La science évolutionniste en fraude
Je reprends sur ce sujet, "Les mensonges "scientifiques" sur l'évolution !", en annonce verrouillée.
Les Fossiles De Formes Intermediaires N'existent Pas
L'évolutionniste Dr. David Raup, conservateur du Musée Field d'histoire naturelle à Chicago dit : La théorie de la sélection naturelle de Darwin a toujours été étroitement liée aux preuves provenant de fossiles et la plupart des gens supposent probablement que les fossiles constituent une part très importante de l'argument général en faveur des interprétations darwinistes de l'histoire de la vie. Malheureusement, cela n'est pas strictement vrai
Les visiteurs d'un quelconque musée d'histoire naturelle se retrouvent face à une intense propagande évolutionniste.
Y sont exposés des reconstitutions imaginaires et de faux os fabriqués à la main, supposés appartenir à nos prétendus ancêtres. Le moindre fragment fossilisé d'un être ayant vécu jadis, qui ne représente en soi nullement une preuve de l'évolution, est toutefois présenté comme une preuve hautement importante de forme intermédiaire de la transition imaginaire du poisson en amphibien. Une côte qui confirmerait davantage le fait de la création est exhibée avec une immense fierté comme preuve de l'évolution. Se basant sur les descriptions détaillées des prétendus fossiles et les noms latins qui leur sont attribués, ceux qui examinent ces pièces sont convaincus d'avoir affaire à un fait évolutionniste. Or le véritable objectif du musée est de donner l'impression que quelque chose existe alors qu'elle n'a jamais existé et de faire la propagande à propos de quelque chose d'inexistant.
Les créatures mi-hommes, mi-singes n'ont jamais existé.
Des preuves scientifiques montrent que les êtres humains ont toujours existé sous la forme d'êtres humains. Les évolutionnistes dissimulent, néanmoins, soigneusement ce fait en ayant recours à toutes sortes de mensonges pour prouver le contraire.
Les évolutionnistes s'imaginent atteindre leurs buts à travers ces méthodes, parce que
les visiteurs de musée n'ont pas conscience du fait qu'il n'existe pas un seul fossile de forme intermédiaire pour soutenir la théorie de l'évolution. Ils ne savent pas non plus que les fossiles vivants restés identiques pendant des millions d'années, contrairement aux affirmations de la théorie de l'évolution, sont dissimulés dans les entrepôts, situés souvent ironiquement en dessous des salles d'expositions.
Chaque fossile mis au jour par les darwinistes sont présentés de sorte à défendre leurs théories. En s'appuyant sur le manque de connaissance des questions scientifiques du public, ils s'estiment libres de manipuler les faits. Ainsi une de leurs méthodes fréquemment utilisées est la représentation graphique des formes de vie éteintes afin d'en faire une preuve de leur scénario évolutionniste. Les fossiles exposés dans de nombreux musées sont accompagnés de commentaires évolutionnistes dépourvus de la moindre valeur scientifique.
En fait, les efforts déployés par les évolutionnistes s'avèrent être creux.
Aucun fossile de forme intermédiaire étayant le concept d'évolution n'a jamais été découvert. Il n'existe, en effet, pas la moindre trace de ces étranges créatures imaginaires semi développées qui auraient dû exister au cours de millions d'années. Le processus d'évolution n'est rien de plus qu'une croyance – un souhait que les évolutionnistes voudraient voir se vérifier. Pourtant les archives fossiles n'ont jamais permis à ce rêve de devenir vrai. D'innombrables fossiles ont été exhumés dans le monde entier sans que les fossiles de formes intermédiaires manquantes ne soient découverts à leur tour. Il est impossible qu'on en trouve la moindre trace car l'évolution n'a jamais eu lieu. En inventant des théories fictives, en fabriquant des formes intermédiaires imaginaires en plâtre et en bakélite, et en élaborant des reconstitutions basées sur les influences de l'artiste pour illustrer les vies supposées de ces formes intermédiaires, les darwinistes cherchent à insuffler la vie à une prétendue évolution.
Le fait est, toutefois, que leurs efforts ne porteront jamais leurs fruits. Les conditions sont aujourd'hui différentes de celles de l'époque de Darwin. Les faits scientifiques sont dévoilés et de nouvelles découvertes révèlent constamment les preuves du fait de la création. Aucun darwiniste ne peut plus soutenir que les archives fossiles sont insuffisantes. La science et les fossiles fournissent une pléthore de preuves incontestables. L'absence de tout fossile intermédiaire est trop évidente pour être couverte plus longtemps par les évolutionnistes.
Il n'y a pas de fossiles intermédiaires
"Les formes de vie intermédiaires" conjecturées sur cette image n'ont jamais existé.
"Les formes de vie intermédiaires" conjecturées sur cette image n'ont jamais existé.
Dans la revue Science, D. S. Woodroff de l'Université de Californie mentionne la sérieuse déception des évolutionnistes:
Mais les espèces fossiles restent inchangées durant pratiquement toute leur histoire et les archives ne fournissent pas le moindre exemple d'une transition significative.
Le coelacanthe existe depuis 400 millions d'années sans avoir changé.
Dans les strates où ils mènent leur chasse aux fossiles de formes intermédiaires, les darwinistes trouvent constamment des fossiles d'êtres vivants n'ayant pas subi le moindre changement au cours de millions d'années et donc n'ayant pas été soumis à un processus d'évolution. Les preuves du fait de la création abondent par millions chaque jour, alors que les fossiles de formes intermédiaires tant attendus ne sont nulle part. Les évolutionnistes ont dû alors se contenter de représenter ce qui en fait constituait une preuve de la création sous les traits de fossiles de formes intermédiaires. Au moyen de différentes techniques de propagande, ils tentèrent de dépeindre des formes de vie hautement développées et complexes remontant à des millions d'années comme preuve de leur propre théorie. En soumettant leurs interprétations biaisées des fossiles, ils tentèrent ainsi de faire passer le système complexe et développé d'ailes d'oiseaux pour des ailes "en développement" et les nageoires des poissons pour les futures pattes d'une créature se préparant à émerger sur la terre ferme. Ainsi, ils cherchèrent à présenter le cœlacanthe comme un exemple de transition entre l'eau et la terre et l'archéoptéryx comme un reptile évoluant du sol vers les airs.
En réalité, même ces restes fossilisés démontrent que ces créatures étaient dotées de caractéristiques excessivement complexes et non intermédiaires. Lorsqu'un cœlacanthe, l'un des êtres vivants objet des spéculations évolutionnistes, fut péché dans des eaux profondes en 1938, près de 400 millions d'années après les spécimens fossilisés, tous les rêves évolutionnistes volèrent en éclat.
Les évolutionnistes connurent un revers similaire avec l'archéoptéryx, que la science considère désormais comme un oiseau à part entière. Les évolutionnistes perdirent tous leurs arguments, quand l'archéoptéryx, dépeint pendant des années comme une preuve cruciale de la transition imaginaire de la terre à l'air, s'avéra posséder des muscles de vol parfaits, des plumes idéalement adéquates au vol et une parfaite structure des ailes.
ILLUSTRATION FACTICE
L'ARCHAEOPTERYX est un oiseau totalement couvert de plumes.
LE CANULAR DE L'HOMME DE PILTDOWN
FAUX
L'homme de Piltdown, passé pendant 43 ans pour une preuve hautement précieuse en faveur de l'évolution, s'est avéré être une fabrication. En 1953, des investigations sur le crâne ont révélé que l'homme de Piltdown n'était pas un fossile mais une contrefaçon associant des os humains et d'orangs-outans.
A droite : les fouilles à Piltdown, lieu d'origine du scandale de l'homme de Piltdown
D'autres incidents remirent en question ouvertement le concept de formes intermédiaires, comme celui de l'homme de Piltdown et l'homme du Nebraska, sensés être également des preuves de l'évolution. Désespérés par l'absence totale de formes intermédiaires, les évolutionnistes allèrent jusqu'à fixer une mâchoire d'orang-outan au crâne d'un homme récemment décédé. Ils le nommèrent l'homme de Piltdown et exhibèrent leur fabrication pendant près de quarante ans. Ce fossile fabriqué, exposé au British Museum, fut rapidement retiré des vitrines lorsque la supercherie fut mise à jour.L'homme du Nebraska fut le sujet de nombreuses illustrations et reconstitutions imaginaires – toutes basées sur une simple dent ! S'inspirant de cette dent, les évolutionnistes s'imaginèrent qu'elle appartenait à un fossile de forme intermédiaire combinant des traits humains et simiesques. Mais il s'avéra plus tard que cette dent appartenait à un ours sauvage. C'est pourquoi on peut dire que les fossiles observés par les nombreux visiteurs de musées et présentés comme preuves de l'évolution sont le produit d'une telle logique frauduleuse.
Le paléontologue évolutionniste George Gaylord Simpson du Musée Américain d'histoire naturelle reconnaît le problème des formes intermédiaires auxquels sont confrontés les évolutionnistes :
Cela est vrai pour tous les 32 ordres de mammifères… Les membres les plus anciens et les plus primitifs de chaque ordre ont déjà les caractères ordinaux basiques, et en aucun cas il n'est question d'une séquence approximativement continue entre un ordre et un autre. Dans la plupart des cas, la rupture est si nette et le fossé si large que l'origine de l'ordre est spéculative et matière à controverse… Cette absence régulière de formes transitionnelles ne se confine pas aux mammifères, mais il s'agit d'un phénomène quasi-universel, comme le savent depuis longtemps les paléontologues. Cela est vrai pour presque toutes les classes d'animaux, vertébrés et invertébrés… Cela est vrai pour les classes et pour les principaux phyla animaux, et c'est apparemment vrai également pour des catégories analogues de plantes.
En dépit de l'absence totale de preuves, les évolutionnistes continuent à défendre que "les êtres vivants ont évolué". Cette affirmation implique des millions d'espèces qui n'ont pu exister et encore moins émerger. Pourtant les évolutionnistes prétendent qu'elles se sont développées au cours d'un processus imaginaire – l'évolution – qui ne peut s'expliquer. Ceci dit, il a été prouvé qu'il est impossible que des protéines puissent naître spontanément. Pourtant, selon la théorie de l'évolution, ce miracle a bel et bien eu lieu et la protéine est née par hasard.
Il est également impossible que les organelles de la cellule naissent ensemble par coïncidence.
C'est cependant ce que veut l'évolution. Ce miracle se produisit, conduisant au noyau de la cellule, aux gènes, à l'ADN, aux enzymes et aux innombrables autres structures complexes qui ne peuvent être produites artificiellement aujourd'hui, même dans des conditions de laboratoires contrôlées. Or, selon la théorie de l'évolution, tous sont nés du hasard aveugle.
Les protéines sont des molécules complexes qui constituent la base des cellules vivantes et qui endossent des responsabilités importantes. Les chances pour qu'une molécule de protéine moyenne naisse par hasard sont de 1 sur 10950. (En termes pratiques, ce nombre équivaut à une probabilité nulle.) Les mathématiciens ont, eux-aussi, assené un revers sérieux au darwinisme.
Les évolutionnistes ont passé au crible les archives fossiles à la recherche d'une quelconque trace de ce processus et des changements impliqués. Cependant, encore selon les évolutionnistes, un autre miracle s'est produit :toutes les traces dans les archives fossiles ont disparu !
Sans blague
La logique de cet argument suit : l'évolution est née d'une série de millions d'évènements impossibles qui, selon l'évolution, seraient issus de coïncidences aveugles et inconscientes. Le darwinisme nie l'existence de Dieu et de tout phénomène surnaturel, mais n'hésite pas à affirmer que des millions d'organismes vivants sont nés d'une série de miracles. La théorie de l'évolution présentée de manière scientifique est en réalité une croyance érigeant d'innombrables miracles et coïncidences en une multitude de divinités.
La théorie de l'évolution est incapable de prouver qu'une seule protéine est née spontanément. Elle est incapable de présenter un seul spécimen de forme intermédiaire pour prouver que les espèces vivantes ont évolué.
La théorie se réfute par ses deux composantes de base.
Elle se trouve dans une situation délicate dont elle ne peut sortir en couvrant l'absence de formes intermédiaires dans les archives fossiles et dissimulant les exemples de fossiles vivants dont le nombre augmente quotidiennement.
Face au manque de preuves, les darwinistes persistent, au contraire, à utiliser des méthodes frauduleuses. Mais le public devient de plus en plus conscient du fait que l'évolution est enseignée pour des raisons idéologiques et non scientifiques.
Les darwinistes veulent donner l'impression que les fossiles de formes intermédiaires existent alors que ce n'est pas vrai et ils dissimulent les preuves du fait de la création dans les coffres des musées. Pourquoi ? La raison est évidente :ils connaissent trop bien les nombreuses preuves incontestables de l'existence de Dieu, le Seigneur de l'univers. Puisqu'ils luttent pour nier Son existence, ils tentent de cacher les faits. Or, Dieu manifeste Sa propre existence avec d'innombrables preuves et annule les plans des darwinistes.
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