Forum des Religions - Les Origines

La Tour de Babel :: l'origine de l'empire mondial des religions

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    Message  Arlitto Sam 18 Fév 2023 - 0:07

    Rappel du premier message :

    L’ Islam Top Secret !
    Les Musulmans et non-Musulmans
    ne connaissent pas bien l’Islam d’origine!…
    …Ils confondent la croyance en Dieu avec la croyance religieuse (l’Islam)…

    Au commencement, l’Islam était une pensée et un mouvement politique car Mahomet, son fondateur, était déjà à ses débuts un homme de propagande, par la suite un homme delégislation et enfin un guerrier.


    D’autres fondateurs de religion comme Jésus et sans doute Bouddha ne seront jamais mêlés directement à la politique et n’auront pas déclenché de guerre. Mahomet, lui, le fut et ce fut là une des grandes originalités.


    Sans doute dans l’histoire le nom de Jésus a été assimilé a beaucoup de guerres mais cela était totalement différent de l’Islam avec un prophète qui se mêlait directement à lapropagande, la législation et qui déclenchait même des guerres.

    Par conséquent, depuis quatorze siècles, toucher l’Islam - tel que le conçoivent certains - ou le critiquer est interdit et la seule punition est la mort.
    Des massacres de plusieurs milliers de Persans, de Juifs dés le début de la nouvelle religion en Péninsule d’Arabie et dans les autres pays conquis par l’épée de l’Islam jusqu’à nos jours, en 2005,  Theo Van Gogh aux Pays-Bas.


    Critiquer - au sens de l'analyse rationnelle - l’Islam et le désinfecter seront deux pas vers la rénovation d’une pensée qui n’a jamais réussit à s’adapter définitivement avec les droits de l’homme et la liberté d’expression, reflet de la liberté de conscience. C'est la question de savoir si l'islam détient la capacité à se réformer, question obsédante depuis de nombreux siècles et à laquelle l'écrivain contemporain algérien juge que l'on peut répondre par la négative.

    Certains auteurs du monde musulman, comme le tunisien Mohammed Talbi, se plaisent à citer leurs homologues occidentaux quand ces derniers considèrent que Mohammad (Mahomet, en français) est un des hommes qui ont le plus transformé la face du monde; ce qui est parfaitement exact au regard de l'histoire. Mais, par ailleurs, la théologie musulmane considère pour sa part que le fondateur de l'Islam est un homme comme tous les autres hommes. Mahomet " et non la formule consacrée "Prophète Mahomet " pour bien signaler que n'est analysé ici que le personnage de l'histoire des hommes et non la figure du dogme musulman ; à la quelle chacun est libre de croire ou pas.


    .


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    Message  Arlitto Sam 18 Fév 2023 - 0:28

    L’histoire du voile


    Les femmes de MAHOMET donnaient des réceptions et recevaient des invités tout les jours.

    Les hommes et les femmes se réunissaient pour bavarder, manger et raconter des blagues. Un jour, les compagnons du fondateur de l'islam racontèrent des histoires amusantes sur ses femmes. Par exemple, l’un de ses amis dit ; « Le jour où MOHAMMAD mourra, je me marierais avec AICHA » et un autre disait : « Moi, je prendrais ZEINAB pour femme…».

    Les femmes du prophète plaisantaient tout en contestant les paroles de ces gens-là. Ceci se retrouve dans le Coran, sourate 33, les Factions : "32. Ô femmes du Prophète ! Vous n'êtes comparables à aucune autre femme. Si vous êtes pieuses, ne soyez pas trop complaisantes dans votre langage, afin que celui dont le cœur est malade [l'hypocrite] ne vous convoite pas. Et tenez un langage décent.
    33. Restez dans vos foyers; et ne vous exhibez pas à la manière des femmes avant l'Islam (Jahiliyah). Accomplissez le Salat, acquittez la Zakat et obéissez à Allah et à Son messager. Allah ne veut que vous débarrasser de toute souillure, ô gens de la maison [du prophète], et vous purifier pleinement.
    34. Et gardez dans vos mémoires ce qui, dans vos foyers, est récité des versets d'Allah et de la sagesse. Allah est Doux et Parfaitement Connaisseur.
    35. Les Musulmans et Musulmanes, croyants et croyantes, obéissants et obéissantes, loyaux et loyales, endurants et endurantes, craignants et craignantes, donneurs et donneuses d'aumônes, jeûnants et jeûnantes, gardiens de leur chasteté et gardiennes, invocateurs souvent d'Allah et invocatrices : Allah a préparé pour eux un pardon et une énorme récompense".


    Alors MAHOMET se rendit dans une de ces réunions où il se fâcha et prononça les versets suivants :
    - "N’entre plus dans aucunes maisons de MOHAMMAD sans frapper à la porte, sans autorisation.
    - N’entre plus dans aucunes maisons de MOHAMMAD s’il n’est pas présent.
    - De plus, ne venez chez lui que si vous êtes invité et quand vous finissez de manger, vous devez quitter la maison de MOHAMMAD".


    Ces règlements furent édités car un jour après une réception, quelques arabes persistèrent à discuter avec les femmes de MAHOMET .

    Ce dernier se leva pour qu’ils le suivent mais les bavards continuaient à parler. Le prophète s'irrita et énonça le verset 53 de la Sourate 33, Les Factions : " Ô vous qui croyez ! N'entrez pas dans les demeures du Prophète, à moins qu'invitation ne vous soit faite à un repas, sans être là à attendre sa cuisson. Mais lorsqu'on vous appelle, alors, entrez. Puis, quand vous aurez mangé, dispersez vous, sans chercher à vous rendre familiers pour causer. Cela faisait de la peine au Prophète, mais il se gênait de vous (congédier), alors qu'Allah ne se gêne pas de la vérité. Et si vous leur demandez (à ses femmes) quelque objet, demandez-le leur derrière un rideau : c'est plus pur pour vos cœurs et leurs cœurs; vous ne devez pas faire de la peine au Messager d'Allah, ni jamais vous marier avec ses épouses après lui; ce serait, auprès d'Allah, un énorme pêché".

    Le fondateur de l’Islam conseilla à ses fidèles d’épouser les femmes qui soient riches, belles, de bonnes familles ou fidèles à la pensée de l’homme. Lui-même eut une quarantaine de femmes alors que les simples fidèles ne pouvaient pas en avoir plus de quatre ; comme cela est du reste clairement stipulé dans le verset 3 de la sourate 4, les Femmes : " Et si vous craignez de n'être pas justes envers les orphelins, ... Il est permis d'épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de n'être pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez. Cela afin de ne pas faire d'injustice".
    Pour ce qui est des héritages ou des témoignages, l’avis d’une femme représentait la moitié de celui de l’homme. Nous avons dans la sourate 4, Les Femmes, plusieurs versets à ce suje :
    11. Voici ce qu'Allah vous enjoint au sujet de vos enfants : au fils, une part équivalente à celle de deux filles. S'il n'y a que des filles, même plus de deux, à elles alors deux tiers de ce que le défunt laisse. Et s'il n'y en a qu'une, à elle alors la moitié. Quant aux père et mère du défunt, à chacun d'eux le sixième de ce qu'il laisse, s'il a un enfant. S'il n'a pas d'enfant et que ses père et mère héritent de lui, à sa mère alors le tiers. Mais s'il a des frères, à la mère alors le sixième, après exécution du testament qu'il aurait fait ou paiement d'une dette. De vos ascendants ou descendants, vous ne savez pas qui est plus près de vous en utilité. Ceci est un ordre obligatoire de la part d'Allah, car Allah est, certes, Omniscient et Sage.
    12. Et à vous la moitié de ce laissent vos épouses, si elles n'ont pas d'enfants. Si elles ont un enfant, alors à vous le quart de ce qu'elles laissent, après exécution du testament qu'elles auraient fait ou paiement d'une dette. Et à elles un quart de ce que vous laissez, si vous n'avez pas d'enfant. Mais si vous avez un enfant, à elles alors le huitième de ce que vous laissez après exécution du testament que vous auriez fait ou paiement d'une dette. Et si un homme, ou une femme, meurt sans héritier direct, cependant qu'il laisse un frère ou une sœur, à chacun de ceux-ci alors, un sixième. S'ils sont plus de deux, tous alors participeront au tiers, après exécution du testament ou paiement d'une dette, sans préjudice à quiconque. (Telle est l') Injonction d'Allah ! Et Allah est Omniscient et Indulgent.
    13. Tels sont les ordres d'Allah. Et quiconque obéit à Allah et à Son messager, Il le fera entrer dans les Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux, pour y demeurer éternellement. Et voilà la grande réussite.
    14. Et quiconque désobéit à Allah et à Son messager, et transgresse Ses ordres, Il le fera entrer au Feu pour y demeurer éternellement. Et celui-là aura un châtiment avilissant".
    Le Coran revient notablement sur cette question dans la Sourate 33, Les Factions: " 49. Ô vous qui croyez ! Quand vous vous mariez avec des croyantes et qu'ensuite vous divorcez d'avec elles avant de les avoir touchées, vous ne pouvez leur imposer un délai d'attente. Donnez-leur jouissance [d'un bien] et libérez-les [par un divorce] sans préjudice.
    50. Ô Prophète ! Nous t'avons rendue licites tes épouses à qui tu as donné leur mahr (dot), ce que tu as possédé légalement parmi les captives [ou esclaves] qu'Allah t'a destinées, les filles de ton oncle paternel, les filles de tes tantes paternelles, les filles
    de ton oncle maternel, et les filles de tes tantes maternelles, - celles qui avaient émigré en ta compagnie, - ainsi que toute femme croyante si elle fait don de sa personne au Prophète, pourvu que le Prophète consente à se marier avec elle :
    c'est là un privilège pour toi, à l'exclusion des autres croyants. Nous savons certes, ce que nous leur avons imposé au sujet de leurs épouses et des esclaves qu'ils possèdent, afin qu'il n'eût donc point de blâme contre toi. Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
    51. Tu fais attendre qui tu veux d'entre elles, et tu héberges chez toi qui tu veux. Puis il ne t'est fait aucun grief si tu invites chez toi l'une de celles que tu avais écartées. Voilà ce qui est le plus propre à les réjouir, à leur éviter tout chagrin et à leur faire
    accepter de bon cœur ce que tu leur as donné à toutes. Allah sait, cependant, ce qui est en vos cœurs. Et Allah est Omniscient et Indulgent.
    53. Ô vous qui croyez ! N'entrez pas dans les demeures du Prophète, à moins qu'invitation ne vous soit faite à un repas, sans être là à attendre sa cuisson. Mais lorsqu'on vous appelle, alors, entrez. Puis, quand vous aurez mangé, dispersez-vous, sans chercher
    à vous rendre familiers pour causer. Cela faisait de la peine au Prophète, mais il se gênait de vous (congédier), alors qu'Allah ne se gêne pas de la vérité. Et si vous leur demandez (à ses femmes) quelque objet, demandez-le leur derrière un rideau : c'est plus pur pour vos cœurs et leurs cœurs; vous ne devez pas faire de la peine au Messager d'Allah, ni jamais vous marier avec ses épouses après lui; ce serait, auprès d'Allah, un énorme pêché.
    54. Que vous divulguiez une chose ou que vous la cachiez,... Allah demeure Omniscient.
    55. Nul grief sur elles au sujet de leurs pères, leur fils, leurs frères, les fils de leurs frères, les fils de leurs sœurs, leurs femmes [de suite] et les esclaves qu'elles possèdent. Et craignez Allah. Car Allah est témoin de toute chose.


    Dans la pensée islamique, si le père ou la mère ne partagent pas l’idée de l’enfant, ils sont écartés ou éloignés de la famille.

    Pour cette instruction qui déchire la famille, il y a le verset 23 dans la sourate 9, Al towbah[ltr]i[/ltr] ; que certains traduisent par "Le repentir" et d'autres par "l'immunité" : "Ô vous qui croyez ! Ne prenez pas pour alliés, vos pères et vos frères s'ils préfèrent la mécréance à la foi. Et quiconque parmi vous les prend pour alliés... ceux-là sont les injustes".

    A certains moments, le fondateur de l’Islam fut sanctionné car il prit beaucoup de femme. A l’époque, se pratiquait également l'échange des femme. Le verset 52 cité de la sourate 33, Les Factions, dit qu’échanger les femmes et en avoir trop est devenu interdi : "Il ne t'est plus permis désormais de prendre [d'autres] femmes. ni de changer d'épouses, même si leur beauté te plaît ; à l'exception des esclaves que tu possèdes. Et Allah observe toute chose". Les esclaves elles…


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    Message  Arlitto Sam 18 Fév 2023 - 0:28

    La constitution secrète du Coran


    Comment le livre du prophète de l'Islam fut-il compilé et nommé le Coran ?
    Il y a un point sur lequel il ne subsiste aucun doute possible car il est inscrit dans l'histoire : le livre du fondateur de l'Islam ne fut rassemblé qu'après sa mort et fut nommé le Coran par ses successeurs immédiats, les califes islamiques.

    C'est-à-dire que Mahomet n'essaya jamais durant sa vie, de recueillir ses poèmes.

    Cela fut néanmoins accompli après sa mort comme on en retrouve la trace dans "Sahhihé Boukhari" réf : "Pendant la bataille de Yammanéh,

    Aboubakr convoqua Zéid Ibn Sabét, un des secrétaires de Mohammad, et Omar était présent également. Aboubakr dit à Zéid : Durant les batailles, la tuerie de ceux qui connaissaient le Coran par cœur,
    s'est intensifiée et je redoute qu'elle continue et que par conséquent, une partie du Coran disparaisse. A mon avis, tu dois essayer de recueillir le Coran. Zéid dit à Omar : Comment pourrais-je faire ce que le prophète lui-même n'a pas fait ?".

    La question que posa Zéid reste entière. Dans l'histoire, on trouve cinq personnes parmi les proches de Mahomet qui, après avoir appris les versets et les poèmes de l'annonciateur de l'Islam, transcrivirent ceux-ci sur les parchemins.

    Ces cinq personnes étaient: Imam Ali, Zéid Ibn Sabét, Abi Ibn Kaab, Mâase Ibn Djobal et Abdoullâh Ibn Massoud.

    Il est cepandant un détail pointé par les historiens de l'islam."Tout compte fait, à l'époque d'Abou Bakr, Zéid Ibn Sabét n'était pas convaincu
    de compiler le Coran. On se mit alors à chercher et on trouva quelqu'un qui connaisse la prononciation exacte du Coran ; mais Omar apprit que cette personne avait été tuée pendant la bataille de Yamânéh ; il décida donc instantanément de rassembler
    le Coran. (Al Mosahéf)

    Cependant la première personne qui, après la mort du l'annonciateur de l'islam, se chargea de recueillir le Coran fut Imam Ali, gendre de Mahomet et figure centrale de l'islam chiite.

    L'ouvrage Al Etghan-la Perfection, atteste ce fait page 203 :
    "Lors de l'alliance avec Abou Bakr (premier calife de Mohammad), Imam Ali resta chez lui. On dit donc à Abou Bakr qu'il s'est défendu ton alliance. Abou Bakr envoya le chercher et lui dit : As-tu évité mon alliance ? Ali dit : Je jure à Dieu que non.
    Abou Bakr lui demanda : Qu'est-ce qui t'a éloigné de nous ? Imam Ali répondit : J'ai redouté qu'il y ait des ajouts dans le livre de Dieu, je me suis alors dit que je ne me préparerais pour sortir que pour faire la prière, et cela jusqu'à ce que je l'ai recueilli."

    Comme Imam Ali l'indiqua, il redoutait les ajouts dans le Coran. Hélas, nous allons voir dans les pages suivantes, comment les Califes, et surtout Othman, essayèrent de présenter, en tant que Coran authentique, un livre fort différent de celui recueilli
    par les secrétaires et les proches du fondateur même de l'Islam. Ce problème de la constitution du Coran, ainsi que le dévoilement des secrets non dits à propos du Coran, peuvent - je le sais - bouleverser de nombreuses personnes.


    Le fait incontestable donc est que Le Coran fut rassemblé trente ans après l'Hégire (fuite et errance de Mahomet de la Mecque vers Médine) et quarante trois ans après la délivrance du premier verset.
    Comme il existait des problèmes de rivalité entre les trois premiers califes et Imam Ali (gendre et quatrième Calife de Mohammad), et puisque le nom même d'Ali était vénéré dans de nombreux versets, ce qui déplaisait aux autres califes, et malgré tout l'espoir
    que portaient Abou Bakr et Omar jusqu'à la trentième année de l'Hégire, aucun livre (coran) qui leur soit favorable ne fut compilé. En effet, en présence d'Ali et d'autres proches du Prophète de l'islam,
    ils ne pouvaient pas écrire un livre avec lequel Imam Ali n'était pas d'accord.

    Mais à l'époque tardive, presque une génération après l'époque du prophète de l'islam, Othman, le troisième calife donc créa beaucoup d'innovations en contradiction avec l'étape initiale de l'islam. Pour justifier ses actes,
    le troisième calife fut obligé d'inscrire le Coran tel qu'il lui convenait, d'autant que les mésententes s'intensifiaient de jour en jour. A la suite de ces désaccords, Othman fut assassiné. Le fait est bien connu des érudits de l'islam,
    comme en témoigne avec précision Al Etghan-la Perfection, page 51: "A l'époque d'Othman, (l'an trente de l'Hégire) il y eut des désaccords importants à propos de la prononciation du Coran de telle sorte que les élèves et les maîtres se sont mis en
    bagarres sanglantes. Othman a appris cette nouvelle et dit : De mon temps nieriez-vous le Coran et le prononceriez-vous comme vous l'entendiez bon ? Vous, les compagnons de Mohammad ! Rassemblez-vous et écrivez le Coran pour le peuple.
    On s'est donc réuni et on l'a fait".

    Le troisième calife, Othman, sortit le livre qui était chez Abou Bakr ou plutôt chez sa fille, et décréta que le Coran soit ordonné selon ce livre et uniquement en conformité avec la prononciation des membres de la tribu de Quoriche.
    Car à l'époque tout comme aujourd'hui, les Arabes de chaque tribu ou région avaient un dialecte propre et chacun prononçait le Coran avec son accent. Cette multiplicité de dialectes différents engendra immanquablement des controverses considérables
    sur la signification exacte de tel ou tel mot. Par conséquent, quand le calife Othman confirma le Coran tel qu'il est constitué aujourd'hui, il le fit recopier en cinq exemplaires et les envoya dans le monde islamique pour que soient détruits tous les livres antérieurs. Depuis, c'est cette seule version d'Othman qui est restée. Depuis, c'est cette seule version d'Othman que les musulmans sont tenus de considérer comme la seule authentique.

    Comme il est écrit dans "Renouveau dans les idées" au jour de l'installation du Coran d'Othman, Imam Ali monta son coran personnel sur un chameau et apparut en public. Othman donna alors l'ordre de le faire rentrer chez lui et le menaça de mort s'il n'obéissait pas. Puisque se battre pour le Coran créait des désaccords susceptibles de porter préjudice à la religion elle-même, Ali rentra chez lui.


    En quoi diffère le coran d'Imam Ali de celui d'aujourd'hui ?


    Comme l'ont écrit tous les commentateurs et les historiens, premièrement, le coran d'Imam Ali est écrit dans l'ordre où chaque verset avait été compilé ; deuxièmement, il comportait les abrogatifs et les abrogés du Coran ; en troisième lieu,
    ce que les versets confirmaient comme étant son "Imamite" (le statut d'Imam Ali), existait toujours. Comme Suiotï l'écrivit au septième siècle, ce fut parce qu'il ne put pas inscrire son coran, qu'Imam Ali le donna à ses héritiers, et qu'il tourna entre leurs mains.

    La question qui se pose reste de savoir pourquoi Imam Ali ne changea pas le Coran lorsqu'il acquit le pouvoir ? Imam Ali arriva au pouvoir grâce aux révoltes des musulmans de l'Egypte, de Damas et de la péninsule arabe.
    La lutte des classes et les guerres internes furent, en effet, à leur paroxysme sous le règne d'Othman.

    Quand Imam Ali prit le pouvoir, il se heurta, lui aussi, aux afflux des mécontents et des gouvernants influents qui avaient été mis en place par Othman.
    Il dut affronter Moâvïéh et Aïcha, l'épouse-enfant du fondateur de l'islam. Il fit les guerres de Saffeïn avec Moâvïéh, de Djamal avec Aïcha, Talhéh et Zobaïr, de Nahravân avec les Khavarédjs (dissidents).

    Il fut assassiné par Ibn Moldjam Moradi après environ cinq ans d'un règne chaotique. Il ne lui resta donc plus aucune occasion de changer le Coran. Mais à diverses moments, il s'exprima sur son contenu et on peut découvrir ses propos dans son livre "Nahdj al Balâghéh". Ses points de vue sont également repris par Koléinï dans Ossoul al Kafi, de même que par Chéikh Soudough, l'un des érudits de l'Islam qui cita les paroles des gendres d'Imam Ali à propos de la déformation du Coran.

    L'Imam Ali, le grand chef de l'islam ; Cheikh Coléinï, l'un des grands érudits islamiques du deuxième siècle en contact avec l'assistant de Mahdi [l'imam caché ] ;
    Cheikh Soudough, l’un des érudits islamiques notoires ; Sîotï, le plus grand interprète et historien islamique ; Bokhari, qui a rapporté les plus grands documents de l'histoire de l'Islam.

    Imam Ali disait : " Le Coran n'est qu'un ensemble de feuilles inscrites, mises entre deux couvertures en cuir, il ne prendra jamais la parole et quelqu'un doit forcément l'interpréter". Tout le monde sait que lors de la bataille de Safféïen, Moâviéh,
    en train de perdre devant l'armée d'Ali, donna l'ordre de mettre des livres du Coran au bout des lances pour que celui-ci soit seul juge de la reconnaissance d'Ali ou de lui. C'est ainsi que l'armée de Moâvïéh lança le slogan "Al Hokm Lel Allâh" (le jugement de Dieu).

    L'Imam Ali ordonna de frapper ces Corans de l'épée, tout comme contre les soldats de l'armée de Moaviéh. Lorsque les fanatiques religieux protestèrent, il répondit : "Je suis le Coran parlant et tout ce que vous voyez au bout des lances n'est que papier,cuir et encre".
    A partir de ce moment, les Khavarédjs [les dissidents], qui n'acceptaient pas ces mots, l'abandonnèrent et lui firent la guerre. Le cheikh Sadough, pour sa part, cita dans son Khéssal $refla prédiction du prophète de l'Islam à propos de l'altération du Coran,
    selon laquelle : "Le Coran dira un jour que l’on m'a altéré et déchiré."
    Et Koléïni, dont "Aoussoul Kafi est l'une des plus crédibles sources d'érudits, cita ainsi l'Imam Mohammad Baghér : " Et l'un des égarements du peuple du Coran c'est... qu'il l'altère".


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    Message  Arlitto Sam 18 Fév 2023 - 0:29

    Pourquoi le prophète de l'Islam n'a-t-il pas compilé ses poèmes ?

    On entend par-là que le Coran est parvenu du ciel grâce à un envoyé de Dieu (Gabriel), pour un autre envoyé de Dieu (le prophète de l'Islam).

    Faire état de quelque chose qui descendrait du ciel ou d'autres planètes, c'est faire référence à des contes fictifs nés de l'obscurantisme arabe.

    Pourquoi le fondateur de l'islam lui-même, avec toute son ingéniosité, toute sa sagacité et toute sa prévention n'a-t-il pas inscrit son livre ?


    Dirï Gholï, historien du 11ème siècle, écrivit dans son livre "Favaéd" : "Ibrahim Ibn Bachar nous fait dire, de la part de Zahri, d'Abide, et de Zéid Ibn Sabét (le secrétaire spécial du prophète), que le prophète est mort alors que le Coran n'a pas été rassemblé." ref. Khatabi, un autre célébre historien de l'islam quant à lui, déclara : "Le prophète ne l'a pas rassemblé dans un livre car il attendait d'éventuelles abrogations de certains ordres ou la citation de certains de ses extraits.". Au regard de ces deux citations,
    une question demeure.


    Quelles furent les différences entre les Corans des secrétaires du prophète de l'Islam et le Coran d'Othman ?


    Concernant le Coran d'Imam Ali, nous avons vu que, d'abord, il fut ordonné en fonction des dates des créations poétiques (dates des révélations) et ensuite, que les versets abrogatifs et abrogés furent relevés dans ce livre.

    Ce fait connu des historiens,est rapporté das Al Féhrést Ibn Nadîm, la liste d'Ibn Nadîm, page 147 : "Hassan Ibn Abasse raconte qu'il avait entendu de Hokm Ibn Sahir, qui l'avait, lui, entendu d'Abdé Kheir qui finalement, l'avait lui-même entendu d'Imam Ali,
    que la première personne ayant rassemblé le Coran de sa mémoire fut (Imam) Ali, et que ce Coran était gardé dans la famille de Djaffar ; et j'ai vu chez Abou Hamzéh Hassani, béni soit-il,
    un Coran écrit avec l'écriture d'Ali Ibn Abi Taléb et dont quelques feuillets étaient abîmés, et ce Coran était resté dans la famille de Hassan en héritage selon l'ordre des sourates, et d'après la révélation".

    Il est particulièrement intéressant de savoir que les autres Corans furent ainsi disponibles jusqu'à une certaine époque mais qu'ils furent soudainement perdus dans quelque sombre recoin de l'histoire.

    Peut-être retrouvera-t-on leurs traces dans des bibliothèques, des musées, ou ailleurs ?. Venons en aux problèmes que posent deux autres corans,
    celui d'Abd Allah Ibn Massoud et celui d'Abi Ibn Kab. Le lecteur peut, sur ce point précis, se référer à Al Féhrést d'Ibn Nadim - La liste d'Ibn Nadim, auquel nous le renvoyons


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    Message  Arlitto Sam 18 Fév 2023 - 0:29

    Le Coran d'Abd Allah Ibn Massoud

    "Fazl Ibn Châsan dit : l'ordre des sourates du coran de Mossahéf d'Abdo Allâh Ibn Massoud fut, dans un ordre différent de celui d'aujourd'hui : Que les deux mains d'Abi Lahab périssent et qu'il périsse lui-même, ses richesses et ses œuvres ne lui serviront à rien". Pour ne pas nous attarder davantage, nous n'avons pas cité le nom de toutes les sourates, mais on trouve cinq problèmes dans le coran d'Abd Allah Ibn Massoud :

    1- Le nombre et l'ordre des sourates diffèrent considérablement de ceux du Coran d'Othman car dans le coran d'Ibn Massoud, il n' y a que cent dix sourates, telles que nous les avons dénombrées.

    2- Les noms de beaucoup de sourates sont plus longs que ceux du Coran d'Othman.
    3- Il y a deux sourates nommées "Sadjdéh" (prosternation).

    4- Il y avait quelques sourates supplémentaires, comme "Havâmime" ou "Mossabahât" dans le coran d'Ibn Massoud, qu’on ne trouve pas ailleurs.

    5- Certains versets du Coran d'Ibn Massoud diffèrent de ceux du Coran d'Othman, surtout par la sourate "Va al Assre" dont on ignore le contenu dans le coran d'Othman. Il en est ainsi dans le coran d'Ibn Massoud : "J'en jure par l'heure de l'après-midi, l'homme travaille à sa perte. Tu en excepteras ceux qui croient et pratiquent les bonnes œuvres, qui recommandent aux autres la vérité et la patience !"



    Le Coran d'Abi Ibn Kab
    "Fazl Ibn Ghasan dit : L'un de nos proches en qui l'on a confiance disait : j'ai trouvé l'ordre des sourates du Coran tel que celui d'Abi Ibn Kab, à Bassora, dans un village qui s'appelait Ghariat al Ansar à douze kilomètres de Bassora,
    chez Mohammad Ibn Maléké Ansari, qui nous a montré un Coran et dit : ce Coran appartient à mon père et nous le tenons de nos ancêtres. J'y ai jeté un coup d'œil et en ai extrait les débuts et les fins des sourates ainsi que le nombre de leurs versets.
    Au début il y avait Fatéhat al Kétab (l'ouverture du livre) ; Bagharéh (la vache) ; Néssâ (les femmes) ; Allé Omran (la famille Omran) ; Anâm (les bienfaits) ; Eerâf (le purgatoire) ; Maédéh (la table) ; je doute qu'il ait eu la sourate Younesse (Jonas) ;
    Anfâl (les surestimations) ; Davoud (David) ; Tahâr (les propres) ; Insân (l'homme) ; Nabi Aliéh al Salam (le missionnaire auquel salut) ; Hai Ahl al Kétab les gens du livre) ; Lam Yacon Aval Makan ; trois versets ; B al Kofar Molhagh et ainsi de suite.
    Tous les versets furent au nombre de six mille deux cent dix"
    L'ensemble des sourates du Coran d'Abi IbnKab n'atteignait pas les cent seize. Un bon nombre de sourates de ce Coran n'existent pas du tout dans le Coran d'Othman. Il s'agit des sourates Davoud (David),
    Tahâr (les propres) à ne pas confondre avec la sourate Ta Ha du Coran d'Othman et Nabi Aliéh al Salâm (le missionnaire auquel salut).

    Les destructeurs et les destructions du Coran
    Le débat relatif aux destructeurs (nassékh) et aux destructions (mansoukh) est un des principaux problèmes du Coran, et par conséquent de l'Islam.

    Ce problème fut négligé jusqu'ici. Comme nous l'avons, le fondateur de l'islam, lui-même, envisagea de rassembler son livre (Le Coran) en vue de déterminer ou d'éliminer les versets destructeurs ainsi que les versets détruits. Pour mémoire, dans le Coran d'Imam Ali ce problème avait été pris en compte. Il est évident et clair que ce sujet est crucial.
    Car comme nous l'avons dit, Mahomet a admis un bon nombre de traditions datant de l'obscurantisme arabe. Nous verrons plus loin à quel point, par obligation, il se comportait avec respect à l'égard des membres de la tribu de Quoriche et de leurs rites.

    S'il avait pu, il aurait sans doute abrogé beaucoup de traditions et de pratiques héritées de l'obscurantisme arabe, lesquelles subsistent jusqu'à aujourd'hui, une époque pourtant de civilisation et de technologie. A propos de la question des versets destructeurs et détruits, de nombreux livres furent produits. Nous ferons allusion à trois grands auteurs qui ont noirci des centaines de pages sur ce sujet :

    - Hadjaj al Our. Al Nasékh va Mansoukh (abrogatif et abrogé);
    - Abd al Rahman Ibn Zéid. Nasékh et Mansoukh kodamand (Quels sont l'abrogatif et l'abrogé) ;
    - Abi Isshagh Ibrahim al Moadab pour son livre consacrés aux versets destructeurs et détruits.


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    Psaumes 33:13 Du haut des cieux Yahweh regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions
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    Message  Arlitto Sam 18 Fév 2023 - 0:29

    Les mots non arabes dans le Coran

    Le fondateur de l'Islam eut quelques conseillers importants qui aidèrent dans la formation de la révolution et jusqu'à l'élaboration de son idéal type. Certes, on apprend dans le Coran que ce livre fut révélé en langue arabe claire. Mais, néanmoins, d'autres mots, issus des langues civilisées de cette époque, s'y rencontrent. Des mots étrangers donc "à la langue arabe claire".

    Ces mots sont probablement empruntés au vocabulaire des amis de l'annonciateur de l'Islam ; des proches originaires d'autres pays, et jouant un rôle certain dans les décisions et les poèmes de Mahomet . Ces proches amis eurent à de nombreuses occasions recours aux mots de leur propre langue pour s'exprimer de manière précise. Ces termes furent ensuite "arabisés", c'est-à-dire qu'ils se placèrent naturellement dans le cadre de la grammaire arabe.

    Comme nous l'avons déjà illustré par quelques exemples, une fois le nouveau style du fondateur de l'Islam dans la création du Coran installé parmi les Musulmans de l'époque, il devint évident que ses proches amis pouvaient aussi faire de la poésie et de la rhétorique, tout comme lui. A l'instar des quatrains de Khayam, des odes de Haféz ou de la poésie moderne de Nimâ , un poète contemporain, nommé le Père de la Poésie Moderne Persane. Si quelqu'un connaît suffisamment Omar Khayam ou Haféz, et possède assez de talent poétique, il peut, en les prenant pour modèles, faire de la poésie dans un même style. Depuis toujours, ce phénomène est bien connu dans le monde littéraire : une fois un nouveau style inventé, d'autres servent pour produire des œuvres de la même tournure.

    Les termes persans dans le Coran
    - Abarigh (pluriel d'Abrigh); Estabragh; Tanour; Djahanam; Dinar; Al Rass; Al Rome; Zandjébil;
    Sédjil; Saradégh; Saghar; Salsabil; Sndass; Ghofl; Kafour; Kanz; Kourte; Madjous; Mardjan; Mask; Maghalid; Mazdjah; Né; Houd; Yagoute; Al Yahoud.


    Les termes abyssins (éthiopiens)
    - Monâfiqoun (les douteurs, les hypocrites) présent dans la sourate 3, la famille d'Imran, est un mot emprunté à l'éthiopien, exactement à langue de l'église chrétienne d'Ethiopie. Il y a également les mots: Ela Raéc; Avâh; Avâb; Al Djabt; Horm (haram); Haub; Dôrï; Sïnïn; Shatre; Tâhâ; Tâghoute; Al Eram; Ghéise; Ghoureh; Kafle; Machcouh; Mansâh; Nachééh; Yassin; Yassdon.


    Quelques termes romains dans le Coran
    - "Dinar", monnaie d'or vient du latin "denarius" qui a donné en français "denier". Contrairement à ce que croient certains : ce n'est pas "denier" qui vient de "dinar" mais "dinar" du latin. Il y a également les mots : Sérâte; Tafagh; Ferdôs; Ghéste; Ghéstass

    Quelques termes syriens dans le Coran
    - Qor'an (Coran) veut dire "récitation" est lui-même un mot calqué sur le mot qeryânâ du syriaque, langue utilisée par les Chrétiens d'Orient, souvent arabes. De même le mot "çalat", la prière, est emprunté au Chrétiens d'Orient. Il y a également les mots : Yam (Al Yam); Houn; Ghouyoum; Addan; Toure.


    Quelques termes juifs (hébraïques) dans le Coran
    - Arrêtons nous sur "Al Rahman". Rhaman, c'est à dire, miséricordieux était le mon que les populations sudarabiques donnaient non seulement au Dieu des Juifs mais également au Dieu Père de la Trinité chrétienne, d'après l'usage araméen et hébreu sous la forme Rahmânân, c'est à dire, avec l'article sudarabique agglutiné à la fin du mot: le Clément. Ce mot se retrouve dans la formule à l'entête de toutes les sourates du Coran sauf une. Cette formule traduite par "Au nom de Dieu clément et Miséricordieux" pourrait se traduire par "Au nom du Dieu le Père miséricordieux". Autre exemple, le mot "mathani" (les sept narrations) vient de l'araméen "mathinîtha" et de l'hébreu "mishna. Il y a également les mots : Akhlad; Baïre; Raéna ; Tavâ; Marghoum; Hodnâ; Ghamle


    Quelques termes nabatéens dans le Coran
    Varz; Varâ; Malakoute; Côfre; Ghat; Mazhan; Sinâé; Sôfréh; Havâriyoun; Hasbe; Akvab; Asphar; Al; Alîm.


    Quelques termes grecs dans le Coran
    "Dirham", monnaie d'argent vient du grec "drakhmé" mais surtout "Calame", la plume, qui donne son nom à la sourate 58 dérive du grec "calamos".


    D'aucuns considèrent l'arabe du Coran comme une langue sacrée ; et certains aspects de la ferveur populaire en amènent d'autres à affirmer que Dieu parle arabe. Les emprunts aux langues étrangères et donc non sacrées doivent inciter à appréhender dogme et croyance dans une autre perspective.


    _________________________________________________________________________________________________________
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    Message  Arlitto Sam 18 Fév 2023 - 0:30

    La jalousie secrète envers les Gens du livre

    Ces Gens du Livre sont les Juifs et les Chrétiens, mais également les Mazdéens.

    Cette expression "Gens du livre" incite à poser, comme l'a noté le philosophe français Jacques Ellul, la question de savoir "de quel livre s'agit-il". Cela étant, On trouve une chose très intéressante dans le Coran. Certains versets font montre de beaucoup de respect en faveur des Juifs et des Chrétiens, mais d'autres passages disent tout le contraire. Il est même parfois ordonné de les tuer.

    Si aujourd’hui nous voulons proposer une idéologie de la paix, de l’humanité et de la laïcité de l’Islam, nous devons régler d'urgence ce problème-là, c'est-à-dire toutes ces contradictions. Il faut affirmer clairement que certains versets sont annulés notamment ceux où il est déclaré que certains Juifs et certains chrétiens prétendent avoir la vérité alors qu’ils ne l’ont pas et qu'ils sont donc les ennemis de Dieu ; surtout lorsqu’il est ordonné "de tuer tous ces gens là où vous les trouvez".(Sourate X verset XX). Ou encore au verset 30 de la Sourate 9 , l'immunité (le repentir): "Les Juifs disent: ‹Uzayr est fils d'Allah› et les Chrétiens disent: ‹Le Christ est fils d'Allah›. Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu'Allah les anéantisse! Comment s'écartent-ils?"


    LES CHRÉTIENS
    Si l'on en croit Bernard Lewis, professeur à l'Université de Princeton, " pour la pensée islamique ­classique, le trait le plus saillant des Juifs est leur ­insignifiance. Les polémistes musulmans consacrent l'essentiel de­ leurs efforts à réfuter leur principal ennemi : le christianisme, et peu d'entres eux jugent utiles de gaspiller leur temps et leu­r énergie à réfuter le judaïsme" Cette attitude semble se perpétuer de nos jours Sinon, comment faut-il comprendre la phrase du philosophe l'égyptien Fouad ZAKARIYA ?. Op. cit.
    "- Le christianisme - auquel les islamistes se référent en­ permanence, explicitement ou non - a toujours eu l'ambition­ d'organiser la vie terrestre des hommes. Certes, à la différence­ de l'islam, les textes saints du christianisme ignorent cette dimension".
    La phrase soulignée repose le problème de l'idéalisation progressive de Muhammad en regard de Jésus. Question d'autant plus incontournable que dans le Coran ­lui-même Jésus possède de titres plus élogieux que ceux de Muhammad­ appelé apôtre. Ainsi Jésus est:

    - Verbe de Dieu - Kalimatu'llah - Coran­III/39 ;
    - Parole de Dieu - Kalimatuhu - Coran IV/171 ;
    - Parole de ­Vérité - Qaulu-l Haqq - Coran XIX/34 ;
    - Esprit de Dieu - Ruhun min­Allah - Coran IV/171 ;
    - Messie - Masih - Coran III/45 ;
    - Illustre dans ce ­monde et dans l'autre -Wajihan fi'd dunya wa'l akhirat i-Coran ­III/45 ;

    Le Coran donc possède une indiscutable dimension christique, j'entends par là qu'il peut amener à découvrir le Jésus tel que le conçoivent les Chrétiens. En­ effet, comment distinguer Dieu de sa parole ? ­ Est-ce parce qu'il y aurait là un danger pour leurs dogmes que les tenants d'un islam qui se veut orthodoxe préfèrent récuser les Evangiles en s'appuyant sur les "travaux" d'un "exégète" de la trempe de­ Maurice Bucailleou soutenir que Monsieur Mohamet est annoncé en tant que Muhammad par la Bible mais que son nom a été rayé par les ­Juifs? L'idée peut paraître un peu saugrenue aux lecteurs francophones non connaisseurs de la culture musulmane ; on la retrouve chez certains "auteurs" d'ouvrages récents. Ces affirmations furent déjà réfutées par Maimonide dans son Épître au Yémen.


    Les Juifs
    Il y a une haine assez viscérale depuis la plus haute antiquité islamique envers les Juifs. Et cela se retrouve de nos jours. Grief antisémite classique : le Juif­ exploiteur des peuples qui l'accueillent. A titre d'illustration, comparons une assertion de l'écrivain libanais contemporain Adnan ­Haddad à une affirmation du nazi Johannes Ohquist dans un livre publié en France sous l'Occupation :
    1) Haddad, 1987: "Cependant, tout en se mêlant à la vie des peuples­ d'accueil, pour mieux les observer et pour les exploiter plus ­subtilement, à aucun moment, la plupart des juifs ne semblent­ avoir abdiqué leur judéité et encore moins la conviction de leur supériorité raciale ou de leur élection divine"
    2) Ohquist, 1943: " Le maintien par les Juifs eux-mêmes de leur caractère ­étranger prit - tout au moins en ce qui concerne l'Allemagne - une ­acuité de plus en plus sensible par suite de l'absence de scrupules avec laquelle les Juifs favorisèrent leurs propres congénères dans la lutte pour la vie aux dépens du reste de la­ population et cherchèrent à leur procurer une plus grande puissance".

    Adnan Haddad explique que pour diverses raisons, le Coran s'en prend aux Juifs. Il convient de le citer encore, car il reprend des griefs là aussi classiques mais en les légitimant en référence au livre saint de l'islam: " 1- ­parce qu'ils détestent les autres (..) 2- parce qu'ils sont malhonnêtes : " Et parmi les Détenteurs de L'Écriture, il en est ­qui, si tu leur confie un quintâr (quintal), te le rendent, ­tandis qu'il en est qui, si tu leur confies un dînâr, ne te le ­rendent que lorsque tu les harcèles." Ce verset est tiré de la Sourate 3, La famille de 'Imrân (CO III/75). Chacun peut apprécier la citation à sa guise. Il y a donc des Juifs honnêtes, et des ­Juifs malhonnêtes. Grande découverte ! Enfin, les Juifs, pour Adnan Haddad et ses semblables, sont des gens qui­ veulent garder le Message Abrahamique pour eux tout seuls ! Idée ­exprimée du reste dans le Coran : "Dieu a stipulé avec les­ Juifs qu'ils auraient à expliquer Le Pentateuque aux hommes et­ qu'ils ne le cacheront pas. Ils l'ont jeté par dessus leurs­ épaules et l'ont vendu pour un vil prix. Vilaine marchandise que­ celle qu'ils ont reçue en retour!" (CO III/184). Or, le même Coran proclame néanmoins, Sourate 2, la Génisse, verset 44 85 : " O enfants d'Israël,.., souvenez vous que je vous ai élevés ­au-dessus de tous les humains". L'avis se répète au verset 116 de la même sourate considérée ­par les savants de l'Islam comme la synthèse de tout le message­ coranique. Pourquoi alors répéter encore que les Juifs ne sont plus le Peuple Elu?
    Le problème tient hélas au fait qu'en terme de rapports entre Juifs, chrétiens et musulmans, les plus sectaires des lecteurs du Coran refsuseront tout dialogue en s'arrêtant toujours au verset 120 de la sourate 3, la famille d'Imran : " Les Juifs et les Chrétiens ne seront pas contents de toi tant que tu ne suivras pas leur religion". Que Juifs et­ Chrétiens soient "frères", tout le monde en convient, y compris ­le Coran qui bizarrement met en garde ses lecteurs : "O croyants !­ ne prenez point pour amis les Juifs et les Chrétiens ; ils sont ­amis les uns des autres " (CO V/51 88 .


    Certains reprochent aux Juifs de se croire au­ dessus du reste de l'humanité, d'être le Peuple Elu. Ainsi, ­les antisémites clameront-ils avec Adnan Haddad "en se mêlant à la vie des peuples d'accueil, ­pour mieux les observer et pour les exploiter plus subtilement, à aucun moment la plupart des juifs ne ­semblent pas avoir abdiqué leur judéité et encore moins leur ­supériorité raciale ou leur élection divine ". Cette étonnante affirmation suscite plusieurs ­remarques :
    - Pour satisfaire qui, les juifs abdiqueraient-ils leur­ judéité ?
    - Il Existe des Juifs noirs (falashas), des Juifs blonds aux­ yeux bleus, des Juifs au type maghrébin, des Juifs au type slave ou allemand, des Juifs chinois, ­des Juifs indiens, etc. Et bien sûr, des Juifs iraniens ! Le terme "race" ne correspond vraiment­ ici à rien.
    -Si le Dieu de la Bible existe et que les Juifs sont son Peuple Elu, ­pourquoi renieraient-ils leur élection divine ? Pour faire ­plaisir au fondateur de l'islam qui affirme au verset 184 de la sourate 3 que les Juifs ont vendu le Pentateuque, la Thora donc, pour un vil prix. A l'évidence encore, Le Coran, Monsieur Mahomet, et Adnan ­Haddad ne partagent pas la même opinion quant au renoncement­ par les Juifs à leur élection. Ce brillant commentateur de l'islam affirme aussi :
    "-Jésus, juif de haut en bas, tant du point de vue doctrinal que racial, et remplissant les conditions ­attendues du Messie, attira l'élite juive et une grande­ partie de la masse vers une adhésion massive mais ­progressive" . Ils ont donc fait quoi ces Juifs ? Ils étaient si farouchement attachés à leur judéité qu'ils devinrent chrétiens. La contradiction de ses propos ne saute pas aux yeux de l'auteur, ni de son éditeur. Mais c'est ce type d'argumentation que l'on retrouve hélas chez trop d'interprètes du Coran.


    Certains auteurs contemporains insistent sur le fait que l'existence effective­ des Juifs valideraient un nombre considérable de textes de la­ Bible. Si donc les Juifs disparaissaient des pans entiers de la parole biblique deviendraient obsolètes. C'est là certes une vision judéo-chrétienne que chacun peut partager ou non. Cependant, il n'en demeure pas moins que ceux qui dénient aux Juifs le qualificatif de Peuple Elu­ rejètent en général la Bible comme une authentique parole ­révélée. Soit par athéisme. Pas de Dieu, donc pas de ­révélation. Soit, aujourd'hui, par islamisme dont les tenants professent à qui veut les entendre que les Juifs et les Chrétiens ont falsifié la Bible (L'Ancien et Le Nouveau Testament). Une allégation qui pose d'insolubles problèmes de cohérence ­historique et de filiation des textes.
    Ainsi peut-on voir parfois certains expliquer qu'on retrouverait dans le Coran ­toute la beauté des Evangiles sans le sionisme (dixit) que véhicule l'Ancien Testament. Quant à la vision que le Coran possède de Jésus et de Marie, ­elle provient de célèbres légendes apocryphes postérieures aux­ Evangiles mais antérieures à la prédication de Monsieur Mahomet. Les historiens des ­religions le savent; un nombre­ croissant de musulmans cohérents aussi, trop de pseudos commentateurs sectaires refusent de le voir ou, pire, essayent de noyer leurs doutes sous un flot de vociférations !


    Le dogme musulman classique postule que le Coran corrige les erreurs et falsifications de l'Ancien Testament et des Evangiles alors même que le livre de l'islam­ affirme confirmer "les Ecritures Antérieures". En outre, on ne trouve pas dans­ le Coran l'annonce du retour des Enfants d'Israël dans le pays ­de leurs ancêtres après un exil parmi les Nations, comme ces la cas de maints Livres prophétiques de la Bible­. Le rôle des Juifs ­et du judaïsme est caduque puisque, selon l'islam, les Juifs se ­révoltèrent contre Allah qui les châtia pour leur ­iniquité et en changea un certain nombre en "singes abjects"[ltr][95][/ltr][color]. "Et l'avilissement et la pauvreté s'entendirent sur eux ­(les Juifs), et ils s'attirèrent la colère de Dieu, parce qu'ils­ ne croyaient point à ses signes et tuaient injustement leurs ­prophètes. Voila quelle fut la rétribution de leur révolte et de ­leurs méchancetés" (CO II/58 96. Dans cette optique, les Juifs se doivent de ne subsister que dans ­un état persistant d'humiliation. Cela se traduisit ­en pratique dans le fait que, s'ils détenaient des droits inscrits ­dans la loi, les Juifs, comme d'ailleurs les Chrétiens, vivaient en terre d'Islam, dans un état imposant une acceptation ritualisée d'un statut de sous-citoyen. Certains pays d'islam, notamment l'empire ottoman,­ surent certes accueillir les Juifs persécutés en Europe. Cependant,­ suivant les mots encore de Bernard Lewis, "il ne faudrait pas­ croire pour autant que les Juifs en Terre d'Islam vivaient le ­paradis multiconfessionnel que se plaisent à décrire les ­faiseurs de mythes modernes. Comme les Chrétiens, ils étaient en droit et en fait des citoyens de second rang". Un nouveau mythe ou une nouvelle mode semble être né : l'Andalousie, Al-Andalus, où Juifs, Chrétiens et Musulmans ­auraient cohabités en parfaite harmonie ; une chimère largement propagée ­par certains naïfs pour idéaliser les rapports entre les formes concurrentes du monothéisme. Concernant les Juifs et le judaïsme, comme le met en évidence l'auteur français Ange-Mathieu Mezzadri, "les Juifs, ces êtres "insignifiants", revinrent sur ­les devants de la scène de l'Histoire. Et de quelle manière ? En ­rebâtissant leur patrie mythique, dans une contrée que les ­musulmans considèrent comme la leur. Jérusalem n'est plus ­seulement la Cité de David, mais aussi Al-Qods, depuis que Muhammad l'aurait "visité" lors d'un Voyage Nocturne (CO XVII/1.­ D'où le drame : les Juifs en sortant de leur insignifiance sont devenus par trop signifiants. En posant, grâce leur existence renouvelée, le problème de la validité même du Coran qui affirme ­aux Musulmans qu'ils sont les élus de Dieu (CO XXII/77)". Libre à chacun d'adopter la croyance qui lui convient. Admettre l'inspiration divine du Coran, de la Bible ou d'un autre livre constitue un acte de foi. La renaissance de l'Etat ­d'Israël est une donnée géopolitique. Cette réalité ne génère-t-elle pas à elle seule toute cette amertume à l'œuvre au sein du monde musulman. Comble d'ironie, alors que le Coran n'en parle pas, la ­renaissance géopolitique de l'Etat d'Israël est annoncée dans la Bible comme en atteste, par exemple, cet extrait :"Nations, écoutez la parole de l'Eternel, et publiez-là ­dans les îles lointaines ! Dites: Celui qui a dispersé Israël le ­rassemblera, et il le gardera comme le berger garde son­ troupeau" (Jérémie 31/10). En conséquence, il n'y a rien de surprenant à ce que les tous fanatiques des plus extrémistes voient en Israël­ une négation de leurs dogmes. Tel précheur de la haine, pour reprendre le titre du best-seller de l'américain Kenneth Timmerman, qualifie les Juifs de­ "communauté M......", ou comme d'autres éructent " Abas les Juifs"­ en toutes occasions. Je suis moi-même en permanence traité de "Juif", comme si c'était une insulte![/color]


    Comme le souligne avec pertinence Ange-Mathieu Mezzadri dans son ouvrage "Le Joker Juif", la haine des islamistes s'explique par l'éternelle ­inquiétude quant aux origines. Un petit rappel d'histoire s'impose:
    Monsieur Mahomet prêcha son message de l'an 610 à 632. Retranscrit sur ­différents supports, parchemins, nervures de palmiers, pierres blanches, omoplates de moutons, et - selon la formule consacrée - retenu dans le cœur des hommes ; il fut réunit par le calife Othman, plus de vingt ans après ­la mort du fondateur de l'islam ; c'est le Coran connu aujourd'hui, le Coran d'Othman. Tous les recueils antérieurs à cette compilation furent anéantis, sur ordre d' Othman, y compris­ les volumes - mushaf - des intimes de l'apôtre de l'islam. La ­copie d'abord que détenait Imam Ali, d'où les accusations chi'ites à l'égard des sunnites. Puis, de manière encore plus néfaste, le mushaf primitif que le Premier ­des califes, Omar, donna à sa fille Hafsa, veuve de Monsieur Mahomet, disparut ­lui aussi, un peu plus tard. Un dogme courant enseigne néanmoins ­que le Coran n'a pas subi d'altérations. J'ai voulu donner lecteur les outils nécessaires à son propre jugement. La plupart des personnes de confession musulmane croient en toute sincérité que le Coran est la parole même de­ Dieu qui certifie les Ecritures dites Antérieures. Cependant, l'étude comparée des textes révèle de préjudiciables discordances du Coran par rapport à l'Ancien Testament et ­aux Evangiles : curieux anachronismes,­ confusions de personnages (La Vierge Marie, Mère de Jésus est confondue avec la sœur de Moïse), adjonctions d'éléments extérieurs à la tradition monothéiste. Nombre d'histoires du Coran ne sortent pas de la­ Bible mais de ces légendes talmudiques que chacun peut lire dans la traduction française des­ Aggadoth du Talmud de Babylone. Inutile d'infliger une plus longue exégèse pour laisser la conclusion à Maxime Rodinson : " Il est certain que les intellectuels juifs ne purent se­ résoudre à confirmer la validité‚ de la Révélation adressée à ­Mohammad. Détenteurs de l'Ancienne Ecriture, c'est à eux qu'on ­s'adressait pour demander un avis sur ce nouveau message, sur sa ­conformité‚ avec les critères de l'inspiration divine reconnue par­les spécialistes. Même s'ils avaient eu de la bonne volonté pour­ le nouveau mouvement, il leur était difficile de consacrer ce qui ­leur semblait être les élucubrations incohérentes d'un ignorant,­ il était difficile de ne pas souligner les déformations qu'avaient subies les récits de l'Ancien Testament dans le Coran, ­les anachronismes et les erreurs dont celui-ci était­ rempli ".[color] Dés lors, il ne resta, pour le fondateur de l'islam comme­ par la suite pour ses adeptes les plus haineux, qu'une seule échappatoire : accuser­ les Juifs - quelques fois les Chrétiens - de tous les mensonges possibles. Bien que cette affirmation selon laquelle les "Juifs ont altéré la Bible", pose de bien cruelles questions de cohérence philologique; elle n'en connaît pas moins un succès certain dans les milieux sectaires. Dans un tel contexte, tout contradicteur se doit de disparaître. Surtout le Juif, Détenteur de ­l'Écriture, donc de l'Origine.[/color]


    LES MAZDENS
    L'autre nom des mazdéens est "zoroastriens". Ce sont les héritiers de l'ancienne religion de la Perse. Un religion qui survit en Iran bien sûr et également en Inde où de nombreux zoroastriens se sont réfugiés pour échapper aux persécutions musulmanes. Des persécutions qui ne produisirent bien que le Coran reconnaisse les Mazdéens comme des gens du Livre. Mais peut-être ont-ils été persécutés du fait même de l'influence mazdéenne dans la formation initiale de Monsieur Mahomat par le perse Salam ? Pour mémoire, le chanteur anglais d'origine indo-persane Freddy Mercury était zoroastrien.


    LES DHIMMIS
    Il s'agit des non musulmans en Terre dite d'Islam. comme l'a déjà fait remarquer l'intellectuel français Jacques Ellul "Il y a un demi-siècle, la question de savoir quelle était la situation des non-musulmans en terre d’Islam n’aurait exalté personne". Il convient d'expliquer encore ce qu'est une dhimmi, un protégé
    Respect dû aux musulmans et encore plus à l’islam. Cette notion de protection est très ambiguë. Le français Jacques Ellul l'a bien mis en exergue. Je renvoie le lecteur à son analyse. Car, en effet, apparaît tout de suite un doute au sujet du mot «Dhimmi" qui veut dire « Protégé ». "Et c’est un des arguments des défenseurs modernes de l'Islam : le dhimmi n’a jamais été ni persécuté ni maltraité (sauf accident), bien au contraire : il est un protégé. Quel meilleur exemple du libéralisme de l’Islam. Voici des hommes qui ne partagent aucune croyance musulmane, et au lieu de les exclure, on les protège. J’ai lu de nombreux textes montrant qu’aucune autre société ni religion n’a été aussi tolérante, n’au aussi bien protégé les minorités. Bien entendu, on en profite pour mettre en cause le christianisme médiéval (que je ne défendrai pas), en soulignant que jamais l’Islam n’a connu l’Inquisition ou la « chasse aux sorcières ». Acceptons ce point de vue, et bornons-nous à réfléchir à ce mot lui-même : le « protégé ». Et il faut bien se demander « protégé contre qui ? » Dans la mesure où cet étranger » est en terre d’Islam, cela ne peut évidemment être que contre les musulmans eux-mêmes. Le terme de protégé implique en soi une hostilité latente, c’est ce qu’il importe de bien comprendre". Jacques Ellul a vu juste. Cette hostilité j'ai pu la constater dans mon pays de naissance, l'Iran, à l'égard des Juifs, des Chrétiens et des Zoroastriens. J'ai vu aussi le calvaire des Bahaîs, et des autres groupes qui n'ont pas le bonheur de plaire aux extrémistes. Hélas, la persécution des minorités n'est pas le fait du seul Iran livré à la bestialité des mollahs. On retrouve cela actuellement un peu partout dans le monde dit musulman. Citons: Pakistan: anti-Christian législation, au nom d'une loi anti-blasphème, pour étouffer les 15 millions de chrétiens que compte le pays (eh ! Oui) et éviter que par des conversions leur nombre s'accroisse.
    La question demeure : pourquoi ce statut de dhimmi ? Est-ce le fait du hasard ?Pour Jacques Ellul encore "le dhimmi est comparable au serf européen du Moyen-Age. Mais la condition du serf était le résultat d’un certain nombre d’évolutions historiques (transformation de l’esclavage, disparition de l’Etat, apparition de la féodalité, etc…). Et par conséquent, lorsque les conditions historiques changent, la situation du serf évolue, jusqu’à disparaître. Il n’en est pas de même pour le dhimmi : ce n’est pas du tout le résultat d’un hasard historique, c’est ce qui doit être, du point de vue religieux et du point de vue de la conception musulmane du monde. C’est à dire c’est l’expression de la conception totale, permanente, fondée théologiquement de la relation entre l’Islam et le Non-Islam. Ce n’est pas un accident historique qui pourrait avoir un intérêt rétrospectif, mais un devoir être".

    Les apostats
    Il s'agit des personnes venues de l'islam et passées à une autre religion. Il existe en effet un autre mythe, en Occident, à savoir que les "musulmans" sont si attachés à leur religion et à l'islam qu'ils sont inconvertibles. C'est totalement faux. L'erreur vient du fait que la presse grand public parle surtout des Occidentaux devenus musulmans, et rarement de l'inverse. Quant aux extrémistes, ils ne parlent que de ça. Evidemment, ils passent toujours sous silence leurs ex-coreligionnaires qui cessent de croire en l'islam. Il est évident que dans les pays où s'applique la loi islamique, certaines personnes font semblant d'être musulmanes même si elles ont adoré, en secret, une autre croyance. Dans d'autres pays apparaissent des petites églises locales, comme en Algérie où on assiste à un certain retour à la religion d'origine comme en Iran avec le zoroastrisme. Il est évident que les extrémistes algériens, iraniens et autres ne rêvent que de voir anéanties ces petites communautés religieuses qui, selon eux, minent le Dar- al-Islam. Bien évidemment, les musulmans ordinaires ne sont pas tous hostiles. J'ai pu m'en rendre compte à l'occasion de l'émission que j'anime : le sujet n'est plus tabou chez les personnes censées être musulmanes ; loin de là ! Il existe, en France, quelques témoignages littéraires de passage ainsi de l'islam au christianisme, comme celui de Lucille O., "Les Larmes de cristal". Mais, aux États-Unis de tels témoignages sont fréquents et écrits par d'ex-musulmans. Citons, par exemple, deux livres qu'il serait judicieux de traduire en français à destination des pays francophones.
    - Ergun Mehmet Caner & Emir Fethi Caner. Un veiling islam (dévoiler l'islam) ;
    -Ibn Waraq. Leaving Islam. Apostates speak out. (Quitter l'islam. Des apostats s'expriment).
    Le but de ce rappel n'est pas de défendre le christianisme ou toute autre religion au détriment de l'islam. Je suis - et pour cause - assez mal placé pour cela. Non, le but est simplement de rappeler au lecteur que les personnes issues du monde musulman sont aussi capables que les autres d'évoluer et de profiter de la liberté de conscience quand elle leur est accordée ; ce que la plupart des pays - à commencer par mon pays d'origine - se refuse à faire.


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    Message  Arlitto Sam 18 Fév 2023 - 0:30

    Contradictions dans le Coran

    Contradiction dans le Coran à l'égard des Juifs et des Chrétiens ?


    Certains versets coraniques montrent beaucoup de respect en faveur des Juifs et des Chrétiens, alors que d'autres sont plutôt le reflet d'une haine tenace.

    La question qui se pose est de savoir si le fondateur de l'islam connaissait le judaïsme et le christianisme.

    A lire certaines affirmations du Coran, on se ­demande quels Juifs ou quels chrétiens, Mahomet avait ­bien pu croiser ? Mais d'autres l'a déjà écrit Maxime Rodinson, dans cette péninsule arabique, si fertile en hérésies, "on ­connaissait, (...), le judaïsme et le christianisme, sous de­s formes souvent quelque peu aberrantes".

    Quant à savoir si Mahomet rencontra ­l'authentique judaïsme ? Rien n'est moins certain.

    Pour mémoire Waraqa, oncle de Khadija, sa première femme et Bahira. Ces chrétiens-là en fait n'appartenaient pas à l'orthodoxie chrétienne mais à des sectes, tout particulièrement à la secte des Nazaréens.

    Les Nazaréens est le nom qu'en Arabie portaient des hérétiques (selon les critères chrétiens classiques) et qui, ailleurs, s'appelaient les Ebionites. L'ébionisme était le fait d'un groupe de Juifs qui suivirent le Christ et le considèrent comme un grand prophète sans croire à sa filiation divine. Il y avait évidemment des ébionites d'origine juive à la Mecque avant la prédication de Mahomet. L'ouvrage de Joseph Azzi, Le Prêtre et le Prophète, un texte réédité plus de treize fois dans sa version originale arabe et maintenant disponible en français..

    Il y avait d'autres sectes dites chrétiennes dont les nestoriens inventeurs de la formule "Jésus, fils de Marie", où les docètes qui croyaient qu'au dernier moment le Christ échappa à la croix, son corps ayant été remplacé par un autre. Les traces de toutes ces visions étonnantes du Christ se retrouve dans le Coran sous la forme de versets divers.
    Le verset 30 de la sourate 9, l'immunité qui dit : " Les Juifs disent: ‹Uzayr est fils d'Allah› et les Chrétiens disent: ‹Le Christ est fils d'Allah›. Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu'Allah les anéantisse! Comment s'écartent-ils?"
    "Selon le Coran, les Juifs disent donc "Uzayr est le fils d'Allah". Uzayr est, selon certains auteurs, le nom coranique du prophète Esdras". Malgré cette précision, on ne voit déjà pas très bien quels Juifs auraient pu le considérer comme le fils de Dieu et quand on ajoute que le nom d'Allah peut se traduire par " cette statue est la mienne", on le voit encore moins.

    La question qui se pose est la suivante : le verset cité vise-t-il une secte qui n'avait de juif que le nom ou le judaïsme dans son ensemble ?
    Ce que le Coran critique ce n'est donc pas la Trinité chrétienne (Le Père, le fils, Le Saint-Esprit) mais un tri-théisme bizarre associant Allah, Jésus, La Vierge Marie. Il y avait effectivement des sectes dites chrétiennes qui avaient sombré dans l'idolâtrie de Marie. Comme précédemment, la question qui se pose est la suivante : les versets cités visent-ils une secte qui n'avait de chrétien que le nom ou le christianisme dans son ensemble ?


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    Message  Arlitto Sam 18 Fév 2023 - 0:31

    LES AUTRES VERSETS CONCERNANT LES MASSACRES ET TUERIES (GHETAL)


    L'islam dont beaucoup affirment qu'il signifie aussi "la paix" en jouant sur les mots "islam" et "salam", la paix en arabe, possède un livre saint qui, en fait, appelle bien souvent ses lecteurs au combat.

    S'agit-il d'un seulement d'un combat spirituel, comme certains commentateurs se plaisent à le dire ?

    Le lecteur a le soin de juger. Voici ce que disent quatre versets de la Sourate 4, Les Femmes:

    "74. Qu'ils combattent donc dans le sentier d'Allah, ceux qui troquent la vie présente contre la vie future. Et quiconque combat dans le sentier d'Allah, tué ou vainqueur, Nous lui donnerons bientôt une énorme récompense.
    75. Et qu'avez vous à ne pas combattre dans le sentier d'Allah, et pour la cause des faibles: hommes, femmes et enfants qui disent : ‹Seigneur! Fais-nous sortir de cette cité dont les gens sont injustes, et assigne-nous de Ta part un allié, et assigne-nous de Ta part un secoureur ".
    76. Les croyants combattent dans le sentier d'Allah, et ceux qui ne croient pas combattent dans le sentier du Tagut. Eh bien, combattez les alliés de Diable, car la ruse du Diable est certes, faible.
    77. N'as-tu pas vu ceux auxquels on avait dit: ‹Abstenez-vous de combattre, accomplissez la Salat et acquittez la Zakat!› Puis lorsque le combat leur fut prescrit, voilà qu'une partie d'entre eux se mit à craindre les gens comme on craint Allah, ou même d'une crainte plus forte encore, et à dire : ‹Ô notre Seigneur! Pourquoi nous as-Tu prescrit le combat? Pourquoi n'as-Tu pas reporté cela à un peu plus tard?› Dis: ‹La jouissance d'ici-bas est éphémère, mais la vie future est meilleure pour quiconque est pieux. Et on ne vous lésera pas fût-ce d'un brin de noyau de datte".
    Historiquement, les soldats de l’Islam ont déjà attaqué Babel, l’Egypte, la Perse et l’Empire romain de l’ouest (la Turquie) jusqu’au nord de l’Afrique, provoquant la destruction des grandes civilisations berbères et kabyles, puis l’invasion de l’Espagne. Puis, il y eut les guerres de l'arabe irakien Saddam Hussein contre ses voisins, déclarant qu’il voulait répéter et ressusciter "AL GHADESSIEH "; c'est-à-dire la guerre faite contre les Perses à l’époque de la création de l’Islam). Voilà maintenant la 3ème Guerre Mondiale déclarée par le saoudien Ben Laden …Et l'histoire n'est pas finie!




    La haine à l'égard des Juifs


    Depuis très longtemps, une haine existe entre l’islam et Juifs même si elle prend une autre tournure de nos jours (conflit israélo-palestinien au Moyen-Orient ou accrochages entre Juifs et Beurs en France, antisémitisme des Blacks Muslims aux Etats-Unis, etc.).
    Par exemple l'auteur libanais contemporain, Adnan­ Haddad, n'emploie pour parler des Juifs, ou des anciens Hébreux, ­que les termes "race", "race élue", "particularisme ­racial", "exclusivisme de la race", "orgueil religieux et ­racial", comme en atteste éloquemment l'extrait suivant : "L'athée juif, marxiste ou libéral, aura beau affirmer qu'il n'est plus pratiquant ni croyant, mais il ne pouvait ne pas­ échapper à une dialectique propre aux Juifs, à tous les Juifs,­ qui lui a conféré une culture multiforme: religieuse, sociale,­ économique, politique, raciale, mais dont la finalité est toujours la même". Il ne s'arrête pas en si bon chemin et déclare que "l'antisémitisme n'est pas un péché, car chacun de nous a­le droit de réagir contre tout sentiment ségrégatif si fin, ­si délicat, si subtil soit-il. Quant à la misère juive, ce ­n'est qu'un leurre, car si elle n'avait pas existé, on l'aurait inventé. Les Rabbins en ont besoin...". Eloge de l'antisémitisme, du pire négationniste et tentative de justification de la haine, le livre de cet auteur a non seulement trouvé un éditeur mais a été publié dans mon pays d'accueil, la France en 1987 bien qu'il prône. J'ose une question : si cet auteur avait arboré un nom typiquement gaulois et non un semblable au mien, ne lui aurait-on pas claqué la porte au nez ? En quoi l'antisémitisme des uns serait-il moins grave que celui des autres. Pourtant, les ­Juifs français originaires d'Algérie savent tous que Constantine connut de sanglantes émeutes anti-juives du 3 au 5 août 1934 ; des troubles qui se traduisirent par 23 morts et 38 blessés.
    Dans le Coran, plusieurs versets ont été prononcés contre les chefs juifs. De plus, MAHOMET a dirigé plusieurs guerres contre eux comme je le relate dans « Femmes et Guerres en Islam Politique ».

    Mais d'autres versets tout aussi contradictoires donnent beaucoup de valeur aux Juifs. Parfois même Le Coran va jusqu’à dire que le peuple juif est le meilleur. En effet, la première fois que MAHOMET ordonna à ses fidèles de faire la prière, c’était tournés vers Jérusalem. Mais une fois que les Juifs ne l'acceptèrent pas, il se détourna d’eux et ses dirigea alors vers La MECQUE.

    Voici deux extraits concernant cette parole : Verset 47, Sourate 2, La vache: "Ô enfants d'Israël, rappelez-vous Mon bienfait dont Je vous ai comblés, (Rappelez-vous) que Je vous ai préférés à tous les peuples".
    Verset 104, Sourate 17, Le voyage nocturne: Et après lui, Nous dîmes aux Enfants d'Israël : «Habitez la terre». Puis, lorsque viendra la promesse de la (vie) dernière, Nous vous ferons venir en foule".


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    Message  Arlitto Sam 18 Fév 2023 - 0:31

    L’Islam seulement pour les Arabes !


    L'islam est une religion universelle.

    Néanmoins, plusieurs versets du Coran précisent que l’Islam et le Coran sont arrivés seulement pour les personnes qui parlent l'arabe comme l'indique le Verset 4 de la Sourate 14, ABRAHAM :"Et Nous n'avons envoyé de Messager qu'avec la langue de son peuple, afin de les éclairer. Allah égare qui Il veut et guide qui Il veut. Et, c'est Lui le tout Puissant, le Sage".


    Il est également stipulé dans le Coran que MAHOMET n'est le prophète que pour La MECQUE et sa banlieue selon le Verset 7 de la sourate 42, La Délibération : "Et c'est ainsi que Nous t'avons révélé un Coran arabe, afin tu avertisses la Mère des cités (la Mecque) et ses alentours et que tu avertisses du jour du rassemblement, - sur lequel il n'y a pas de doute Un groupe au Paradis et un groupe dans la fournaise ardente".

    Bien sûr, une fois que l’Islam acquit davantage de pouvoir et que les premiers musulmans devinrent très riches en combattant plusieurs tribus adverses et autres villages de la péninsule arabique, Allah (cette statue est la mienne) changea d’avis dans le Coran en annonçant que l’Islam était une religion internationale et qu’elle se devait de conquérir le monde entier.

    Cependant cette ambiguïté dure jusqu'à nos jours au point que l'auteur anglo-pakistanais Ibn Warraq dénonce le racisme des Arabes musulmans à l'égard des musulmans non arabes et que l'excellent auteur français Ghaleb Bencheikh, fils de l'ancien recteur de la Grande Mosquée de Paris, est obligé de rappeler que "ce n'est pas parce que la langue véhiculaire de la Révélation coranique est l'arabe qu'elle confère aux Arabes un quelconque privilège sur les autres". Certes, mais l'amalgame est souvent entretenu même par certains des meilleurs intellectuels arabes, comme je montre plus loin.


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    Message  Arlitto Sam 18 Fév 2023 - 0:32

    Le rejet secret du soufisme


    Après l’instauration souvent guerrière de l’Islam dans plusieurs pays non arabes avec des cultures et des civilisations distinctes, divers écoles de pensée différentes de celle de l’Islam se sont créées, sous une manteau islamique.

    Ces courants de pensée, pour la plupart, n’avaient aucun rapport avec l’Islam sauf qu’ils employaient quelques slogans ou versets du Coran ou des anecdotes historiques pour justifier leur révolte. Ainsi le soufisme qui jouit d'un prestige certain en Occident.

    Le soufisme qui empruntait beaucoup de ses idées au bouddhisme, au christianisme et du manavisme (mazdéisme) possédait une réelle vision humaniste tout en se rappelant les grandes puissances spirituelles que l'être humain portait en lui. Ainsi, dans la pensée soufie, les couleurs de la vie qui font perdre la spiritualité de l’âme sont seulement blanches.
    Le blanc n’a que pour seul ennemi, le noir. Mais le noir sort du ventre du blanc pour donner la possibilité à l’être humain de choisir entre le bien et le mal. Ceci n'est qu'un exemple. Reste une question, cruciale : le soufisme fait-il partie au non de l'islam?

    Le fait, pour des individus portant le nom de musulmans ou vivant dans le monde musulman, de produire certaines pensées, au sens de la création intellectuelle, ne signifie pas que c’est l’Islam qui en est à l'origine. C'est le cas du soufisme et de plusieurs autres conceptions du monde que nous allons expliquer.


    La conception de l'individu selon l'islam

    Les mots de Nahib Faris, professeur à l'université ­de Beyrouth.

    "La résistance obstinée de l'Occident au communisme prend sa ­source dans une philosophie déterminée, fondé sur une croyance­ absolue dont découlent toutes les autres croyances et valeurs,­ c'est-à-dire la croyance en la dignité et en la liberté de­ l'homme. Or, on ne discerne pour l'instant aucune philosophie de­ ce genre dans les écrits des auteurs musulmans modernes.

    La ­notion de liberté est indifférente au communisme ; elle l'est ­aussi à l'Islam.

    Les penseurs et théologiens musulmans ­recherchent davantage le bien-être et la solidarité du groupe que­ la liberté de l'individu". Ce jugement, néanmoins, croise celui du journaliste Slimane Zéghidour. "Le gros de la tradition musulmane, dit-il, à l'instar du judaïsme et contrairement, par exemple, au christianisme actuel, se range à l'opinion suivant laquelle une communauté compacte, avec une foi ­de charbonnier, vaut infiniment mieux que des multitudes de ­croyants illuminés, de solitaires inspirés du désert".

    Cette question mérite bien mieux que le très court paragraphe que je lui consacre ici.

    Cependant, malgré l'influence des évangiles apocryphes, le Coran recèle une dimension christique certaine. En­ effet, comment distinguer Dieu de sa parole ? En monothéisme ­strict, c'est impensable ; sauf à tomber dans ce que l'islam les­ Musulmans nomme l'associationnisme - shirk. De plus, dans la langue arabe, le "nom" donne pouvoir sur le "nommé". Puisque le Coran l'appelle "Kalimatu'llah", qui est Jésus ? Et ainsi, maints mystiques se réclamant du soufisme ont donné une place prédominante à Jésus. Un des plus célèbres étant Al Hallaj, par ailleurs d'origine persane et zoroastrienne, qui déclara, lorsqu'il faut crucifié à Bagdad par les autorités religieuses d'alors : "Je rejoins le Christ dans la Lumière".

    Sa conception du monde, sa piété, sa dimension christo-messianique font que le soufisme est très aimé des Occidents. Fait-il pour autant partie de l'Islam. J'emprunte la réponse à l'écrivain et diplomate égyptien, Hussein Amin :
    "Schopenhauer, puis Massigon ont vu dans le soufisme la plus haute expression de l'islam: le premier, parce qu'il faisait écho à sa philosophie ascétique, le second, parce qu'il voyait en lui la doctrine "musulmane" la plus proche du christianisme. Quant à nous, nous serions plus tentés de poser la question; en quoi le soufisme fait-il partie de l'islam?

    Un dernier point, avant de tourner la page : à plusieurs reprises au cours de l'histoire islamique, un moment de déclin, de défaite ou de faiblesse s'est accompagné d'un renouveau du soufisme. On vient de le vérifier une fois de plus avec la défaite arabe de 1967. Certes, il est dans la nature de toute religion d'aider ses adeptes à accepter des situations nouvelles, à apprendre à vivre avec elles. On sait que la morale chrétienne s'imposa comme le meilleur garant d'une coexistence pacifique entre les habitants de la Palestine et leurs gouvernants romains, tandis que le morale des Pharisiens s'y opposait. De même la morale soufie tend généralement au compromit, à l'acceptation de la situation de fait. Si les armées mongoles ont été repoussées au XIII° siècle, c'est grâce à l'armée mamelouke, non grâce à la morale soufie. Et si la nation arabe doit un jour se relever de la défaite de 1967, ce sera non pas grâce à, mais malgré les tendances soufies qui sont propagées en son sein".
    Au delà de la condamnation sans appel du soufisme, pointe encore cet amalgame entre "nation arabe" et "islam" évoquée précédemment et surtout ce passage constant du religieux (islam) au politique (renaissance arabe)


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    Message  Arlitto Sam 18 Fév 2023 - 0:32

    Le secret d'une expansion

    Les GHAZVA ou Guerres Saintes du fondateur de l'islam.

    Le synonyme de Ghazva est " attaque " ou " piége pour gagner de l’argent " ou " l’expédition pour gagner de l’argent " ou " pillage ".

    Ce qu’il gagnait grâce a ces Ghazva était appelé " Ghanimat " ce qui signifie " profit " ou " butin ".

    Le fondateur de l’Islam fit 63 attaques en tout.

    Parmi celles-ci, deux ou trois furent défensives, le reste fut des attaques commanditées par lui-même. Suite à cela, il gagna énormément d’argent en assaillant toutes ces tribus et tuant en même temps tous les non-fidèles.

    Sa première attaque fut nommée Badr. Il envoya un groupe pour attaquer des caravanes de Koraïchites qui allaient vers la Syrie, mais ces caravanes prirent la fuite et il n’eut pas le temps de mener à bien son projet. Le chef de ces caravanes était Abu Sufyan, le cousin même de l'annonciateur de l’Islam.

    Lorsque Abu Sufyan rentra de Syrie vers l’Arabie avec ses caravanes, Mahomet prépara une nouvelle embuscade contre cette caravane. Abu Sufyan prit donc contact avec des membres de sa tribu qui amenèrent des gens pour sauver cette caravane. Mais l'apôtre de l’Islam attaqua tout de même cette caravane et une partie des chefs de tribu de Koraïchites furent en cette occasion. Le butin resta donc entre les mains de Mahomet.

    Le Coran, dans le verset 42 de la Sourate Anfal, parle de cette Ghazva comme d'une guerre "Fi-Sabil-Allah", c’est-à-dire "la guerre dans le chemin de Dieu".

    Cette guerre lui rapporta beaucoup d’argent qui fut distribué parmi ses fidèles. Ce fut la première grande guerre, car avant il n’y avait eu que de petites attaques, des Ghazva que l’on ne comptabilisait pas. Après cela, le Koraïchite (Abu Sufyan?) fut fâché et dit qu’il ne fallait pas laisser faire Mahomet. Il pensa qu’il pouvait faire la guerre contre lui, le tuer et récupérer tout ce qu’il leur avait pris. Ainsi la deuxième grande guerre se prépara. Quoriche (la tribu de Mahomet) mit en place plusieurs centaines de personnes et alla vers Mahomet pour faire la guerre.

    Cette guerre nommée Ohod fut perdue par les soldats de Mahomet. Lui même fut blessé et beaucoup tués. Son oncle Hamseh, un grand guerrier, fut découpé en morceaux.Après cela, le fondateur de l’Islam ne pouvait plus guerroyer avec les membres de sa famille. Il commença donc à faire la guerre contre les autres tribus qui se trouvaient autour de lui, dont les Juifs pour rafler de l’argent et élargir son domaine de pouvoir.

    Parmi ces guerres, l’une d’elles s’appelait Bani-Nazir.

    Mahomet entra donc en conflit avec ces tribus juives. Il se servit fréquemment de prétextes pour attaquer. Cette tribu, Les Bani-Nazir, avait un accord avec Mahomet. Cependant, deux personnes de cette tribu furent tuées et , en conséquence le fondateur de l’Islam fut obligé de payer l'indemnité relative à ces deux victimes. A l’époque, lorsqu'une personne en tuait une, elle devait payer une somme pour rester libre. Le fondateur de l’Islam négociait donc la somme à payer pour ces deux tués, mais soudain, il laissa tomber les négociations, rentra chez lui et prépara une brigade pour attaquer les Bani-Nazir. Pendant quinze jours, il encercla cette tribu qui finit par entrer en pourparler avec lui. Les Bani-Nazir passèrent un accord les obligeant à laisser toute leur fortune et tous leurs biens au fondateur de l’Islam et à quitter l’Arabie-Saoudite pour la Syrie. Il y eut aussi une guerre nommée Bani Kinka qui visa des bijouteries juives vendant de l’or. Il n’y avait pas de terre, ni de village mais un grand bazar dans lequel des commerçants juifs négociaient des bijoux de valeur.

    L'apôtre de l’Islam proposa subséquemment à ces gens de devenir soumis c'est-à-dire musulmans. C’était alors la deuxième année islamique. Le Coran encore se fait l'écho de cette expédition et de son dénouement dans les versets 55 à 65 de la Sourate 8, Le Butin:
    55. Les pires bêtes, auprès d'Allah, sont ceux qui ont été infidèles et qui ne croient donc point
    56. ceux-là mêmes avec lesquels tu as fait un pacte et qui chaque fois le rompent, sans aucune crainte.
    57. Donc, si tu les maîtrises à la guerre, inflige-leur un châtiment exemplaire de telle sorte que ceux qui sont derrière eux soient effarouchés. Afin qu'ils se souviennent.
    58. Et si jamais tu crains vraiment une trahison de la part d'un peuple, dénonce alors le pacte, d'une façon franche et loyale car Allah n'aime pas les traîtres.
    59. Que les mécréants ne pensent pas qu'ils Nous ont échappé. Non, ils ne pourront jamais Nous empêcher (de les rattraper à n'importe quel moment).
    60. Et préparez [pour lutter] contre eux tout ce que vous pouvez comme force et comme cavalerie équipée, afin d'effrayer l'ennemi d'Allah et le votre, et d'autres encore que vous ne connaissez pas en dehors de ceux-ci mais qu'Allah connaît. Et tout ce que vous dépensez dans le sentier d'Allah vous sera remboursé pleinement et vous ne serez point lésés.
    61. Et s'ils inclinent à la paix, incline vers celle-ci (toi aussi) et place ta confiance en Allah, car c'est Lui l'audient, l'omniscient.
    62. Et s'ils veulent te tromper, alors Allah te suffira. C'est Lui qui t'a soutenu par Son secours, ainsi que par (l'assistance) des croyants.
    65. Ô Prophète, incite les croyants à la tuerie. S'il se trouve parmi vous vingt endurants, ils vaincront deux cents ; et s'il s'en trouve cent, ils vaincront mille mécréants, car ce sont vraiment des gens qui ne comprennent pas".


    Le textedonne une précision au lecteur peu connaisseur de l'Islam.

    A l’époque, chaque groupe qui acceptait la nouvelle religion devait payer le cinquième de ses gains, c’est-à-dire un impôt de 20% au fondateur de l'islam, sans compter la zakat. Quand on devient musulman on est obligé de payer deux impôts : premièrement, la zakat qui est une taxe sur le revenu pour la trésorerie publique de la cité mahométane, et deuxièmement, le Khomsse, 1/5ème du revenu réservé spécialement pour Monsieur Mahomet.

    Quand le fondateur de l’Islam disparut, ce furent ses enfants et ses descendants qui touchèrent cette taxe de 20% (taxe réserve pour les chiites). On comprend pourquoi un nombre conséquent de personnes se déclarent descendants de Mohamet. Et d'ailleurs une grande partie des gens prétendant être ses descendants, cela pour toucher cette taxe de 20%, en réalité ne le sont pas mais sont des arabophones installés en Iran, en Irak, au Liban, ou ailleurs. En Iran, parmi les ayatollahs, ceux qui portent un turban noir ou vert sont, soit disant descendants du fondateur de l'islam.


    La guerre Bani Kinka.

    Ces joailliers juifs refusèrent sa proposition. Mahomet amena sa brigade et les encercla ces pendant quinze jours. Finalement, ces bijoutiers cédèrent à Mahomet. Ce dernier saisie tous les biens de ces gens. Cependant, suite à l’intervention du musulman Abdullah Ibn Ubei, les hommes ne furent point tués ni les femmes vendues. Abdullah Ibn Ubei proposa de les laisser partir car ces orfèvres juifs l’avaient aidé pendant de nombreuses années. Il y avait 400 hommes et 300 soldats parmi cette tribu.

    Il y eut une autre guerre et d’autres petites guerres. Les brigades du fondateur de l’Islam attaquaient les autres tribus pour prendre tout ce qu’elles possédaient et gardaient les femmes pour les vendre. Il y eut aussi une autre attaque contre un village juif assez riche qui s’appelait Kheybar. L'apôtre de l’Islam attaqua donc ce village, tua les hommes, prit toutes les femmes et tous les biens. Dans cette guerre-là, il gagna surtout une femme qu’il avait aimé quand il était plus jeune. Cette femme se prénommait Safiè et était mariée à un juif qui s’appelait Kanaan Ben Rabi. Il tua cet homme et prit sa femme. Je n'invente évidemment rien. Bien que très peu connu des personnes se réclamant de la religion musulmane, tout cela est écrit dans la célèbre "Histoire de Tabari". L'auteur MOHAMMAD EBN-AL-JARIR AT-TABARI, était un savant musulman vivant il y a presque 1000 ans, qui écrivit l’histoire de trois siècles de l’islam en 42 volumes et 6974 pages, Bien sûr, j’ai étudié la totalité de ses écrits et conseille à tous ceux qui le peuvent de le faire.

    Il y eut encore une guerre assez importante.

    Les juifs perdaient beaucoup de batailles et étaient en train de quitter l’Arabie. Alors ils décidèrent de voir le chef de tribu de Mahomet, qui se trouvait à la Mecque, ainsi que Abu Sufyan. Et ils préparèrent une grande armée pour attaquer Mahomet. Ce fut la guerre de Khandagh. Mahomet fit creuser un grand fossé autour de la ville, un peu comme celui autour des Invalides à Paris. Mahomet avait appris ce stratagème de Salman Parsi, un savant perse, un intellectuel iranien de l’époque. Il firent donc cette douve autour de la cité pour que les ennemis Koraïchites ne puissent pas y entrer. Cette siège se solda par des morts des deux côtés ; une partie des musulmans ainsi qu’une partie de l’autre camp furent tués. La tribu de Abu Sufyan prit presque la fuite vers la Mecque. Néanmoins, après cette bataille, le fondateur de l’Islam continua encore à faire la Ghazva, contre les tribus juives. L’une de ces guerres, très connue, s’appelle Ghazvaté Bani-Gorayzah. Lorsque la tribu de Quoriche attaqua Monsieur Mahomet, les Juifs Bani-Gorayzah le soutirent moralement mais pas militairement malgré ses accords conclus. En représailles, Mahomet décida de les attaquer. Il choisit pour cela, Saad E Ben E Moaz, un membre de cette tribu afin qu’il la juge et dise ce qu’il fallait faire contre elle. Ce général musulman, blessé dans l'attaque, proposa de les tuer et Monsieur Mahomet accepta. Il fit donc tuer ces gens, saisit tous leurs biens et prit leurs femmes et leurs enfants. Il coupa la tête de 700 juifs et tua également tous les garçons arrivés à la majorité. Ceci était un exemple des guerres que le fondateur de l’Islam a pu faire.

    Tous les noms relevés sont ceux d'endroits stratégiques et économiques que Mahomet attaqua pour élargir son pouvoir et sa richesse. Je ne suis pas et pour cause spécialiste du christianisme Mais on ne voit pas bien Jésus-Christ mener de telles expéditions. Ni d'ailleurs Bouddha. Ni non plus Zarathoustra. Par contre, Monsieur Mahomet excella dans l'art de la guerre.

    Parmi toutes les 63 attaques qu'il commandita, Mahomet participa seulement à huit ou neuf d’entre elles. Les autres " GHAZAVAT " sont des attaques de petits groupes qu’il envoyait à droite et à gauche. Et incontestablement, cette indéniable dimension guerrière de l'islam et du Coran fit l'admiration de plus d'uns. Et ce, jusqu'à nos jours.

    Également, le fondateur de l’islam donna des ordres pour tuer certains individus gênants. Trois exemples extraits encore du livre " Histoire de Tabari":
    Mahomet envoya EBN-ATTIK vers le village de KHEYBAR pour tuer ABOURAFE ;
    Il envoya MOHAMMAD EBN-MOSSLEMA pour tuer KAB-EBN-ASHRAF;
    Et aussi, il envoya ABDALLAH-EBN-E ANISSE vers KHALED EBNE SEFYAN qu'il a tué en cachette.
    Là encore, on ne voit pas Jésus-Christ agir ainsi. Ni Bouddha. En conséquence se pose la question de l'usage du mot "tuer" dans la Coran et dans la pensée des extrémistes.


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    Psaumes 33:13 Du haut des cieux Yahweh regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions
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    Message  Arlitto Sam 18 Fév 2023 - 0:32

    LE MOT " TUER " DANS L’ISLAM


    Dans le Coran même, l’ordre de tuer les infidèles est donné. Les chefs d’accusation pour tuer dans l’Islam, sont plus de 10 !! :

    1- Les gens qui ne croient pas en Allah (cette statue est la mienne).
    2- Les gens qui ne croient pas au Jugement dernier.
    3- Les gens qui n’interdisent pas tout ce que Allah et son Prophète interdisent.
    4- Les gens qui ne font pas de propagande pour la vérité.
    5-Tous les mouchrekins (polythéistes)
    6-Tous les Koffars (infidèles à Allah)
    7-Tous les monafers (hypocrites)
    8-Tous les gens qui prononcent des mots non monothéistes
    9-Tous les gens qui étaient musulmans auparavant et qui ont quitté cette religion pour une autre (apostats)
    10-Tous les gens qui font de la propagande contre l’Islam
    11-Tous les infidèles proches de vous

    Tous ces gens là doivent être tués selon le Coran qui précise aussi qu'ils peuvent être tués partout où ils se trouvent. Tout cela est, quoique certains en disent, écrit hélas dans le Coran. Au moment où Mahomet voulut attaquer Rome (en fait Byzance), il prononça les versets suivants de La Sourate 9, l'Immunité (le repentir): "29. Tuez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre,(les juifs les chrétiens, etc…) jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains, après s'être humilies.

    30. Les Juifs disent: ‹Uzayr est fils d'Allah› et les Chrétiens disent: ‹Le Christ est fils d'Allah›. Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils répètent ce qu’ont dit avant eux les mécréants. Qu'Allah les anéantisse! Comment s'écartent-ils (de la vérité)?
    31. Ils ont pris leurs rabbins et leurs moines, ainsi que le Christ fils de Marie, comme Seigneurs en dehors d'Allah, alors qu'on ne leur a commandé que d'adorer un Dieu unique. Pas de divinité à part Lui! Gloire à Lui! Il est au-dessus de ce qu'ils [Lui] associent.
    32. Ils veulent éteindre avec leurs bouches la lumière d'Allah, alors qu'Allah ne veut que parachever Sa lumière, quelque répulsion qu'en aient les mécréants.
    33. C'est Lui qui a envoyé Son messager avec la bonne direction et la religion de la vérité, afin qu'elle triomphe sur toute autre religion, quelque répulsion qu'en aient les associateurs.
    34. Ô vous qui croyez! Beaucoup de rabbins et de moines dévorent, les biens des gens illégalement et [leur] obstruent le sentier d'Allah. A ceux qui thésaurisent l'or et l'argent et ne les dépensent pas dans le sentier d'Allah, annonce un châtiment douloureux,
    35. le jour où (ces trésors) seront portés à l'incandescence dans le feu de l'Enfer et que front, flancs et dos en seront cautérisés,: voici ce que vous avez thésaurisé pour vous-mêmes. Goûtez de ce que vous thésaurisiez.
    36. Le nombre de mois, auprès d'Allah, est de douze [mois], dans la prescription d'Allah, le jour où Il créa les cieux et la terre. Quatre d'entre eux sont sacrés: telle est la religion droite. [Durant ces mois], ne faites pas de tort à vous-mêmes. Combattez les associateurs sans exception, comme ils vous combattent sans exception. Et sachez qu'Allah est avec les pieux.
    37. Le report d'un mois sacré à un autre est un surcroît de mécréance. Par là, les mécréants sont égarés: une année, ils le font profane, et une année, ils le font sacré, afin d'ajuster le nombre de mois qu'Allah a fait sacrés. Ainsi rendent-ils profane ce qu'Allah a fait sacré. Leurs méfaits leurs sont enjolivés. Et Allah ne guide pas les gens mécréants.
    38. Ô vous qui croyez! Qu'avez-vous? Lorsque l'on vous a dit: " Elancez-vous dans le sentier d'Allah›; vous vous êtes appesantis sur la terre. La vie présente vous agrée-t-elle plus que l'au-delà? - Or, la jouissance de la vie présente ne sera que peu de chose, comparée à l'au-delà!
    39. Si vous ne vous lancez pas au combat, Il vous châtiera d'un châtiment douloureux et vous remplacera par un autre peuple. Vous ne Lui nuirez en rien. Et Allah est Omnipotent.
    40. Si vous ne lui portez pas secours... Allah l'a déjà secouru, lorsque ceux qui avaient mécru l'avaient banni, deuxième de deux. Quand ils étaient dans la grotte et qu'il disait à son compagnon: ‹Ne t'afflige pas, car Allah est avec nous.› Allah fit alors descendre sur lui Sa sérénité ‹Sa sakina› et le soutint de soldats (Anges) que vous ne voyiez pas, et Il abaissa ainsi la parole des mécréants, tandis que la parole d'Allah eut le dessus. Et Allah est Puissant et Sage".


    Le terme "tuer" est beaucoup utilisé dans le Coran. Les citations des traductions de Kasimirski et Denise Masson.

    En effet, dans toutes les traductions du Coran, le mot "GHETAL" est traduit comme "le combat" ou "faire la guerre". Mais le dictionnaire de la langue arabe indique que " GHETAL" veut dire : "tuerie", "massacre", "abattage", "assassinat", ou encore "homicide".

    C’est le mot "HARB" qui veut dire "la guerre". Quant aux synonymes de "combat", ce sont les mots "NEZAL", "JAHAD", "NATAH". Cette mauvaise interprétation existe dans toutes les langues. On ne sait toujours pas pourquoi certains traducteurs ont honte de traduire exactement la chose même que dit le Coran. Très facilement - mais à condition d'être musulman - vous pouvez avoir l’autorisation de tuer, comme il est dit dans les versets 73 et 74 de la Sourate 9, L'Immunité (le repentir) lorsqu'il s'agit d'infidèles, de polythéistes ou d'hypocrites :

    73. Ô Prophète, lutte contre les mécréants et les hypocrites, et sois rude avec eux; l'Enfer sera leur refuge, et quelle mauvaise destination!
    74. Ils jurent par Allah qu'ils n'ont pas dit (ce qu'ils ont proféré), alors qu'en vérité ils ont dit la parole de la mécréance et ils ont rejeté la foi après avoir été musulmans. Ils ont projeté ce qu'ils n'ont pu accomplir. Mais ils n'ont pas de reproche à faire si ce n'est qu'Allah - ainsi que Son messager - les a enrichis par Sa grâce. S'ils se repentaient, ce serait mieux pour eux. Et s'ils tournent le dos, Allah les châtiera d'un douloureux châtiment, ici-bas et dans l'au-delà; et ils n'auront sur terre ni allié ni secoureur".
    Cette sourate 9 est très particulière. J'emprunte mon commentaire à Ghaleb Benccheikh : "on ne peut nier qu'il existe un certain nombre de versets, notamment dans la sourate 9, intitulée "Le repentir", qui sont de facture martiale. Ils sont terribles et nous ne pouvons les ignorer ou les minorer. Ce sont ceux-là qui sont instrumentalisés par les extrémistes criminels du G.I.A et les sbires de Ben Laden. Nous les passerons en revue par souci de transparence et de probité intellectuelle. Car il ne s'agit pas de procéder à une sélection des versets du Coran qui mettraient en exergue ceux qui enjoignent à l'amour, à la paix, à la mansuétude et à la miséricorde - de loin les plus nombreux -, et éluderait ceux qui nous posent problème aujourd'hui. Seul le langage de vérité nous guérira de la violence".
    Mon présent ouvrage s'inscrit précisément dans ce cadre, une exigence de vérité qui conduit à la paix. Je donne d'autres exemples ; au lecteur de juger :
    Versets 123 et 152 de la sourate 3, La Famille de 'Imran : " 123. Ô vous qui croyez! Combattez ceux des mécréants qui sont près de vous; et qu'ils trouvent de la dureté en vous. Et sachez qu'Allah est avec les pieux.
    152. Et certes, Allah a tenu Sa promesse envers vous, quand par Sa permission vous les tuiez sans relâche, jusqu'au moment où vous avez fléchi, où vous vous êtes disputés à propos de l'ordre donné, et vous avez désobéi après qu'Il vous eut montré (la victoire) que vous aimez! Il en était parmi vous qui désiraient la vie d'ici bas et il en était parmi vous qui désiraient l'au-delà. Puis Il vous a fait reculer devant eux, afin de vous éprouver. Et certes Il vous a pardonné. Et Allah est Détenteur de la grâce envers les croyants. " (Sourate , Al-Imran)
    Les versets 25, 26, 27 de la sourate 33, les Factions (les confédérés): "25. Et Allah a renvoyé, avec leur rage, les infidèles sans qu'ils n'aient obtenu aucun bien, et Allah a épargné aux croyants le combat. Allah est Fort et Puissant.
    26. Et Il a fait descendre de leurs forteresses ceux des gens du Livre qui les avaient soutenus [les coalisés], et Il a jeté l'effroi dans leurs cœurs ; un groupe d'entre eux vous tuiez, et un groupe vous faisiez prisonniers.
    27. Et Il vous a fait hériter leur terre, leurs demeures, leurs biens, et aussi une terre que vous n'aviez point foulée. Et Allah est Omnipotent".

    Le verset 12 de la sourate, " Al-Anfal[ltr]http://avairan.com/david-abassi-islam-iran.htm#_ftn138[/ltr]: "Et ton Seigneur révéla aux Anges: " à Je suis avec vous: affermissez donc les croyants. Je vais jeter l'effroi dans les cœurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous et frappez-les sur tous les bouts des doigts. ".

    Toute la difficulté, comme le souligne Ghaleb Bencheikh, se situe bien à ce niveau : puisque de tels versets se retrouvent dans le Coran et que le Coran est - pour ceux qui y croient - la parole intangible de Allah, valable en tous temps, tous lieux et de toute éternité, il n'est pas étonnant que certains l'utilisent à des fins extrémistes. C'est aussi pour cela que AyannHirsi Ali a raison quand elle affirme "Oui. Le problème, c´est le Prophète et le Coran".

    Autre extraits:
    "le verset 4 de la sourate Muhammad[ltr]http://avairan.com/david-abassi-islam-iran.htm#_ftn140[/ltr] :

    4. Lorsque vous rencontrez (pendant une tuerie) ceux qui ont mécru frappez-en les cous. Puis, quand vous les avez dominés, enchaînez-les solidement. Ensuite, c'est soit la libération gratuite, soit la rançon, jusqu'à ce que la guerre dépose ses fardeaux. Il en est ainsi, car si Allah voulait, Il se vengerait Lui-même contre eux, mais c'est pour vous éprouver les uns par les autres. Et ceux qui seront tués dans le chemin d'Allah, Il ne rendra jamais vaines leurs actions".
    Tel est le sort des parjures. Ainsi, si quelqu’un ne respecte pas sa parole ou son pacte, alors son châtiment sera la mort. Très clairement donc, le Coran ordonne de tuer tous ceux qui rompent leur pacte - par exemple en quittant l'islam - et ceux qui se "moquent" de l’Islam en émettant, par exemple, quelques doutes face au dogme. Ceci en matière d'éthique et de droit, fait surgir est un grand, un immense, point d’interrogation : quel tribunal prononcerait une peine de mort seulement parce que quelqu'un s'est moqué de quelque chose ou qu'il n’a pas respecté leur parole ? Cela a existé dans l'histoire avec le communisme, le nazisme, le fascisme, etc. Malheureusement, cela existe aussi - et depuis des siècles - dans les lois islamiques. En effet, si un musulman abandonne l’Islam, il est condamné à mourir. C'est, par exemple, ce qui explique "Les Martyrs de Cordoue", cette cinquantaine de personnes, officiellement musulmanes, qui, entre ­850 et 859, furent décapitées pour s'être déclarées ­chrétiennes?. Il y a d'autres récentes références. Le­ sort de l'apostat est, en islam, réglé par un H'adith, le Numéro­14 du recueil de En Nâwâwi. C'est sur ces éléments - répétons-le, présents dans le Coran - que s'appuient les extrémistes pour condamner notamment les intellectuels : l'anglais d'origine indienne Salman Rushdie, la bangladeshi Taslima Nasreen, l'algérien Amin Zaoui, l'égyptien Naguib Mahfouz - eh oui, lui aussi, le Prix Nobel ! -, le député hollandais d'origine somalie Ayaan Hirsi Ali, bien sûr tuer Théo Van Gogh et pour me condamner moi.
    Alors la vie qui est un don de Dieu, on peut la prendre aussi facilement ? Il semble bien que oui à la lecture des versets 12 à 15 de la sourate 9, L'immunité (le repentir): " 12. Et si, après le pacte, ils violent leurs serments et attaquent votre religion, combattez alors les chefs de la mécréante - car, ils ne tiennent aucun serment - peut- être cesseront-ils?
    13. Ne tuez-vous pas des gens qui ont violé leurs serments, qui ont voulu bannir le Messager et alors que ce sont eux qui vous ont attaqués les premiers? Les redoutiez-vous? C'est Allah qui est plus digne de votre crainte si vous êtes croyants!
    14. Tuez-les. Allah, par vos mains, les châtiera, les couvrira d'ignominie, vous donnera la victoire sur eux et guérira les poitrines d'un peuple croyant.
    15. Et il fera partir la colère de leurs cœurs. Allah accueille le repentir de qui Il veut. Allah est Omniscient et Sage".

    Le lecteur comprend mieux l'acharnement des extrémistes à vouloir imposer partout et notamment en Occident des lois dites "anti-blasphème".

    Si de telles lois étaient votées, elles seraient interprétées par les extrémistes comme l'indique Amir Jahanchahi dans son livre, "Vaincre de III° Totalitarisme". Il s'agit d'une fiction, mais qui sait ? Des extrémistes menacent de faire sauter des centrales nucléaires si les pays européens ne votent pas une loi punissant le moindre blasphème anti-musulman. Suite à l'explosion de l'usine française de la Hague, l'Allemagne cède la première. Réaction de l'instigateur du complot, un pakistanais : "Les allemands se son couchés, ils sont maintenant nos dhimmis. Les Français, les Anglais et les autres, se coucheront aussi !". Amir Jahanchahi ne fait que traduire le sentiment réel des extrémistes à l'égard des peuples non musulmans. Certains en arrivent aujourd'hui à poser la question de savoir "Pourquoi la France n’assume-t-elle pas son identité musulmane ?". Poser la question, c’est y répondre. Et la encore, je laisse le mot de la fin à l'association Primo Europe : "Tout simplement parce qu’être musulman n’est en aucun cas une identité. C’est une foi, une croyance, respectable autant que les autres. Et, comme toutes les autres croyances, elle a TOUTE sa place dans le domaine privé mais aucune dans le champ politique et sociétal".
    J'ajoute pour ma part que, iranien, j'ai choisi la France parce que c'est le pays des Droits de l'Homme. Je ne tiens donc pas à ce que mon pays d'adoption vive aujourd'hui ce que naguère connut mon pays de naissance. Là encore le témoignage en date de mai 2005 de Ayaa Hirsi Ali est éclairant[ltr]http://avairan.com/david-abassi-islam-iran.htm#_ftn147[/ltr].
    Question: "Il n´y a donc pas de cohabitation possible entre l´islam et l´Occident".
    Ayaan Hirsi Ali: "C´est ce que je dis. Mais la cohabitation est possible avec les musulmans qui peuvent critiquer le cadre moral que la religion leur impose. A tous ceux-là, je lance:«Voulez-vous vraiment suivre intégralement la pensée du Prophète?» Certains musulmans éclairés sont prêts à cette réflexion. C´est ce que je vais dire au recteur Boubakeur, de la Grande Mosquée de Paris. Je ne crois pas en un mouvement qui prétend libéraliser l´islam sans remettre en cause le Prophète et le Coran. C´est absurde. C´est comme redécorer la maison et rester en dehors. La critique de l´islam ne peut venir que des musulmans d´Occident. Car seul l´Occident offre ce contexte de liberté. Si j´avais tenu ces propos dans n´importe quel pays musulman, je serais morte depuis longtemps déjà".

    Ce qui m'amène tout naturellement à évoquer maintenant les petits secrets des pays que l'on dit musulmans.


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    Psaumes 33:13 Du haut des cieux Yahweh regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions

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