Forum des Religions - Les Origines

La Tour de Babel :: l'origine de l'empire mondial des religions

2 participants

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque »

    Mikaël Malik
    Mikaël Malik
    Membre - V.I.P
    Membre - V.I.P


    Sexe : Masculin pas témoin de la watchtower
    Messages : 3143
    Date d'inscription : 08/02/2021

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Empty Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque »

    Message  Mikaël Malik Mer 5 Mai 2021 - 15:16

    Rappel du premier message :

    Les mensonges de la Watchtower sur la théorie documentaire 

    Pour faire plaisir au petit TJ: Les mensonges de la Watchtower sur la théorie documentaire 
    charles CHASSON

    Pour un fondamentaliste comme le sont les Témoins de Jéhovah, la Bible est une. Son auteur est Dieu, qui a utilisé comme secrétaire une quarantaine d'écrivains. Quand la Bible déclare qu'un livre a été
    écrit par une personne, elle ne peut se tromper.

    Ainsi Jésus a identifié l'auteur du Pentateuque à Moïse, en conformité avec les croyances de ses contemporains. Dès lors, pour un fondamentaliste biblique, il n'est plus possible d'attribuer une autre
    source au Pentateuque, Jésus a validé la tradition de son époque dans la Bible, donc cette tradition était vraie.

    Voici ce que peut produire l'autorité théologique des Témoins de Jéhovah appelé par eux Collège Central en rapport avec le problème complexe de la paternité des écrits du Pentateuque. Cet article
    intitulé « Qui a écrit le Pentateuque » est paru dans une de leur revue nommée Réveillez-vous du 22 Avril 2004. Il est interessant à plus d'un titre:

    Nous allons voir comment la Société Watchtower entend présenter à ses lecteurs souvent acquis à sa cause, un point de vue adverse à sa théologie. On pourra ensuite étudier comment elle répond à la théorie présentée, et avec quelles références.

    Tout d'abord abordons rapidement un point. Comment la Watchtower présente son point de vue dans cet article. Elle déclare au début:

    « La tradition attribue à Moise les cinq premiers li­vres de la Bible,
    ou Pentateuque. »

    Notez ici un point important, car d'habitude pour les Témoins de Jéhovah, ce n'est pas la tradition mais la Bible qui fait autorité. Pour les Témoins de Jéhovah, la tradition est un terme souvent péjoratif, vécue comme contraire aux écritures, les hommes ayant préférés leurs traditions à l'enseignement biblique. Ainsi Jésus critiquait les pharisiens de son époque pour « leurs traditions » de même les Témoins de Jéhovah critiquent les autres religions chrétiennes pour « leurs traditions contraires aux Saintes Ecritures » telle que la Trinité, l'immortalité de l'âme.

    En dehors des écrits du Nouveau testament qui reprennent sans les changer les traditions de l'époque, nulle part la Bible n'identifie l'auteur des 5 premiers livres de la Bible. Certes ces 5 livres et particulièrement les 4 derniers sont une vie du peuple d'Israël sous la conduite de Moïse, mais il n'est pas dit exprèssément que c'est Moïse qui les a écrits ou en tout cas qui les a compilés sous la forme que nous connaissons. Ici la société Watchtower reconnaît sans s'y attarder qu'en dehors de la tradition juive reprise par Jésus, elle n'a aucune preuve pour attribuer la paternité du Pentateuque à Moïse.

    L'auteur de la Société Watchtower fait néanmoins une concession:

    « Moise a peut-être puisé ses renseignements dans des sources histo­riques plus anciennes. »

    Notez bien le « peut-être » . En effet même pour la chronologie jéhoviste de la Bible, Moïse a vécu près de 2500 années après le premier homme Adam dont il est censé avoir écrit l'histoire dans le livre de la Genèse. Il faut bien qu'il ait basé son récit sur quelques choses de solide pour rapporter des évènements si éloignés de son temps, dès lors par cette phrase qui semble anodine, la SociétéWatchtower évoque sans l'aborder de front, une des critiques à sa théorie.
    Mikaël Malik
    Mikaël Malik
    Membre - V.I.P
    Membre - V.I.P


    Sexe : Masculin pas témoin de la watchtower
    Messages : 3143
    Date d'inscription : 08/02/2021

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Empty Re: Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque »

    Message  Mikaël Malik Mer 5 Mai 2021 - 15:33

    « Qui a écrit le Pentateuque »  Réveillez-vous du 22 Avril 2004. *

    « La tradition attribue à Moise les cinq premiers li­vres de la Bible, ou Pentateuque. »

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 0hkd

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Mzss

    « Moise a peut-être puisé ses renseignements dans des sources histo­riques plus anciennes. »


    http://tjrecherches.chez.com/pentateuch1.html
    Mikaël Malik
    Mikaël Malik
    Membre - V.I.P
    Membre - V.I.P


    Sexe : Masculin pas témoin de la watchtower
    Messages : 3143
    Date d'inscription : 08/02/2021

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Empty Re: Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque »

    Message  Mikaël Malik Mer 5 Mai 2021 - 15:34

    Si on étudie la théologie égyptienne d'Amon et d'Aton, on s'aperçoit que la théologie hébraïque de l'Eternel a des points commun avec celle d'Amon, et qu'avec Moïse, c'est la théologie d'Aton qui influence celle de l'Eternel (qui tout comme Amon a des aspects multiples et plusieurs noms).

    La genèse révèle que c'est à la naissance du petit fils de Seth (le même nom que le Dieu égyptien ci-dessous ce qui montre bien un lien entre hébreux et égyptiens très ancien, seth signifie en hébreux "qui remplace", hors Seth troisième fils d'Adam, berger comme Abel assassiné par Caïn, Abel étant le second fils d'Adam et Caïn l'aîné, a donc "remplacé" Abel, et Seth

    Seph Dieu jaloux assassina Osiris son frère et était en compétition avec Horus, fils de la déesse Isis, pour mener la barque solaire.). Noé, ancêtre de plusieurs peuples, dont les hébreux, rescapé du déluge, est un descendant de Seth. 

    Les pharaons réprimèrent certains cultes à Seth, seuls cultes à pratiquer des sacrifices humains (wikipédia). Abraham, quitta Ur, cité sumérienne, et redevenant berger - nomade, c'est sous la protection de l'Eternel qu'il se place, ou encore c'est à un appel de l'Eternel qu'il répond. Donc l'Eternel est bien un protecteur d'un peuple nomade. La bible nous rapporte qu'Abraham veut lui sacrifier son fils Isaac, avant d'y renoncer; ce qui n'a rien de surprenant puisque, Ur est une cité sumérienne, les cités sumériennes initialement ne pratiquaient pas de sacrifices humains, puis à une époque donnée, des sacrifices humains en nombre important furent faits. La bible n'aura de cesse de rappeler l'interdiction du sacrifice humain et de le remplacer par un sacrifice animal, l'holocauste, animal entièrement consumé par le feu. D'autre part de nombreux passages bibliques évoquent un séïsme (lire plaidoyer pour nos enfants, pour un monde viable) ou une éruption volcanique, plusieurs villes occupées par les hébreux sous la direction de Moïse se trouvaient sur une faille sismique. On retrouve donc là un lien séïsme, volcanisme -sacrifice 

    humain remplacé chez les hébreux par un sacrifice animal consumé. 

    Pour mieux comprendre lisons ce que wikipédia nous apprend sur la théologie solaire des égyptiens: 

    Pour les égyptiens de l'antiquité, le cycle perpétuel du lever et du coucher du soleil est comparable au cycle de la vie et de la mort. Ainsi, chaque matin le soleil naît à l'orient, croît jusqu'au zénith, puis vieillit jusqu'à l'occident ou il disparaît dans le royaume des morts. Ce voyage diurne, le dieu solaire Rê le fait à bord d'une barque appelée mandjet. Le choix d'une barque comme moyen de transport se comprend aisément dans une civilisation résolument fluviale où le Nil occupe la place d'axe principal de communication et de source quasi-exclusive d'alimentation grâce aux crues, à l'irrigation et à la pêche. 

    Le périple perpétuel de Rê ne connaît pas de pause à la tombée de la nuit; bien au contraire, il ne fait que recommencer. C'est aux commandes d'une autre barque, appelée mesektet qu'il entame son périple souterrain et traverse les douze heures de la nuit avant de pouvoir renaître au matin. Dans le royaume des morts (la nuit), il doit affronter les forces du chaos dont le représentant le plus puissant est le serpent  Apophis. Il est accompagné sur la barque par d'autres divinités qui, comme Seth, l'aident à lutter contre le chaos. 

    Les Égyptiens de l'Antiquité ont imaginé qu'en s'associant au dieu solaire lors de sa course perpétuelle à bord des barques sacrés, leurs âmes vivraient éternellement. C'est ainsi que le culte funéraire est fortement marqué par ce mythe solaire. Par exemple, on construisait de préférences les tombeaux sur la rive occidentale du Nil (où « meurt » le soleil) et lors de l'enterrement on faisait traverser le fleuve au défunt sur des barques semblables à celle du dieu solaire.
     
    Là encore, histoire et philosophie religieuse se confondent, et en lisant ces lignes on comprend mieux la complémentarité entre le dogme égyptien et le dogme de Joseph, fils de Jacob nommé aussi Israël, ancêtre des hébreux qui chercha à les sédentariser à nouveau. Joseph épouse la fille du grand prêtre égyptien, ce qui montre le rapprochement religieux entre les deux peuples. La légende de la barque solaire montre un lien fait par les égyptiens entre le soleil, "le feu du ciel" qui la nuit, dans une autre barque entame un périple souterrain, et donc "le feu sous terre" qui se manifeste dans le volcanisme. 

    On a vu que "l'Eternel" se manifeste par le feu, buisson ardent, nuée, description évoquant un séÏsme, donc l'Eternel correspond à l'aspect bénéfique du Dieu Seth, nom que l'on retrouve avec l'ancêtre des hébreux qui invoqua le premier l'Eternel. Dans le culte d'Aton, les égyptiens s'associent au Dieu, leur pharaon prend le nom d'Akineton, "celui qui est utile à Aton", de même les hébreux, servent "l'Eternel" qui pour les égyptiens évoquent Seth qui aide à la traversée de la barque solaire. Les plaies d'Egypte décrites dans la bible, évoque les conséquences d'un volcanisme,  on peut supposer qu'il s'agissait du volcan qui détruisit une île, Thera en mère Egée et dont seul subsiste le pourtour constitué parl'archipel des îles du Santorin*. 


     On peut donc supposer que Joseph, héritier du patriarches des hébreux, intendant de Pharaon, époux de la fille du grand prêtre, était considéré comme serviteur de Seth, d'autant que le livre de la genèse décrit des séïsmes (terre qui s'ouvre) ou y fait allusion ou encore le volcanisme, comme manifestation de la colère divine. Mais l'éruption volcanique qui obscurcit le soleil fut vécu comme une nouvelle querelle entre Seth et Horus, et donc les hébreux furent chassés avec également des égyptiens, probablement tenu pour responsable de ce seïsme.

    Akineton instaura le culte du disque solaire seul, source de vie, sans Dieu Horus à tête de faucon, portant le disque solaire, Dieu fragile nécessitant le soutien du terrible Dieu Seth. 

    Ce culte du dieu soleil, Aton, assisté de Seth, le dieu qui gronde sous terre et dans le ciel et qui porte le nom de l'ancêtre fondateur de la tribu prédiluvienne de Noé, se retrouve également dans les légendes sumériennes:
     
    Gilgamesh voyagea longtemps et finit par arriver à une montagne dont le sommet était double. C'était le Mt Mashu, devant lequel veillent des monstres, des hommes scorpions, qui montent la garde aux portes du soleil.

     Lorsque chaque matin le Soleil sort du royaume des dieux pour éclairer les hommes....derriière cette porte est un tunnel obscur qui s'enfonce sous la montagne, et, marcherait-on deux fois douze heures, l'on n'en aurait pas encore atteint l'extrémité. Nul homme ne doit en fouler le sol, car il appartient au Soleil.

    http://mariejeannejourdan.over-blog.fr/pages/LEternel_Dieu_des_Hebreux_et_Seth_Dieu_des_egyptiens_le_meme_caractere_volcanique-1894659.html
     

    SETH
    (nom propre hébreu qui signifie : mis à la place ; cf. l'ail. Ersatz). 
    Mikaël Malik
    Mikaël Malik
    Membre - V.I.P
    Membre - V.I.P


    Sexe : Masculin pas témoin de la watchtower
    Messages : 3143
    Date d'inscription : 08/02/2021

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Empty Re: Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque »

    Message  Mikaël Malik Mer 5 Mai 2021 - 15:35

    Le mythe d'Osiris ou la version égyptienne d'Abel et Caïn  

    Le premier livre de la Bible, la Genèse, retrace le début de l'humanité. L'un des tout premiers récits fondateurs, relaté au chapitre IV , raconte l'histoire de deux frères ennemis. Il est intéressant de noter que le mythe osirien est similaire à l'histoire biblique de Caïn et d'Abel.

     Comment expliquer les similitudes de ce que Mircea Eliade définit comme une « œuvre fondatrice de l’imaginaire occidental » qui renvoie au temps « primordial » et aux « fabuleux des commencements »? Et que dire de ces coïncidences troublantes que l'on retrouvent aussi dans d'autres cultures et traditions ? Une origine commune, décrite dans la Genèse, et la quête de l'immortalité en lien avec le premier mensonge sont une explication plausible. Analyse de la question à travers les textes et les salles.


    Le mythe d'Osiris


    La progéniture de Nout, déesse du Ciel et de Geb, dieu de la Terre, compte 3 hommes : Osiris, l'aîné des fils, Seth et Horus l'ancien et 2 femmes, Isis et Nephhtys qui s'entraident dans leur amour commun pour Osiris.

    Osiris et Seth étaient frères. Seth est l'antithèse de son frère. Il est fauteur de troubles quand Osiris est pacificateur. Il rend le désert aride alors qu'Osiris est le dieu de la fertilité. Jaloux d'Osiris, Seth son frère cadet, l'assassine, coupe son corps en morceaux qu'il renferme dans un coffre et jette à la mer. Après de multiples recherches, Isis retrouve le corps de son mari et frère. Et par ses larmes et ses baisers elle ranime son cadavre et engendre un fils, Horus. Le martyre d'Osiris lui vaut de gagner le monde de l'au-delà dont il devient le souverain et le juge suprême des lois de Maât. La légende faisait aborder à Byblos le corps d'Osiris.


    Le récit biblique du meurtre d'Abel
    On retrouve le récit au chapitre 4 versets 1 à 8 du livre de la Genèse.  "Adam eut des relations conjugales avec sa femme Eve. Elle tomba enceinte et mit au monde Caïn. Elle dit: « J'ai donné vie à un homme avec l'aide de l'Eternel. » Elle mit encore au monde le frère de Caïn, Abel. Abel fut berger et Caïn fut cultivateur. Au bout de quelque temps, Caïn fit une offrande des produits de la terre à l'Eternel. De son côté, Abel en fit une des premiers-nés de son troupeau et de leur graisse. L'Eternel porta un regard favorable sur Abel et sur son offrande, mais pas sur Caïn et sur son offrande. Caïn fut très irrité et il arbora un air sombre. L'Eternel dit à Caïn: « Pourquoi es-tu irrité et pourquoi arbores-tu un air sombre? Certainement, si tu agis bien, tu te relèveras. Si en revanche tu agis mal, le péché est couché à la porte et ses désirs se portent vers toi, mais c'est à toi de dominer sur lui. » Cependant, Caïn dit à son frère Abel: « Allons dans les champs» et, alors qu'ils étaient dans les champs, il se jeta sur lui et le tua.. " - Bible Segond 21

    Caïn a été regardé comme le type des persécuteurs des justes. Jésus-Christ le dit assez clairement en Matthieu 23:35 et Luc 11:51. Ces paroles du Christ, témoin oculaire céleste, sont pour le chrétien l'argument suprême en faveur d'un événement réel et non mythique. Il est question de Caïn dans trois passages du NT, Hébreux 11:4, 1 Jean 3:12 et Jude 11. Abel est le premier cité dans la longue liste d'Hébreux 11. L'apôtre Paul parle aussi du sang d'Abel en Hébreux 12:24.

    Le lecteur de la Bible ne sera pas surpris par les similitudes et coïncidences avec ce récit de la Genèse. Le récit biblique de la rivalité fratricide dans le livre de la Genèse en évoque d'autres présentes sur tous les continents, ce qui laisse penser qu'elle a une origine très ancienne.

    Des frères rivaux dans plusieurs civilisations
    Le récit biblique de la rivalité fratricide dans le livre de la Genèse en évoque d'autres présentes sur tous les continents, ce qui laisse penser qu'elle a une origine très ancienne. Ancré structurellement dans l'histoire culturelle de l'humanité, le récit biblique de Caïn et d'Abel se manifeste dans la série interminable des échos du motif dans la mythologie des différentes cultures et traditions, babylonienne

     (Tammouz et Ishtar), persane (Ahriman et Ahura Mazda), égyptienne (Seth et Osiris), romaine (Romulus et Remus) et grecque (Etéocle et Polynice).

    Il est intéressant de noter la lumière que fait la Bible sur l’origine possible des différents mythes. Selon Genèse 6:1-13, avant le déluge des fils angéliques de Dieu vinrent sur la terre. Ils engendrèrent les Nephilim ou ‘ Tombeurs ’. A cause de cette union contre nature de créatures spirituelles et d’humains, la terre se remplit d’immoralité et de violence (Jude 6; 2 Pierre 2:4). Les écrits attribués à Homère et à Hésiode sont peut-être le reflet amplifié, embelli et dénaturé du récit que rapporte la Genèse. Ces légendes parlent des amours adultères de ces  innombrables dieux et déesses de forme humaine, de grande beauté mais au caractère souvent violent et cruel. Autre parallèle étonnant : en plus des dieux principaux, il est fait mention de demi-dieux, doués d’une force supra-humaine mais mortels. Ressemblance frappante avec les Nephilim du texte biblique.

    « Dans les panthéons grec et romain, comme dans le panthéon chaldéen, on reconnaît le même groupement général, et souvent la même succession généalogique. La ressemblance est trop étendue pour que cette coïncidence soit le fait du pur hasard. » Remarquant aussi cette correspondance fondamentale, l’orientaliste E. Speiser fait remonter le thème des mythes grecs jusqu’en Mésopotamie. Là où se trouvait justement Babylone et l’endroit d’où les humains se dispersèrent après la confusion du langage. – Genèse 11:1-9. 

    Concernant ces peuples du passé, on retrouve partout des coïncidences les plus surprenantes dans les rites, les fêtes populaires, les traditions ainsi que dans les relations avec les dieux. Tous ces peuples ont pu puiser leurs conceptions religieuses à une source commune. Ces traits communs peuvent trouver leur explication biblique dans la dispersion des humains à partir de Babylone. Et si la finalité de ce premier mensonge n'était pas aussi de faire croire que le récit biblique de la Genèse n'était qu'une fable …

    https://www.louvrebible.org/consultation?id=265
    Mikaël Malik
    Mikaël Malik
    Membre - V.I.P
    Membre - V.I.P


    Sexe : Masculin pas témoin de la watchtower
    Messages : 3143
    Date d'inscription : 08/02/2021

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Empty Re: Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque »

    Message  Mikaël Malik Mer 5 Mai 2021 - 15:39

    14 tablettes, Enki et le futur de l'humanité
    Nouvelle sagesse

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Banner-articles-sitchin-livre-perdu

    C'est la Destinée qui détermine le cours des événements : les premiers seront les derniers.

     Spécialistes et théologiens admettent maintenant que les récits bibliques de la Création, d’Adam et Ève, du Déluge et de la Tour de Babel se sont inspirés de textes écrits des milliers d’années plus tôt en Mésopotamie, en particulier par les Sumériens

    Ces écrits affirmaient à leur tour tirer leur connaissance d’événements passés (dont certains avaient eu lieu avant l’apparition de la civilisation) et des écrits des Anunnakis (« Ceux qui des cieux vinrent sur Terre »): les « dieux » de l’Antiquité.

    Un siècle et demi de découvertes archéologiques dans les ruines des civilisations de l’Antiquité a permis de mettre au jour un grand nombre de ces textes, en particulier au Proche-Orient. Les découvertes ont également permis de mesurer l’étendue des textes manquants (les « écrits perdus »), qu’ils soient cités ou suggérés dans les textes trouvés, ou que leur existence passée ait été cataloguée dans les bibliothèques royales ou sacrées.

    La trace écrite des "Dieux" de l'histoire de l'humanité
    Les « secrets des dieux » étaient parfois révélés en partie dans les épopées, par exemple :

    • le cas de l’Épopée de Gilgamesh, qui révèle le débat entre les dieux ayant mené à la décision de laisser périr l’Humanité dans le déluge,
    • le texte intitulé Atra Hasis, qui relate comment la mutinerie des Anunnakis qui peinaient dans les mines mena à la création des travailleurs primitifs, c’est-à-dire les Terriens.


    De temps à autre, les meneurs des astronautes eux-mêmes rédigèrent des textes, les dictant parfois à un scribe élu. C’est le cas du texte connu sous le nom d’Erra Epos, dans lequel l’un des deux dieux à l’origine de la catastrophe nucléaire essaie de rejeter la responsabilité sur son adversaire.

    Parfois, c’est le dieu lui-même qui tient le stylet, comme :


    • dans le Livre des secrets de Thot (dieu égyptien de la sagesse), que le dieu a rédigé dans le secret d’une chambre souterraine.
    • ou Lorsque le seigneur-dieu Yahvé, selon la Bible, offre les Dix Commandements à Son peuple élu, Il grave de Sa propre main deux tablettes de pierre qu’Il confie à Moïse sur le mont Sinaï. Moïse détruit le premier jeu de tablettes en réaction à l’incident du veau d’or, puis grave lui-même de nouvelles tablettes recto verso pour les remplacer. Il passe quarante jours et de quarante nuits sur le mont Sinaï à graver les mots du Seigneur.


    Il arrive que nous sachions que certains textes ont existé sans pour autant connaître leur contenu, ce qui n’est pas moins frustrant. C’est le cas du Livre des guerres de Yahvé et du Livre de Jasher (« Livre de la justice »), qui sont spécifiquement mentionnés dans la Bible :

    • Sans un récit sur le Livre des secrets de Thot, écrit sur un papyrus datant du règne du roi égyptien Khufu (Chéops), l’existence de ce livre serait restée inconnue.
    • Sans les récits bibliques de l’Exode et du Deutéronome, nous n’aurions jamais entendu parler des tablettes divines et de leur contenu.
    • Tout cela aurait été relégué au rang des énigmatiques « écrits perdus » dont l’existence même ne nous aurait jamais été connue.



    L’existence de deux livres anciens (textes antérieurs connus du narrateur biblique) peut être déduite dans au moins deux cas :

    • Le chapitre cinq de la Genèse commence par l’affirmation suivante: « Voici le livret du Toledoth d’Adam. » Le terme Toledoth est en général traduit par « descendance », mais pour être plus précis, il signifie en réalité « compte rendu historique ou généalogique ».
    • Le chapitre six de la Genèse, lorsque le récit concernant Noé et le Déluge commence par les mots « Voici le Toledoth de Noé ». Il s’avère que des fragments d’un ouvrage connu sous le nom de Livre d’Adam et Ève ont traversé les millénaires sous leur version arménienne, slavonique, syriaque ou éthiopique. Le Livre d’Enoch (l’un des apocryphes qui n’ont pas été inclus dans la Bible canonisée) contient des passages qui, selon les chercheurs, seraient des fragments tirés d’un Livre de Noé bien plus ancien.


    Les restes de la biliothèque d'Alexandrie comme mémoire
    L’exemple de la célèbre bibliothèque d’Alexandrie, en Égypte, est souvent cité pour illustrer l’ampleur des livres perdus :

    • Fondée par le général Ptolémée après la mort d’Alexandre en 323 av. J.-C., elle est réputée avoir contenu plus de cinq cent mille « volumes » écrits sur toutes sortes de supports (argile, pierre, papyrus, parchemin);
    • La grande bibliothèque où les érudits se rassemblaient pour étudier les connaissances accumulées a brûlé et fut détruite au cours des guerres qui ont fait rage entre 48 av. J.-C. et la conquête par les Arabes, en 642 apr. J.-C.;
    • De ses trésors, il ne nous reste qu’une traduction des cinq premiers livres de la Bible hébraïque en grec et quelques fragments qui ont survécu dans les écrits de certains chercheurs attitrés de la bibliothèque;


    Manéthon (prêtre égygtien)
    C’est seulement ainsi que nous savons que le second roi Ptolémée confia vers 270 av. J.-C. la rédaction de l’histoire et de la préhistoire de l’Égypte à un prêtre égyptien que les Grecs connaissaient sous le nom de Manéthon.
    "Au début, écrit Manéthon, seuls étaient les dieux. Puis apparurent les demi-dieux et enfin, vers 3100 av. J.-C., les dynasties pharaoniques. Le règne des dieux, écrit-il, commença dix mille ans avant le Déluge et se poursuivit pendant des milliers d’années après lui, cette seconde période étant marquée par des combats et des guerres intestines."
    Dans les contrées asiatiques soumises à Alexandre, dont le pouvoir tomba aux mains du général Séleucos et de ses successeurs, on essaya de même d’offrir aux savants grecs un compte rendu des événements passés.
     
    Bérose (prêtre babylonien)
    Bérose, un prêtre du dieu babylonien Mardouk qui avait accès aux librairies de tablettes d’argile dont le cœur était la librairie d’Harran (sud de l’actuelle Turquie), rédigea une histoire des dieux et des hommes en trois volumes qui commence avec la venue de dieux sur Terre 432 000 ans avant le Déluge.
    Bérose dresse une liste des dix premiers chefs, donnant leur nom et la durée de leur règne. Il rapporte que le premier meneur, habillé en poisson, est sorti de la mer en marchant. C’est lui qui apporta la civilisation à l’humanité. Son nom, transcrit en grec, était Oannes.
    Ces deux prêtres rapportèrent donc la venue de dieux célestes sur Terre, évoquant une époque où seuls les dieux régnaient sur Terre et décrivant la catastrophe du Déluge. Leurs récits concordent sur de nombreux points.
    Assurbanipal (roi assyrien)
    Dans les quelques fragments de ces trois volumes ayant survécu (à travers des écrits de la même époque), Bérose mentionne l’existence d’écrits datant d’avant le Déluge. Il s’agit de tablettes de pierres qui furent dissimulées dans une ancienne ville appelée Sippar, l’une des cités originelles fondées par les anciens dieux.
    Bien que Sippar, comme les autres villes antédiluviennes des dieux, fût submergée et rayée de la carte par le déluge, une référence aux écrits antédiluviens a refait surface dans les annales du roi assyrien Assurbanipal (668-633 av. J.-C.). Jusqu’au milieu du XIXe siècle, l’ancienne capitale de Ninive n’était connue que dans l’Ancien Testament.
    Lorsque les archéologues la découvrirent, ils mirent au jour dans les ruines du palais d’Assurbanipal une bibliothèque contenant les restes de quelque 25 000 tablettes couvertes d’inscription.
    Collectionneur assidu de « textes anciens », Assurbanipal se vante dans ses annales: « Le dieu des scribes m’a accordé le don de la connaissance de son art, j’ai été initié aux secrets de l’écriture. Je suis capable de lire les tablettes sumériennes, pourtant si compliquées. Je comprends les mots énigmatiques gravés dans la pierre avant le Déluge. »
    La civilisation shumérienne (ou sumérienne)
    Nous savons maintenant que la civilisation shumérienne (ou sumérienne) :

    • s’est épanouie dans la région qui est ensuite devenue l’Irak presque un millénaire avant le début de l’ère des pharaons en Égypte, et que ces deux civilisations ont été suivies par celle de la vallée de l’Indus, dans le sous-continent indien.
    • elles furent les premiers à rédiger annales et autres récits sur les dieux et les hommes, à partir desquels les autres peuples, dont les Hébreux, ont tiré les textes de la Création, d’Adam et Ève, d’Abel et Caïn, du Déluge, de la Tour de Babel, des guerres et des amours des dieux, comme on peut le voir dans les écrits des Grecs, Hittites, Cananéens, Perses et Indo-européens.

    Ces écrits anciens prouvent que leurs sources étaient des textes plus anciens encore, certains retrouvés, d’autres perdus.

    Le volume de ces anciens écrits est prodigieux
    Ce ne sont pas des milliers mais des dizaines de milliers de tablettes d’argiles qui ont été découvertes dans les ruines du Proche-Orient de l’Antiquité. Nombre de ces écrits décrivent certains aspects de la vie quotidienne, dont le commerce, le salaire des travailleurs et les contrats nuptiaux.
    D’autres, mis au jour principalement dans les bibliothèques des palais, forment les annales royales. D’autres encore, découverts dans les ruines des bibliothèques des temples ou des écoles où l’on formait les scribes, forment un corpus de textes canonisés, une littérature secrète. Ils furent écrits en langue sumérienne puis traduits en akkadien (la première langue sémitique) et autres langues anciennes.

    Même ces écrits, qui ont plus de six mille ans, font référence à des « livres » perdus (textes inscrits sur des tablettes de pierre).
    Le mot « chance » ne suffit pas à qualifier la découverte miraculeuse, dans les ruines des villes et bibliothèques de l’Antiquité, de prismes d’argile recouverts d’informations sur les dirigeants antédiluviens et leurs 432 000 ans de règne combiné auxquels faisait allusion Bérose.
    Connues sous le nom de Listes des rois sumériens (et exposées au musée Ashmolean à Oxford, Angleterre), les différentes versions ne laissent aucun doute sur le fait que leurs compilateurs sumériens devaient avoir accès à une référence textuelle publique ou canonisée antérieure.
    Associées à des textes aussi anciens plus ou moins bien conservés, elles suggèrent fortement que la première personne à avoir rapporté l’Arrivée, mais aussi les événements qui l’ont précédée et suivie, devait être l’un de ces meneurs, un participant clé, un témoin visuel. Parmi ceux qui avaient assisté à ces événements (et qui y avaient en fait participé activement) se trouvait le chef qui s’était écrasé dans l’eau avec le premier groupe d’astronautes. À cette époque, son épithète était E.A. « Celui qui demeure dans l’eau ». Il avait connu la déception de voir le commandement de la Mission Terre confié à son demi-frère et rival EN.LIL (« Seigneur de l’Autorité »), une humiliation atténuée par le fait qu’on lui avait accordé le titre d’EN.KI (« Seigneur de la Terre »). Relégué dans l’E.DIN (« Éden »), loin des villes des dieux et de leur spatioport, le grand scientifique Ea/Enki supervisait l’extraction de l’or dans l’AB. ZU (Afrique du sud-est).
    Naissance de l'Humain
    Le grand scientifique Ea/Enki  rencontra par hasard les hominidés qui peuplaient ces régions. Lorsque les Anunnakis qui peinaient dans les mines se rebellèrent contre leur sort, c’est lui qui réalisa que la main-d’œuvre nécessaire pouvait être obtenue en faisant un bond dans l’évolution grâce à la manipulation génétique, et c’est ainsi que naquit l’Adam (littéralement, « Celui qui vient de la Terre », le Terrien).
    Hybride, l’Adam ne pouvait procréer. Les événements repris dans le récit biblique d’Adam et Ève relatent la seconde modification génétique à laquelle Enki eut recours pour ajouter les chromosomes sexuels nécessaires à la procréation. Et lorsqu’il apparut que l’Humanité avait évolué dans une direction inattendue, ce fut lui, Enki, qui défia le plan de son frère Enlil de la laisser périr dans le Déluge. Le héros de ces événements a été appelé :

    • Noé dans la Bible
    • Ziusudra dans le texte sumérien antérieur


    Premier fils d’Anu, le dirigeant de Nibiru, Ea/Enki connaissait parfaitement le passé de sa planète (Nibiru) et de ses habitants. Scientifique accompli, il transmit les plus importants aspects des connaissances avancées des Anunnakis à ses deux fils Mardouk et Ningishzidda, dieux qui étaient connus par les Égyptiens sous les noms de Ra et Thot. Il joua également un rôle prépondérant dans le partage avec l’Humanité de certains aspects de ces connaissances avancées, en enseignant « les secrets des dieux » à des individus choisis.
    À deux occasions au moins, ces deux initiés compilèrent ces enseignements divins en tant qu’héritage de l’humanité, comme il le leur avait été demandé :

    • Adapa, est connu pour avoir écrit l’un des premiers ouvrages perdus, intitulé Écrits sur le temps. Adapa était probablement le fils d’Enki et d’une Terrienne;
    • Enmeduranki, a selon toute probabilité inspiré le personnage d’Hénoch dans la Bible, celui qui fut emporté aux cieux après avoir confié à ses fils le livre des secrets divins. Il est possible qu’une version de cet ouvrage ait survécu dans le livre apocryphe d’Hénoch;


    Bien qu’il soit le premier-né d’Anu, il n’était pas destiné à succéder à son père sur le trône de Nibiru. Des règles de succession complexes à l’image de l’histoire torturée des Nibiriens accordaient ce privilège au demi-frère d’Enki, Enlil. Dans une tentative de résoudre ce conflit profond, Enki et Enlil furent envoyés en mission sur une planète étrangère, la Terre, dont l’or était nécessaire pour préserver l’atmosphère mourante de Nibiru.
    C’est dans ce contexte, rendu encore plus complexe par la présence sur Terre de leur demi-sœur Ninharsag (officier médical en chef des Anunnakis), qu’Enki décida de contrer le projet d’Enlil visant à faire périr l’humanité dans le déluge.
    Le conflit se poursuivit entre les fils des demi-frères, et même entre leurs petits-enfants. Tous, et en particulier ceux nés sur Terre, étaient confrontés à la perte de la longévité que la lente période orbitale de Nibiru leur aurait procurée, ce qui générait de l’angoisse et exacerbait les ambitions.
    La tension atteignit son paroxysme au cours du dernier siècle du troisième millénaire av. J.-C., lorsque Mardouk, le premier fils d’Enki et de son épouse officielle, affirma que c’était lui qui devrait hériter de la Terre, et non le premier fils d’Enlil, Ninurta. Ce terrible conflit ponctué d’une série de guerres conduit à l’usage des armes nucléaires, qui entraîna la malencontreuse disparition de la civilisation sumérienne.
    L’initiation d’individus choisis aux « secrets des dieux » avait marqué l’avènement du clergé, les lignées de médiateurs entre les dieux et le peuple, ceux qui transmettaient la Parole divine aux Terriens mortels.
    Les oracles, interprétations de la parole divine, allaient de pair avec l’observation des cieux à la recherche de présages. Alors que l’humanité était de plus en plus encline à prendre un parti dans les conflits entre les dieux, les prophéties commencèrent à jouer un rôle. En fait, le terme qui désigne ces porte-parole des dieux qui proclamaient ce qui allait se produire, Nabih, était l’épithète du premier fils de Mardouk, Nabu, qui avait essayé au nom de son père de convaincre l’humanité que les signes divins annonçaient la suprématie future de Mardouk.
     
    Ces changements soulignèrent la nécessité de distinguer le Sort et le Destin. Les proclamations d’Enlil et celles d’Anu n’avaient jusqu’alors jamais été remises en question. Désormais, on examinait la différence entre NAM (le destin dont la course, comme les orbites planétaires, était prédéterminée et ne pouvait être modifiée) et NAM.TAR (littéralement, un destin que l’on pouvait influencer, briser, changer: le Sort).
    En se remémorant et en réexaminant la série d’événements et l’apparent parallélisme entre ce qui s’était passé sur Nibiru et ce qui s’était produit sur Terre, Enki et Enlil entamèrent une réflexion philosophique sur ce qui était écrit et ne pouvait être évité, et ce qui n’était qu’une conséquence de bonnes ou mauvaises décisions et du libre arbitre. Le second ne pouvait être prédit, mais le premier pouvait être prévu, en particulier si tout, comme les orbites des planètes, était cyclique, si ce qui s’était produit devait se produire à nouveau, si les Premiers allaient être les Derniers.
    La catastrophe nucléaire est un événement crucial qui a exacerbé la réflexion intense des chefs anunnakis et a provoqué le besoin d’expliquer ses causes aux innombrables victimes humaines. Était-ce le Destin, était-ce le résultat du Sort forgé par les Anunnakis? Pouvait-on désigner un responsable, pouvait-on blâmer quelqu’un?
    Au cours des conseils anunnakis qui précédèrent la catastrophe, ce fut Enki qui se dressa seul contre l’usage des armes interdites. Il était donc important pour Enki d’expliquer aux survivants blessés comment les extraterrestres avaient fini par tout détruire malgré leurs bonnes intentions. Qui d’autre qu’Ea/Enki, qui avait été le premier arrivé et avait été témoin de tout, était le mieux qualifié pour raconter le passé afin de deviner le futur?
    La meilleure façon de tout raconter était un rapport d’Enki lui-même écrit à la première personne. Il ne fait aucun doute qu’il a rédigé son autobiographie. Un long texte (s’étendant sur au moins douze tablettes) découvert dans la bibliothèque de Nippur cite ces paroles d’Enki: Bientôt la Terre, largement inondée. J’approche ses prairies verdoyantes, Je demande à ce que des monts soient érigés. Dans un lieu pur je construis ma maison, et je lui donne le nom qui lui sied.
    Ce long texte se poursuit par une description des tâches assignées par Ea/Enki à ses lieutenants pour mettre en marche la Mission Terre. De nombreux autres textes portant sur divers aspects du rôle d’Enki dans les événements qui vont suivre permettent de compléter son récit. Ils comprennent notamment une cosmogonie, une Épopée de la Création qui repose sur le récit d’Enki lui-même et que les spécialistes appellent la Genèse d’Eridu. Ils comprennent des descriptions détaillées de la création de l’Adam.
    Ils décrivent la façon dont d’autres Anunnakis et Anunnakies vinrent à Enki dans sa ville d’Eridu pour obtenir de lui le ME, une sorte de disquette où tous les aspects de la civilisation étaient codés. Ils comprennent des textes sur la vie privée d’Enki et ses problèmes personnels, comme le récit de sa tentative de concevoir un fils avec sa demisœur Ninharsag, ses aventures avec déesses et filles de l’homme, et leurs conséquences imprévues.
    Le texte de l’Atra Hasis montre comment Anu s’est efforcé d’éviter que les rivalités entre Enki et Enlil s’intensifient, en partageant les domaines terrestres entre eux. D’autre part, les textes qui décrivent les événements ayant précédé le déluge rapportent pour ainsi dire mot pour mot les débats qui ont eu lieu lors du Conseil des dieux au sujet du sort de l’Humanité, mais aussi le subterfuge d’Enki, l’arche de Noé. Ce récit n’était connu qu’à travers la Bible, jusqu’à ce que l’une de ses versions originales mésopotamiennes soit découverte dans les tablettes de l’Épopée de Gilgamesh.
    Les principale sources écrites relatant les affaires des dieux et des hommes sont :

    • Tablettes d’argile sumériennes

    • Tablettes d’argile akkadiennes

    • librairies des temples babyloniens

    • librairies des temples assyriens

    • « mythes » égyptiens

    • « mythes » hittites

    • « mythes » cananéens

    • récits bibliques


    Zecharia Sitchin
    Pour la toute première fois, ces documents dispersés et fragmentés ont été rassemblés par Zecharia Sitchin pour recréer le récit d’Enki en tant que témoin: les mémoires autobiographiques et les prophéties d’un dieu extraterrestre.
    Présenté sous la forme d’un texte dicté par Enki à un scribe élu, ce Livre témoin destiné à être révélé le moment venu évoque les instructions données par Yahvé au prophète Isaïe (VIIe siècle av. J.-C.):
    "Maintenant va, écris-le sur une tablette, grave-le dans un livre, que ce soit un témoignage pour toujours et à jamais"
    Isaïe 30, 8 En étudiant le passé, Enki lui-même avait entrevu le futur.
    La notion que les Anunnakis, faisant usage de leur libre arbitre, étaient maîtres de leur propre sort (ainsi que du sort de l’Humanité) a finalement cédé la place à la prise de conscience du fait que c’était la Destinée qui déterminait le cours des événements, et non les paroles ou les actions des Anunnakis. Ainsi, comme l’ont annoncé les prophètes hébreux, "les Premiers seront les Derniers". Les événements décrits par Enki peuvent donc donner naissance à des prophéties. Le Passé sera le Futur.
    https://www.macroeditions.com/blog/nouvelle-sagesse/14-tablettes-enki-et-le-futur-de-lhumanite


    LE MENSONGE UNIVERSEL DES RELIGIONS ( TOUTES !! )
    Vous pensez que la Bible est la parole de Dieu et quelle est authentique et digne de confiance a 100%???
    Et bien NON hélas! En plus de mes recherches sur la et les falsifications de la bible des TJ j'ai été amené a chercher pourquoi certains livres ont été écartés du canon biblique...et j'ai découvert ce livre qui ma été conseillé par un autre chercheur de vérité!
    Il faut savoir tout remettre en question si on veut avancer dans la vérité.
    Mikaël Malik
    Mikaël Malik
    Membre - V.I.P
    Membre - V.I.P


    Sexe : Masculin pas témoin de la watchtower
    Messages : 3143
    Date d'inscription : 08/02/2021

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Empty Re: Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque »

    Message  Mikaël Malik Mer 5 Mai 2021 - 15:41

    Adam et Ève

    Focus Textes. Adam et Ève, des dieux mésopotamiens ?
    Jérémy André - publié le 30/10/2017


    Sur une terre paradisiaque à la végétation luxuriante, un homme et une femme furent poussés à des relations charnelles par les conseils funestes d'un serpent. Leur idylle s'en trouva brisée. Ainsi apparurent la maladie et la mort. Cela vous rappelle quelque chose ? Il ne s'agit pourtant pas d'Adam et Ève, mais d'Enki et Ninhursag, deux divinités sumériennes. 


    Leur légende nous est narrée par des tablettes cunéiformes retrouvées entre 1889 et 1900 à Ur, puissante cité de la basse Mésopotamie du IIIe millénaire avant notre ère. Les monothéismes modernes ont longtemps cru à l'originalité absolue du récit de la création de l'homme dans la Genèse. 

    Or, ce récit procède en fait de la réécriture d'un fonds polythéiste dans lequel baignaient les anciens Hébreux, tout particulièrement après leur déportation à Babylone, en 586 avant notre ère.

    Chaque élément du texte hébraïque possède ainsi son équivalent dans un mythe de Mésopotamie. La confection de l'homme à partir d'argile, le fruit défendu, la chute du paradis ? Dans la suite des tablettes d'Enki et Ninhursag, le premier homme, Adapa, est créé d'un mélange de boue et de sang. 


    Plus tard, Adapa est convoqué par le roi des dieux, Anu, et se voit proposer une nourriture qui le rendrait éternel. Trompé par Enki, Adapa refuse et est renvoyé sur terre.

    Un plagiat ?
    D'autres similarités se retrouvent dans le mythe d'Atrahasis (ou Le Poème du Supersage, compilation sur la Création et le déluge du XVIIIe siècle avant notre ère), l'Épopée de la Création (une nouvelle version du XIIe siècle avant notre ère), l'Épopée de Gilgamesh (XVIIe siècle avant notre ère)... De là à dire que les Hébreux ne furent que des plagiaires ? Au contraire, car la Bible innove radicalement. Elle pose les cadres du monothéisme, de cette relation directe entre l'Homme et Dieu. Les éléments de l'univers ne sont plus...

    http://www.lemondedesreligions.fr/papier/2017/86/focus-textes-adam-et-eve-des-dieux-mesopotamiens-30-10-2017-6757_238.php



    jean 10,8 Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands; mais les brebis ne les ont point écoutés.
    Mikaël Malik
    Mikaël Malik
    Membre - V.I.P
    Membre - V.I.P


    Sexe : Masculin pas témoin de la watchtower
    Messages : 3143
    Date d'inscription : 08/02/2021

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Empty Re: Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque »

    Message  Mikaël Malik Mer 5 Mai 2021 - 15:41

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Wiqt   

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Zabg

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 39om
    Mikaël Malik
    Mikaël Malik
    Membre - V.I.P
    Membre - V.I.P


    Sexe : Masculin pas témoin de la watchtower
    Messages : 3143
    Date d'inscription : 08/02/2021

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Empty Re: Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque »

    Message  Mikaël Malik Mer 5 Mai 2021 - 15:42

    La Bible et la .. Mésopotamie (1/2)



    De nombreux parallèles sont perceptibles entre la culture mésopotamienne et la Bible, soulignant leur appartenance à une tradition commune L’influence mésopotamienne s’exerça particulièrement lors de l’exil des Hébreux à Babylone, quand, menacés de disparition, ceux-ci entreprirent la rédaction des textes majeurs de la Bible.

    L’essor régulier des connaissances sur la civilisation mésopotamienne a permis d’opérer de multiples rapprochements avec des éléments significatifs du texte biblique. Ces similitudes tiennent pour une bonne part à la proximité entre les deux cultures au Ier millénaire av. J. C., et tout particulièrement au VI e siècle lors de l’exil des Juifs à Babylone. La plupart des exégètes s’accordent en effet à penser que c’est à cette époque, ou peu après le retour d’exil, que fut rédigée la majeure partie des textes fondamentaux de la Bible. C’est en particulier le cas pour le Livre de la Genèse, dans lequel l’influence des traditions mésopotamiennes est sensible. La formation du monde, la création de l’homme ou l’épisode de la tour de Babel en sont des illustrations notoires. Mais de pareilles influences sont aussi sensibles dans l’organisation de la fonction royale et ses rapports avec la puissance divine, comme dans la forme et le contenu des documents à vocation juridique. C’est l’épreuve de l’exil, avec la menace vitale qu’elle fit peser sur un peuple alors sans territoire, sans souverain et sans temple, qui conduisit à l’élaboration des textes majeurs de la Bible. Se fondant sur des documents de la tradition hébraïque, intégrant au passage des éléments de la culture babylonienne, cette vaste synthèse devait assurer la pérennité d’un peuple uni autour de la référence à une histoire exemplaire.
    Mikaël Malik
    Mikaël Malik
    Membre - V.I.P
    Membre - V.I.P


    Sexe : Masculin pas témoin de la watchtower
    Messages : 3143
    Date d'inscription : 08/02/2021

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Empty Re: Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque »

    Message  Mikaël Malik Mer 5 Mai 2021 - 15:42

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 1tv7

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Yw14

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 N4ij

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 8l9f
    Mikaël Malik
    Mikaël Malik
    Membre - V.I.P
    Membre - V.I.P


    Sexe : Masculin pas témoin de la watchtower
    Messages : 3143
    Date d'inscription : 08/02/2021

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Empty Re: Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque »

    Message  Mikaël Malik Mer 5 Mai 2021 - 15:43

    La Bible et L’Égypte



    Ce que la Bible doit..... aux Egyptiens
    Mikaël Malik
    Mikaël Malik
    Membre - V.I.P
    Membre - V.I.P


    Sexe : Masculin pas témoin de la watchtower
    Messages : 3143
    Date d'inscription : 08/02/2021

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Empty Re: Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque »

    Message  Mikaël Malik Mer 5 Mai 2021 - 15:45

    Je répandrai les Egyptiens parmi les nations, Je les disperserai en divers pays, Et ils sauront que je suis l'Eternel. Ézéchiel 30:26


    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Ac5265_9f096298cc3c40f78198130921927e34

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Ac5265_1be2dfdf80434fe3b8e0b4ddd83af4d3
    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Ac5265_cffbe7f2c98248529efff07f8ff4c190*

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Ac5265_b47d8e4e69c94190b1aceac39213534c


    Je répandrai les Egyptiens parmi les nations, Je les disperserai en divers pays, Et ils sauront que je suis l'Eternel. Ézéchiel 30:26

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Ac5265_18a0645f121c4b15bf4d0c9af6abdc48
    Mikaël Malik
    Mikaël Malik
    Membre - V.I.P
    Membre - V.I.P


    Sexe : Masculin pas témoin de la watchtower
    Messages : 3143
    Date d'inscription : 08/02/2021

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Empty Re: Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque »

    Message  Mikaël Malik Lun 18 Juil 2022 - 18:15


    Si on étudie la théologie égyptienne d'Amon et d'Aton, on s'aperçoit que la théologie hébraïque de l'Eternel a des points commun avec celle d'Amon, et qu'avec Moïse, c'est la théologie d'Aton qui influence celle de l'Eternel (qui tout comme Amon a des aspects multiples et plusieurs noms).

    La genèse révèle que c'est à la naissance du petit fils de Seth (le même nom que le Dieu égyptien ci-dessous ce qui montre bien un lien entre hébreux et égyptiens très ancien, seth signifie en hébreux "qui remplace", hors Seth troisième fils d'Adam, berger comme Abel assassiné par Caïn, Abel étant le second fils d'Adam et Caïn l'aîné, a donc "remplacé" Abel, et Seth

    Seph Dieu jaloux assassina Osiris son frère et était en compétition avec Horus, fils de la déesse Isis, pour mener la barque solaire.). Noé, ancêtre de plusieurs peuples, dont les hébreux, rescapé du déluge, est un descendant de Seth. 

    Les pharaons réprimèrent certains cultes à Seth, seuls cultes à pratiquer des sacrifices humains (wikipédia). Abraham, quitta Ur, cité sumérienne, et redevenant berger - nomade, c'est sous la protection de l'Eternel qu'il se place, ou encore c'est à un appel de l'Eternel qu'il répond. Donc l'Eternel est bien un protecteur d'un peuple nomade. La bible nous rapporte qu'Abraham veut lui sacrifier son fils Isaac, avant d'y renoncer; ce qui n'a rien de surprenant puisque, Ur est une cité sumérienne, les cités sumériennes initialement ne pratiquaient pas de sacrifices humains, puis à une époque donnée, des sacrifices humains en nombre important furent faits. La bible n'aura de cesse de rappeler l'interdiction du sacrifice humain et de le remplacer par un sacrifice animal, l'holocauste, animal entièrement consumé par le feu. D'autre part de nombreux passages bibliques évoquent un séïsme (lire plaidoyer pour nos enfants, pour un monde viable) ou une éruption volcanique, plusieurs villes occupées par les hébreux sous la direction de Moïse se trouvaient sur une faille sismique. On retrouve donc là un lien séïsme, volcanisme -sacrifice 

    humain remplacé chez les hébreux par un sacrifice animal consumé. 

    Pour mieux comprendre lisons ce que wikipédia nous apprend sur la théologie solaire des égyptiens: 

    Pour les égyptiens de l'antiquité, le cycle perpétuel du lever et du coucher du soleil est comparable au cycle de la vie et de la mort. Ainsi, chaque matin le soleil naît à l'orient, croît jusqu'au zénith, puis vieillit jusqu'à l'occident ou il disparaît dans le royaume des morts. Ce voyage diurne, le dieu solaire Rê le fait à bord d'une barque appelée mandjet. Le choix d'une barque comme moyen de transport se comprend aisément dans une civilisation résolument fluviale où le Nil occupe la place d'axe principal de communication et de source quasi-exclusive d'alimentation grâce aux crues, à l'irrigation et à la pêche. 

    Le périple perpétuel de Rê ne connaît pas de pause à la tombée de la nuit; bien au contraire, il ne fait que recommencer. C'est aux commandes d'une autre barque, appelée mesektet qu'il entame son périple souterrain et traverse les douze heures de la nuit avant de pouvoir renaître au matin. Dans le royaume des morts (la nuit), il doit affronter les forces du chaos dont le représentant le plus puissant est le serpent  Apophis. Il est accompagné sur la barque par d'autres divinités qui, comme Seth, l'aident à lutter contre le chaos. 

    Les Égyptiens de l'Antiquité ont imaginé qu'en s'associant au dieu solaire lors de sa course perpétuelle à bord des barques sacrés, leurs âmes vivraient éternellement. C'est ainsi que le culte funéraire est fortement marqué par ce mythe solaire. Par exemple, on construisait de préférences les tombeaux sur la rive occidentale du Nil (où « meurt » le soleil) et lors de l'enterrement on faisait traverser le fleuve au défunt sur des barques semblables à celle du dieu solaire.
     
    Là encore, histoire et philosophie religieuse se confondent, et en lisant ces lignes on comprend mieux la complémentarité entre le dogme égyptien et le dogme de Joseph, fils de Jacob nommé aussi Israël, ancêtre des hébreux qui chercha à les sédentariser à nouveau. Joseph épouse la fille du grand prêtre égyptien, ce qui montre le rapprochement religieux entre les deux peuples. La légende de la barque solaire montre un lien fait par les égyptiens entre le soleil, "le feu du ciel" qui la nuit, dans une autre barque entame un périple souterrain, et donc "le feu sous terre" qui se manifeste dans le volcanisme. 

    On a vu que "l'Eternel" se manifeste par le feu, buisson ardent, nuée, description évoquant un séÏsme, donc l'Eternel correspond à l'aspect bénéfique du Dieu Seth, nom que l'on retrouve avec l'ancêtre des hébreux qui invoqua le premier l'Eternel. Dans le culte d'Aton, les égyptiens s'associent au Dieu, leur pharaon prend le nom d'Akineton, "celui qui est utile à Aton", de même les hébreux, servent "l'Eternel" qui pour les égyptiens évoquent Seth qui aide à la traversée de la barque solaire. Les plaies d'Egypte décrites dans la bible, évoque les conséquences d'un volcanisme,  on peut supposer qu'il s'agissait du volcan qui détruisit une île, Thera en mère Egée et dont seul subsiste le pourtour constitué parl'archipel des îles du Santorin*. 


     On peut donc supposer que Joseph, héritier du patriarches des hébreux, intendant de Pharaon, époux de la fille du grand prêtre, était considéré comme serviteur de Seth, d'autant que le livre de la genèse décrit des séïsmes (terre qui s'ouvre) ou y fait allusion ou encore le volcanisme, comme manifestation de la colère divine. Mais l'éruption volcanique qui obscurcit le soleil fut vécu comme une nouvelle querelle entre Seth et Horus, et donc les hébreux furent chassés avec également des égyptiens, probablement tenu pour responsable de ce seïsme.

    Akineton instaura le culte du disque solaire seul, source de vie, sans Dieu Horus à tête de faucon, portant le disque solaire, Dieu fragile nécessitant le soutien du terrible Dieu Seth. 

    Ce culte du dieu soleil, Aton, assisté de Seth, le dieu qui gronde sous terre et dans le ciel et qui porte le nom de l'ancêtre fondateur de la tribu prédiluvienne de Noé, se retrouve également dans les légendes sumériennes:
     
    Gilgamesh voyagea longtemps et finit par arriver à une montagne dont le sommet était double. C'était le Mt Mashu, devant lequel veillent des monstres, des hommes scorpions, qui montent la garde aux portes du soleil.
     Lorsque chaque matin le Soleil sort du royaume des dieux pour éclairer les hommes....derriière cette porte est un tunnel obscur qui s'enfonce sous la montagne, et, marcherait-on deux fois douze heures, l'on n'en aurait pas encore atteint l'extrémité. Nul homme ne doit en fouler le sol, car il appartient au Soleil.

    http://mariejeannejourdan.over-blog.fr/pages/LEternel_Dieu_des_Hebreux_et_Seth_Dieu_des_egyptiens_le_meme_caractere_volcanique-1894659.html
     

    SETH

    (nom propre hébreu qui signifie : mis à la place ; cf. l'ail. Ersatz). 


    _________________________________________________________________________________________________________
    -
    « L’erreur va de pair avec l’oppressionLa vérité et la liberté ne craignent pas l’investigation. Ce sont des dons divinsc’est pourquoi toute organisation hostile à la liberté agit contre Dieu. Réveillez-vous! 1961 »

    -
    Mikaël Malik
    Mikaël Malik
    Membre - V.I.P
    Membre - V.I.P


    Sexe : Masculin pas témoin de la watchtower
    Messages : 3143
    Date d'inscription : 08/02/2021

    Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque » - Page 2 Empty Re: Les mensonges de la Watchtower« Qui a écrit le Pentateuque »

    Message  Mikaël Malik Lun 18 Juil 2022 - 18:18

    Le mythe d'Osiris ou la version égyptienne d'Abel et Caïn  

    Le premier livre de la Bible, la Genèse, retrace le début de l'humanité. L'un des tout premiers récits fondateurs, relaté au chapitre IV , raconte l'histoire de deux frères ennemis. Il est intéressant de noter que le mythe osirien est similaire à l'histoire biblique de Caïn et d'Abel.

     Comment expliquer les similitudes de ce que Mircea Eliade définit comme une « œuvre fondatrice de l’imaginaire occidental » qui renvoie au temps « primordial » et aux « fabuleux des commencements »? Et que dire de ces coïncidences troublantes que l'on retrouvent aussi dans d'autres cultures et traditions ? Une origine commune, décrite dans la Genèse, et la quête de l'immortalité en lien avec le premier mensonge sont une explication plausible. Analyse de la question à travers les textes et les salles.

    Le mythe d'Osiris
    La progéniture de Nout, déesse du Ciel et de Geb, dieu de la Terre, compte 3 hommes : Osiris, l'aîné des fils, Seth et Horus l'ancien et 2 femmes, Isis et Nephhtys qui s'entraident dans leur amour commun pour Osiris.

    Osiris et Seth étaient frères. Seth est l'antithèse de son frère. Il est fauteur de troubles quand Osiris est pacificateur. Il rend le désert aride alors qu'Osiris est le dieu de la fertilité. Jaloux d'Osiris, Seth son frère cadet, l'assassine, coupe son corps en morceaux qu'il renferme dans un coffre et jette à la mer. Après de multiples recherches, Isis retrouve le corps de son mari et frère. Et par ses larmes et ses baisers elle ranime son cadavre et engendre un fils, Horus. Le martyre d'Osiris lui vaut de gagner le monde de l'au-delà dont il devient le souverain et le juge suprême des lois de Maât. La légende faisait aborder à Byblos le corps d'Osiris.


    Le récit biblique du meurtre d'Abel

    On retrouve le récit au chapitre 4 versets 1 à 8 du livre de la Genèse.  "Adam eut des relations conjugales avec sa femme Eve. Elle tomba enceinte et mit au monde Caïn. Elle dit: « J'ai donné vie à un homme avec l'aide de l'Eternel. » Elle mit encore au monde le frère de Caïn, Abel. Abel fut berger et Caïn fut cultivateur. Au bout de quelque temps, Caïn fit une offrande des produits de la terre à l'Eternel. De son côté, Abel en fit une des premiers-nés de son troupeau et de leur graisse. L'Eternel porta un regard favorable sur Abel et sur son offrande, mais pas sur Caïn et sur son offrande. Caïn fut très irrité et il arbora un air sombre. L'Eternel dit à Caïn: « Pourquoi es-tu irrité et pourquoi arbores-tu un air sombre? Certainement, si tu agis bien, tu te relèveras. Si en revanche tu agis mal, le péché est couché à la porte et ses désirs se portent vers toi, mais c'est à toi de dominer sur lui. » Cependant, Caïn dit à son frère Abel: « Allons dans les champs» et, alors qu'ils étaient dans les champs, il se jeta sur lui et le tua.. " - Bible Segond 21

    Caïn a été regardé comme le type des persécuteurs des justes. Jésus-Christ le dit assez clairement en Matthieu 23:35 et Luc 11:51. Ces paroles du Christ, témoin oculaire céleste, sont pour le chrétien l'argument suprême en faveur d'un événement réel et non mythique. Il est question de Caïn dans trois passages du NT, Hébreux 11:4, 1 Jean 3:12 et Jude 11. Abel est le premier cité dans la longue liste d'Hébreux 11. L'apôtre Paul parle aussi du sang d'Abel en Hébreux 12:24.

    Le lecteur de la Bible ne sera pas surpris par les similitudes et coïncidences avec ce récit de la Genèse. Le récit biblique de la rivalité fratricide dans le livre de la Genèse en évoque d'autres présentes sur tous les continents, ce qui laisse penser qu'elle a une origine très ancienne.

    Des frères rivaux dans plusieurs civilisations
    Le récit biblique de la rivalité fratricide dans le livre de la Genèse en évoque d'autres présentes sur tous les continents, ce qui laisse penser qu'elle a une origine très ancienne. Ancré structurellement dans l'histoire culturelle de l'humanité, le récit biblique de Caïn et d'Abel se manifeste dans la série interminable des échos du motif dans la mythologie des différentes cultures et traditions, babylonienne

     (Tammouz et Ishtar), persane (Ahriman et Ahura Mazda), égyptienne (Seth et Osiris), romaine (Romulus et Remus) et grecque (Etéocle et Polynice).

    Il est intéressant de noter la lumière que fait la Bible sur l’origine possible des différents mythes. Selon Genèse 6:1-13, avant le déluge des fils angéliques de Dieu vinrent sur la terre. Ils engendrèrent les Nephilim ou ‘ Tombeurs ’. A cause de cette union contre nature de créatures spirituelles et d’humains, la terre se remplit d’immoralité et de violence (Jude 6; 2 Pierre 2:4). Les écrits attribués à Homère et à Hésiode sont peut-être le reflet amplifié, embelli et dénaturé du récit que rapporte la Genèse. Ces légendes parlent des amours adultères de ces  innombrables dieux et déesses de forme humaine, de grande beauté mais au caractère souvent violent et cruel. Autre parallèle étonnant : en plus des dieux principaux, il est fait mention de demi-dieux, doués d’une force supra-humaine mais mortels. Ressemblance frappante avec les Nephilim du texte biblique.

    « Dans les panthéons grec et romain, comme dans le panthéon chaldéen, on reconnaît le même groupement général, et souvent la même succession généalogique. La ressemblance est trop étendue pour que cette coïncidence soit le fait du pur hasard. » Remarquant aussi cette correspondance fondamentale, l’orientaliste E. Speiser fait remonter le thème des mythes grecs jusqu’en Mésopotamie. Là où se trouvait justement Babylone et l’endroit d’où les humains se dispersèrent après la confusion du langage. – Genèse 11:1-9. 

    Concernant ces peuples du passé, on retrouve partout des coïncidences les plus surprenantes dans les rites, les fêtes populaires, les traditions ainsi que dans les relations avec les dieux. Tous ces peuples ont pu puiser leurs conceptions religieuses à une source commune. Ces traits communs peuvent trouver leur explication biblique dans la dispersion des humains à partir de Babylone. Et si la finalité de ce premier mensonge n'était pas aussi de faire croire que le récit biblique de la Genèse n'était qu'une fable …


    https://www.louvrebible.org/consultation?id=265


    _________________________________________________________________________________________________________
    -
    « L’erreur va de pair avec l’oppressionLa vérité et la liberté ne craignent pas l’investigation. Ce sont des dons divinsc’est pourquoi toute organisation hostile à la liberté agit contre Dieu. Réveillez-vous! 1961 »

    -

      La date/heure actuelle est Ven 26 Avr 2024 - 13:22