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La Tour de Babel :: l'origine de l'empire mondial des religions

    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge !

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    Message  Arlitto Mer 14 Oct 2020 - 9:38

    Rappel du premier message :

    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge !


    "Le calife Uthman" a brûlé 31 versions différentes des Corans qui tournés à l'époque !. 

    Sous le califat de `Uthman, troisième calife (644 - 656), le territoire musulman s'est considérablement agrandi et de nouveaux problèmes surgissent : quatre types de divergences apparaissent à propos du texte du Coran. Le calife Uthman décide alors d'officialiser un type unique d'écriture du texte coranique et d'établir une classification unique des sourates les unes par rapport aux autres. 

    C'est à cette fin qu'il charge une commission de préparer plusieurs copies (mus'haf) du Coran. Et cela se passait en l'an 25 de l'hégire, soit quinze ans après la mort du Prophète. Ces copies préparées, `Uthman les fait envoyer en différents points importants du territoire musulman. 

    Tous ces éléments sont rapportés par Al-Bukhârî, no 4 702. Les copies du Coran écrites de nos jours suivraient toujours mot pour mot et lettre pour lettre cette écriture des copies d'Uthman, écriture nommée « ar-rasm al-uthmanî ». Quelques-unes de ces copies existeraient encore aujourd'hui, l'une se trouverait à Istanbul (Turquie), l'autre à Tachkent (Ouzbékistan).

    Après avoir envoyé ces copies dans chaque région, `Uthman fit détruire toutes les copies précédentes, dont celle d'Ali, gendre de Mahomet, celle d'Ubai b. Ka'b ainsi que celle d'Ibn Mas`ud. Bien que ce dernier ait refusé de détruire sa copie de son vivant, elle fut brûlée par la suite.

    Le Kallif othman ibn afan a brûlé toutes les 31 versions du coran pour garder sa version qui circule aujourd'hui, c’est pourquoi il y a un seul coran.

    Mais on trouve quelques versions qui circulent toujours comme : 

    1)Coran version Hafess en Égypte
    2)Coran version Warche au Maroc
    3)Coran version Kaloun en Tunisie


    Ref:

    Dairat el maaref el islamiya, livre 26 page 8177 à 8194
    Al masahef de Iben Daoud al Cijistani page 21
    Fehrest de Iben al nadim
    Le plus grand auteur arabe Dr Taha Houssen dans son livre al fetna al koubra partie 1 page 160 a 183 a critiqué l'islam
    Al Tabari


    Le Coran d'Othman ou de Mohammed ? 

    Voici une liste de corans qui ont été brûlé par Othman.

    Le Coran d'Abdullah Bin Amre Ibn Al-Ass
    le Coran d'Abdullah Ibn Abbas
    le Coran d'Abdullah Ibn Al Zoubir
    le Coran d'Abe Baker Al Sedeek
    le Coran d"Abe Mosa Al Asharee
    le Coran de Abu Zaied
    le Coran d' Aïcha,
    le Coran d'Akrama
    le Coran d'Al Asoad Ibn Yazid 
    le Coran d'Al Hajaj Ibn Yousef Al Thakafy
    le Coran d'Anes Bin Malek
    le Coran d'Ata' Abe Rabeh
    le Coran d'Hafsa
    le Coran de Moaaz Bin Gabel
    le Coran de Moujahid
    le Coran de Muhammad Bin Abe Mosa.
    le Coran d'Obaid Bin Omeir Al-Laithy.
    le Coran d'Othman Ibn Affan
    le Coran de Qualown /Abu Mosa Ibn Mina
    le Coran de Saeed Bin Gabber 
    le Coran de Salem Maola Abe Hozaifa
    le Coran de Suleiman Ibn Mahran
    le Coran de Talha
    le Coran de Waresh
    le Coran de Zaied Ibn Thabet
    etc...

    De toutes ces anciennes versions du Coran qui ont été détruites, seuls deux manuscripts ont survécu jusqu'à notre époque : le Codex de Samarcande (daté de 654) conservé au musée Doktary à Istamboul et le Codex de Londres (daté de 772) conservé au British Museum. Chacun contient environ 750 divergences par rapport au Coran actuel (on remarque que c'est souvent le Coran actuel qui semble avoir ajouté des mots ou des phrases au texte primitif).


    Al Tabry, au 10ème siècle, l'avouait carément : 

    "Le texte du coran n’était pas fixé à mon époque." 



    Et l'Imam Ja'far, pour résumer la situation, allait plus loin encore :

    "Le véritable Coran n'existe pas !"


    Selon As-Suyuti (mort en 1505) Ibn ’Umar al Khattab aurait dit :

    "Que personne d’entre vous ne dise qu’il a acquis le Coran entier, car qu’en sait-il ? Beaucoup du Coran a été perdu ! Alors qu’il dise : J’ai acquis ce qui était disponible. "
    (As-Suyuti, Itqan, partie 3, page 72). 


    Jabir a rapporté que l'Imam Bar a dit :

    "Personne ne peut affirmer avoir rassemblé tout le Coran tel qu'il a été révélé par Allah, si ce n'est un menteur ! Le Prophète dit alors : c'est ainsi que le démon m'a envoyé ses deux serviteurs à l'instant Abu Bakr et Omar". (Commentaire de bas de page de la traduction de Maqbool : Sourate "Hajj": 674)


    Un grand nombre d'exemple de modification du Coran. En voici un

    L’Imâm Al-Bukhârî et Ibn Jarîr disent que, selon Ubayy Ibn Ka`b et Anas b. Malik, ces paroles ont été révélées dans la Sourate 102 "At-Takâthur" (La course aux richesses) : 

    "Le Prophète (paix et bénédiction d’Allâh sur lui) a dit : 'Si le fils d’Adam avait deux vallées de richesses, il souhaiterait que lui en fût échue une troisième. Rien ne peut remplir le ventre du fils d'Adam sauf la terre (= la mort), mais Dieu revient vers celui qui revient à Lui' ...". 


    -----> Pourtant on ne retrouve plus ce passage dans la sourate 102 (qui ne contient que 8 versets) du coran actuel. Il a donc été enlevé.

     Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi.

    .
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    Message  Arlitto Mer 14 Oct 2020 - 9:44

    Coran : aux origines d’un grand bricolage.

    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge ! - Page 2 6smf
    Par Mireille Vallette
    Depuis quelques décennies, des chercheurs utilisent les méthodes modernes pour aborder scientifiquement les origines de l’islam. Epigraphes, philologues, linguistes, historiens ont déjà déblayé un riche terrain. Ils révèlent une réalité bien éloignée des récits religieux.


    Encore une belle histoire qui s’effondre. 
    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge ! - Page 2 Xbp4

    Celle de lettres descendues des nuées comme autant de petites étoiles tombant sur l’ange Gabriel et illuminant Mahomet dans sa grotte. Sans intervention humaine. En fait, seuls les tenants de la magie divine en seront étonnés: les humains ont tout fait. Le Coran n’est ni incréé, ni parfait. Et ses versions ont beaucoup évolué au fil du temps.

    Sur ses origines, décrites par les chercheurs, je ne donnerai ici que quelques exemples destinés à ouvrir l’appétit des amis du savoir. Ils trouveront des liens susceptibles d’approfondir leurs connaissances en bas d’article. Dison d’emblée que le site capucins.net fait un remarquable résumé de l’avancée actuelle. Je lui ai beaucoup emprunté. Des divergences existent encore sur ces sujets, mais l’histoire, la vraie, est en marche.

    Premiers textes, premiers corans
    Selon la tradition, les révélations de Mahomet (censé être mort en 632, date à retenir pour ce qui va suivre) ont été notées sur des pierres plates, des omoplates de chameaux, des nervures de feuilles de palmier et... dans la mémoire de ses disciples. Etrange, alors que le parchemin existait depuis plusieurs centaines d’années. Et qu’à propos de La Mecque, «les spécialistes s’accordent sur le fait qu’en ce lieu, à cette époque, personne ne savait écrire». (capucins.net)Toujours selon les traditionnistes musulmans, le livre a d’abord été constitué de fragments, des codex (ensembles de feuilles cousues en cahier). La recherche et le recueil de ces textes auraient commencé vers 650. Les premières versions ne contiennent pas de voyelles courtes, ni de points diacritiques permettant de distinguer les consonnes. Dans cette écriture, un mot peut avoir jusqu’à 30 sens différents. Ces textes sont illisibles pour les non-spécialistes.

    Une trouvaille extraordinaire a été faite à Sanaa (Yémen) en 1972 : des milliers de manuscrits coraniques qui datent des VIIe et VIIIe siècles et dont la majeure partie doit encore être étudiée. Ils confirment déjà que le Coran officiel, censé être intouchable et intouché, a subi bien des retouches.

    Selon l’orthodoxie musulmane, c’est le calife Othman qui aurait fait une recension définitive en 656, avec quatre à sept copies envoyées dans les capitales de l’empire, puis aurait fait détruire le matériel. On n’a aucune trace de ce Coran. Les spécialistes historico-critiques estiment que sa formalisation s’est poursuivie environ 200 ans après Othman.

    Les premières versions complètes apparaissent aux VIIIe et surtout IXe Abbassides.

    Des points et des accents ont été ajoutés par des grammairiens perses afin d'éviter une fausse lecture. Ils ont aussi noté de nombreux commentaires qui expliquent les contenus incompréhensibles. C’est au terme de violentes disputes et de versions différentes que le sens final a été décidé.

    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge ! - Page 2 CcczLa version finale, censée être celle d’Othman, a été fixée au Caire en 1923, 1300 ans après la mort de Mahomet. Mais même avec tous ces rajouts et explications, le saint livre ne se comprend pas aisément. Peut-être est-ce la raison de l’importance de l’apprendre par cœur. C’est tellement plus simple que se demander pourquoi Dieu a créé un livre aussi imparfait.

    Les sourates (chapitres) sont classées non pas par ordre chronologique, mais par longueur, des versets en abrogent d’autres, sans mention, et de nombreux passages restent obscurs. On ne sait ni où, ni quand se déroulent de nombreux récits ou allusions, les personnages ne sont pas présentés.

    Le texte comprend par ailleurs de très nombreuses fautes linguistiques et stylistiques, des expressions ambigües et des mots au sens multiple (voir cet entretien avec Sami Aldeeb maître incontesté du sujet). Les ambiguïtés représentent 20 à 25% de l’ensemble du texte. Certains passages restent incompréhensibles. D’autres font l’objet d’interprétations contredites par l’histoire. C’est le cas du «voyage nocturne» de Mahomet censé avoir été, en rêve, porté par une jument vers «la Mosquée sacrée» ou «Mosquée très éloignée», que les musulmans situent à Jérusalem. Or, il n’y avait pas de mosquée à Jérusalem à l’époque du prophète. La «mosquée al-Aqsa», dont le nom reprend la désignation coranique, a été construite plus tard.

    L’origine religieuse
    L’élaboration du Coran primitif s’est déroulée dans un contexte judéo-chrétien tourmenté comprenant une foule de sectes et de courants. Les recherches actuelles penchent pour une origine nazaréenne de l’islam, une tendance qui faisait une synthèse du judaïsme et du christianisme dans une optique messianique. Elle considère Jésus comme un prophète. Cette secte s’opposait vivement aux juifs traditionnels, ce qui explique la hargne antijuive du coran. Une hypothèse se précise: les premiers manuscrits coraniques seraient des brouillons de prédicateurs nazaréens qui voulaient convertir les Arabes.

    De nombreux emprunts sont faits à des religions préislamiques, par exemple le manichéisme («Sceau des prophètes », Bible falsifiée, révélations d’un ange dans une grotte, jeûne type ramadan, etc.) ainsi qu’aux légendes et écrits chrétiens et juifs, la Bible en particulier. Ces récits sont souvent déformés.

    Pas de Mahomet à La Mecque
    De très nombreuses indications du Coran et des autres textes majeurs (sunna, sirah) rendent peu plausible, voire impossible, que Mahomet ait eu ses premières révélations à La Mecque. L’un des plus récents ouvrages, celui de Dan Gibson, est particulièrement convaincant. Alain Jean-Mairet a relaté ici ses découvertes majeures. Les descriptions climatiques, géologiques, géographiques et topographiques ne correspondent pas à La Mecque, mais parfaitement à Pétra en Jordanie. D’autres chercheurs estiment que c’est en Syrie que les événements décrits se sont déroulés et que les premières sourates ont été écrites.


    La Mecque était au mieux un village. 
    Il ne se situait pas sur la route des caravanes, alors que cet élément joue un grand rôle dans les récits islamiques. Les premiers vestiges archéologiques et la mention de ce lieu sur une carte géographique datent de 900On ne trouve pas non plus trace dans cette ville des trois déesses citées dans plusieurs versets, contrairement à leur présence attestée en Jordanie, en Syrie actuelle et dans le nord-ouest de l’Arabie saoudite.

    Selon Patricia Crone, on ne trouve de La Mecque «aucune mention, que ce soit en grec, en latin, en syriaque, en araméen, en copte, ou en une autre littérature composée en dehors de l’Arabie avant l’époque des conquêtes ».

    Autre bizarrerie: quelle idée d’interdire la consommation de porc au VIIe siècle dans les révélations mecquoises, alors que le porc n’existait pas dans la région ? Les chercheurs en déduisent que ces sourates ont été écrites plus au nord, en Palestine ou en Jordanie, où cette espèce était présente.

    Enfin, La Mecque n’est mentionnée que deux fois dans le Coran.

    Mahomet prophète post mortem
    Le mot Mahomet n’apparaît que quatre fois dans le Coran, et ce n’est probablement pas un prénom, mais un titre. Et même ces quatre mentions auraient été des ajouts. Pour compenser ce manque, l’orthodoxie considère que les termes de « prophète, annonciateur, avertisseur, apôtre, etc. », présents 405 fois dans le Coran, sont des mentions indirectes de Mahomet. Selon certains spécialistes, ce serait plutôt à Moïse que ces termes s’appliquent, un nom mentionné 150 fois.

    Le terme de musulman est apparu vers 720, près d’un siècle après la mort du prophète. Sur le plan numismatique, la croix figure sur les pièces de monnaie califales jusqu’en 696. C’est avec le calife Abd al-Malik vers 700 que commence le processus de disparition du symbole chrétien.

    L’empreinte de l’araméen
    L’écriture arabe a été créée par des moines chrétiens à partir du nabatéen, du syriaque et de l’araméen vers l’an 400, près de Bagdad. La langue était parlée par les tribus arabes. Les toutes premières et rares inscriptions en arabe dans le Hedjaz, région de La Mecque, datent de 652, soit 20 ans après la mort de Mahomet. Elles ne se multiplieront qu’un bon siècle plus tard. C’est une raison de plus pour exclure que le prophète ait vécu à La Mecque au temps de ses premières révélations.

    L’influence de l’araméen éclaire beaucoup les premiers écrits coraniques, dont les manuscrits de Sanaa. Un grand nombre de termes sont issus de cette langue comme «islam», «musulman», «ramadan». Mais l’arabe est considéré dans la doxa musulmane comme la langue qu’Allah parle avec les anges depuis avant la fondation du monde. Et le Coran est censé être écrit en «arabe pur».

    Un linguiste allemand, Christoph Luxenberg, a montré que de nombreuses obscurités et non-sens du Coran s’éclairent si l’on recherche le sens des mots et des tournures grammaticales non pas dans la langue arabe, mais dans l’araméen parlé en Syrie. Les fragments de Sana comportent des «aramaïsmes» en très grand nombre. Des mots et des formes ont été ôtés des versions ultérieures afin de garder l’idée de «l’arabe pur».

    Le grand nombre de termes et de formes venus du syro-araméen présents dans le Coran indique que son origine se trouve plutôt à Médine ou plus au nord, dans le cœur du territoire syro-araméen. Mais pas à la Mecque qui se trouvait en dehors de cette aire linguistique.

     Un exemple de ces recherches linguistiques: les versets sur les houris, ces jeunes vierges peuplant le paradis. Ils sont particulièrement difficiles à comprendre. 

    En fait, nous apprend Christoph Luxenberg, le mot houri du Coran dérive de la racine araméenne hur, qui signifie grappe de raisin. Par quelles contorsions sémantiques les auteurs du Coran l’ont-ils traduit par jeunes vierges et comment ont-ils bricolé les versets qui s’y rapportent? Je vous invite à lire le résumé de la brillante démonstration de Luxenberg, résumé qui se conclut ainsi: «Retenons que sa recherche dans la grammaire et le vocabulaire araméen résout tous les problèmes de ces versets de façon simple, sans avoir à imaginer des interprétations par des allégories, ou par des hypothèses ad hoc sur ce qu’aurait pu être le dialecte de La Mecque ou l’arabe du paradis, ou encore par des explications qui prétendent que blanc signifie noir, ou par des sous-entendus qui conduisent à dire que blanc signifie jeune fille et gonflée adolescente. (...) ce choix était probablement fondé (...) sur la volonté d’occulter la présence des nazaréens, de leur langue et de la valeur symbolique qu’ils attachaient au vin et à la vigne. »

    http://www.islamisation.fr/archive/2014/08/19/les-3-visages-du-coran-origines-construction-
    et-remaniements-5430770.html   Une interview d’une heure de Leila Qadr, auteure de «Les 3 visages du Coran», à laquelle sont joints une douzaine d’exemples d’emprunts du Coran à des textes préexistants.


    Lien : http://lesobservateurs.ch/2014/10/15/coran-aux-origines-dun-grand-bricolage/

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    Message  Arlitto Mer 14 Oct 2020 - 9:45

    Un grand mensonge Islamique


    "Histoire de la compilation et de la diffusion du Coran"

    Arefeh Hedjazi 

    La « compilation » du Coran ne signifie pas son écriture ; puisque le Coran est la Parole de Dieu révélée au Prophète Mohammad, messager dont le devoir était de transmettre cette Parole à l’Humanité. D’après le Coran lui-même, ce Livre est une représentation physique d’un autre Coran, incréé et préservé dans "La Tablette gardée" [1] : [2]

    "Ce Qoran glorieux
    Est écrit sur une table gardée avec soin" [3]
    Le Coran a été révélé au prophète Mohammad par l’intermédiaire de l’archange Gabriel durant 23 années. Le Prophète a récité au fur et à mesure ce qui lui était révélé du Livre aux hommes.

    Ainsi la compilation du Coran ne signifie pas sa "rédaction" mais sa transcription et son rassemblement dans un volume unique. Cette compilation s’est faite en trois temps : du vivant du Prophète, où ce dernier s’est assuré de la mise en écrit de toute la Parole qui lui avait été révélée ; après son décès et à l’époque du premier calife, où la validité de tous les versets a été vérifiée et le Coran rassemblé dans des volumes uniques ; et enfin le califat de ’Othmân, où les diverses compilations ont été unifiées en une seule, qui est la version originelle de tous les Corans existants et publiés aujourd’hui.

    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge ! - Page 2 R7onManuscrit en script hijazi remontant à la première moitié du Ier siècle de l’hégire

    La première étape de la préservation du Coran
    Elle a commencé dès la Révélation, avec le travail du Prophète lui-même et son acharnement à préserver le verset exactement, dans les moindres détails, même phonétiques. Dès les premières conversions - qui étaient d’ailleurs souvent provoquées par l’écoute du Coran -, les nouveaux musulmans apprenaient les versets par cœur et le Prophète vérifiait l’exactitude de ce qu’ils avaient appris. Les nouveaux musulmans appréciaient tant le Coran qu’ils rivalisaient dans sa connaissance, à tel point que le Prophète devait parfois calmer les ardeurs des nouveaux convertis. [4] Le Prophète écoutait lui-même les musulmans réciter pour vérifier leur prononciation et la correction de ce qu’ils avaient retenu. Il faut préciser que la culture arabe était essentiellement une culture orale, où la mémoire jouait un rôle fondamental. Les Arabes de la péninsule arabique des débuts de l’islam disposaient pour la plupart d’une capacité de mémorisation exacte et extraordinaire qui les rendait capables de retenir des livres entiers par cœur. Il était courant pour beaucoup d’Arabes de cette période de connaitre plusieurs dizaines de milliers de chants ou de poèmes. Ainsi, la première « compilation » du Coran fut orale et se fit au fur et à mesure de la Révélation des versets divins au Prophète, qui les transmettait immédiatement.

    Combien de personnes ont été les premières à connaître l’intégralité du Coran ? C’est une question polémique qui a posé beaucoup de problèmes. Le Français Blachère cite sept noms, se basant sur un hadith de Bokhâri [5], alors qu’un autre hadith cite uniquement quatre noms et que les historiens estiment aujourd’hui que leur nombre dépassait les dizaines.

    La compilation écrite des versets
    Considérant que la tradition arabe était une tradition orale, il faut insister sur le fait que le Coran s’est diffusé de façon orale sous la supervision du Prophète, mais ce dernier s’est également chargé immédiatement de transcrire par écrit les versets. Le mot "Coran" est dérivé de la racine arabe relative à "lecture" et le premier verset de la Révélation musulmane a été un ordre de lecture :
    1. Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé,
    2. qui a créé l’homme d’une adhérence.
    3. Lis ! Ton Seigneur est le Très Noble,
    4. qui a enseigné par la plume [le calame],
    5. a enseigné à l’homme ce qu’il ne savait pas. [6]

    C’est donc normal que la compilation écrite du Coran ait également été immédiatement poursuivie par le Prophète. Dès le départ, rassemblant les rares lettrés, le Prophète a procédé à la mise en écrit du Coran, parallèlement à sa diffusion orale. [7] Le Coran lui-même est la meilleure preuve de cette compilation écrite. Dans la sourate 98 Al-Bayyinah (La preuve), versets 1 à 3, il est insisté sur le caractère "écrit" du Coran :

    1. Les infidèles parmi les gens du Livre, ainsi que les Associateurs, ne cesseront pas de mécroire jusqu’à ce que leur vienne la Preuve évidente :
    2. un Messager, de la part d’Allah, qui leur récite des feuilles purifiées,
    3. dans lesquelles se trouvent des prescriptions d’une rectitude parfaite.

    Les scribes du Coran étaient tous des Compagnons du Prophète et des musulmans dignes de confiance. Hakim dit dans le Mostadrak que "Le Coran fut compilé trois fois : la première fois durant la vie du Prophète, la deuxième et la troisième fois sous la supervision des deux califes" et il cite Zeyd "Nous étions auprès du Prophète et rassemblions le Coran qui était écrit sur les feuilles fraîches." Le théologien chiite du Xe siècle, Seyyed Râzi, estime également que le Coran a été compilé intégralement sous sa forme actuelle à l’époque du Prophète, suivant le raisonnement suivant : les premiers Compagnons du Prophète ont plusieurs fois récité l’intégralité du Coran suivant l’ordre actuel du Coran – la version actuellement existante du Coran datant d’après le décès du Prophète -, pour que le Prophète vérifie la justesse de leur récitation, il y avait donc déjà à l’époque une compilation "intégrale".

    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge ! - Page 2 0xa0Coran en style kufi datant du VIIe siècle

    Les « scribes » de la Révélation
    L’histoire raconte que durant les débuts de la Révélation, dans tout le clan des Quraysh, seuls dix-sept personnes savaient lire et écrire et à Médine, région plus rurale, leur nombre était encore plus réduit.
    Mais dès l’apparition de l’islam, l’alphabétisation commença sous l’impulsion du Prophète et finalement, durant les dernières années de sa vie, une quarantaine de scribes étaient chargés de transcrire le Coran. C’est un chiffre également très polémique. Certains de ces scribes, comme Zeyd et Ubbay, qui maîtrisaient tous deux le syriaque et l’hébreu, ont uniquement travaillé à cette transcription, alors que d’autres étaient également chargés de la correspondance officielle de la nouvelle communauté musulmane. Parmi ces derniers, le calife ’Othmân et l’Imâm ’Ali étaient particulièrement actifs.

    Les versets étaient inscrits sur des feuilles de qualité diverse : feuilles de palmier, peaux de gazelle, cuir, soie, pierres ou os blancs et plats, ou même des tablettes en bois. Il y avait aussi du papier et de l’encre disponibles, puisque la ville de La Mecque était située sur une route de commerce et que les riches Mecquois avaient donc besoin de tenir une comptabilité.

    Les compilations écrites du Coran
    A la mort du Prophète, l’ensemble du Coran avait été compilé et le Prophète avait vérifié la conformité des versets et l’ordonnance des sourates. Tous les hadiths et souvenirs recueillis de cette époque confirment effectivement que le Prophète lui-même avait indiqué l’ordre des versets dans les sourates et l’ordonnance des sourates dans le Livre. Ainsi, la sourate qui ouvre le Coran, « Al-Fatiha » (L’ouverture ou Le prologue) avait le même nom du vivant du Prophète.

    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge ! - Page 2 LumvVerset 17 de la sourate al-Isra’, Coran datant du IXe siècle, calligraphe anonyme, Library of Congress
    Les compilations du Coran après le décès du Prophète

    La guerre du Yamâmah
    Un an après le décès du Prophète, la guerre du Yamâmah causa la mort de centaines de récitants du Coran, les chiffres variant de 70 à 450. Cet événement poussa le calife Abou-Bakr à rassembler l’ensemble du Coran en un livre unique, sous l’instigation du futur calife ’Omar, dit-on. [8] Ce fut la deuxième compilation. Ainsi, ’Omar ordonna que tous ceux qui possédaient un manuscrit de versets l’apportent pour que les versets soient ajoutés à l’ensemble et aucun verset n’était accepté, pas même s’il était apporté par un des scribes du Prophète, sans qu’au moins deux personnes témoignent de la validité du verset, c’est-à-dire qu’ils témoignent que ce verset avait été transcrit directement sous la supervision du Prophète. L’histoire et les commentaires du Coran sont en soi des preuves de l’extrême méticulosité qui fut portée au rassemblement du Coran à cette occasion. Le scribe Zeyd, secondé par ’Omar Ibn al-Khattâb, fut choisi par le calife pour mener à bien cette compilation. Ce travail commença en l’an 13 de l’hégire (633) et dura quatorze mois. Cette compilation est le Coran tel qu’il est connu aujourd’hui. Une unique version fut donc préparée, et conservée par Abou-Bakr jusqu’à son décès. Puis ce fut le second calife ’Omar, qui le conserva, et finalement Hafsa, sa fille et épouse du Prophète. Le calife ’Othmân copia ce Coran en deux exemplaires et il fut finalement détruit – certains disent brulé, d’autres disent lavé, d’autres disent déchiré, par Marvan, le calife omeyyade - [9], mais il avait déjà été copié et distribué dès l’an 30, après la troisième compilation (qui a conduit à l’unification de tous les exemplaires) ; et c’est le Coran aujourd’hui existant dans la communauté musulmane qui veille sur son intégrité.

    Les Corans personnels
    Avant l’ordre de rassemblement des versets et sourates épars, il était courant, surtout pour les premiers musulmans et les Compagnons du prophète, d’avoir des Corans propres, c’est-à-dire des Corans comportant uniquement quelques versets ou sourates, qui n’étaient pas intégraux et dont l’ordonnance était également variable d’un exemplaire à l’autre. Ces Corans étaient des quasi-titres de noblesse et donnaient un prestige immense à leurs propriétaires. On cite 23 de ces exemplaires dont les noms des propriétaires soient parvenus jusqu’à nous. Aucune de ces compilations n’a été découverte à ce jour et les plus anciennes pages des Corans trouvées datent d’après l’unification. Durant ces années, les musulmans utilisèrent ces compilations souvent incomplètes éparses et certaines d’entre elles avaient également des spécificités graphiques basées sur les différences de récitations ou d’accents. Le Coran qui existe aujourd’hui est entendu dans l’accent mecquois des Quraysh et au moment de son rassemblement par Zeyd, un groupe de lettrés et de poètes qurayshites fut chargé de s’assurer de la justesse de la prononciation. Ces diverses compilations, surtout celles qui étaient intégrales, avaient chacune leurs défenseurs.

    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge ! - Page 2 2ia3Versets 85-88 de la sourate Al-Anaam, IXe siècle, calligraphe anonyme, écriture koufique, Library of Congress

    L’unification des compilations à l’époque du calife ’Othmân
    Avec le développement et la diffusion de l’islam dans des pays non-arabophones et les difficultés de prononciation de ces peuples, ainsi que les particularités des différents accents arabes de la péninsule elle-même, une demande en traduction se montra très tôt, ainsi qu’une pression pour l’acception de toutes les prononciations existantes. D’un autre côté, les récitants avaient chacun leur propre manière de lire et chacun était libre de suivre l’une de ces récitations. Ainsi, des problèmes sérieux avaient surgi en matière de lecture coranique et de prononciation phonétique à l’époque du calife ’Othmân. Une organisation, un groupe fut mis en place, encore une fois sous la direction de Zeyd, pour unifier toutes les compilations existantes. Durant cette unification, toutes les compilations différentes, y compris la compilation d’Abou-Bakr, furent comparées ensemble.
    Cette comparaison des différentes compilations fut le secret du succès de cette unification car à cette époque, chacune des compilations avait ses défenseurs qui s’accusaient mutuellement d’hérésie. De plus, parallèlement à la comparaison, la même méthode utilisée pour compiler le Coran à l’époque d’Abou-Bakr fut utilisée pour vérifier la validité des versets et sourates de chaque compilation. Ainsi, un nouveau Coran fut transcrit avec une grande attention, non seulement dans la vérification de l’authenticité des versets et des sourates et de leur ordonnance, mais aussi du choix de leur graphie. A l’époque, l’écriture arabe était encore en formation et chaque mot pouvait être orthographié de plusieurs manières. Les scribes se montrèrent très attentifs à utiliser exactement la même graphie pour chaque mot et ses dérivés et ainsi ce Coran fut aussi parfaitement homogène graphiquement. Quand il y avait des différences d’avis sur la phonétique d’un mot selon les différences de récitations, on transcrivait le mot avec une autre orthographe dans un autre manuscrit, pour ne pas mélanger les graphies. C’est-à-dire qu’on conserva les différentes récitations à l’écrit de façon indépendante les unes des autres. [10] Quant aux récitations, on n’accepta que celles qui étaient le plus en accord avec la récitation du Prophète lui-même. Malik Ibn Amir, qui était membre du groupe de vérification raconte : "Quand il existait une divergence d’opinion sur un verset, et si par exemple, ce verset avait été récité par le Prophète à une personne, on le transcrivait en laissant un espace blanc, puis on allait chercher la personne à qui le Prophète l’avait récité et ce dernier témoignait de la prononciation du Prophète. Son témoignage était vérifié et s’il était validé, le verset était définitivement transcrit." [11]

    Ainsi, l’immense œuvre de transcription définitive du Coran à l’époque du calife ’Othmân se fit sans heurts et sans dissensions. Après la compilation définitive, le calife ’Othmân ordonna le rassemblement de toutes les compilations personnelles et de tous les manuscrits coraniques existants, puis il en ordonna la destruction totale. On sait qu’effectivement la plupart des manuscrits furent détruits à ce moment, mais certains ont refusé de rendre le leur et au fil de l’Histoire, certains de ces manuscrits ont parfois réapparus. [12] Pourtant, les deux seules compilations intégrales dont on sait qu’elles n’ont pas été détruites à l’époque sont celle de l’Imâm ’Ali (quatrième calife), qui demeura dans sa famille et celle de ’Abdollâh. Deux siècles plus tard, le grand libraire et collectionneur persan Ibn Nadim, auteur de la plus ancienne bibliographie du monde musulman, dit avoir vu ce Coran chez Abou Yalâ, un des descendants du Prophète. [13] Quant à la date exacte de cette compilation, les avis des historiens divergent, mais au vu des documents existants, cette compilation a probablement commencé vers la fin de l’an 24 de l’hégire ou au début de l’an 25 et s’est terminée avant l’an 30, soit sur une durée d’environ cinq années.

    Cette œuvre du calife ’Othmân est sans conteste l’une des grandes victoires de l’islam. Au fil des siècles, d’incessants débats ont eu lieu autour du Coran et sur son contenu, mais les millions de musulmans, même aujourd’hui, n’ont jamais eu affaire à des versions différentes et il n’existe définitivement qu’un seul Coran.

    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge ! - Page 2 57dcVersets 35-36 de la sourate al-Ghafir, XIe-XIIe siècles, calligraphe anonyme, Library of Congress

    Les copies du Coran et sa diffusion
    Après que la compilation définitive du Livre saint prit fin, des copies en furent faites et envoyées aux quatre coins des territoires islamiques. [14] Cet événement n’a jamais subi le moindre démenti et pendant des siècles, ces copies étaient si prestigieuses qu’elles étaient conservées avec le plus grand soin dans la grande mosquée de la région où elles avaient été envoyées. [15] Mais il existe des dissensions quant au nombre de ces premières copies. Finalement, les historiens, au vu des études faites, sont d’accord sur le fait que ce nombre premier de copies correspond au nombre des "provinces" stratégiques du territoire islamique, c’est-à-dire un total de cinq copies, qui furent chacune envoyées aux gouverneurs de ces provinces : la région de La Mecque, la région de Médine, Koufa, Bassora et la Syrie (Damas).

    Très vite, ces cinq copies furent de nouveau copiées et mises à la disposition de tous. Aujourd’hui, il existe une dizaine de très anciennes copies, certaines même datant des deux premiers siècles de l’Hégire, conservées un peu partout dans le monde. [16] Pour conclure, il faut préciser que les millions de copies existantes du Coran aujourd’hui sont toutes basées sur cette compilation finale conduite à l’époque de ’Othmân.

    Bibliographie : 
    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge ! - Page 2 Puce Râmyâr, Mahmoud, Târikh-e Qor’ân (Histoire du Coran), Téhéran, éd. Amir Kabir, 1983.

    Notes

    [1] Al-Lawh al-Mahfoûdh ou Tablette préservée est le Livre divin où Dieu a inscrit la destinée de toutes les créatures avant même leur création.
    [2] "La nuit d’al-Qadr, le Coran était révélé en une seule fois depuis la Table conservée aux cieux (Al-Lawh al-Mahfoûdh) vers les cieux inférieurs (littéralement le ciel terrestre). Al-Lawh al-Mahfoûdh est évoqué par ailleurs dans le Coran (Sourate al-Bûrûj, les Constellations) et interprété comme l’exemplaire original du Coran, c’est-à-dire celui qui ne peut subir aucune altération." Faher, Mourad, Approche critique des représentations de l’Islam contemporain, Collection Histoire et perspectives méditerranéennes, Editions L’Harmattan, 2003, p. 30.
    [3Le Koran, traduction de Kazimirski.
    [4] Râmyâr, Mahmoud, Târikh-e Qor’ân (Histoire du Coran), Téhéran, éd. Amir Kabir, 1983. Cite Ibn Sa’ad, Kitâb al-Tabaghât-el Kabir, Beyrout 1968, 13 vol.
    [5Ibid. p.248, Blachère, Régis, Introduction au Coran, Paris, 1943, note 26.
    [6] Sourate Al-’Alaq (L’adhérence) ; 96 : 1-5.
    [7] Râmyâr, M., op.cit., p. 257.
    [8Ibid., p. 306.
    [9Ibid., cite Abou-Shâmeh, p. 326.
    [10Ibid., p. 425.
    [11Ibid., p. 426, cite Abou-Shâmeh, Masâhef,60,65, Mughana’, 7.
    [12Ibid., p. 431, cite Noldeke, Theodor, Die Sammlung des Qurans, Leipzig, 1919, p. 122.
    [13Ibid.
    [14Ibid.p. 460.
    [15Ibid.
    [16] On peut notamment citer la copie conservée au Conseil musulman Académie culturelle ouzbek depuis 1923, qui est si ancienne qu’on pensait qu’elle était l’une des copies originales faites à l’époque du calife ’Othmân, ou la copie offerte par le sultan ottoman à l’empereur Guillaume II à la veille de la Grande Guerre. Il y a également un manuscrit, le codex Parisino-petropolitanus, comportant une soixantaine de feuillets figurant à la Bibliothèque Nationale de France, qui daterait de l’an 34 de l’Hégire. Voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Coran



    Lien : http://www.teheran.ir/spip.php?article1620#gsc.tab=0

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    Message  Arlitto Mer 14 Oct 2020 - 9:45

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    Dans le Coran, livre incréé, la terre est plate comme une crêpe, contrairement à la Bible.

    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge ! - Page 2 Pic3
    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge ! - Page 2 Maxresdefault

    Bible Jean Frédéric Ostervald (1744)
    40:22 C'est lui qui est assis au-dessus du globe de la terre, et ceux qui l'habitent sont comme des sauterelles; c'est lui qui étend les cieux comme un voile, et les déploie comme une tente pour y habiter;



    "Miracle scientifique du Coran" - Dans le Coran, livre incréé, la terre est plate 


    Sourate 15, 20 :
    "Et quant à  la terre, Nous l'avons étalée et y avons placé des montagnes et y avons fait pousser toute chose harmonieusement proportionnée.

    Sourate 71, 19 :
    ... "et c'est Dieu qui vous a assigné la terre comme tapis."

    Sourate 79, 30 :
    "... et quand à la terre, en plus de cela il l'a écrasée / roulée comme une pâte."

    Sourate 88, 20 :
    "... et la terre comme elle est aplatie ?"

    Sourate 78, 6-7 :
    "N'avons-Nous pas fait de la terre une couche ? Et mis les montagnes comme des piquets de tente (pour la fixer) ?"

    Sourate 15, 20 :
    "Et quant à la terre, Nous l'avons étalée et y avons placé des montagnes et y avons fait pousser toute chose harmonieusement proportionnée.

    Sourate 71, 19 :
    ... "et c’est Allah qui vous a assigné la terre comme tapis."

    Sourate 79, 30 :
    "... et quand à la terre, en plus de cela il l'a écrasée / roulée comme une pâte."

    Sourate 88, 20 :
    "... et la terre comme elle est aplatie ?"
    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge ! - Page 2 Terre_plate_theorie_systeme_solaire

    Sourate 78:6-7: "N'avons-Nous pas fait de la terre une couche?  Et placé les montagnes comme des piquets?"

    Sourate 21:30: "Et Nous avons assigné des montagnes à la terre, parce qu'elle aurait bougé, et les gens avec."

    Sourate 16:15 : "Et Il a implanté des montagnes immobiles dans la terre afin qu'elle ne branle pas en vous emportant avec elle..."

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    Message  Arlitto Mer 14 Oct 2020 - 9:46

    Le Coran est l’œuvre des nazaréens

    Des thèses, largement vérifiées, de BardetThéry et Bertuel : Le Coran est l’œuvre des nazaréens et en occurrence d'un prêtre judéo-chrétien (Waraqa Bin Nawfal), qui a converti Mahomet et les arabes au monothéisme 

    (thèse expliquée en détail dans le grand ouvrage de Joseph Bertuel :
     « L'Islam : Ses véritables origines »). Les discours et les allocutions de Mahomet, qui composent les sourates du Coran, tirent essentiellement leur racines sur les textes de la secte des nazaréens.

    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge ! - Page 2 6bac


    Waraqa ibn Nawfal est le cousin de Khadija, première épouse de Mahomet. Waraqa était selon certaines sources un prêtre converti au christianisme nestorien, prêcheur à la Mecque, qui y mourut en chrétien nestorien.
    Date de décès : 1 janvier 610 ap. J.-C.

    La création du Coran et du monothéisme arabe appelé Islam serait l’œuvre des nazaréens (secte des judéo-chrétiens), l'un d'eux est judéo-nazaréen, il s'appelle Waraqa Bin Nawfal, prêtre de la secte à la Mecque à l'époque de la jeunesse de Mahomet. Il est cousin à Khadija, la première femme de Mahomet, une juive convertie au christianisme de la secte nazaréenne des judéo-chrétiens.


    HADITHS AUTHENTIQUES ATTESTENT :

    Des hadiths de Aïsha en parlent de Waraqa :
    (...)
    (Sahih Al-Bukhari, Volume 4, Book 55, Number 605) : « Le Prophète retourna vers Khadija tandis que son coeur battait rapidement. Khadijâ le conduisit chez son cousin Waraqa bin Nawfal ibn Asad ibn 'Abd al-'Uzzä ibn Ouzzä. Celui-ci avait embrassé le christianisme lors de son âge d'ignorance, et il avait pris l'habitude de transcrire l’écriture hébraïque et l'Injil de l'hébreu, tant que Dieu lui en avait accordé la force de le faire. Waraqa était très âgé et il était privé de la vue .... ».

    (Sahih Al-Bukhari, Volume 9, livre 87,111) : « ... Waraqa était le fils de son oncle paternel, c'est à dire le frère de son père, qui pendant la période pré-Islamique était devenu un chrétien. Il savait tracer les caractères hébraïques et avait copié en hébreu toute la partie de l’Évangile qu’Allah avait voulu qu’il transcrivit. Il était âgé et était devenu aveugle .... ».
    (...)
    Waraqa a probablement influencé fortement Mahomet. 

    En effet, Bukhari disait ceci : 
    « Lorsque Waraqa est décédé, la révélation s’est tarie ». Cela montre qu'il était l'inspirateur de Mahomet pour l'écriture des Sourates. Lorsque Waraqa est mort, Mahomet n'en a plus écrit.

    La (Sourate 16, 105). : montre d'ailleurs que les Arabes soupçonnaient cette influence de Waraqa : « Certes nous savons que les infidèles disent : + Cet homme a seulement pour maître un mortel ! Mais la langue de celui auquel ils pensent est une langue barbare, alors que cette prédication est en claire langue arabe ».

    D'autres hadiths principaux le mentionnent, qu'il a joué un rôle significatif :
    (...)
    Voici ce qu’écrit (Al Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Cet homme (Waraqa Ibn Nawfalqui était cousin de Khadidja du côté de son père, avait embrassé le nazaréisme avant l’apparition de l’islam. Il savait écrire l’hébreu, et avait copié en hébreu toute la partie de l’évangile que Dieu avait voulu qu’il transcrivît ».

    Autre citation de (Al Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Le prêtre Waraqa écrivait le Livre hébreu. Il écrivait de l’évangile en hébreu ce que Dieu voulait qu’il écrivît ».

    Ibn Kusaïr, Biographie du prophète, 1, 386. Abû al-Faraj al-Isfahânî, Kitâb al-agânî, (Le livre des chants). Abû al-fida Ibn Kathîr, Tafsîr al-qur’ân, (Explication du Coran), une copie de l’ouvrage de Tabari.et al-Isfahânî et Ibn Kathîr donnent la même information : « Ce texte indique que Waraqa était un prêtre nazaréen ». Le fait qu’il ne mentionne qu’un seul évangile le signifiait également, et nous en verrons encore d’autres attestations.

    Muslim, compilateur de l’un des six recueils principaux, très célèbre, mais moins cependant que celui d’Al Boukhari, cite le même hadith, avec cependant une différence significative, (Muslim, Sahih, I, 78 et 79) : « Le prêtre Waraqa écrivait le Livre arabe. Il écrivait de l’évangile en arabe ce que Dieu voulait qu’il écrivît ».

    Dans la Sira (ce qui signifie l’histoire) d’Ibn Hichâm, écrite 200 ans après la mort de Mahomet, unique biographie n’ait pas disparu, on peut lire (Ibn Hicham, Sira, 1,175 et 203) : « Waraqa était devenu nazaréen et avait suivi les livres et appris la science des hommes ... Il était excellent connaisseur du nazaréisme. Il a fréquenté les livres des nazaréens, jusqu’à les connaître comme les gens du Livre ».



    Au début du dixième siècle, près de trois siècles après la mort de Mahomet, Al Yaqûbî publia un recueil de sermons attribués à Mahomet, dans lequel il écrit (Al-Yaqubi, Tarikh, 1, 256 et 257) : « Parmi les Arabes qui sont devenus nazaréens, il y a un groupe de Quraysh ... parmi eux figuren t... Waraqa ibn Nafal ibn Assad ».

    (Al Isfahânî, Al kital al-agânî, Le livre des chansons Le Caire, 1937, vol 3, 144) écrit lui aussi : « Waraqa s’est converti au nazaréisme au temps de l’ignorance (c’est-à-dire avant l’islam) ». Ainsi, Waraqa était un juif converti au nazaréismeet devenu prêtre nazaréen. C'est lui qui célébra la bénédiction du mariage de Mahomet avec Khadidja.

    Al Halabi écrivit une biographie de Mahomet en utilisant essentiellement l’œuvre d’Ibn Hichâm. Quelques renseignements anciens ont pu lui parvenir par tradition orale, et enrichir son œuvre. D’après lui, lors du mariage de Mahomet avec Khadidja, Waraqa a déclaré : « Nous sommes les chefs et les guides des Arabes ».
    (...)

    Les sources islamiques elles-mêmes confirment la profondeur de leur accord, car Waraqa était l’inspirateur de Mahomet. Boukhari ajoute en effet cette indication (Al-Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Lorsque Waraqa fut décédé, la révélation s’est tarie ».

    Cela laisse penser que Waraqa fournissait à Mahomet la matière des ses allocutions et discours, à partir de traductions en arabe de textes religieux ou liturgiques nazaréens. À la mort de Waraqa, Mahomet déclara qu’il l’avait vu au paradis (Alépine, vol 1. opus cit.).

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    Message  Arlitto Mer 14 Oct 2020 - 9:47

    D'où sont tirées les histoires et les légendes du Coran ???

    Coran 2.37. Puis Adam reçut de son Seigneur des paroles, et Allah agréa son repentir car c´est Lui certes, le Repentant, le Miséricordieux.

    La Genèse ne fait aucune allusion au repentir d'Adam. L'idée a été prise du Talmud Erubin 18b; Abodah Zarah 8a.


    Texte ancien de la mythologie Grec :

    Des légendes relatives à des hommes qui tombent endormis pour se réveiller des années plus tard dans un monde métamorphosé se retrouvent dans toutes les cultures.

    Voici ce que "Mahomet" relate : 

    Sourate 18 :16-26.

    Et quand vous vous serez séparés d'eux et de ce qu'ils adorent en dehors d'Allah, réfugiez-vous donc dans la caverne : votre Seigneur répandra de Sa miséricorde sur vous et disposera pour vous un adoucissement à votre sort". Tu aurais vu le soleil, quand il se lève, s'écarter de leur caverne vers la droite, et quant il se couche, passer à leur gauche, tandis qu'eux-mêmes sont là dans une partie spacieuse (de la caverne)... Cela est une des merveilles d'Allah. Celui qu'Allah guide, c'est lui le bien-guidé. Et quiconque Il égare, tu ne trouveras alors pour lui aucun allié pour le mettre sur la bonne voie. Et tu les aurais cru éveillés, alors qu'ils dorment. Et Nous les tournons sur le côté droit et sur le côté gauche, tandis que leur chien est à l'entrée, pattes étendues. Si tu les avais aperçus, certes tu leur aurais tourné le dos en fuyant; et tu aurais été assurément rempli d'effroi devant eux. Et c'est ainsi que Nous les ressuscitâmes, afin qu'ils s'interrogent entre eux. L'un parmi eux dit : "Combien de temps avez-vous demeuré là? " Ils dirent : "Nous avons demeuré un jour ou une partie d'un jour". D'autres dirent : " Votre Seigneur sait mieux combien [de temps] vous y avez demeuré. Envoyez donc l'un de vous à la ville avec votre argent que voici, pour qu'il voie quel aliment est le plus pur et qu'il vous apporte de quoi vous nourrir. Qu'il agisse avec tact et qu'il ne donne l'éveil à personne sur vous. Si jamais ils vous attrapent, ils vous lapideront ou vous feront retourner à leur religion, et vous ne réussirez alors plus jamais". Et c'est ainsi que Nous fîmes qu'ils furent découverts, afin qu'ils (les gens de la cité) sachent que la promesse d'Allah est vérité et qu'il n'y ait point de doute au sujet de l'Heure. Aussi se disputèrent-ils à leur sujet et déclarèrent-ils : "Construisez sur eux un édifice. Leur Seigneur les connaît mieux". Mais ceux qui l'emportèrent [dans la discussion] dirent : "élevons sur eux un sanctuaire". Ils diront : "ils étaient trois et le quatrième était leur chien". Et ils diront en conjecturant sur leur mystère qu'ils étaient cinq, le sixième étant leur chien et ils diront : "sept, le huitième étant leur chien". Dis : "Mon Seigneur connaît mieux leur nombre. Il n'en est que peu qui le savent". Ne discute à leur sujet que d'une façon apparente et ne consulte personne en ce qui les concerne. Et ne dis jamais, à propos d'une chose : "Je la ferai sûrement demain" sans ajouter : "Si Allah le veut", et invoque ton Seigneur quand tu oublies et dis : "Je souhaite que mon Seigneur me guide et me mène plus près de ce qui est correct". Or, ils demeurèrent dans leur caverne trois cent ans et en ajoutèrent neuf (années). Dis : "Allah sait mieux combien de temps ils demeurèrent là. A Lui appartient l'Inconnaissable des cieux et de la terre. Comme Il est Voyant et Audient! Ils n'ont aucun allié en dehors de Lui et Il n'associe personne à Son commandement. 



    D’où vient cette histoire ? 

    L’écrivain grec Siméon Métaphrastes semble en être à l’origine via sa "Vies des Saints". (Elle fut popularisée en occident par Grégoire de Tours.

    Elle se résume ainsi : au cours du règne de l’empereur Decius ou Dèce (249-251), sept jeunes gens de la ville d’Éphèse préfèrent se cacher dans une caverne plutôt que d’obtempérer à l’empereur qui veut les contraindre à apostasier. 

    La nuit même de leur fuite, les soldats que l’empereur a lancé à leur recherche les découvrent dormants, si j’ose dire, du sommeil du juste. Decius, qui à son âge et avec les responsabilités qui sont les siennes, semble n'avoir rien de mieux à faire que mener des battues de nuit dans les collines, décide alors de leur jouer un tour à sa façon (quel farceur quand même) et fait murer la grotte (toujours au cours de la même nuit et sans les réveiller – on trouvait encore de bons ouvriers à l’époque). 

    Presque deux siècles plus tard, sous le règne de Théodose II, des gens du coin remarquent les pierres de tailles qui murent la grotte et les descellent pour les utiliser dans une nouvelle construction. Une fois le mur démonté les martyrs se réveillent miraculeusement, croyant n'avoir dormi qu'une seule nuit, tout étonnés de constater que leurs vivres sont tombés en poussière ils envoient l'un de leurs au ravitaillement en ville. Il y est fort étonné d'apercevoir partout des églises et étonne pareillement les marchands en les payant avec des pièces vielles de plusieurs siècles. L'évêque d'Éphèse, l'empereur et l'impératrice s'empressent d'aller à la caverne pour contempler le phénomène ; puis les sept martyrs, après d’édifiantes paroles, s'endorment de nouveau pour ne plus se réveiller. 

    Au fil du temps, des gens simples ont cru de bonne foi que cette histoire était véridique, les autorités d’Éphèse n’avaient certainement pas manqué d’encourager cette croyance qui attirait les pèlerins. 


    2.56 Puis Nous vous ressuscitâmes après votre mort afin que vous soyez reconnaissants.

    => Talmud, Shabbat 88b.


    Coran plagiat + 7 dormants d'Éphèse



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    Message  Arlitto Mer 14 Oct 2020 - 9:48

    D'où sont tirées les histoires et les légendes du Coran ???

     Or, ils ne l'ont ni tué ni crucifié; mais ce n'était qu'un faux semblant!

    Coran :

    Et à cause de leur parole: "Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le Messager d’Allah"… Or, ils ne l'ont ni tué ni crucifié; mais ce n'était qu'un faux semblant! Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l'incertitude: ils n'en ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures et ils ne l'ont certainement pas tué. (Sourate An-Nissa': 157)


    Quelle est l'origine de cette légende ???

    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge ! - Page 2 Oj2m

    Basilide a enseigné la philosophie à Alexandrie de  l'an 125 à l'an 155.   Il était polythéiste et appartenait au courant gnostique. 

    Le Coran étant exact en tout selon les musulmans, il n'est nul besoin de le démontrer. 

    Selon Basilide, le monde a été créé par un démiurge, un dieu inférieur qui règne sur le monde matériel. Ce démiurge, ce dieu inférieur, correspondrait à Yahvé, le dieu redoutable de l'Ancien Testament. Yahvé entretiendrait la violence et le désordre sur terre. Un dieu tout puissant, dominant Yahvé, est lui, bienveillant.

    Basilide croyait en la transcendance de ce dieu bon et souverain : la Pensée, puis la Parole, puis la Prudence, la Sagesse et la Force émanent de Lui. Le dieu bon envoie le Christ céleste, l'expression de sa Pensée, prendre chair dans Jésus de Nazareth, un homme ordinaire, afin de corriger les querelles engendrées par Yahvé. 

    Basilide pense que ce Christ céleste vient en l'homme Jésus à son baptême et le quitte sur la croix. C'est lui premier qui va imaginer que le Christ a été remplacé par un sosie. 

    Même si Basilide ne croit pas en Christ, le seul fait que Jésus soit l'envoyé de Dieu, lui rend insupportable qu'il ait souffert et qu'il soit mort... Il va donc inventer la substitution du Christ... 


    Légende inventé par Basilide :

    Basilide écrit : « Le Christ ne souffrit pas lui-même la Passion, mais un certain Simon de Cyrène fut réquisitionné et porta sa croix à sa place. Et c'est ce Simon qui, par ignorance et erreur, fut crucifié après avoir été métamorphosé par Jésus pour qu'on le prît pour lui. Jésus s'est métamorphosé lui-même en l'image de Simon et il l'a livré pour être crucifié à sa place. Quand Simon fut crucifié, Jésus se tenait en face en riant de ceux qui avaient crucifié Simon à sa place. Quant à lui, il … s'est retiré au ciel sans souffrir. Quant à Simon, c'est lui qui a été crucifié et non Jésus. ».


    Question : Basilide, le philosophe polythéiste travaillant en Égypte au II e siècle a été inspiré par qui pour raconter une telle ânerie sur Jésus ??? 


    " Ils disent que nous avons tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le Messager d'Allah... Or, ils ne l'ont ni tué ni crucifié; Une autre personne qui lui ressemblait a été tuée à sa place! Mais Allah l'a élevé vivant vers Lui. Et Allah est Puissant et Sage ". 


    En réalité, le Coran, par la voix de "Mahomet" n'a fait que reprendre cette hérésie inventée par un philosophe du 2e siècle, ce qui est confirmé par lui-même dans ses écrits et que plusieurs après lui, ont reprit à leur compte pour en faire une vraie fausse vérité !.


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    Message  Arlitto Mer 14 Oct 2020 - 9:48

    Deux sourates différentes


    La première qui dit : « Wa K’annahom min kulli hadbin yansiloun » (وَكَأنَّهم مِن كُلِّ حَدبٍ بَنسِلونٍ), se trouve textuellement dans le verset 96 de la sourate 21 (Les prophètes) et qu’on traduit par :« comme ils(?) dévalaient en masse de toutes les hauteurs. »


    L’autre moitié du deuxième vers dit : « Limithli haza falya’mal al’âmiloun », (لِمِثلِ هذا فَليَعمَل العامِلون). Celle-ci est reproduite dans le verset 61 de la sourate 37 (As-Saffat  = Celles qui sont alignées dans des rangs), et ainsi traduite : « Pour cela (sous-entendu la félicité, selon certains traducteurs trop zélés), que les ouvriers se mettent au boulot. » Une autre traduction dit : « Voilà ce pourquoi doivent œuvrer ceux qui œuvrent. » 

    Histo :
    Le poète arabe, « Imru’ al-Qaïs », mort trente ans avant la naissance de Mahomet, certains chercheurs lui ont rendu – post mortem – son honneur et mis en lumière son grand génie, puisque le dieu même de l'islam, ou plutôt "Mahomet" a daigné s’inspirer de sa poésie et en voler frauduleusement plusieurs vers de son œuvre pour composer son coran. On pille le patrimoine des autres, on se l’approprie et on l’attribue au « génie » de l’islam.

    Taha Hussein (1889-1973), le premier égyptien ayant obtenu un doctorat ès-Lettres de la Sorbonne en 1919. Il est l’un des premiers critiques ayant mis en lumière l’influence de la poésie préislamique dans le coran. Il illustre cette évidence criante dans son fameux ouvrage, « De la littérature préislamique »

    Il y confirme la fraude et le plagiat dans le coran. Son œuvre a ouvert l’esprit de nombreux lecteurs et chercheurs à une réalité irréfutable et choquante.

     « ALLAH, qui es-tu ? », Editions de Paris 2014, p. 51-59 

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    Message  Arlitto Mer 14 Oct 2020 - 9:49

    Le coran : un plagiat, la preuve par A + B


    L'idée principale des musulmans est que le Coran est un livre divin et révélé, alors qu'en réalité, la plupart des versets coraniques et les histoires qui gravitent autour de l'Islam, sont un mélange de références à des textes anciens, d'apocryphes, et même parfois des histoires empruntées au Talmud, le Coran ne fait pas que citer des passages du livre (la Bible) qu'il prétend confirmer, mais aussi d'écrits apocryphes et talmudiques qui ne sont en rien révélé.


    C'est une facette du Coran qui est peu connu des musulmans, et que d'autres qui connaissent bien cette réalité coranique "très peu nombreux" ne veulent pas voir et reconnaître !.


    1) L'Apocalypse de Moïse, un apocryphe aussi connu sous le nom de "Vie d'Adam et Eve"

    Et lorsque ton Seigneur dit aux Anges : "Je vais créer un homme d'argile crissante, extraite d'une boue malléable, et dès que Je l'aurais harmonieusement formé et lui aurait insufflé Mon souffle de vie, jetez-vous alors, prosternés devant lui" (Coran XV, 28-29)

    > Lorsque Dieu t'eut insufflé le souffle de vie et que ton visage et ta ressemblance eurent été faits à l'image de Dieu, Michel (...) sortit pour convoquer tous les anges et il leur enjoignit : "Adorez l'image du Seigneur Dieu, ainsi que l'a ordonné le Seigneur !" (Ap. Mo. XIII)


    Il lui dit : "Ô Iblis, qui t'a empêché de te prosterner devant ce que J'ai créé de Mes mains ? T'enfles-tu d'orgueil ou te considères-tu parmi les hauts placés ?" "Je suis meilleur que lui" dit-il. "Tu m'as créé de feu et tu l'as créé d'argile" (Coran XXXVIII, 75-76)

    > Et comme Michel me pressait de t'adorer, je lui dis : "Pourquoi me presses-tu ? Je n'adorerai pas celui qui m'est inférieur ; je préexiste, en effet, à toute créature et j'avais déjà été créé avant que celui-là ne vienne à l'existence. C'est lui qui doit m'adorer, et non l'inverse !" En entendant cela, les autres anges qui sont avec moi refusèrent d'adorer (Ap. Mo. XIV)

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    Message  Arlitto Mer 14 Oct 2020 - 9:49

    Le coran : un plagiat, la preuve par A + B

    Coran 2.37. Puis Adam reçut de son Seigneur des paroles, et Allah agréa son repentir car c´est Lui certes, le Repentant, le Miséricordieux.

    La Genèse ne fait aucune allusion au repentir d'Adam. L'idée a été prise du Talmud Erubin 18b; Abodah Zarah 8a.

    Texte ancien de la mythologie Grec

    Des légendes relatives à des hommes qui tombent endormis pour se réveiller des années plus tard dans un monde métamorphosé se retrouvent dans toutes les cultures. 

    Voici ce que "Mahomet" relate : 

    Sourate 18 :16-26. 
    Et quand vous vous serez séparés d'eux et de ce qu'ils adorent en dehors d'Allah, réfugiez-vous donc dans la caverne : votre Seigneur répandra de Sa miséricorde sur vous et disposera pour vous un adoucissement à votre sort". Tu aurais vu le soleil, quand il se lève, s'écarter de leur caverne vers la droite, et quant il se couche, passer à leur gauche, tandis qu'eux-mêmes sont là dans une partie spacieuse (de la caverne)... Cela est une des merveilles d'Allah. Celui qu'Allah guide, c'est lui le bien-guidé. Et quiconque Il égare, tu ne trouveras alors pour lui aucun allié pour le mettre sur la bonne voie. Et tu les aurais cru éveillés, alors qu'ils dorment. Et Nous les tournons sur le côté droit et sur le côté gauche, tandis que leur chien est à l'entrée, pattes étendues. Si tu les avais aperçus, certes tu leur aurais tourné le dos en fuyant; et tu aurais été assurément rempli d'effroi devant eux. Et c'est ainsi que Nous les ressuscitâmes, afin qu'ils s'interrogent entre eux. L'un parmi eux dit : "Combien de temps avez-vous demeuré là? " Ils dirent : "Nous avons demeuré un jour ou une partie d'un jour". D'autres dirent : " Votre Seigneur sait mieux combien [de temps] vous y avez demeuré. Envoyez donc l'un de vous à la ville avec votre argent que voici, pour qu'il voie quel aliment est le plus pur et qu'il vous apporte de quoi vous nourrir. Qu'il agisse avec tact et qu'il ne donne l'éveil à personne sur vous. Si jamais ils vous attrapent, ils vous lapideront ou vous feront retourner à leur religion, et vous ne réussirez alors plus jamais". Et c'est ainsi que Nous fîmes qu'ils furent découverts, afin qu'ils (les gens de la cité) sachent que la promesse d'Allah est vérité et qu'il n'y ait point de doute au sujet de l'Heure. Aussi se disputèrent-ils à leur sujet et déclarèrent-ils : "Construisez sur eux un édifice. Leur Seigneur les connaît mieux". Mais ceux qui l'emportèrent [dans la discussion] dirent : "élevons sur eux un sanctuaire". Ils diront : "ils étaient trois et le quatrième était leur chien". Et ils diront en conjecturant sur leur mystère qu'ils étaient cinq, le sixième étant leur chien et ils diront : "sept, le huitième étant leur chien". Dis : "Mon Seigneur connaît mieux leur nombre. Il n'en est que peu qui le savent". Ne discute à leur sujet que d'une façon apparente et ne consulte personne en ce qui les concerne. Et ne dis jamais, à propos d'une chose : "Je la ferai sûrement demain" sans ajouter : "Si Allah le veut", et invoque ton Seigneur quand tu oublies et dis : "Je souhaite que mon Seigneur me guide et me mène plus près de ce qui est correct". Or, ils demeurèrent dans leur caverne trois cent ans et en ajoutèrent neuf (années). Dis : "Allah sait mieux combien de temps ils demeurèrent là. A Lui appartient l'Inconnaissable des cieux et de la terre. Comme Il est Voyant et Audient! Ils n'ont aucun allié en dehors de Lui et Il n'associe personne à Son commandement.
     



    D’où vient cette histoire ? 

    L’écrivain grec Siméon Métaphrastes semble en être à l’origine via sa "Vies des Saints". (Elle fut popularisée en occident par Grégoire de Tours.

    Elle se résume ainsi : au cours du règne de l’empereur Decius ou Dèce (249-251), sept jeunes gens de la ville d’Éphèse préfèrent se cacher dans une caverne plutôt que d’obtempérer à l’empereur qui veut les contraindre à apostasier. 

    La nuit même de leur fuite, les soldats que l’empereur a lancé à leur recherche les découvrent dormants, si j’ose dire, du sommeil du juste. Decius, qui à son âge et avec les responsabilités qui sont les siennes, semble n'avoir rien de mieux à faire que mener des battues de nuit dans les collines, décide alors de leur jouer un tour à sa façon (quel farceur quand même) et fait murer la grotte (toujours au cours de la même nuit et sans les réveiller – on trouvait encore de bons ouvriers à l’époque). 

    Presque deux siècles plus tard, sous le règne de Théodose II, des gens du coin remarquent les pierres de tailles qui murent la grotte et les descellent pour les utiliser dans une nouvelle construction. Une fois le mur démonté les martyrs se réveillent miraculeusement, croyant n'avoir dormi qu'une seule nuit, tout étonnés de constater que leurs vivres sont tombés en poussière ils envoient l'un de leurs au ravitaillement en ville. Il y est fort étonné d'apercevoir partout des églises et étonne pareillement les marchands en les payant avec des pièces vielles de plusieurs siècles. L'évêque d'Éphèse, l'empereur et l'impératrice s'empressent d'aller à la caverne pour contempler le phénomène ; puis les sept martyrs, après d’édifiantes paroles, s'endorment de nouveau pour ne plus se réveiller. 

    Au fil du temps, des gens simples ont cru de bonne foi que cette histoire était véridique, les autorités d’Éphèse n’avaient certainement pas manqué d’encourager cette croyance qui attirait les pèlerins. 

    2.56 Puis Nous vous ressuscitâmes après votre mort afin que vous soyez reconnaissants.

    =Talmud, Shabbat 88b.

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    Message  Arlitto Mer 14 Oct 2020 - 9:50

    Le coran : un plagiat, la preuve par A + B

    Coran :
    2.58 Et [rappelez-vous], lorsque Nous dîmes: "Entrez dans cette ville, et mangez-y à l´envie où il vous plaira; mais entrez par la porte en vous prosternant et demandez la "rémission" (de vos péchés); Nous vous pardonnerons vos fautes si vous faites cela et donnerons davantage de récompense pour les bienfaisants.

    = Il s'agirait d'entrer par la porte des commandements et de les accepter. Talmud, Abodah zarah 2 b.



    2.63 (Et rappelez vous), quand Nous avons contracté un engagement avec vous et brandi sur vous le Mont -: "Tenez ferme ce que Nous vous avons donné et souvenez- vous de ce qui s´y trouve afin que vous soyez pieux!"

    Première partie du verset : Dans Exode 34:27 Dieu ordonne à Moïse de mettre par écrit ses paroles.Pour la seconde partie : Talmud, Shabbat 88a.

    Histoire tiré d'un segment du Talmud, nommé AVODAH (ou Abodah) Sarah.



    2.65 Vous avez certainement connu ceux des vôtres qui transgressèrent le Sabbat. Et bien Nous leur dîmes: "Soyez des singes abjects!"

    Talmud, Sanhédrin 109a.



    2.86 Voilà ceux qui échangent la vie présente contre le vie future. Eh bien, leur châtiment ne sera pas diminué. Et ils ne seront point secourus.

    Talmud, Shabbat 33b.



    2.93 Et rappelez-vous, lorsque Nous avons pris l´engagement de vous, et brandi sur vous At-Tur (le Mont Sinaï) en vous disant: "Tenez ferme à ce que Nous vous avons donné, et écoutez!". Ils dirent: "Nous avons écouté et désobéi". Dans leur impiété, leurs cœurs étaient passionnément épris du Veau (objet de leur culte). Dis-[leur]: "Quelles mauvaises prescriptions ordonnées par votre foi, si vous êtes croyants".

    Talmud, Shabbat 88a. 

    => Deutéronome 5:27: « Nous écoutons et nous faisons ». Exode 24:7 : « Nous faisons et nous écoutons ». Le mot hébreu pour « nous avons fait » est 'asayin, proche du terme arabe 'asyna : nous avons désobéi. Y a-t-il confusion ? 

    => Exode 32:20 dit : «Il prit le veau..., le moulut ..., et en saupoudra la surface de l'eau qu'il fit boire aux Israélites ».



    2.102 
    Et ils suivirent ce que les diables racontent contre le règne de Solayman. Alors que Solayman n´a jamais été mécréant mais bien les diables: ils enseignent aux gens la magie ainsi que ce qui est descendu aux deux anges Harout et Marout, à Babylone; mais ceux-ci n´enseignaient rien à personne, qu´ils n´aient dit d´abord: "Nous ne sommes rien qu´une tentation: ne soit pas mécréant"; ils apprennent auprès d´eux ce qui sème la désunion entre l´homme et son épouse. Or ils ne sont capables de nuire à personne qu´avec la permission d´Allah. Et les gens apprennent ce qui leur nuit et ne leur est pas profitable. Et ils savent, très certainement, que celui qui acquiert [ce pouvoir] n´aura aucune part dans l´au-delà. Certes, quelle détestable marchandise pour laquelle ils ont vendu leurs âmes! Si seulement ils savaient !


    Babil est le nom d'un monticule à Babylone et signifie la porte de Dieu : Bab Ili. 



    => Le Coran écarte de Salomon l'accusation de mécréance à Babylone rapportée par 1 Rois chap. 11. 

    Légende akkadienne de deux anges déchus que la tradition juive rattache à Genèse 6:4 et Isaïe 14:12 (Talmud, Joma 67b b). 1 Hénoch chap. 6-9 parle d'autres anges déchus. 

    => Le terme khalaq, traduit par lot, revient dans 2.200; 3.77; 9.69. Il est utilisé en hébreu dans Job 20.29.

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    Message  Arlitto Mer 14 Oct 2020 - 9:51

    Le coran : un plagiat, la preuve par A + B


    Coran :
    2.154 Et ne dites pas de ceux qui sont tués dans le sentier d´Allah qu´ils sont morts. Au contraire ils sont vivants, mais vous en êtes inconscients.

    Sagesse 3:1-3; Talmud, Berakot 18a.



    2.187 On vous a permis, la nuit d´as-Siyam, d´avoir des rapports avec vos femmes; elles sont un vêtement pour vous et vous un vêtement pour elles. Allah sait que vous aviez clandestinement des rapports avec vos femmes. Il vous a pardonné et vous a graciés. Cohabitez donc avec elles, maintenant, et cherchez ce qu´Allah a prescrit en votre faveur; mangez et buvez jusqu´à ce que se distingue, pour vous, le fil blanc de l´aube du fil noir de la nuit. Puis accomplissez le jeûne jusqu´à la nuit. Mais ne cohabitez pas avec elles pendant que vous êtes en retraite rituelle dans les mosquées. Voilà les lois d´Allah: ne vous en approchez donc pas (pour les transgresser).C´est ainsi qu´Allah expose aux hommes Ses enseignements, afin qu´ils deviennent pieux.

    Mishnah, berakot 1:2 [D] et le Talmud, Berakot 1:5 prescrivent de prier la Shema' dès qu'on distingue le fil bleu du fil blanc.


    2.223 Vos épouses sont pour vous un champ de labour; allez à votre champ comme [et quand] vous le voulez et oeuvrez pour vous-mêmes à l´avance. Craignez Allah et sachez que vous le rencontrerez. Et fais gracieuses annonces aux croyants!

    Vos épouses sont pour vous un champ de labour; => Talmud, Sanhédrin 74b



    2.226 Pour ceux qui font le serment de se priver de leurs femmes, il y a un délai d´attente de quatre mois. Et s´ils reviennent (de leur serment) celui-ci sera annulé, car Allah est certes Pardonneur et Miséricordieux!

    Mishnah, Ketubot 5:6 (D). Si l'homme fait un vœu il doit soit divorcer, soit révoquer son vœu (Talmud, Ketubot 61b).


    2.228 Et les femmes divorcées doivent observer un délai d´attente de trois menstrues; et il ne leur est pas permis de taire ce qu´Allah a créé dans leurs ventres, si elles croient en Allah et au Jour dernier. Et leurs époux seront plus en droit de les reprendre pendant cette période, s´ils veulent la réconciliation. Quant à elles, elles ont des droits équivalents à leurs obligations, conformément à la bienséance. Mais les hommes ont cependant une prédominance sur elles. Et Allah est Puissant et Sage.

    "Et les femmes divorcées doivent observer un délai d´attente de trois menstrues"; = Mishnah, Yebamot 4.10 (D) et Talmud, Niddah 8b: déduction de Genèse 38:24. 


    Et les mères, qui veulent donner un allaitement complet, allaiteront leurs bébés deux ans complets. Au père de l´enfant de les nourrir et vêtir de manière convenable. Nul ne doit supporter plus que ses moyens. La mère n´a pas à subir de dommage à cause de son enfant, ni le père, à cause de son enfant. Même obligation pour l´héritier. Et si, après s´être consultés, tous deux tombent d´accord pour décider le sevrage, nul grief a leur faire. Et si vous voulez mettre vos enfants en nourrice, nul grief à vous faire non plus, à condition que vous acquittiez la rétribution convenue, conformément à l´usage. Et craignez Allah, et sachez qu´Allah observe ce que vous faites.

    Et les mères, qui veulent donner un allaitement complet, = Talmud, Ketubot 60:1. 


    La mère n´a pas à subir de dommage à cause de son enfant, ni le père, à cause de son enfant = Talmud de Jérusalem, Ketubot 59b et 60a.

    3.7 C´est Lui qui a fait descendre sur toi le Livre: il s´y trouve des versets sans équivoque, qui sont la base du Livre, et d´autres versets qui peuvent prêter à d´interprétations diverses. Les gens, donc, qui ont au cœur une inclinaison vers l´égarement, mettent l´accent sur les versets à équivoque, cherchant la dissension en essayant de leur trouver une interprétation, alors que nul n´en connaît l´interprétation, à part Allah. Mais ceux qui sont bien enracinés dans la science disent: "Nous y croyons: tout est de la part de notre Seigneur!" Mais, seuls les doués d´intelligence s´en rappellent.

    Le terme arabe ayat mukhamat correspond au terme hébreu otiyot mohkimot. 

    Um al-kitab correspond au terme hébreu Em lamikra (Talmud, Sukkah 6b, et Sanhédrin 4a).

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    Message  Arlitto Mer 14 Oct 2020 - 9:51

    Le coran : un plagiat, la preuve par A + B

    Coran :
    3.7 C´est Lui qui a fait descendre sur toi le Livre : il s´y trouve des versets sans équivoque, qui sont la base du Livre, et d´autres versets qui peuvent prêter à d´interprétations diverses. Les gens, donc, qui ont au cœur une inclinaison vers l´égarement, mettent l´accent sur les versets à équivoque, cherchant la dissension en essayant de leur trouver une interprétation, alors que nul n´en connaît l´interprétation, à part Allah. Mais ceux qui sont bien enracinés dans la science disent: "Nous y croyons: tout est de la part de notre Seigneur!" Mais, seuls les doués d´intelligence s´en rappellent.

    Le terme arabe ayat mukhamat correspond au terme hébreu otiyot mohkimot. 

    Um al-kitab correspond au terme hébreu Em lamikra (Talmud, Sukkah 6b, et Sanhédrin 4a).



    3.81 Et lorsqu´Allah prit cet engagement des prophètes: "Chaque fois que Je vous accorderai un Livre et de la Sagesse, et qu´ensuite un messager vous viendra confirmer ce qui est avec vous, vous devez croire en lui, et vous devrez lui porter secours." Il leur dit: "Consentez-vous et acceptez-vous Mon pacte à cette condition?" - "Nous consentons", dirent-ils. "Soyez-en donc témoins, dit Allah. Et Me voici, avec vous, parmi les témoins.

    Et lorsqu´Allah prit cet engagement des prophètes = Cette expression revient dans 33.7. Elle rappelle la tradition juive selon laquelle Dieu réunit sur le Mont Sinaï tous les prophètes : Talmud, Sanhédrin 59a.


    3.165 Quoi! Quand un malheur vous atteint - mais vous en avez jadis infligé le double - vous dites "D´où vient cela?" Réponds-leur: "Il vient de vous mêmes". Certes Allah est Omnipotent.

    Talmud, Berakot 5a.


    5.6 Ô les croyants! Lorsque vous vous levez pour la Salat, lavez vos visages et vos mains jusqu´aux coudes; passez les mains mouillées sur vos têtes; et lavez-vous les pieds jusqu´aux chevilles. Et si vous êtes pollués "junub", alors purifiez-vous (par un bain); mais si vous êtes malades, ou en voyage, ou si l´un de vous revient du lieu ou´ il a fait ses besoins ou si vous avez touché aux femmes et que vous ne trouviez pas d´eau, alors recourez à la terre pure, passez-en sur vos visages et vos mains. Allah ne veut pas vous imposer quelque gêne, mais Il veut vous purifier et parfaire sur vous Son bienfait. Peut-être serez-vous reconnaissants.

    Ô les croyants! Lorsque vous vous levez pour la Salat, lavez vos visages et vos mains jusqu´aux coudes; passez les mains mouillées sur vos têtes; et lavez-vous les pieds jusqu´aux chevilles. = Exode 30:18-21; Talmud, Yoma 30b et Zebahim 19b; Jean 13:9.


    Et si vous êtes pollués "junub", alors purifiez-vous (par un bain); mais si vous êtes malades, ou en voyage, ou si l´un de vous revient du lieu ou´ il a fait ses besoins ou si vous avez touché aux femmes = Mishnah, Berakot 3:4.

    et que vous ne trouviez pas d´eau, alors recourez à la terre pure = Talmud, Berakot 15a.


    5.32 C´est pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d´Israël que quiconque tuerait une personne non coupable d´un meurtre ou d´une corruption sur la terre, c´est comme s´il avait tué tous les hommes. Et quiconque lui fait don de la vie, c´est comme s´il faisait don de la vie à tous les hommes. En effet Nos messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu´en dépit de cela, beaucoup d´entre eux se mettent à commettre des excès sur la terre.

    Mishna, Sanhédrin 4:5; Talmud, Kiddushin par. 1.


    7.171 Et lorsque Nous avons brandi au-dessus d´eux le Mont, Comme si c´eût été une ombrelle. Ils pensaient qu´il allait tomber sur eux. "Tenez fermement à ce que Nous vous donnons et rappelez-vous son contenu. Peut-être craindrez vous Allah".

    Histoire tiré d'un segment du Talmud, nommé AVODAH (ou Abodah) Sarah. Le talmud fût écrit en 500 après JÉSUS. Les passages 2.63, 2.93 sont similaires à celui-ci.


    15.18 A moins que l´un d´eux parvienne subrepticement à écouter, une flamme brillante alors le poursuit.

    D'après le Talmud (Ber. 18.b) les anges déchus se tiennent derrière le rideau qui cache le trône de Dieu pour surprendre les secrets divins, mais d'après Geneis rabbah (50, 68) ils sont chassés du ciel. 


    17.110 Dis: "Invoquez Allah, ou invoquez le Tout Miséricordieux. Quel que soit le nom par lequel vous l´appelez, Il a les plus beaux noms. Et dans ta Salat, ne récite pas à voix haute; et ne l´y abaisse pas trop, mais cherche le juste milieu entre les deux".

    Talmud, Berakot 31:2.


    21.69 Nous dîmes: "ô feu, sois pour Abraham une fraîcheur salutaire".

    Midrash Rabbah ; Talmud de Jérusalem, Pesahim 118a.


    24.2 La fornicatrice et le fornicateur, fouettez-les chacun de cent coups de fouet. Et ne soyez point pris de pitié pour eux dans l´exécution de la loi d´Allah - si vous croyez en Allah et au Jour dernier. Et qu´un groupe de croyants assiste à leur punition.

    La flagellation serait abrogée par un verset disparu du Coran rapporté par Omar qui dit : « Si le vieux et la vieille forniquent, lapidez-les totalement à titre de punition de la part de Dieu. Dieu est fier et sage ! ». 

    Talmud, Sanh 2.1


    24.24 Le jour où leurs langues, leurs mains et leurs pieds témoigneront contre eux de ce qu´ils faisaient.

    Citant Isaïe 43:10, le Talmud (Hagiga 16; Taanit 11) dit que les membres mêmes de l'homme témoigneront contre lui.


    28.76 En vérité, Coré [Karoun] était du peuple de Moïse mais il était empli de violence envers eux. Nous lui avions donné des trésors dont les clefs pesaient lourd à toute une bande de gens forts. Son peuple lui dit: "Ne te réjouis point. Car Allah n´aime pas les arrogants.

    La Bible en parle dans Exode 6:21; Nombres chap. 16, 17 et 26; Si 45:18-19. Il avait fomenté une révolte contre Moïse et fut englouti par terre. Selon Midrash Rabbah, Nb 18:15, Coré était un contrôleur dans le palais de Pharaon et était en charge des clés de ses trésors. Il était extrêmement riche et, selon le Talmud, les clés de ses trésors représentaient la charge de trois cents mules (Pes. 119A; Sanhédrin 110a).


    32.11 Dis: "L´Ange de la mort qui est chargé de vous, vous fera mourir. Ensuite, vous serez ramenés vers Votre Seigneur".

    L'Ange de la mort = Même terme en hébreu dans le Talmud, Abodah Zarah 20b; 2 Baruch 21:23.


    50.17 quand les deux recueillants, assis à droite et à gauche, recueillent.

    = D'après le Talmud, deux anges, un bon et un mauvais, accompagnent le croyant à son retour de la Synagogue (Shabbat 119b, Ketubot 104a, Hagigah 161).


    59.23 C´est Lui, Allah. Nulle divinité que Lui; Le Souverain, le Pur, L´Apaisant, Le Rassurant, le Prédominant, Le Tout Puissant, Le Contraignant, L´Orgueilleux. Gloire à Allah! Il transcende ce qu´ils Lui associent.

    Un des noms de Dieu dans le Talmud (Shabbat 10b) est Shalom.

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      La date/heure actuelle est Jeu 21 Nov 2024 - 11:32