plus résistant à toute religion organisée. Les tentatives répétées pour attirer n'eurent pour résultat que la croissance par transfert, plutôt que la croissance par la conversion des non-croyants.(Note: Ça prendrait un autre article pour commencer à explorer combien ce paradigme vicié s'est infiltré dans la chrétienté et même dans notre congrégation. Peut-être serait-il souhaitable de le faire ultérieurement.)

    Vendre l'Église

    À cause du paradigme statique et du paradigme d'attraction, on a adopté et on s'est agrippé à un autre paradigme toxique que je vais appeler le paradigme-marketing. 

    Pour pouvoir attirer avec succès, l'Église a essentiellement cloné le modèle des affaires et cherché à vendre l'Évangile. Par conséquent, nous mettons une emphase énorme sur "l'évangélisation", un terme qui semble défier toute définition.

    Nous mettons une emphase importante sur le fait de comment témoigner, partager notre foi, faire avancer le royaume, mener les autres à Christ, offrir notre témoignage, remplir la Grande Commission. Nous publions des réclames. Nous faisons des programmes de radio et de télévision. Nous faisons des assemblées pour ceux qui cherchent. Nous faisons des croisades et des <<renaissances>>. Nous faisons du porte-à-porte dans les voisinages. Nous construisons des édifices attrayants avec le maximum de services tels que garderies et effets audio-visuels épatants.

    Tout ceci fait parti de la recherche à rendre notre produit ( l'Église statique) plus attrayant pour les non croyants. Le résultat désiré est le même : les non-croyants sont amenés à Christ, par conséquent au corps statique de Christ. Le problème est que l'on doit mettre de plus en plus d'efforts pour de moins en moins de résultats. Les non-croyants modernes ont tendance à rejeter l'institution qu'est l'Église.

    De plus en plus de penseurs dans le monde chrétien nous poussent à faire un effort afin de revenir à un mode dynamique, à la place de notre mode confortable statique/attraction/marketing. Je suggère fortement aux congrégations de l'EUD de faire de même, et ce pour deux raisons. La première est que, si nous poursuivons dans le paradigme marketing, nous utilisons comme nouvelle tactique une tactique qui n'est pas nouvelle mais qui a pris de l'âge et s'avère être de moins en moins efficace. La deuxième est que nous sommes trop petits, pas assez riches et avons pris beaucoup trop de retard pour faire compétition dans ce marché. La bonne nouvelle est qu'il existe une meilleure façon de faire. 

    L'Église Dynamique

    Jetons un regard nouveau au principe selon lequel Jésus a fondé l'Église. Voyons si nous pouvons re-capturer un peu du paradigme de Jésus. Un des slogans les plus sur-utilisés dans le paradigme marketing est Matt 4:19, "Il leur dit: Suivez-moi, et je vous ferai pêcheurs d'hommes."

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

    Le fait de lire ce verset à travers des lunettes <<marketing-paradigme>> empêche de voir le vrai paradigme dont Jésus nous fait part. Selon le paradigme-marketing, on met une emphase à apprendre comment être de bons pêcheurs d'hommes. Ce qui équivaut à mettre la charrue devant les bœufs! L'emphase de Jésus est sur le "suivez-moi". 


    Jésus nous dit que nous sommes invités à un voyage (paradigme dynamique) avec Lui. C'est en suivant Jésus dans ce voyage qu'Il nous donnera la capacité de devenir des bons <<pêcheurs d'hommes>>. C'est l'opposé du paradigme statique qui nous emmène en direction opposée au paradigme-marketing. Comme le dit Wayne Meeks, historien ecclésiastique, les premiers chrétiens, qui étaient une partie dynamique de leurs communautés, <<potinaient>> l'Évangile. La joie du voyage avec Christ débordait tout simplement. C'est ce qui faisait un impact dans leur communauté. Ils n'avaient pas besoin <<d'évangéliser>> . L'Église que Jésus a fondée était dynamique et non statique. Ils n'avaient aucun statut, aucune institution, aucun édifice autre que leurs maisons. Ils s'attendaient à ce que Jésus serait de retour et se considéraient comme des voyageurs.

    Ils vivaient des vies normales et ne se faisaient pas remarquer par rapport à leur propre culture, à l'exception que l'Esprit-Saint de Dieu les transformait radicalement de l'intérieur. 

    L'Église agissait pleinement dans la communauté. Contrairement à ce qui a été le cas, historiquement, dans l'EUD, où nous attendions le retour de Christ dans la plus grande exclusion, Jésus plongeait les premiers chrétiens dans le monde. 

    À l'exception d'éviter l'idolâtrie, la culture de l'Église était virtuellement impossible à distinguer de la culture juive, grecque ou romaine des environs. Selon le dessein de Christ, son peuple est demeuré tricoté-serré avec les amis et la parenté. Le fait que Christ vivait quotidiennement à travers la vie des chrétiens les rendait attrayants. 

    Le point focal de la vie de l'Église et la base de sa croissance étaient le foyer - un tissu de relations familiales et d'affaires.

    Rodney Stark, sociologue des religions, fait part des recherches sur les patrons de croissance de l'Église du début dans son livre The Rise of Christianity. Stark démontre que la croissance de l'Église de 120 personnes à ses débuts, à une estimation conservatrice de 5 à 7,5 millions de Chrétiens vers le début des années 300 ne nécessite pas des miracles ni des processus anormaux. Stark démontre qu'un taux de croissance de 40 pour cent par décennie expliquerait la croissance de l'Église des premiers temps. Ceci revient à 4 pour cent par année.

    Même dans notre contexte moderne, ce n'est pas inédit. L'Église Mormone a crû au rythme d'à peu près 40 pour cent par décennie depuis cent ans!

    L'Importance du foyer

    Stark démontre que, dans l'Église des premiers temps, la croissance se faisait par les liens et les réseaux de relations intimes. Stark dit que les "conversions à de nouveaux groupes de religions déviantes (puisque les chrétiens étaient vus par ceux des environs) a lieu quand, toutes choses étant égales, les personnes possèdent ou développent des attaches plus forts avec les membres du groupe qu'avec ceux qui ne sont pas membres (p15).

    Stark démontre ensuite que "la base des mouvements de conversion ayant du succès est la croissance par les réseaux sociaux, par une structure de liaisons inter-personnelles directes et intimes ''. La plupart des mouvements religieux nouveaux échouent parce qu'ils deviennent rapidement des réseaux fermés ou mi-fermés. C'est-à-dire, ils ne forment ni n'entretiennent plus d'attaches avec ceux de l'extérieur. Ainsi, ils perdent leur capacité de croître. 

    "Les mouvements qui ont du succès découvrent des techniques pour rester des mouvements ouverts, capables de se porter vers et à l'intérieur des réseaux sociaux adjoints. Et voici d'où vient la capacité de ces mouvements à soutenir des taux exponentiels de croissance pendant des longues périodes de temps." Je suggérerais fortement à toutes les congrégations de mettre beaucoup de temps et de prières à essayer de découvrir comment ils peuvent arriver à maintenir des réseaux ouverts.


    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


    L'Église des premiers temps croissait par les amis proches et les parents des nouveaux chrétiens ayant vu une transformation s'effectuer dans la vie de ces croyants. M. Tkach nous dit que, comme congrégation nous devons commencer à vivre. Nous devons nous mettre dans l'idée que nous sommes des pèlerins spirituels tout en vivant une vie normale et ayant des liens relationnels avec nos amis et nos proches non convertis.
     

    En se débarrassant du paradigme-marketing, nous allons, au contraire, devenir des prêtres-serviteurs (1 Pierre 2) qui offrent des sacrifices d'amour, de prières et du temps de qualité à notre foyer. Ceci inclut les amis, parents, voisins et associés avec qui nous avons une relation de réseau ouvert. Cela pourrait entraîner une réorganisation de l'usage de notre temps.

    Le fait d'accepter le paradigme de Jésus nous mènerait à aimer et servir au lieu de chercher un argument de vente. Jésus a dit dans Actes 1:18: "...et vous serez mes témoins..."

    Nous témoignons pour Lui en tissant des liens serrés avec notre foyer, ou notre réseau de relations. La croissance de l'Église se fera tout seule en aimant le foyer que Dieu nous a donné, à chacun de nous. La croissance se fait tout seule parce qu' "à mesure que les mouvements croissent, leur surface sociale s'agrandit proportionnellement. C'est-à-dire, chaque nouveau membre agrandit le réseau de liens entre le groupe et les convertis potentiels."

    En résumé, nous devons nous défaire du paradigme-marketing, qui essaie d'attirer les personnes à l'institution, et nous devons chercher à faire les choses suivantes:

    1) Chaque individu demande à Jésus de le ou la transformer en son image, assez pour en faire un témoin efficace dans la vie de tous les jours.

    2) Chaque individu cherche à approfondir ses relations avec son réseau existant de relations de famille, amis et associés non-croyants. L'individu cherche des façons d'aimer et de servir, sans s'attendre à rien en retour.

    3) Quand le Saint-Esprit emmène le non-croyant à vouloir en savoir plus, le chrétien doit avoir, au moyen de l'étude personnelle et la prière, une réponse à l'espoir qui les motive.

    J'essaierai de développer ces concepts plus en détail dans de futurs articles.
    Arlitto
    Arlitto
    Admin
    Admin


    Sexe : Masculin Messages : 11539
    Date d'inscription : 03/10/2020

    Église Universelle de Dieu Empty Re: Église Universelle de Dieu

    Message  Arlitto Sam 21 Nov 2020 - 13:19

    Le pouvoir de l'Intention

    Par Randal Dick

    Surintendant des missions

    Voici la deuxième partie d'une trilogie qui a été précédée par Fenêtre sur le Monde (Northern Light de juin 2002) et qui est suivie dans ce numéro par Les Gens Ordinaires Changent le Monde.

    Quelle est ma prochaine étape?

    Plusieurs d'entre vous ont été très clairs. Vous vous attendez à ce que je tienne ma promesse de continuer à développer le sujet. Par conséquent, j'ai dû mettre énormément de temps et d'énergie à trouver une réponse à la question implicite dans la plupart de vos réponses: "Quelle est la prochaine étape?"

    La réponse qui se dégageait était encore une fois d'une simplicité désarmante: C'est de devenir intentionnel dans notre marche avec le Christ. Le mot clef ici est intentionnel. Cette prochaine étape est essentielle pour la plupart d'entre nous. Elle peut aussi faire une énorme différence dans la vie de l'individu et la congrégation.

    Un vieil ami et ancien de l'Église l'a bien décrit quand il a dit qu'une énorme partie du problème auquel le monde faisait face dans sa congrégation tournait autour du fait que, depuis plus de deux décennies, nous avons été conditionnés à être réactifs, sinon passifs, aux besoins et aux opportunités d'évangélisation dans nos milieux immédiats.

    Maintenant, disait-il, nous sommes sensibilisés au besoin de prendre la responsabilité à partager l'Évangile personnellement. Mais il a conclu que c'est une véritable lutte pour un grand nombre de membres d'effectuer la transformation de l'état réactif à devenir une partie pro-active de l'évangile de Christ - vivre avec la connaissance à laquelle nous avons été appelés pour vivre notre vie pour eux (les perdus) et non uniquement pour nous autres.

    Pourquoi dites-vous que l'intention est si importante?

    C'est vraiment simple quand on y pense: Dieu est un être d'intention. Vous pouvez le voir dans Genèse 1, où le Dieu de la création se déplaçait au-dessus des eaux d'une planète en confusion et avec une ferme intention de la rétablir à un état de beauté. Aussi, dans Jean 1, où Dieu est venu intentionnellement sur la terre et a vécu intentionnellement une vie dans la chair pour être le Sauveur de la race humaine.

    Dieu n'est pas seulement un Dieu d'intention, mais il a le pouvoir de faire réalité tout ce dont il a l' intention. La Grande Commission est aussi un énoncé d'intention. Jésus dit que comme le pouvoir de transformer l'intention en réalité lui a été donné, il veut que, lorque nous allons dans le monde, nous fassions des disciples.

    Nous sommes aussi des êtres avec intention. C'est un des grands dons que Dieu nous a fait quand il nous a fait à son image. Mais, à la différence de Dieu, nous n'avons pas le pouvoir de toujours mener à bien toutes nos intentions. Quelques fois nous ne réussissons pas du tout à réaliser nos intentions; d'autres fois nous nous retrouvons avec une réalité à laquelle nous ne nous attendions même pas. Par exemple, quel parent, qui berce un doux bébé naissant, a l'intention d'en faire un tueur en série?

    Pourquoi l'intention doit-elle être la prochaine étape?

    La Grande Commission est d'une importance fondamentale. Mais la Grande Commission n'est pas une mantra, ni un commandement indépendant des autres énoncés qui l'entourent.

    Edmund Gibbs, professeur de croissance ecclésiastique au Séminaire Théologique Fuller, a fait la remarque que, pour comprendre Mattieu 28:18-20, on doit le regarder dans le contexte de Mattieu 4:19, où Jésus dit à ceux qui allaient être ses disciples : "Suivez-moi et je ferai de vous des pêcheurs d'hommes."

    L'intention première du chrétien devrait être de participer de tout coeur au voyage avec Jésus et lui permettre de nous guider dans ce voyage. Ce voyage qui consiste à le suivre est dirigé, guidé et gardé par Jésus personnellement.

    Il connaît le chemin et la destination. Il choisit les prés verdoyants des bons moments et les sentiers étroits de nos épreuves et souffrances. C'est un voyage que nous ne finirons jamais dans cette vie. Quand nous prendrons notre dernier souffle, ce sera, d'une façon de parler, sur la route. Mais ce qui est plus important pour nous, est que ce soit un voyage de transformation.

    Il est essentiel que ce point soit très clair, parce que c'est ce qui constitue la fondation de tout ce qui suit. Jésus provoque une puissante transformation au-dedans de nous quand nous participons intentionnellement et nous nous soumettons de tout coeur à l'autorité de Christ dans nos vies. À mesure que nous sommes transformés, nous devenons plus attrayants pour les perdus cherchant à trouver un sens à la vie. Je ne peux pas le dire avec assez d'insistance; c'est ce qui fait la différence entre le fait de faire partie de Christ faisant sa volonté sur terre et d'essayer d'évangéliser en demandant à Dieu de bénir notre projet.

    Où la puissance de l'intention entre dans le portrait

    Christ désire former notre avenir, notre réalité et ce que nous sommes. C'est ce que le "suivez-moi" signifie. Je ne peux pas faire de mon intention une réalité, mais j'ai la capacité qui a été donnée par Dieu (et la responsabilité) d'être intentionnel dans mon désir de le suivre. Voici une réponse essentielle au commandement de Jésus de "suivez-moi et je ferai de vous des pêcheurs d'hommes". En ce faisant, nous-nous ouvrons à Christ et lui permettons de faire de nous une partie efficace de sa volonté sur terre.

    Quels seraient quelques-uns des effets de la transformation qui s'opérerait quand nous serions intentionnels de faire parti du voyage de Jésus au lieu de lui demander d'être le guide de notre voyage? La nuance dans les mots est petite mais la différence dans la vie est énorme.

    Nous serions plus sensibles à l'existence des personnes non sauvées autour de nous. Nous avons tendance à nous fermer à l'embarras des vies de ceux de notre entourage, spécialement ceux pour qui nous ne ressentons aucune responsabilité. Être intentionnel de suivre Jésus dans un voyage quotidien nous pousse automatiquement vers une mentalité de prêtre, parce que c'est ce qu'est Jésus.

    Il est intéressant à noter que Christ a inspiré Pierre d'écrire que nous, les membres du corps de Christ, faisons partie de la prêtrise royale offrant des sacrifices spirituels au nom de Jésus-Christ le Grand-Prêtre (1 Pierre 2:9). En termes pratiques du 21ième siècle, quels sont ces sacrifices spirituels que Jésus désire que nous offrions? Les réponses à cette question devraient décrire ce que nous sommes et ce que nous faisons, personnellement et collectivement.

    Nous croîtrions spirituellement. Être intentionnel dans notre voyage avec Christ nous pousserait probablement à commencer à parler à Dieu pour lui demander son aide afin de vaincre quelques-uns de nos manquements de longue date, soit par commission ou par omission, qui font que nous manquions le but. C'est très différent de l'approche légaliste de vaincre, motivée par la peur de ne pas faire partie du Royaume ou un désir d'une plus grande récompense.

    Ce désir de laisser former notre caractère en Christ est mis en branle par le fait que l'on se rend compte que c'est Christ en nous qui nous rend attrayants aux perdus, et que tout péché demeurant en nous a pour résultat que le monde regarde à la voie de Satan à l'oeuvre en nous au lieu de voir la puissance transformatrice de l'amour de Dieu.

    Nous serions plus sérieux de bien connaître ce que nous croyons et d'avoir la capacité de donner une explication réfléchie de ces croyances. Le fait d'être intentionnel dans notre voyage avec Christ a tendance aussi à nous stimuler à être intentionnel pour une réponse effective à une personne perdue, ayant le besoin et le désir de savoir qu'il y a un Dieu, et de savoir qu'elle pourrait se connecter à Lui. Pourquoi devrait-on laisser, au hasard, une chose si importante?

    Pensez aux paroles d'Ésaïe, paroles que Christ a adoptées comme thème principal de son ministère au genre humain:

    Ésaïe40 : "1Consolez, consolez mon peuple, dit votre Dieu. 2 Parlez au coeur de Jérusalem, et criez-lui que sa servitude est finie, que son iniquité est expiée, qu'elle a reçu de la main de l'Éternel au double de tous ses péchés.3 Une voix crie: Préparez au désert le chemin de l'Éternel, aplanissez dans les lieux arides une route pour notre Dieu.''

    Ne devrait-on pas investir de l'effort intentionnel à se donner la capacité de mesurer le besoin ressentie par une personne et le pouvoir d'articuler la partie de la Bonne Nouvelle qui parle à leur besoin immédiat et par là, les encourager à faire un pas vers la rédemption? Une route, n'est-elle pas un longue série d'étapes libérées d'obstacles et des passages rendus les plus simples possibles? Quelle est l'application pratique de tracer une route vers notre Dieu (pour les perdus)? Quel rôle jouons-nous, et en quoi consiste, en termes réels, la construction d'une telle route pour eux?

    Le fait d'être intentionnel de faire partie du voyage de Christ nous emmènerait à changer notre façon d'allouer notre temps. On serait plus porté à mettre davantage de temps et d'énergie sur les personnes plutôt que sur les choses. On mettrait plus d'emphase sur nos relations, soient sur celles où nous avons la possibilité de cultiver avec ceux qui n'ont pas une relation salvatrice avec Jésus. L'emphase de ce temps serait vers les autres, soit le fait d'être là pour eux, les servir de façon humble ou de façon dramatique, et les servir qu'une fois ou à longue échéance.

    J'espère que c'est maintenant clair que le fait de devenir intentionnel de céder au commandement de Jésus de se lancer dans un voyage d'une vie entière à le suivre, nous place dans la meilleure position possible pour être efficace dans sa Grande Commission. Voilà la puissance de l'intention.

    Le prochain segment - c'est encore mieux!

    Jusqu'à présent, nous avons parlé du dynamisme spirituel puissant mis en marche quand nous sommes intentionnels à faire de notre marche avec Jésus une véritable partie intégrante de nos pensées et actions quotidiennes. Nous avons vu quel effet transformateur cela apporte dans notre vie personnelle. Mais ce n'est que le début. La puissance de l'intention va bien au-delà de notre propre vie. Le fait d'être intentionnel dans notre marche avec le Christ, fait que nous sommes parti prenant de ce qu'il accomplit à une échelle beaucoup plus grande. Souvent nous ne sommes même pas conscients de son étendue, jusqu'à ce que ce soit accompli et qu'une quantité incroyable de fruits en soient produits.

    Dans l'article prochain, je vais vous relater quelques exemples de la vie de nos frères dans l'Église primitive ; comment un petit groupe de marginaux de peu d'importance a ébranlé un empire. Ils ne savaient pas que c'était cela qu'ils faisaient. Ils étaient tout simplement intentionnels à suivre Christ. Mais en étant intentionnels dans leur marche avec Jésus, ils se plaçaient dans une position à faire partie de quelque chose d'énorme.
    Arlitto
    Arlitto
    Admin
    Admin


    Sexe : Masculin Messages : 11539
    Date d'inscription : 03/10/2020

    Église Universelle de Dieu Empty Re: Église Universelle de Dieu

    Message  Arlitto Sam 21 Nov 2020 - 13:19

    Des gens ordinaires qui changent le monde

    par Randall Dick

    Surintendant des missions

    Quand nous prions et demandons à Dieu de faire sa volonté dans notre vie, à quel point sommes-nous sérieux? Nous essayons de ne pas privilégier notre agenda au dépends de la volonté de Dieu, mais je crois que le problème majeur est que souvent nous ne prenons pas Dieu assez au sérieux quand il dit qu'il nous utilisera pour sa gloire et son honneur.

    Dieu désire que nos élans quotidiens soient mis à profit d'une façon qui donne des résultats que nous ne pourrions même pas de nous-mêmes reproduire, ni prédire. Le résultat ultime sera tellement plus grand que tout ce que nous pourrions "faire pour Dieu" - et l'impact sera amplifié d'autant plus quand nous, comme une communauté de croyants, permettons à Dieu de travailler par notre intermédiaire.

    Pour illustrer ce point, je cite deux puissants exemples. Les personnes qui ont évolué dans ces derniers, ne percevaient aucunement toute la valeur dramatique de leurs actions. Pourtant Christ les a utilisées pour contribuer à emmener l'Empire Romain face à face avec Jésus-Christ.

    Les Femmes

    Quand les premiers croyants suivirent l'exemple de Christ dans leur communautés, un humble commencement a rapidement pris beaucoup d'ampleur. Comme résultat direct de leur marche quotidienne dans l'obéissance, l'Église primitive est devenue très tôt attrayante pour les femmes.

    En fait, le taux de conversion des femmes du paganisme à la chrétienté est devenu un problème tellement grand que l'Empereur Julien envoya un décret au Pape Damase 1 interdisant aux missionnaires chrétiens de frapper aux portes des femmes païennes.

    Pour pouvoir apprécier comment la simple marche quotidienne de l'humble chrétien était utilisée par Christ pour générer une dynamique qui allait changer le cours de l'histoire, nous devons mettre en lumière le contraste entre la communauté chrétienne et celle des païens.

    Le génocide féminin

    Les nouveaux convertis qui se sont mis à suivre Jésus auraient cessé de pratiquer l'avortement et l'infanticide. À cause du besoin d'une grande population d'hommes pour la guerre et la production alimentaire, l'infanticide féminin était une pratique courante au temps de la nouvelle Église. Ça devait faire partie du quotidien dans la plupart des familles.

    À la suite d'une étude de l'inscription de Delphi, les historiens ont pu reconstruire l'histoire d'environ 600 familles. Seulement six familles on élevé plus d'une fille. Ce geste porterait aujourd'hui le terme de génocide dirigé vers le genre féminin. L'avortement était aussi pratiqué couramment dans la société Gréco-Romaine. Quand les chrétiens obéissaient à Dieu, ça devenait visiblement évident aux yeux de la communauté païenne - on voyait la différence.

    Ce simple acte d'obéissance a rendu le mode de vie chrétien beaucoup plus attrayant pour les femmes Gréco-Romaines, et en peu de temps la population dominante de l'Église chrétienne était féminine, et celle de la religion païenne - masculine.

    Christ en a fait des "pêcheurs d'hommes"

    Ces femmes marchaient avec Christ: leur vie commençait à refléter le caractère de leur Seigneur. Cette transformation leur donnait un cachet désirable que les hommes ne pouvaient pas trouver ailleurs. Ce n'est pas qu'il n'existait pas de femmes païennes qui étaient vertueuses, c'est seulement qu'il y avait tellement de femmes vertueuses qui étaient chrétiennes que tout homme qui cherchait une femme vertueuse était naturellement attiré vers la communauté chrétienne.

    Les déclarations de Paul en 1 Corinthiens 7 avaient comme but principal de guider un phénomène qui se manifestait de plus en plus souvent. Des hommes païens se rendaient à l'Église pour trouver des épouses; et ce, de plus en plus souvent.

    La qualité de vie

    Avec le temps, les femmes chrétiennes en sont venues à profiter d'une qualité de vie nettement meilleure que celle des femmes païennes de la société Gréco-Romaine. C'est donc là où la communauté chrétienne, marchant ensemble en réponse à Christ, a fait une différence immense.

    1. La communauté chrétienne a rejeté le double standard qui imprégnait toute la société qui s'attendait à ce que les femmes soient chastes mais qui donnait tous les droits sexuels aux hommes. Ceci changea le mode de vie pour toute la communauté et de tous ceux qui s'y frottaient. Des répercussions se firent sentir dans les autres générations. Le phénomène a amplifié exponentiellement l'impact de la simple obéissance originelle.

    2. Les chrétiens reflétaient aussi l'amour de Dieu pour les veuves. Les femmes païennes étaient souvent forcées de se remarier contre leur gré. Elles devenaient la propriété de leurs nouveaux maris et perdaient tout héritage et tout contrôle personnel de leur biens. Elles pouvaient être abandonnées et laissées sans aucun bien. Ce n'était pas le cas avec les chrétiens. La communauté chrétienne aidait à subvenir aux besoins des veuves chrétiennes dans le besoin.

    3. Les femmes chrétiennes pouvaient se marier à âge plus avancé. Ça ne peut pas sembler important mais dans le monde Gréco-Romain, les filles étaient souvent introduites de force dans des mariages pré-pubères. Quelques historiens estiment que presque 50 pour-cent des femmes avaient consommé le mariage avant l'âge de 14 ans. Les femmes chrétiennes avaient la vie beaucoup plus facile dû à la marche intentionnelle de la communauté chrétienne avec Jésus.

    4. Des rôles de leadership étaient disponibles pour les femmes chrétiennes - elles étaient ordonnées diacres tout comme les hommes. Origène et d'autres commentaient au sujet des femmes qui faisaient légitimement parti du diaconat. Le terme diaconesse est une forme moderne et ne reflète pas le terme original, où un diacre est un diacre qu'il soit homme ou femme.

    Les plaies

    Deux plaies graves ont balayé l'Empire Romain. La première a ravagé le continent vers l'an 180 après J-C et l'autre à peu près 100 ans plus tard. Pendant les 15 ans qu'elle a durée, la première plaie emporta du quart à un tiers de la population de l'empire. Elle a même pris la vie de l'Empereur Marc-Aurèle. (Sa mort fut illustrée au début du film Le Gladiateur).

    Les chrétiens étaient affectés par les plaies tout comme leurs voisins païens. Mais, à la différence des païens, la plupart des chrétiens suivaient Jésus dans leur façon de vivre - et dans certains cas dans la façon dont ils mouraient. Jésus utilisait le fait que son peuple Le suivait pour ébranler l'empire.

    Imaginez-vous aux prises avec une plaie. L'odeur de la mort vous entoure. Des caravanes se fraient un chemin dans les rues et hors de la ville portant des corps corrompus par la maladie à un dépotoir communautaire où ils sont soit enterrés ou brûlés. Les gens autour de vous tombent comme des mouches. Qui sera le prochain à mourir? Au milieu de telles circonstances, on se pose des questions profondes au sujet de la vie, de la mort et de Dieu.

    Les païens n'avaient personne vers qui se tourner. Leurs prêtres n'avaient pas de réponses. Leurs dieux n'étaient d'aucune aide. Les dieux païens n'existaient que pour être apaisés pour qu'ils ne fassent pas de tort. Mais les dieux païens n'offraient pas une relation d'amour avec le monde païen. Seulement Jésus le faisait. Les dieux païens n'offraient pas la vie éternelle - à part de la vie sombre des abîmes.

    Donc il y avait de l'espérance et de la paix parmi les chrétiens qui étaient nourris par le Saint-Esprit. Il y avait une attitude d'amour altruiste même en présence de la grande épreuve à laquelle ils faisaient face.

    Vers 260 après J-C, Dionysius écrivit: "La plupart de nos frères chrétiens démontraient un amour et une loyauté sans bornes; ne se ménageant jamais et pensant seulement aux autres. Sans égard au danger, ils prenaient charge des malades, voyant à tous leurs besoins et les encourageant dans le Christ, et avec eux quittaient cette vie heureux et sereins; étant eux aussi infectés de la maladie par les autres, et acceptant leur sort sainement... Les meilleurs de nos frères perdirent leur vie de cette façon, un nombre de presbytes, de diacres et de laïcs dignes de grandes éloges pour que cette sorte de mort, le résultat de grande piété et de grande foi, semble à tous les égards égale au sort des martyres."

    Un grand nombre de païens, incluant des dirigeants, des prêtres et médecins, n'ayant aucun espoir pour leur âme ni rien à quoi s'attacher, s'enfuirent pour échapper à la plaie. Ils laissaient derrière eux leurs malades, seuls, sans soins et sans toutes les nécessités de base pour la vie. Les chrétiens en général, avaient tendance à persister à s'occuper des leurs. Dans plusieurs cas l'amour de Dieu en eux s'étendait suffisamment pour qu'ils entrent dans les maisons désertées des païens et qu'ils prennent soin de ces malades aussi.

    Ce geste individuel, le fruit d'une réflexion sur ce que Jésus ferait dans cette même situation, a eu un profond impact. Voici des quelle manière ils ont fait une différence. L'exemple chrétien était en contraste saisissant au mode de vie païen, à un point tel qu'un grand nombre de ceux qui survécurent à la plaie se sentaient poussés à voir les chrétiens autour d'eux avec une attitude remplie de reconnaissance. Leur système de croyances les avaient trahis, mais leurs voisins chrétiens semblaient connaître une meilleur voie. Plusieurs ont été amenés à Christ.

    La religion pure --- sans taches

    Les épidémiologistes estiment que les soins de santé de base, comme le fait de fournir de l'eau et de la chaleur, peut avoir comme résultat un taux de survie de plus de 30 pourcent. Par conséquent il y avait beaucoup plus de survivants chrétiens que de survivants païens. Seulement ce fait était suffisant pour changer de façon marquée le rapport du nombre des païens à celui des chrétiens. Aussi, les païens qui avaient été soignés par les chrétiens jouissaient eux aussi d'un taux de survie plus élevé. Ces païens, par conséquent, avaient tendance à avoir des relations d'amour avec les chrétiens au lieu de la méfiance de jadis. Le taux de conversions a monté en flèche.

    En fait, ce changement de statu quo avait un impact tellement important que nous retrouvons l'Empereur Julien qui écrit à son grand-prêtre de Galatie, se plaignant qu'ils devraient égaler les vertus des chrétiens.

    Dans une lettre à un autre prêtre, Julien écrit: "Je pense que quand les pauvres ont été négligés par les prêtres, les Galiléens impies le virent et se sont mis au bénévolat." Et il a aussi écrit, "Les Galiléens impies ne prennent pas que leurs pauvres en charge mais aussi les nôtres, tout le monde peut voir que les nôtres manquent d'aide de notre part." Pauvre Julien! Comme plusieurs aujourd'hui, il ne pouvait voir les choses qu'en termes de marketing. Il n'avait aucune idée que lui et son système étaient confrontés à Jésus lui-même par l'entremise des vies collectives de ceux qui avaient entendu l'appel de "Suivez-moi, et je ferai de vous des pêcheurs d'hommes (Matt 4:19)".

    Voici les leçons-clefs que j'ai retenues au cours de ma recherche et de la rédaction de cette trilogie:

    1. Je reconnais que Jésus veut de moi et non seulement de mes efforts pour lui. Son appel va être mon ________ (Il va remplir l'espace, et le résultat va glorifier le Père).

    2. Mon efficacité se résume dans la soumission intentionnelle de ma vie quotidienne ordinaire à la Sienne - chaque jour est un pas de plus dans notre périple continuel avec Christ.

    3. Le fait d'être une personne ordinaire vivant une vie ordinaire en Christ Lui permet de se servir de moi de telle façon que son royaume en bénéficie, d'une manière dont je ne pourrais même pas l'imaginer, encore moins l'orchestrer.
    Arlitto
    Arlitto
    Admin
    Admin


    Sexe : Masculin Messages : 11539
    Date d'inscription : 03/10/2020

    Église Universelle de Dieu Empty Re: Église Universelle de Dieu

    Message  Arlitto Sam 21 Nov 2020 - 13:22

    PSAUMES : LORSQUE VOUZ PARLEZ À DIEU

    Par Jim Herst et Tim Finlay (Version " Du Semeur ")


    Le scribe Hébreu

    À l'époque, le scribe Hébreu écrivait sur du papyrus. Pour leur protection, les rouleaux de papyrus étaient souvent rangés dans des vases d'argile (Jérémie 32 : 14) et étaient fréquemment scellés (Apocalypse 5 : 1). Dans II Jean 12, le mot papyrus est traduit par papier.

    " Dans II Chroniques 7 : 6, David est reconnu pour avoir fabriqué les instruments de musique utilisés dans le temple. Dans la période suivant l'exode, les chanteurs lévites sont reconnus en tant que les descendants d'Asaph, le " maître-chant " nommé par David (Esdras 2 : 41 ; Néhémie 7 : 44 ; 11 : 22-23). Ces passages sont une indication claire que la musique liturgique ainsi que son organisation s'est ramifiée à l'époque de David " (Baker Encyclopedia of the Bible, vol. 2, p. 1504).

    Le livre des Psaumes peut être l'outil le plus efficace dans l'édification de votre relation avec Dieu. Si vous estimez que votre vie de prière est en déclin, lisez les Psaumes. Ils sont les épanchements émotionnels de gens qui se sont trouvés dans une multitude de situations différentes.

    Ils sont " un trésor d'expériences accumulées par des générations d'individus ayant vécu dans cette région qui a été le berceau de notre civilisation " (Erhard S. Gerstenberger, Psalms : Part 1, The Formes of the Old Testament Literature, vol. 14, p. 36). La lecture de leurs prières à Dieu peut nous aider à régénérer notre propre vie de prières.

    Un psaume pour toute occasion

    Certains psaumes sont destinés aux moments d'exaltation, lorsque vous voulez louer ou remercier votre Créateur. D'autres sont utiles en ces temps de dépression lorsque vous traversez une épreuve difficile. D'autres encore sont des confessions de péché et des demandes de pardon. Ceux-ci sont assurément une forme de prière dont nous avons tous besoin ! Tout comme l'apôtre Jean a dit : " Si nous avouons nos péchés, il (Jésus-Christ) est fidèle et juste et, par conséquent, il nous pardonnera nos péchés et nous purifiera de tout le mal que nous avons commis " (I Jean 1 : 9).

    Plusieurs personnes s'étonnent de la franchise sans compromis des psalmistes lorsqu'ils parlent à Dieu. Les psalmistes n'hésitent pas à le confronter avec leurs problèmes quotidiens, à verbaliser leurs frustrations, leurs colères, leurs ressentiments ou leurs désespoirs. Et c'est ainsi que Dieu désire que nous soyons lorsque nous nous adressons à Lui, que nous soyons ouverts et honnêtes, plutôt que de jouer un rôle. " À cause de l'honnêteté exprimée par les psalmistes, les hommes et les femmes à travers l'histoire sont revenus à maintes reprises au livre des Psaumes afin d'y trouver du réconfort pendant les moments de lutte et de détresse. Et avec les psalmistes, ils ont été élevés des profondeurs du désespoir jusqu'à de nouvelles hauteurs de joie et de louange, et ils découvraient de plus le pouvoir de l'amour et du pardon éternels de Dieu " (" Life application Bible - NIV, Introduction to Psalms).

    Plusieurs des psaumes ont été écrits pour exprimer les pensées et les sentiments de la communauté, de la congrégation des croyants.

    Alors que nous examinerons en détail les différents types de psaumes - individuels ou collectifs, instructifs ou émotionnels, nous verrons qu'il y a en effet un psaume pour chaque occasion.

    Les hymnes de louange

    Le but principal de plusieurs psaumes est de louer Dieu, tout simplement. Le Psaume 145 en est un bon exemple. David commence ainsi : " Je t'exalterai, ô mon Dieu, mon Roi, et je te louerai jusque dans l'éternité (versets 1-2).

    David indique ensuite comment tous glorifieront Dieu : " Que chaque génération dise à celle qui la suit combien tes œuvres sont belles. Qu'elle publie tes exploits, l'éclat et la gloire de ta majesté. Pour moi, je méditerai le récit de tes merveilles. Qu'elle parle de ta force redoutable, et moi, je proclamerai tes exploits (versets 4-6). David conclut en appelant toute personne à louer le nom de Dieu. " Je proclamerai ta louange, ô Éternel ! Toute créature te louera, toi le Dieu saint jusque dans l'éternité " (verset 21).

    Plusieurs hymnes de louange soulignent l'admiration et l'émerveillement devant la création divine. Dans le psaume 8, David commence et termine avec les mêmes mots de louange : " Éternel, notre Seigneur, que ta gloire est admirable sur la terre tout entière ! " (versets 2, 10).

    Débuter puis terminer une pensée avec les mêmes suites de mots est reconnu comme étant une structure " enveloppe ", ce qui est courant dans le livre des Psaumes. Cette structure souligne le point principal, c'est-à-dire que le nom de Dieu doit être loué par toute la terre.

    Alors même que David loue Dieu pour la création, il s'émerveille de l'intérêt de Dieu pour les humains. " Quand je contemple le ciel que tes doigts ont façonné, les étoiles et la lune que tes mains ont disposées, je me dis : Qu'est-ce que l'homme pour que tu en prennes soin, et qu'est-ce qu'un être humain, pour qu'à lui tu t'intéresses ? " (versets 4-5).

    Dans la création divine, seuls les humains ont été faits à l'image de Dieu. Dieu, le Créateur transcendant de l'univers, veut que nous ayons une relation éternelle avec lui. Il nous donne d'abord une importante responsabilité sur cette terre : " Pourtant, tu l'as fait de peu inférieur à Dieu, tu l'as couronné d'honneur et de gloire. Tu lui donnes de régner sur les œuvres de tes mains. À ses pieds, tu as placé le bétail, gros ou petit, et les animaux sauvages, tous les oiseaux dans les airs et les poissons de la mer, tous les êtres qui parcourent les sentiers des océans. " (versets 6-9).

    En Genèse, Dieu a placé les premiers homme et femme dans le jardin et leur a dit de le cultiver et de le garder (Genèse 2 : 15). David réitère ce que Dieu avait prescrit, que les humains sont à la tête de la création. En tant que tel, il est de notre devoir de prendre soin de notre environnement.

    Dans un autre hymne de louanges, David proclame : " Oui, célébrez la gloire de nom de l'Éternel, et prosternez-vous devant lui parés de sainteté ! " (Psaume 29 :2).

    À travers tout ce psaume, David loue la puissance de Dieu par une série de métaphores saisissantes : " La voix de l'Éternel domine, foudroie les cèdres, l'Éternel brise les cèdres du Liban. Il fait bondir tout le Liban comme des veaux et Sirion comme des buffles. La voix de l'Éternel fait jaillir des éclairs. La voix de l'Éternel fait trembler le désert. L'Éternel fait trembler le désert de Qadesh. " (versets 5-8).

    Certains hymnes de louange étaient chantés ensemble par la communauté. Le Psaume 33, qui est un appel pour tous à louer Dieu et qui décrit ses actes puissants, se conclut avec la communauté proclamant : " Oui, nous comptons sur l'Éternel, il est notre secours et notre bouclier. En lui nos cœurs trouvent leur joie, et notre confiance, nous la plaçons dans le Dieu saint. Accorde-nous ta grâce, ô Éternel, car nous comptons sur toi. " (versets 20-22).

    Les Psaumes 104 et 105 sont des hymnes complémentaires de louange, les deux se terminant par " Louez l'Éternel! " (Psaume 104 :35; 105 :45). Le psaume loue Dieu en tant que le Soutien de sa création : " C'est toi qui fais jaillir des sources dans les ravins. Et les torrents s'écoulent entre les montagnes. Là viennent s'abreuver les bêtes qui peuplent les champs et les bois, là viennent boire les onagres... C'est toi qui fais pousser le foin pour le bétail, et qui fait prospérer les plantes pour les hommes afin qu'ils tirent de la terre le pain pour se nourrir. Le vin réjouit le cœur de l'homme et fait resplendir son visage, le rendant brillant plus que l'huile. Le pain restaure sa vigueur. " (versets 10-11; 14-15).

    Dieu est le Créateur et le Soutien de sa création. Il est Celui qui donne la vie et Celui qui donne la subsistance. Toutes les créatures de Dieu " comptent sur toi, tous ces êtres, pour recevoir leur nourriture, chacun au moment opportun. Tu la leur donnes : ils la prennent, ta main s'ouvre, et ils sont comblés. Tu te détournes, ils sont épouvantés. Tu leur ôtes le souffle, les voilà qui expirent, redevenant poussière. Si tu envoies ton souffle, ils sont créés, tu renouvelles l'aspect de la terre. " (versets 27-30). Nous voyons ici aussi l'activité de l'Esprit de Dieu dans la formation et le renouvellement de la création.

    Le psaume 105 loue Dieu pour sa loyauté : " Il n'oublie jamais qu'il a fait une alliance, qu'il a donné sa parole pour mille générations. Il a conclu un traité avec Abraham, et l'a confirmé par serment à Isaac. Il l'a confirmé à Jacob en en faisant une loi, et, pour Israël, une alliance pour toujours. " (versets 8-10).

    Le psaume rappelle à quel point Dieu a témoigné sa fidélité envers son peuple des siècles auparavant, en envoyant devant eux Joseph en Égypte afin de les sauver de la famine (versets 16-22). Il rappelle comment Dieu a dirigé ses serviteurs Moïse et Aaron dans l'accomplissement des signes et des prodiges devant les Égyptiens, et comment Dieu a délivré son peuple de l'esclavage (versets 26-41).

    Tous ces hymnes de louange sont des exemples pour nous : Une bonne partie de notre temps de prière devrait être utilisé pour louer Dieu. Jésus a débuté ainsi sa prière modèle : " Notre Père, toi qui es dans les cieux, que tu sois reconnu pour Dieu, ... " (Notre Père qui es aux cieux ! Que ton nom soit sanctifié... - v. Second). Nous aussi ferions bien de commencer nos prières par des louanges à Dieu. Nous devrions louer Dieu en tant que le Créateur, le Soutien, Celui qui donne la vie, ainsi que Celui qui demeure toujours fidèle à son peuple.

    Les chants d'action de grâces

    Alors que les hymnes de louange glorifient Dieu d'être ce qu'il est, les chants d'action de grâces mettent l'accent sur notre gratitude pour ce qu'il a fait pour nous. Dans le Psaume 30, David chante : " Je te loue, ô Éternel, car tu m'as tiré du gouffre. Tu n'as pas permis que mes ennemis rient à mes dépens. Éternel, mon Dieu, je t'ai appelé à mon aide, et tu m'as guéri. " (versets 2-3).

    David nous appelle à nous joindre à lui dans cette louange : " Chantez donc à l'Éternel, vous qui êtes ses fidèles ! Apportez-lui vos louanges ! Proclamez sa sainteté ! " (verset 5). Il remercie Dieu d'avoir transformé sa vie : " Tu as transformé mes pleurs en une danse de joie, et tu m'as ôté mes habits de deuil pour me revêtir d'un habit de fête, afin que, de tout mon cœur, et sans me lasser, je te chante. Éternel, mon Dieu, je te louerai à jamais. " (versets 12-13).

    Le psaume 66 est un autre chant d'action de grâces typique. Il commence par une exultation de joie : " Poussez vers Dieu des cris de joie, vous tous, habitants de la terre ! Rendez-lui gloire pour ce qu'il est ! Honorez-le par vos louanges ! Parlez ainsi à Dieu : " Que tes actions sont imposantes ! " Devant ta puissance infinie, tes ennemis s'inclinent. Prosternée devant toi, la terre entière entonne un chant en ton honneur pour célébrer ta gloire. Pause (selah) " (versets 1-4).

    L'expression pause - selah à la fin d'une strophe est un terme musical s'appliquant à une section de versets. Ce psaume-ci est divisé en quatre strophes : versets 1-4 ; 5-7 ; 8-15 et 16-20.

    Dans la deuxième strophe, le psalmiste se souvient de la miséricorde de Dieu pour son peuple quand il a partagé les eaux de la Mer Rouge, permettant à Israël d'échapper aux Égyptiens (versets 5-7). Dans la troisième strophe, le compositeur remercie Dieu car " C'est grâce à lui que nous vivons ; il nous a gardés de la chute. " (verset 9), et il décrit la manière dont Dieu les a mis à l'épreuve et raffinés par les épreuves (versets 10-12).

    Ce dernier point est particulièrement important. Au milieu de nos épreuves, nous implorons souvent la délivrance divine. Et ainsi nous le devons. Cependant, nous devons également nous rappeler qu'à travers nos épreuves, nous développons la patience divine.

    L'apôtre Jacques a écrit : " Mes frères, quand vous passez par toutes sortes d'épreuves, considérez-vous comme heureux. Car vous le savez : la mise à l'épreuve de votre foi produit l'endurance. " (Jacques 1 :2-3).

    Dans la dernière strophe du psaume 66, l'auteur remercie Dieu à cause de ce qu'il a fait pour lui personnellement, et reconnaît que Dieu a répondu à ses prières (versets 16-20). Quand frappe l'épreuve, qu'il est donc facile d'oublier les bénédictions que Dieu nous a accordées. Alors, quand nous prions, tâchons de nous rappeler de tout ce que Dieu a fait pour nous, et remercions-le pour cela.

    La louange et l'action de grâces vont main dans la main. Le psaume 103 commence et termine par cette inclusion : " Que tout mon être loue l'Éternel ! " (versets 1, 22). Mais la majorité de ce psaume est dédiée à la reconnaissance des bénédictions de Dieu : " Que tout mon être loue l'Éternel, sans oublier aucun de ses bienfaits. Car c'est lui qui pardonne tous tes péchés, c'est lui qui te guérit de toute maladie, qui t'arrache à la tombe. C'est lui qui te couronne de tendresse et d'amour, et qui te comble de bonheur tout au long de ton existence ; et ta jeunesse, comme l'aigle, prend un nouvel essor. " (versets 2-5).

    Cette liste mentionne deux bénédictions qui sont d'une importance capitale : Dieu pardonne les péchés et guérit les maladies. Jésus a exercé son autorité divine de pardonner les péchés et de guérir les maladies (Matthieu 9 : 2-8).

    La nature miséricordieuse de Dieu est un de ses attributs pour lequel nous devrions être les plus reconnaissants : " Il ne nous traite pas selon le mal que nous avons commis, il ne nous punit pas comme le méritent nos fautes. Autant le ciel est élevé au-dessus de la terre, autant l'amour de Dieu dépasse tous ceux qui le révèrent. Autant l'Orient est loin de l'Occident, autant il éloigne de nous nos mauvaises actions. " (Psaume 103 :10-12).

    David termine ce psaume par une triple invocation à bénir Dieu : " Louez donc l'Éternel, vous tous ses anges vaillants et forts qui faites ce qu'il dit dès qu'il vous le demande ! Oui, louez l'Éternel, vous toutes ses armées célestes, vous qui, à son service, exécutez sa volonté. Oui, louez l'Éternel, toutes ses créatures, partout où il gouverne ! " (versets 20-22), suivi par l'inclusion : " Que tout mon être loue l'Éternel ! "

    Un psaume en particulier souligne l'action de grâces rendue à Dieu pour sa miséricorde - le psaume 136.

    Il commence ainsi : " Célébrez l'Éternel car il est bon, car son amour dure à toujours. Oui, célébrez le Dieu des dieux, car son amour dure à toujours. Célébrez tous le Seigneur des seigneurs, car son amour dure à toujours. " (versets 1-3). Les 26 versets de ce psaume se terminent par ce même refrain : " car son amour dure à toujours. " Le mot hébraïque traduit par " amour " n'est pas ahbhah, qui est le mot habituel, mais par chesed, qui veut dire " amour inébranlable " ou " fidélité née du sens de sollicitude et d'engagement. "

    Le psaume 136 s'émerveille des miracles de Dieu (versets 4-9) et montre la façon dont Dieu a démontré son chesed par ses bénédictions sur Israël (10-22). Ce psaume était un chant collectif. Ceux qui le chantaient remerciaient Dieu, " Dans notre humiliation, il se souvient de nous, car son amour dure à toujours, Il nous a délivrés de tous nos ennemis, car son amour dure à toujours.

    Le psaume se termine par un autre point dont nous devons tenir compte lorsque nous prions : " Louez le Dieu des cieux, car son amour dure à toujours. " (verset 26). À nouveau, ceci est lié aux hymnes de louange - nous pouvons remercier Dieu d'être Celui qui est toujours fidèle et aimant.

    Les suscriptions (en-tête) des psaumes

    Plusieurs psaumes contiennent une suscription fournissant de l'information sur le psaume (dans la version du Semeur, elle est en italique). Dans la Bible hébraïque, la suscription est souvent calculée comme étant le premier verset du psaume lui-même. (C'est pourquoi les traductions françaises ou autres vont souvent différer, de la Bible hébraïque, d'un verset dans les citations.)

    Dans plusieurs psaumes, les suscriptions désignent souvent des personnes, comme David, ou un certain groupe d'individus, comme les Fils de Qoré. Trente psaumes relatent le contexte historique de la vie de David à l'époque où a été écrit le psaume : Psaume 3, 7, 18, 34, 51, 52, 54, 56, 57, 59, 60, 63, 142. Cette information améliore notre appréciation du psaume.

    Les suscriptions transmettent souvent de l'information au sujet de l'exécution musicale du psaume. Parfois, ils nomment l'air d'accompagnement : " Meurs pour le Fils - v. Second" (psaume 9), " Le lis du témoignage " (psaume 60) et " Ne détruis pas ! " (psaumes 57, 58, 59, 75). Malheureusement, de nos jours, nous ne connaissons aucune de ces mélodies.

    D'autres suscriptions nous renseignent sur les types d'instruments qui accompagnaient le psaume : des instruments à corde (psaumes 4, 61, 76), des flûtes (psaume 5), des harpes à huit cordes (hébreu : sheminith) (psaumes 6, 12) et la harpe de Gath (hébreu : gittith) (psaumes 8, 81, 84). Nous n'avons qu'une petite idée de l'aspect ou du son de certains de ces instruments.

    Le genre du psaume est souvent inclus dans la suscription. Les deux catégories les plus communes sont " psaume " (hébreu : mizmor) et " chant " (shir). Les autres catégories sont : " complainte " (hébreu : shiggaion (psaume 7), " cantique " (hébreu : miktam) (psaumes 16, 56-60) et " méditation " (hébreu : maskil) (psaumes 32, 74, 142). Certaines versions laissent ces termes non traduits.

    De nouveau, la signification de plusieurs de ces expressions est incertaine. Ce manque de connaissance est une autre indication du fossé existant entre notre culture et celle des anciens Hébreux. Mais, même si toutes les suscriptions ne conduisaient qu'à nous faire réaliser qu'il y a toujours davantage à apprendre de la Bible, elles nous auraient tout de même rendu un immense service.
    Arlitto
    Arlitto
    Admin
    Admin


    Sexe : Masculin Messages : 11539
    Date d'inscription : 03/10/2020

    Église Universelle de Dieu Empty Re: Église Universelle de Dieu

    Message  Arlitto Sam 21 Nov 2020 - 13:22

    DEVENIR CHRÉTIEN :
    LA RECETTE !

    Si vous voulez devenir un chrétien, le premier et le plus important des pas a déjà été fait. Dieu vous a choisi. Il vous aime. Il veut vivre avec vous et il s'assurera que vous pouvez vivre avec lui. Cet article vous dira comment.

    Les gens veulent généralement que Dieu les laisse libres. Mais parfois Dieu oeuvre dans leurs vies pour leur faire prendre conscience de leur faim de quelque chose de plus - quelque chose de surnaturel, quelque chose pour remplir le vide à l'intérieur d'eux. Il les invite donc à se rapprocher.

    Si vous voulez devenir un chrétien, alors vous avez l'assurance que Dieu est déjà à l'œuvre dans votre vie. C'est que personne ne veut être un chrétien à moins que Dieu n'invite cette personne. Jésus a dit, "C'est pourquoi je vous ai dit que nul ne peut venir à moi, si cela ne lui a été donné par le Père." (Jean 6:65).

    Il a aussi dit, "Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi." (Jean 14:6). Nous venons à Dieu en venant à Jésus Christ - pour devenir un chrétien.

    Par où commençons-nous?

    Le point de départ est le même pour tous: nous sommes loin de Dieu. Nous ne lui prêtons pas attention, ne le respectons pas, ne le remercions pas, ne lui obéissons pas. "Tous ont péché," a écrit Paul, " et sont privés de la gloire de Dieu" (Romains 1:21; 3:23).

    Le résultat est simple: sans Dieu, nous mourons. Tous meurent et à moins que quelque événement surnaturel ne survienne, nous resterons morts. Notre mort physique illustre même un événement plus important: vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés" (Éphésiens 2:1). Nous sommes éloignés de Dieu, en n'ayant pas la vie que nous pourrions avoir avec lui.

    Le christianisme apporte la bonne nouvelle que quelque chose de surnaturel peut arriver - en Christ, nous pouvons être avec Dieu et nous pouvons vivre éternellement. La bonne nouvelle est que Dieu vous invite à être avec lui dans une joie éternelle.

    Mais il est utile de se rappeler notre point de départ: le péché et la mort. "Le salaire du péché c'est la mort." (Romains 6:23).

    Alors, de quoi avons-nous besoin d'être sauvés? Le christianisme est un acte de salut. Nous sommes sauvés de quelque chose. Dieu nous invite à échapper au péché et à mourir par Jésus Christ. Voyons comment Il le fait.

    L'œuvre de Christ

    Les gens sont incapables de se sauver par eux-mêmes. Mais Dieu nous aime tellement qu'il l'a fait pour nous. "Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous." (Romains 5:8). Dieu nous aime. Il veut que nous lui soyons rendus pour vivre avec lui pour toujours; il a aussi envoyé son Fils pour mourir à notre place.

    Jésus n'a pas mérité de mourir. Il n'a jamais rien fait de mal. Mais il a volontairement accepté sa crucifixion, parce que sa vie était une rançon pour la nôtre, un sacrifice offert pour que nous puissions vivre (Matthieu 20:28; 2 Corinthiens 5:14-15).

    Et la résurrection de Jésus est la preuve que nous aussi, nous vivrons éternellement. Bien que nos corps physiques meurent et se décomposent, Dieu s'assurera que nous vivrons de nouveau (Romains 6:4-5). Même maintenant, en Christ, nous avons une nouvelle vie (1 Jean 5:13).

    Cette opération de salut se continue. C'est ce que le salut signifie - cela signifie que quelque chose survient maintenant, quelque chose qui affecte votre vie dès maintenant jusqu'à l'éternité. Tout cela parce que Christ l'a fait. Il l'a fait; notre part c'est de l'accepter.

    Acceptation de l'invitation

    Le salut - la vie éternelle - est un don de Dieu. Il nous le rend disponible par Jésus Christ. Notre part, c'est d'accepter ce cadeau. Dieu ne l'impose pas à ceux et celles qui ne le veulent pas. Alors donc, comment l'acceptons-nous?

    Par la foi.

    La foi est, en termes simples, de croire et de faire confiance. Nous croyons que nous avons besoin d'être sauvés et nous croyons que Jésus Christ l'a fait pour nous. Nous lui faisons confiance pour nos vies et notre avenir.

    Nous acceptons le fait que nous ayons péché, que nous sommes devenus ennemis de Dieu. Nous sommes incapables de changer nos cœurs coupables, mais par la foi en Christ, nous sommes changés par Dieu lui-même d'ennemis à amis, d'étrangers à membres de sa famille.

    Le salut que Dieu nous offre est un cadeau plein de miséricorde. La miséricorde, par définition, est quelque chose que nous n'avons pas gagné et que nous ne méritons pas. La Bible appelle cela la grâce: "...car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie." (Éphésiens 2:8-9).

    Nous ne pouvons jamais nous mériter le salut par nos oeuvres, en faisant de bons coups. Si nous pouvions le gagner, nous aurions raison d'être fiers de notre accomplissement. Mais Paul dit que personne n'a de raison de se vanter, parce que c'est la grâce de Dieu qui nous donne le salut, elle n'est pas obtenue par l'effort humain.

    Nous acceptons aussi que Jésus Christ nous ait réclamés à Lui, par sa mort sur la croix. "... Je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi." (Galates 2:20). Quand nous acceptons ce que Jésus a fait pour nous, sa revendication sur nous prend toute sa signification. Nos péchés sont recouverts; ils sont pardonnés. Notre aliénation est chose du passé. Le gouffre entre Dieu et nous est anéanti.

    Avoir confiance en Jésus

    La foi signifie aussi avoir confiance. Nous avons confiance en Jésus pour qu'il prenne soin de nous. Nous avons confiance en lui pour nous enseigner et nous acceptons ses enseignements. Puisqu'il est mort pour nous, nous voulons vivre pour lui (2 Corinthiens 5:14-15).

    Nous désirons faire ce qu'il dit, lui obéir. C'est ce que signifie le repentir. Nous voulons cesser de faire le mal et faire ce qui est juste en étant reconnaissant pour ce que Christ a fait pour nous. Nous nous soumettons à Christ et lui obéissons. Nous l'acceptons comme notre Souverain et Maître de nos vies.

    Il est celui qui nous a créés, qui nous a sauvés, qui nous aime, qui veut que nous vivions pour toujours dans le bonheur. Il a l'amour et la sagesse de nous donner les instructions qui sont pour notre bien. Nous avons confiance en lui pour qu'il nous donne de bonnes instructions et nous lui obéissons.

    En fait, nous l'aimons et avons confiance en lui aussi longtemps que nous l'invitons à vivre en nous. Jésus a dit, "Si quelqu'un m'aime, il gardera ma parole, et mon Père l'aimera; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui." (Jean 14:23).

    Quand nous avons confiance en Christ, nous lui demandons de vivre en nous, de nous enseigner et de nous guider. Nous désirons, pour lui, changer nos cœurs, identifier nos problèmes et adopter de meilleures façons de vivre.

    Comment est-ce que Jésus Christ et le Père vivent chez les chrétiens? Par l'Esprit saint - et Dieu promet de nous donner son Esprit chaque fois que nous lui demandons. "... À combien plus forte raison le Père céleste donnera-t-il le Saint-Esprit à ceux qui le lui demandent. " (Luc 11:13). Et cela change notre destinée!

    "Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d'entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous. " (Romains 8:11). Si l'Esprit de Dieu est en vous, alors vous vivrez pour toujours!

    Si vous demandez à Dieu son Esprit pour qu'il demeure en vous, si vous demandez au Père et au Fils de faire leur demeure en vous, nous pouvons vous garantir qu'il le fera - et vous appartiendrez alors à Christ. Vous vous êtes donnés à lui, de la même façon que lui-même s'est donné pour vous sur la croix. Vous êtes un chrétien!

    La prière

    Pour s'assurer que vous l'avez fait, c'est utile de le verbaliser. Parlez à Dieu - dites-lui votre histoire. Dites-lui que vous admettez votre péché, votre besoin d'être pardonné, et d'avoir sa miséricorde pour être lavé de votre culpabilité. Acceptez le cadeau de Jésus Christ, qui par sa mort a payé la rançon pour vos péchés. Repentez-vous de vouloir faire les choses à votre manière; soyez résolu à faire ce qu'il veut et demandez-lui de vivre en vous. Acceptez le don de son Fils - acceptez le don se son pardon - acceptez le don de l'Esprit saint - et acceptez le don de la vie éternelle! Et soyez assuré que cela s'est réalisé.

    Et ensuite?

    Devenir un chrétien ne fait pas que tous vos problèmes s'évanouissent. Vous devrez toujours lutter contre le péché, mais vous allez pouvoir le faire avec l'assurance que Christ continue à vous aimer et à vous pardonner par votre foi en lui. "Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ " (Romains 8:1).

    Le Nouveau Testament nous montre aussi que ceux qui croient en Christ doivent être baptisés comme symbole de leur foi, la mort de leurs vieux péchés et leur nouvelle vie (Romains 6:3-4). Parlez-moi d'une manière agréable d'exprimer sa foi !!!

    Le Nouveau Testament montre aussi que les croyants se rencontrent ensemble fréquemment pour apprendre l'un de l'autre et pour s'encourager. Trouvez un groupe de chrétiens qui vous accueilleront et vous fortifieront dans la foi.
    Arlitto
    Arlitto
    Admin
    Admin


    Sexe : Masculin Messages : 11539
    Date d'inscription : 03/10/2020

    Église Universelle de Dieu Empty Re: Église Universelle de Dieu

    Message  Arlitto Sam 21 Nov 2020 - 13:24

    Document de réflexion

    par Joseph Tkach pasteur général

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


    Chers membres et pasteurs.


    Pour répondre à de nombreuses questions de nos membres, pasteurs et surintendants de districts, l'église a publié en 1997 un document de réflexion sur le sujet du rôle des femmes dans la direction de l'église. Le document se terminait ainsi " Nous avons encore beaucoup à apprendre à ce sujet, à la fois des Écritures et de notre expérience. Il demeure donc ouvert à l'étude." Il est temps maintenant de résumer cette étude d'une façon plus précise.
     

    Le comité de révision doctrinale amorcera bientôt l'examen de ce sujet, se concentrant sur la question de l'ordination des femmes comme anciens et sur la question apparentée des femmes qui servent comme pasteurs d'église. La première étape dans ce processus est de demander intervention des pasteurs d'églises, des surintendants de district, des directeurs régionaux et des membres de l'église en général.

    Gardez à l'esprit que toute intervention devrait constituer une recherche bien dirigée (accompagnée d'une bibliographie), fondée sur la Bible, présentée sans rancoeur, et refléter une claire compréhension des perspectives opposées. Les commentaires hautement émotionnels ou opiniâtres ne seront d'aucune valeur au processus de révision. Voici quelques exemples de questions qui doivent être étudiées : Comment les exemples bibliques de femmes dans des rôles de leadership sont-ils applicables ou non applicables dans l'église chrétienne d'aujourd hui ? Y a-t-il motif de croire que l'énoncé de Paul en 1 Timothée 2:12 soit basé sur une situation particulière à laquelle il fait face ou qu'il reflète plutôt une politique permanente ? Jusqu'où la situation dont parle 1 Timothée 2:12 s'étend-elle à l'éqlise chrétienne contemporaine ? Quand les femmes prophétisaient, comment leur autorité. différait-elle (si tel est le cas) de l'autorité des hommes qui prêchent ?

    Comme nous le savons tous, cette question est extrêmement délicate et même explosive dans toute la communauté chrétienne. Des confessions se sont scindées et des congrégations locales divisées. Il est important que nous cherchions la volonté de Dieu dans la prière à ce sujet et que nous n'entrions pas dans des discussions et des analyses avec des conclusions préconçues. Nous voulons rassurer tous nos membres que nous entamons cette discussion pour chercher la volonté de Dieu, et non la nôtre, et que nous valorisons leurs opinions, aussi bien que l'opinion des pasteurs et des autres responsables d'église.

    Nous passerons plusieurs mois en discussion à mesure que nous rassemblons l'information, les opinions, les études et les recherches sur cet important sujet.

    Le calendrier des activités qui suit n'est qu'un guide préliminaire :

    Demande générale des travaux de recherche : janvier à mai 2003.

    Examen du matériel pertinent dejà publié : janvier à mai 2003.

    Examen des travaux reçues : mai à septembre 2003.

    Ébauche des énoncés préliminaires et des documents pertinents : octobre 2003 à janvier 2004.

    Demande des opinions générales sur l'énoncé préliminaire : février et mars 2004.

    Nouvelle ébauche de l'énoncé préliminaire : avril et mai 2004.

    Examen de la nouvelle ébauche des pasteurs d'église : juin 2004.

    Deuxième nouvelle ébauche juillet 2004.

    Demande d'opinion générale sur la deuxième ébauche : août et septembre 2004.

    Préparation d'une tentative d'énoncé final : octobre et novembre 2004.

    Ratification de l'énoncé final avec les surintendants de district et les directeurs regionaux : décembre et janvier 2005.

    Publication de l'énoncé appuyée par des documents dans Worwide News : février 2005.

    Je vous remercie de votre aide et de vos prières. Que Dieu nous guide dans ce processus et qu'Il nous bénisse dans son aboutissement.

    Au service de Christ,

    Joseph Tkach

    Demande de revision

    Le comité de révision doctrinal de l'Église universelle de Dieu se penchera sur les travaux de recherche soumis par les ministres et les membres de l'église sur le sujet des femmes anciens et des femmes pasteurs. Si vous désirez y contribuer, nous vous prions de suivre les directives ci-dessous et de soumettre votre travail au plus tard le 25 mai. Les- travaux soumis après cette date ne feront pas partie de l'étude.

    Directives pour soumettre votre recherche

    Toute recherche doit être soumise électroniquement dans un format Word Microsoft. Utilisez la taille de police 12 et le type de caractère Times New Roman, et assurez-vous de présenter votre travail en doubles interlignes et de numéroter toutes les pages. Inscrivez votre nom, adresse, courriel et numéro de téléphone, de même que le nom de votre congrégation et celui de votre pasteur dans la portion en haut, à gauche de la première page. Si vous possédez une formation théologique, indiquez-le sous le nom de votre pasteur.

    Amorcez votre travail par un sommaire d'environ 250 mots, indiquant la question spécifique de votre recherche, suivi de vos principes fondamentaux et de vos conclusions.

    Concluez votre travail par une bibliographie complète des ouvrages cités.

    Exposez votre recherche et vos conclusions dans un langage posé et intelligent. Avant de conclure votre travail, assurez-vous d'interagir de façon constructive avec les points de vue qui sont en désaccord avec le vôtre, et exprimez ce que vous estimez être les points forts et les points faibles de votre perspective.

    Les travaux n'ont pas besoin de toucher à toutes les questions. Une recherche complète sur une question ou un passage de l'Écriture vaut mieux qu'un traitement superficiel de toutes les questions. Voici quelques idées pertinentes qui pourraient alimenter votre recherche :

    Le livre de la Genèse implique-t-il l'égalité ou la subordination de la femme, avant la chute ?

    Les histoires bibliques des femmes montrent-elles que Dieu exigeait qu'elles soient soumises ? 

    Jésus a-t-il traité les femmes comme des égales ? Pourquoi n'a-t-il choisi que des hommes comme apôtres ?

    Quel rôles les femmes ont-elles joués dans l'église apostolique ?

    Paul permettait-il aux femmes de prophétiser dans les réunions d'église ? Quelle autorité ces prophéties avaient-elles ? Comment sont-elles différentes de l'enseignement ?

    1 Corinthiens 14:33-36 énonce-t-il une règle universelle, ou n'était-ce applicable qu'à certaines situations ?

    1 Timothée 2:12-15 énonce-t-il une règle universelle, ou n'était-ce applicable qu'à certaines situations ?

    D'autres commentaires de Paul au sujet des hommes et des femmes (à part ceux en 1 Timothée 2:12-15 et en 1 Corinthiens 14:33-36) nous enseignent-ils autre chose ?)

    Comment les questions culturelles modernes influencent-elles ce sujet ?

    Seules les soumissions par les membres en bonne et due forme de l'Église universelle de Dieu seront prises en considération par le comité de révision.

    Les travaux doivent être envoyés en pièce jointe Word Microsoft à  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] 

    Assurez-vous d'indiquer sur votre message électronique les renseignements suivants : nom, adresse, courriel, nom de votre congrégation et non de votre pasteur. Cette information ne remplace aucunement celle indiquée en haut, à gauche de la première page de votre travail en pièce jointe.

    NOTE : Pour vous donner une vue d'ensemble, les soumissions seront affichées sur un site web dédié à ce sujet à  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


    Littérature sur les femmes dans le ministère

    De nombreux livres et articles ont été publiés sur le sujet des femmes dans le ministère. Le document de réflexion de 1997 mentionnait les ouvrages suivants dans un ordre alphabétique : 

    Clouse, Bonnidell, et Robert G. Clouse. Women in Ministry : Four Views. InterVarsity, 1989. Robert Cluver et Susan Foh argumentent contre l'ordination des femmes , Walter Liefeld soutient que l'ordination en elle-même est erronnée, et Alvera Mickelsen parle en faveur de l'ordination des femmes. 

    Grenz, Stanley J. et Denise Muir Kiesbo. Women in the Church : A Biblical Theology of Women in Ministry InterVarsity, 1995. Une présentation facile à lire sur le point de vue égalitaire.

    Keener, Craig S. Paul, Women and Wives : Marriage and Women's Ministry in the Letters of Paul. Hendrickson, 1995. Une perspective égalitaire avec des notes de bas de page exhaustives sur des situations historiques.

    Kostenberger, Andreas J., Thomas R Schreiner, et H. Scott Baldwin, éditeurs. Women in the Church : A Fresh Analysis of 1 Timothy 2:9-15. Baker, 1995. Plaidoyer contre l'ordination des femmes.

    Piper, John, et Wayne Grudem, éditeurs. Recovering Biblical Manhood and Womanhood : A Response to Evangelical Feminism. Crossway Books, 1991. L'argument le plus complet (plus de 500 pages) contre l'ordination des femmes.

    Plusieurs livres ont été publiés depuis 1997. Nous recommandons celui-ci en particulier :

    Beck, James R. et Craig L. Blomberg, éditeurs. Two Views on Women in Ministry (Zondervan 2001). Craig Keener et Linda Belleville écritent en faveur des femmes dans le ministère ; Thomas Schreiner et Ann Bowman argumentent contre. Beck (en faveur) et Blomberg (contre) commentent les essais. Un modèle de discussion pacifique.
    Arlitto
    Arlitto
    Admin
    Admin


    Sexe : Masculin Messages : 11539
    Date d'inscription : 03/10/2020

    Église Universelle de Dieu Empty Re: Église Universelle de Dieu

    Message  Arlitto Sam 21 Nov 2020 - 13:26

    La peur de la mort

    Par Gary Moore. Directeur national

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

    Nous détestons tous l'idée de notre propre mort. Il nous semble tout à fait injuste que, si nous mourions soudainement, la vie elle continuerait. Assurément que nos bien-aimés nous pleureraient et que nous leur manquerions, mais même pour eux la vie se poursuivrait. La grande majorité du monde ne remarquerait même pas que nous ne sommes plus là ! Ce n'est guère une pensée réconfortante ni agréable, n'est-ce pas ? La mort est notre ennemi le plus redoutable et celui qui porte un aiguillon puissant et mortel.

    Nous comprenons la bonne nouvelle que Jésus-Christ est l'incarnation de Dieu - Il est le vrai Dieu qui s'est revêtu de chair il y a deux mille ans. La plupart des chrétiens célèbrent cet événement. Nous réalisons qu'il est venu pour sauver toute l'humanité pour offrir la grâce d'un Dieu d'amour à ses créatures déchues. Il a accompli tout cela au cours de sa vie terrestre. Cependant, contrairement aux autres êtres humains, Il est ressuscité des morts avec un corps glorifié et immortel. Par sa résurrection, Jésus a conquis la mort et l'a rendue captive. Il en a brisé le lien empoisonné, et a pourvu un chemin pour chacun de nous afin de participer à sa victoire sur cet ennemi des plus effroyables.
      

    Cette croyance en la résurrection de Jésus-Christ caractérise la foi chrétienne. Une variété de leaders et d'enseignants religieux ont passé ; certains d'eux ont enseigné des vérités très valables et utiles qui pouvaient donner aux gens un fondement moral. Mais Jésus était beaucoup plus que cela. Il était bien sûr un excellent enseignant de la moralité - en fait, Il était le plus grand ! Mais Jésus-Christ surpasse même cela. Il est le Dieu réel incarné. Après avoir vécu et enseigné, il a ensuite été cruellement tué pour nous tous. Toutefois à cause de sa résurrection, il vit maintenant et agit au nom de l'humanité entière, accomplissant l'œuvre du salut de Dieu.

    Par la puissance transcendante de Dieu, la tombe où reposait le corps de Jésus s'est ouverte et Il en est sorti. La mort a rencontré son maître et son emprise glaciale a été détruite. La peur de la mort, qui nous menace tous, a été réduite à l'impuissance (Hé. 2:14-15). En Christ et par Christ, nous trouvons la délivrance de la mort pour recevoir la vie.

    L'espérance des chrétiens en une résurrection future est enracinée dans le fait que Jésus est réellement ressuscité d'entre les morts. Si Christ n'était pas ressuscité, aucun fondement ne soutiendrait notre espérance (1 Co. 15:3,4,17-19).

    Toutefois, il est certainement ressuscité, et sa résurrection a été un signe avant-coureur de notre propre résurrection à son retour (1 Co. 15:51-57). C'est par la foi en Jésus que nous passons de la mort à la vie. Comme enfants de Dieu. nous avons, cette vie en nous maintenant, même si nous attendons la plénitude de notre salut à venir au moment de la résurrection où nous recevrons un corps glorifié.

    La résurrection de Jésus est essentielle à notre salut. Elle fournit la preuve la plus puissante que Jésus était réellement Dieu fait chair. Sa résurrection illustre sa puissance sur l'ennemi le plus grand de tous : la mort. Jésus a triomphé de la puissance de la mort anticipant notre propre résurrection à la Vie à venir. La merveilleuse vérité est que, lorsque les femmes sont allées à l'aube, un dimanche matin, auprès de son tombeau, ce dernier était vide. L'ange leur a annoncé la nouvelle qui fait écho à travers les siècles : "Il n'est plus ici, car Il est ressuscité comme Il l'avait dit " (Mt 28:6). La vérité de la résurrection de Christ ancre notre foi, nous donne de l'espérance, et nous délivre de la plus grande de toutes les peurs ; la peur de la mort. Réjouissons-nous parce qu'Il est vraiment ressuscité !

      La date/heure actuelle est Ven 22 Nov 2024 - 6:37