Matthieu 24:21 Car alors, la détresse sera si grande qu'il n'y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu'à présent, et qu'il n'y en aura jamais. 22 Et, si ces jours n'étaient abrégés, personne ne serait sauvé; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés.
Interview de l'astrophysicien Aurélien Barreau sur l'urgence écologique
Des mesures politiques radicales pour sauver la planète, c'est l'objectif de l'astrophysicien Aurélien Barrau. Voici son message.
Réchauffement climatique: il reste 2 ans pour agir selon l'ONU Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le 11/09/2018
La pollution au-dessus de Santiago, au Chili, le 9 juillet 2018.
"Si nous ne changeons pas d'orientation d'ici 2020, nous risquons [...] des conséquences désastreuses", a mis en garde Antonio Guterres, le secrétaire général de l'ONU.
Le monde a deux ans pour agir contre le changement climatique a averti lundi le chef de l'ONU. "Si nous ne changeons pas d'orientation d'ici 2020, nous risquons (...) des conséquences désastreuses pour les humains et les systèmes naturels qui nous soutiennent", a déclaré Antonio Guterres, le secrétaire général de l'ONU.
Son discours à l'ONU survient trois jours avant un sommet mondial inédit pour l'action climatique qui doit réunir à San Francisco, aux États-Unis, des milliers d'élus, de maires, de responsables d'ONG et d'entreprises.
Le "plus grand défi" de l'époque
"Il est impératif que la société civile, jeunes, groupes de femmes, secteur privé, communautés religieuses, scientifiques et mouvements écologiques dans le monde, demande des comptes aux dirigeants", a insisté le secrétaire général des Nations unies.
En dressant un tableau noir des menaces pesant sur la chaîne alimentaire et l'accès à l'eau, Antonio Guterres a martelé que le monde faisait "face à une menace existentielle directe" et au "plus grand défi" de l'époque.
"Le changement climatique va plus vite que nous", a-t-il relevé. "Nous avons les outils pour rendre nos actions efficaces mais nous manquons, même après l'accord de Paris, de leadership et d'ambition pour faire ce que nous devons faire", a-t-il déploré.
Grands changements Ainsi, "nous devons arrêter la déforestation, restaurer les forêts détériorées et changer notre manière de cultiver". Il faut aussi revoir "la manière de chauffer, de refroidir et d'éclairer nos bâtiments pour gaspiller moins d'énergie".
Antonio Guterres a rappelé qu'il organisera à l'ONU un sommet mondial sur le climat en septembre 2019, soit un an avant l'échéance imposée aux signataires de l'accord de Paris de 2015 pour s'acquitter de leurs engagements.
Le secrétaire général de l'ONU rappelle fermement à l'ordre à Katowice une communauté internationale engluée dans ses négociations sur le climat, à deux jours de la fin d'une COP24 censée donner vie à l'accord de Paris.
La Terre a entamé sa 6e extinction de masse, selon des scientifiques BFMTV
Selon certains scientifiques, la sixième extinction massive a bel et bien commencé. Une extinction qu’ils comparent à celle qui a entraîné la disparition des dinosaures. Alors pour l’endiguer des scientifiques se réunissent à Paris pendant une semaine. A l’Unesco, ils vont tenter de proposer des solutions aux États mais aussi aux entreprises et aux citoyens pour sauver la biodiversité de la planète. Depuis 1970, selon WWF, plus de 20% des mammifères ont disparu.
Complément d'enquête. Fin du monde : et si c'était sérieux ? - 20 juin 2019 (France 2) Complément d’enquête
A cause du réchauffement planétaire et de l’épuisement des ressources énergétiques, des scientifiques sont convaincus que nos sociétés sont condamnées à disparaître.
La "star" de ces "collapsologues" (du latin collapsus, effondrement), c'est Pablo Servigne, un ingénieur agronome français qui multiplie les conférences et les ouvrages. Dans son sillage, de plus en plus de citoyens se mobilisent et tentent d'imaginer d'autres modèles. Comment se préparer à la fin du monde ? Les autorités envisagent-elles ce scénario du pire ?
La fin du monde n’a jamais été aussi proche… Date annoncée de "l’apocalypse" : 2030.Et cette fois-ci, ce n’est pas une prophétie qui le dit, mais des scientifiques très sérieux. On les appelle les "collapsologues", du latin collapsus, qui signifie effondrement.
A cause du réchauffement planétaire et de l’épuisement des ressources énergétiques, ils sont convaincus que nos sociétés sont condamnées à disparaître. Leur "star", c'est Pablo Servigne, un ingénieur agronome français qui multiplie les conférences. Dans ses livres vendus à plus de 100 000 exemplaires, il démontre "scientifiquement" qu’il est déjà trop tard pour lancer la transition écologique et qu’il faut réfléchir à l’"après". Certains disciples y croient dur comme fer et sombrent dans de profondes angoisses existentielles.
Catastrophes naturelles et réfugiés climatiques
Selon les collapsologues, les catastrophes naturelles vont se multiplier et les réfugiés climatiques déferler dans nos villes et campagnes. "Complément d’enquête" s'est plongé au cœur de ce mouvement catastrophiste qui mobilise de plus en plus de citoyens, de tous horizons. En France, le magazine a rencontré des cadres supérieurs ou des fonctionnaires qui migrent dans le Cantal. Ils s’initient très sérieusement à la permaculture pour assurer leur autonomie alimentaire.
Comment se préparer à la fin du monde ? Aux Etats-Unis, des activistes sont prêts à saboter des routes et des usines pour accélérer l’effondrement de la civilisation. Les autorités envisagent-elles ce scénario du pire ? Le gouvernement a-t-il un plan de secours ? Pour évaluer la crédibilité de cette menace, "Complément d'enquête" a interrogé des experts, des climatologues, des ingénieurs, des démographes, et même le Premier ministre.
Jeudi 25 janvier, un groupe de scientifiques a dévoilé, dans la revue " Bulletin of Atomic Scientists ", l'heure de la fin du monde : l'humanité est à minuit moins deux d'une catastrophe planétaire d'après l'horloge de l'apocalypse. Mais qu'est ce que cela signifie ?
A en croire l'horloge de l'apocalypse, nous sommes à deux minutes de la fin des temps. Ça vous paraît fou ? Pourtant, cet appareil est des plus sérieux : créée en 1947, c'est une horloge conceptuelle sur laquelle minuit représente la fin du monde. Chaque année, un groupe de scientifiques spécialisés réajuste le cadran, supposé nous indiquer l'imminence d'une catastrophe planétaire.
Et pour cette année 2018, l'aiguille est placée à 23h58, soit 30 secondes de moins que l'année dernière. En d'autres termes, nous nous rapprochons progressivement de la fin du monde. Pire encore, nous n'avons jamais été aussi proche d'une catastrophe planétaire depuis les débuts de la guerre froide...
29 juillet 2019, jour du dépassement mondial
Ce 29 juillet, l'humanité a déjà consommé pour 2019 l'ensemble des ressources que la Terre peut régénérer chaque année. Ce jour du dépassement, chaque pays a le sien. Et la France est loin de faire partie des meilleurs élèves…
Prêt pour la fin du monde, Yves Cochet nous fait visiter sa maison
La fin de notre civilisation, c'est pour dans une quinzaine d'années selon l'ancien ministre de l'Environnement Yves Cochet. Brut l'a rencontré dans sa maison à la campagne où il a tout prévu pour survivre si l'eau et l'électricité venaient à manquer. Visite guidée…
Pourquoi l'Amazonie brûle et pourquoi c'est grave
L’Amazonie est ravagée par des milliers de feux de forêts depuis janvier 2019. Et si chaque année, à la fin de la saison des pluies, des incendies ont lieu sur le territoire du Brésil, cette fois, c’est différent, plus grand et plus inquiétant. Plus de 75 000 feux fragilisent la forêt amazonienne depuis janvier, c’est 84 % plus que l’an dernier. Le 23 août, Emmanuel Macron a accusé le président brésilien Jair Bolsonaro d’avoir « menti » sur le climat et annoncé s’opposer au traité entre l’UE et le Mercosur.
Quelles sont les causes et les conséquences de ces feux en Amazonie ?
Explications, avec Catherine Aubertin, économiste de l’environnement et directrice de recherche à l’Institut de recherche pour le développement.22
L’horloge de l’apocalypse mise à jour nous rapproche de la fin du monde. Depuis 1947, un groupe de scientifiques a imaginé une horloge symbolisant l’extinction de l’humanité. Minuit représentant la fin du monde, il serait, en 2020, 23h58 et 20 secondes. Il nous resterait donc 100 secondes avant la fin du monde à l’échelle de notre Terre. Et les scientifiques ne voient aucun espoir que l’horloge ne recule.
Depuis août 2018, l'humanité vit à crédit. En effet, en seulement sept mois, celle-ci a consommé l'intégralité des ressources que la Terre pouvait produire en une année ! Par ailleurs, le discours des scientifiques s'est durci et se veut de plus en plus alarmant sur l'avenir de la planète. A-t-elle réellement atteint son point de rupture ? L'homme peut-il encore la sauver ? Quelle est la responsabilité du réchauffement climatique dans cette situation ? Un état des lieux est dressé.
Entretien avec Paul Jorion, anthropologue, auteur de "Le dernier qui s'en va éteint la lumière" aux éditions Fayard.
Selon Paul Jorion, l'extinction de l'espèce humaine est prévue d'ici deux à trois générations. L' anthropologue et sociologue explique pourquoi dans son dernier livre "Le dernier qui s'en va éteint la lumière".
Paul Jorion - L'espèce humaine pourrait être rayée de la carte dans moins de 3 générations
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_________________________________________________________________________________________________________ Psaumes 33:13 Du haut des cieux Yahweh regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions
Une crise mondiale de l'eau est "imminente", alerte l'ONU
L’ONU alerte sur une crise mondiale de l’eau « imminente »
Une crise mondiale de l’eau est «imminente»
22/03/2023
tout part à vau-l’eau. Réunis au siège de l’ONU du 22 au 24 mars, une douzaine de chefs d’État et de gouvernement et une centaine de ministres veulent lancer un message d’alerte face à l’aggravation des pénuries d’eau dans le monde et à la contamination des ressources disponibles. Climat, biodiversité, protection de la haute mer… Les sommets mondiaux se sont enchainés ces derniers mois pour tenter d’enrayer les crises écologiques. Cette semaine, quelque 6 500 participant·es se réunissent au siège des Nations unies à New York pour se pencher sur l’épuisement des ressources planétaires en eau douce. Preuve de l’urgence de la situation, c’est la première rencontre intergouvernementale sur le sujet en près d’un demi-siècle. Aucun traité politique international n’est cependant prévu à l’issue de cette conférence, dont l’objectif est plutôt de s’accorder sur le constat et de lancer l’alerte. Quelques heures avant le début de la conférence, l’ONU publiait, mardi 21 mars, un rapport alarmant sur le sujet dont l’avant-propos, signé par le patron des Nations unies Antonio Guterres, laisse peu de place au doute : «Une surconsommation et un surdéveloppement vampiriques, une exploitation non durable des ressources en eau, la pollution et le réchauffement climatique incontrôlé sont en train d’épuiser, goutte après goutte, cette source de vie de l’humanité». En 40 ans, l’usage mondial d’eau douce a augmenté de 1 % par an alors que les pénuries «tendent à se généraliser» à l’échelle du globe en raison du réchauffement climatique, pointe le rapport. Environ 10 % de la population mondiale vit déjà dans un pays où le stress hydrique (lorsque les ressources en eau sont inférieures à la demande) atteint un niveau «élevé», voire «critique». D’après la synthèse du 6e rapport d’évaluation du Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) publiée ce lundi, près de la moitié de la population mondiale subit déjà «de graves pénuries d’eau» pendant au moins une partie de l’année. Des régions jusque-là épargnées, comme l’Asie de l’Est ou l’Amérique du Sud, pourraient bientôt être touchées. En ville, près de 2,4 milliards de personnes (soit la moitié de la population urbaine) risquent de manquer d’eau en 2050, contre 930 millions actuellement. Une crise mondiale de l’eau est «imminente», selon l’ONU. Outre les pénuries, se pose le problème de la salubrité de l’eau. En raison du manque de systèmes d’assainissement, au moins deux milliards de personnes boivent de l’eau contaminée par des excréments, les exposant au choléra, la dysenterie, la typhoïde et à la polio. L’eau douce disponible est par ailleurs largement polluée par les produits pharmaceutiques, chimiques, pesticides, microplastiques ou nanomatériaux. Pour assurer l’accès de tous à l’eau potable d’ici à 2030, il faudrait multiplier les niveaux d’investissement actuels au moins par trois, estime l’ONU.
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Complément d’enquête : Les résidus de pesticides qui polluent notre eau potable L’eau du robinet est-elle (vraiment) potable ? : c’est à cette question d’intérêt public que tente de répondre Complément d’enquête dans son dernier épisode, diffusé jeudi soir.
Sécheresses à répétition, prix de l’énergie : comment réduire durablement sa consommation d’eau ? Alors que la sécheresse assoiffe toujours la quasi-totalité des départements français et à l’entame d’un hiver au cours duquel les factures vont s’alourdir, il est plus nécessaire que jamais d’apprendre à réduire notre consommation d’eau. Mais par où commencer ?
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Trois ans pour agir : le slogan a été repris partout lors de la publication du dernier rapport du Giec, portant cette fois sur les solutions au changement climatique. Si les experts appellent en effet à une action immédiate pour assurer "un avenir vivable", il n'est pas question pour autant de se dire que tout sera fini dans trois ans et que plus rien ne pourra être entrepris. Au contraire, au point où nous en sommes, chaque dixième de degré compte. Plus on agira vite, mieux ce sera, mais chaque action compte. Lire l'article : https://nvth.fr/3JxKV2u
Rapport du Giec : Non, il ne nous reste pas trois ans avant la fin du monde
Trois ans pour agir : le slogan a été repris partout lors de la publication du dernier rapport du Giec, portant cette fois sur les solutions au changement climatique. Si les experts appellent en effet à une action immédiate pour assurer "un avenir vivable", il n'est pas question pour autant de se dire que tout sera fini dans trois ans et que plus rien ne pourra être entrepris. Au contraire, au point où nous en sommes, chaque dixième de degré compte. Plus on agira vite, mieux ce sera, mais chaque action compte.
Le dernier rapport du Giec estime que pour rester sous un réchauffement global de 1,5°C, il faudrait que les émissions de gaz à effet de serre mondiales atteignent un pic au plus tard d’ici 2025. @iStock / ktsimage
Trois ans pour agir. L’alerte du Giec a fait le tour de la planète, ou du moins des réseaux sociaux. Mais le message, ainsi résumé, peut s’avérer contre-productif. Le troisième et dernier volet du sixième rapport d’évaluation du climat, publié le 4 avril dernier, estime en fait que pour rester sous un réchauffement global de 1,5°C, il faudrait que les émissions de gaz à effet de serre mondiales atteignent un pic au plus tard d’ici 2025, dans trois ans donc. Elles doivent ensuite diminuer de 45 % d'ici 2030 par rapport à 2019. Cela signifie qu’il faut effectivement une action immédiate et des politiques ambitieuses au plus vite pour parvenir à ce pic dans trois ans. Mais tout ne s’arrêtera pas soudainement en 2025.
"Il n’y a pas un seuil au-delà duquel c’est fini. Si on loupe 1,5°C, il faudra viser 1,51°C, et ainsi de suite car il n’est jamais trop tard pour agir. En revanche, plus on agit vite, plus on évite des conséquences dramatiques", explique Céline Guivarch, l’une des co-autrices du rapport. "Chaque tonne de CO₂ compte, chaque incrément de degré compte. Cette formulation en compte à rebours est maladroite. Nous n’avons pas besoin d'échéances temporelles avec un précipice pour justifier l'urgence climatique et donner l'illusion qu'a +1,4°C tout va bien mais qu’à 1,6°C, c’est la fin du monde" a également réagi sur Twitter le climatologue Christophe Cassou, directeur de recherche au CNRS et co-auteur du 6e rapport du Giec.
"Les émissions devraient atteindre un pic entre 2020 et au +tard avant 2025 dans les trajectoires modélisées à l'échelle mondiale qui limitent à 1,5 °C..."#GIEC Ne signifie pas que ns avons encore 3 ans pour agir avant la cata => contreproductif Signifie #ActionMaintenantpic.twitter.com/D2uHVl7jvs — Christophe Cassou (@cassouman40) April 5, 2022
Vers +3,2°C de réchauffement
Selon le Giec, sans un renforcement des politiques actuelles, le monde se dirige vers un réchauffement de +3,2 °C d'ici la fin du siècle avec des conséquences dramatiques. "Nous sommes à un tournant. Nos décisions aujourd'hui peuvent assurer un avenir vivable", a ainsi insisté le patron du Giec, Hoesung Lee. D’autant que les solutions sont "toutes disponibles" pour transformer en profondeur l'ensemble des secteurs et que "le volume de capitaux et de liquidités disponibles à l’échelle planétaire est suffisant pour atteindre le montant à investir", précise le rapport.
Quelques jours après sa publication, l’alerte du Giec ne semble pas encore avoir eu d’effet. Alors que la majorité des parlementaires européens ont appelé à un embargo sur tous les hydrocarbures russes, les 27 ont décidé de le limiter au seul charbon, avec un impact forcément très réduit. De son côté, le gouvernement canadien a donné son feu vert à la construction d’un grand projet pétrolier controversé dans l’océan Atlantique, qui verrait le jour en 2028. Or le Giec est formel : il faut cesser dès maintenant tout nouveau projet fossile pour rester sous 1,5°C de réchauffement.
"Pour le dire simplement, ils mentent"
"Cela me brise le cœur, en tant que militante climat ukrainienne, de vivre une guerre qui porte en son cœur l'argent des fossiles", a commenté Olha Boiko, membre du Climate Action Network Ukraine après la publication du dernier volet du rapport d’évaluation du Giec. "L'argent que nous avons supplié de ne pas investir dans l'énergie sale vole désormais au-dessus de nos têtes sous forme de bombes."
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, qui réagit toujours très vivement aux publications du Giec, n’a pas hésité à aller un cran plus loin cette fois. "Certains gouvernements et responsables d'entreprises disent une chose et en font une autre. Pour le dire simplement, ils mentent. Les climatologues avertissent que nous sommes déjà dangereusement proches de points de basculement qui pourraient entraîner des impacts climatiques en cascade et irréversibles. Mais les gouvernements et les entreprises fortement émetteurs ne se contentent pas de fermer les yeux, ils ajoutent de l'huile sur les flammes". Concepcion Alvarez @conce1
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