Les funérailles de Charles Taze Russell
Plusieurs symboles occultes et maçonniques sont présents lors des funérailles de Charles Russell, celles ci sont décrites en détail dans le périodique "Watchtower" du 1
er Décembre 1916, (version anglaise de La Tour de Garde) :
At the foot of the casket was placed a broken pillar of flowers, fittingly representing that dear body which, like the Lord's body, had been broken in the service of the brethren ; while at the head was a magnificent floral cross and crown, the cross symbolizing his share in the death of Christ, and the crown symbolizing the crown of glory, which we believe he now wears with our dear Lord in heaven.
Source : The Watch Tower 1916, Dec 1, page 360
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Traduction : Au pied du cercueil [de Russell] fut placé un pilier brisé... tandis qu'à sa tête étaient une "croix et une couronne" .
le pilier brisé + "la croix et la couronne"
The Watchtower, December 1 1916
Les Témoins de Jéhovah se mettent sur la défensive, dès lors qu'on leur dit, que le fondateur de leur organisation (Charles Taze Russell) était un franc-maçon.
Pourtant, le Fait est, qu'à ce jour aucun membre de leur organisation (pas même un oint) n'est en mesure d'expliquer le lien entre "la colonne brisée" et la parole de Dieu.Pas plus qu'entre "
la colonne brisée" et "l'organisation des Témoins de Jéhovah".
Etant obligé de justifier la présence de "la colonne brisée" lors des funérailles de Russell, ils se justifient dans le "watchtower du 1er Décembre 1916", en disant qu'elle représente le corps, semblable au corps du Seigneur brisé dans le service pour les frères.4.gif
En vérité, s'il n'existe aucun lien entre ce symbole diabolique et la Parole de Dieu, cette pratique existe bien, au coeur de la franc-maçonnerie, Voici comment le "pilier brisé" est défini par le rite maçonnique de York : Les maîtres maçons savent que la colonne brisée marque la tombe... de quelqu’un qui était un responsable de la maçonnerie. Lieu d’inhumation d’un Maître maçon : une vierge pleure au-dessus d’une colonne brisée... la colonne brisée est celle d’un des principaux protecteurs de la maçonnerie. Sa mémoire est enregistrée dans le coeur de chaque maçon.
Source : Illustrated History and Cyclopedia of Freemasonry, Robert Macoy. Masonic Publishing Co. New York : 1896. page 445.
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Il est remarquable de constater, que non seulement ce symbole est connu par les franc-maçons, puisqu'il a une signifiaction forte pour eux. Mais en plus, il est employé par les franc-maçon, dans la circontance spécifique d'un décès. Le défunt est clairement défini et honoré comme l'un d'eux.
Officiellement, la colonne brisée symbolise la mort prématuré d'
Hiram Abiff, le maître assassiné par trois "brigands".
résumé de l'histoire maçonnique d'Hiram Abif (pas Biblique):
Hiram Abif était soit-disant en possession de la "parole du maître". Bien que la Bible l'identifie comme étant un sculpteur qui fit les éléments en métal du temple de Salomon, la coutume maçonnique le considère comme l'architecte qui fut chargé de la totalité du projet.
Hiram est abordé par trois "brigands" Jubelo, Jubela, Jubelum, qui sont des compagnons voulant le secret de la parole du maître, car le temple est presque terminé.
Le premier brigand le frappe violemmment à la gorge, Hiram titube près du temple. Le second brigand lui porte un coup à la poitrine, Hiram vacille un peu plus. il est frappé à la tête avec un maillet par le troisième brigand et tombe raide mort. Les trois bandits enterrent le corps dans les décombres du temple puis, plus tard, l'emmènent en dehors de la ville et l'enterrent sur une colline, sous un acacia. Salomon et le roi Hiram envoient des hommes rechercher le corps, et celui-ci est finalement touvé sur le mont Moriah. Ils se rendent tous deux là-bas. Après beaucoup de simagrés ritualistes, Salomon prend la main décomposée d'Hiram Abif par "la forte poigne de la patte de lion", la poigne du maître franc-maçon, et tire sa carcasse hors du trou, qu'il l'aurait soit-disant ressuscité (bien que ce n'ait jamais été clarifié : voir Duncan, p.102-131). Cet acte est le centre du rituel de toute la franc-maçonnerie. Mais le hic est que tout cela ne s'est jamais produit.
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Après avoir été "
apprenti" (1er degré), puis "
compagnon" (2e degré), le maçon qui accède au 3e degré, pour devenir "
maître", participe à une reconstitution de la mort et la résurrection d'Hiram.
L'initié incarne Hiram, alors que d'autre maçon (2° franc-maçon) jouent le rôle de "Jubelo, Jubela, Jubelum", ses méchants compagnons qui l'ont assassiné : voir le Rite York :
le drameMais oui, vous ne revez pas !
Il s'agit bien du même "
Hiram Abiff", auquel Charles Taze Russell faisait référence lors de son sermon: « Le Désir de toutes nations » donné devant 3500 personnes :
« Le Grand Messie… a depuis longtemps été attendu… Les juifs l’attendent depuis 3500 ans… Les francs-maçons attendent depuis 2500 ans pour le même personnage glorieux, dans la personne d’HIRAM ABIFF, le grand maître maçon, qui par sa mort, glorification, et venue future sont continuellement déclarés devant eux par les lettres sur leurs tablettes de pierre. Il est mort d’une mort violente disent-t-ils à cause de sa loyauté aux secrets divins. Il doit réapparaître dans le but de compléter le grand temple (temple de Salomon) afin qu’il accomplisse le grand service pour Israël. Ils disent que sa présence doit être attendue pour bientôt. « Les francs-maçons aussi attendent le même personnage glorieux et dans leurs traditions, ils l’identifient à HIRAM ABIFF, le grand maître maçon, ce même grand Messie, Michel, l’Archange, Melchisédek, prêtre aussi bien que Roi, que nous identifions comme l’homme Jésus-Christ. »
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Pourtant jamais un chrétiens n'a cité Hiram Abiff comme référence au cours d'un sermon.
La majorité des chrétiens ignore même qui est "Hiram abiff", ainsi que la doctrine maçonnique, contrairement à Russell qui l'appelle sans erreur "
grand maître", comme dans le rite york.
Il avait bien une très grande connaissance, digne du 33e degré.
Comparer "Hiram Abiff" au Seigneur Jésus est un vrai blasphème !
Selon Claude McClung (un ex maçon de haut degré) dans son livre "
Why I left Masonry" (pourquoi j'ai quitté la franc-maçonnerie) il explique que Hiram Abiff est le dieu soleil Baal.
"
Mackey's Lexicon of Freemasonry" à la page 195, dit que la Legende d'Hiram a pour origine la religion d'Isis et Osiris.
Comparaison entre Hiram (des Francs-maçons) et Osiris :
Hiram est le fils d’une veuve tout comme Osiris. Sa sœur est aussi son épouse : Isis. Tout comme Nemrod qui est un dieu mort qui ressuscita et épousa sa propre mère. Les deux sont artisans (Eliot, p.258). Les deux ont été assassiné par des hommes mauvais qui à leur tour furent tués par vengeance. Tous deux furent ressuscités temporairement. Hiram fut enterré 3 fois : une fois dans les gravats du temple, une fois sur le flanc d’une colline près d’un d’acacia et une dernière fois dans un splendide monument. Osiris fut aussi enterré 3 fois. Hiram voyage comme le soleil (quand il se déplace dans la loge, attaqué par 3 bandits, il se déplace dans le sens des aiguilles d’une montre, dans la direction du soleil. Tout comme Osiris. Hiram ressuscita mais il lui manquait un mot. Osiris aussi. Selon la légende égyptienne, lorsque Seth assassina Osiris, il fut coupé en 14 morceaux. Isis était une déesse qui pleura la mort de son amant. Elle parcourra tout le pays pour retrouver les 14 morceaux. Puis elle les rassembla et utilisa sa magie pour le ramener à la vie. Malheureusement un morceau manquait. C’était son sexe. Donc au lieu de vivre, il dut aller au Royaume des morts, régner sur l’enfer. Qu’en est-il du monument qui fut érigé sur la tombe d’Hiram ? Il représente une colonne cassée, avec à côté une vierge en pleurs et derrière, le Père « temps » qui démêle ses cheveux. La colonne brisée symbolise le membre manquant. La vierge est Isis, à la fois vierge et mère.
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On peut voir une représentation de cette "vierge en pleurs", en haut d'une tombe maçonnique (parmi d'autres). La scène se déroule sous "
l'oeil qui voit tout" (oeil de lucifer) :
Cliquez sur la photo pour l'agrandir entièrement
Voici ce qu'on peut lire dans cette article :
Many of the gravestones are decorated with motifs that were popular during the early 19th century. Weeping willow trees suggest not only grief and sorrow, but also immortality, since the tree will flourish no matter how many branches are cut off. Masonic symbols include the all-seeing eye with rays of light and a square and compass with the letter “G.” The broken column symbolizes the end of life and life cut short.
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"Hiram abif" et "Osiris" sont la même personne selon les francs-maçons :
HIRAM ABIF They carried the body to the Temple and buried it in due form, and Masonic tradition informs us that a monument was erected to his memory, on which was delineated a beautiful Virgin weeping over a broken column; before her lay a book, open; in her right hand a sprig of acacia; in her left, an urn; and behind her stood Time with his fingers unfolding and counting the ringlets of her hair. The broken column denotes the untimely death of our Grand Master Hiram Abif; the beautiful Virgin; weeping, denotes the Temple, unfinished; the book open before her, that his virtues there lie on perpetual record; the sprig of acacia in her right hand, the timely discovery of his body; the urn in her left, that his ashes were there safely deposited to perpetuate the remembrance of so distinguished a character; . . .
Source : Master Mason Degree of Freemasonry, Grand Lodge of Nevada, circa 1986, page 23
OSIRIS Masonry still retains among its emblems one of a woman weeping over a broken column, holding in her hand a branch of acacia, myrtle, or tamarisk, while Time, we are told, stands behind her combing out the ringlets of her hair. We need not repeat the vapid and trivial explanation... given, of this representation of Isis, weeping at Byblos, over the column torn from the palace of the King, that contained the body of Osiris, while Horus, the God of Time, pours ambrosia on her hair.
Source : Illustrious Albert Pike 33° - Morals and Dogma, page 379
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[...] la tradition franc-maçonne nous informe qu'un monument a été érigé pour sa mémoire, c'est une magnifique vierge, pleurant au-dessus d'une colonne brisée, un livre est devant elle, elle a dans sa main droite une branche d'acacia et dans la main gauche une urne. Derrière se trouve le Temps, déroulant et comptant les boucles de ses cheveux " (Ibid p.125) Isis était vierge et mère, ainsi "la magnifique vierge" est Isis en pleurs. La colonne brisée est le menbre manquant d'Osiris, l'acacia fait allusion à la vie éternelle prêchée par les Egyptiens, de même que les cultes de fertilité s'appuient sur la végétation. L'urne évoque les vases canopes (Flexner, p.305) utilisés lors des funérailles en egypte pour conserver les organes vitaux de la momie. Finalement, nous avons "le Temps", le dieu Saturne, une forme ultérieur du mystérieux dieu maléfique Seth. Dans l'astrologie, Saturne est appelé le "Grand Maléfique".
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Voir d'autres détails
ICIOn retrouve un peu partout, ce symbole maçonnique, soit dans leurs ouvrages , soit sur des médailles, dans les cimetière, etc...
Monument to John Brouch, 1905, Riverview Cemetery, Trenton.
Voici un autre exemple assez parlant, où l'on peut voir "
le pilier brisée" et "
la croix et la couronne" sur la tombe d'un franc-maçon (James Alonzo Pinney) :
On peut vérifier sa tombe sur une site officiel :
http://www.findagrave.com/cgi-bin/fg.cgi?page=pv&GRid=7598979&PIpi=11838185James Alonzo Pinney est bien un franc-maçon, on peut le vérifier
ICINote : Le pasteur Russell est mort enveloppé dans une "
toge romaine" (qu'il avait lui même réclamée) le jour d'Halloween, le 31 octobre 1916.
En effet le magazine "watchtower" du 1 Décembre 1916, nous affirme que les derniers mots de Charles Russell étaient :
After several hours his robe proved to be rather inconvenient, because the sheet and blanket could not be kept together. It was then that he stood again and said, "Please make me a Roman toga."
Source : .jpg]The Watchtower 1916, Dec 1, page 365
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Traduction : "S'il vous plait faite moi une toge Romaine
C.T.Russell wrapped in a toga.
(C.T.Russell enveloppé d'une toge)
Une toge romaine, comme celle qu'on retrouve sur la statue du franc-maçon "George Washington" :
Il est inconcevable d'imaginer les apôtres exiger une tenue romaine comme dernière volonté !
On reconnaît un arbre à ses fruits !