Rappel du premier message :
La vérité définitive sur les viols et la pédophilie au sein de la watchtower
La vérité définitive sur les viols et la pédophilie au sein de la watchtower
Ex-témoin de la watch a écrit:Le sujet est la pédophilie chez les Témoinsde Jéhovahdu collège central qui font d'eux « la secte des pédophiles » dans le monde entier.
Un autre dirigeant de la corporation, Edward C. Chitty (Percy Chapman, ancien Témoin de Jéhovah, surveillant au Canada, fut l’amoureux de Greenless, futur membre du Collège central, dans les années 1950. Chapman expose que Knorr l’a remplacé mais l’autorisait à rester au Béthel de Toronto s’il se mariait. Quant à Greenless, il échappa aux exclusions de mars 1969 qui concernèrent des dizaines de jeunes hommes qui s’étaient rencontrés dans le sauna du Béthel de Brooklyn [Youtube (anglais sous-titré français), Watchtower Society and Homosexuality at Bethel].
Le surveillant est un membre masculin qui s’occupe de la surveillance d’une circonscription, (soit entre 18 et 25 congrégations), entretient des relations sexuelles avec un jeune homme de dix sept ans, qui appartient également aux Témoins de Jéhovah.
Choqué, l’adolescent se suicidera. Selon Edmond C. Gruss, ancien Témoin de Jéhovah, le membre du Collège central Edward Chitty dut abandonner sa position à cause de son homosexualité.
Gruss déclare que le président Nathan Knorr (homosexuel notoire dans son entourage) parlait si souvent de l’homosexualité, que de nombreux adeptes de la secte se sont demandés s’il n’était pas concerné par cette pratique...
De plus, le fait d’avoir fortement découragé le mariage des membres du Béthel a conduit à plusieurs cas d’homosexualité à la fin des années 1960 et au début des années 1970 [Edmond C. GRUSS, The four Presidents of the Watchtower Society (Les quatre présidents de la Société de la Tour de Garde), Xulon Press, 2003, pages 35, 36, 43 et 44].
Il est évident que les pratiques pédophiles protégées se poursuivront après la mort de Nathan Knorr, qui s’éteint le 8 juillet 1977, après une longue agonie de plusieurs mois due à une tumeur au cerveau. Dans le numéro du 1er janvier 1986 de La Tour de Garde (version allemande), page 13, la direction de la secte reconnaît que d’autres personnalités de la direction ont des attirances homosexuelles, échangistes et pédophiles.
Le journal norvégien Billedbladet du 5 octobre 1989, avertit que les dirigeants ayant des moeurs sexuelles dépravées, ne sont pas exclus de la hiérarchie.
D’après l’article, les Témoins de Jéhovah norvégiens dissimuleraient un problème qui se manifeste dans leur rang. Le journaliste Jan Fiksdal évoque les pratiques pédophiles d’un éminent membre norvégien, qui doit comparaître devant le Comité de justice des Témoins de Jéhovah. Bien que l’homme ait besoin d’une aide médicale, le comité n’en informe pas la police. Le pédo-criminel poursuit donc ses pratiques répugnantes, car la Société de la Tour de Garde n’a jamais puni l’individu par une mesure d’exclusion, ni ne prit aucune sanction disciplinaire. Bien au contraire ! L’année suivante, en 1990, il abusera de treize autres enfants.
Le 14 juillet 2002, un documentaire de la BBC, qui sera repris aux États-Unis par les chaînes CBS, CNN et par le New York Times, établit - sur les témoignages de Bill Bowen ayant passé vingt ans au sein de la secte et qui fut élevé à la distinction d’Ancien (L’Ancien constitue l’autorité spirituelle de la secte.
Ce ministre du culte s’acquitte de l’oeuvre pastorale dans sa congrégation. Désigné sous la direction du Collège central des Témoins de Jéhovah, cette dénomination correspond à l’évêque dans l’Église catholique ou au pasteur dans les protestantismes.)-, l’existence d’un fichier secret faisant état de 23 720 cas de pédophilie au sein de la Société de la Tour de Garde.
Bill Bowen déclare que les « pédophiles sont protégés par le système structuré par Joseph Franklin Rutherford. »
CL Watchtower a écrit:Ex-témoin de la watch a écrit:Le sujet est la pédophilie chez les Témoinsde Jéhovahdu collège central qui font d'eux « la secte des pédophiles » dans le monde entier.
Un autre dirigeant de la corporation, Edward C. Chitty (Percy Chapman, ancien Témoin de Jéhovah, surveillant au Canada, fut l’amoureux de Greenless, futur membre du Collège central, dans les années 1950. Chapman expose que Knorr l’a remplacé mais l’autorisait à rester au Béthel de Toronto s’il se mariait. Quant à Greenless, il échappa aux exclusions de mars 1969 qui concernèrent des dizaines de jeunes hommes qui s’étaient rencontrés dans le sauna du Béthel de Brooklyn [Youtube (anglais sous-titré français), Watchtower Society and Homosexuality at Bethel].
Le surveillant est un membre masculin qui s’occupe de la surveillance d’une circonscription, (soit entre 18 et 25 congrégations), entretient des relations sexuelles avec un jeune homme de dix sept ans, qui appartient également aux Témoins de Jéhovah.
Choqué, l’adolescent se suicidera. Selon Edmond C. Gruss, ancien Témoin de Jéhovah, le membre du Collège central Edward Chitty dut abandonner sa position à cause de son homosexualité.
Gruss déclare que le président Nathan Knorr (homosexuel notoire dans son entourage) parlait si souvent de l’homosexualité, que de nombreux adeptes de la secte se sont demandés s’il n’était pas concerné par cette pratique...
De plus, le fait d’avoir fortement découragé le mariage des membres du Béthel a conduit à plusieurs cas d’homosexualité à la fin des années 1960 et au début des années 1970 [Edmond C. GRUSS, The four Presidents of the Watchtower Society (Les quatre présidents de la Société de la Tour de Garde), Xulon Press, 2003, pages 35, 36, 43 et 44].
Il est évident que les pratiques pédophiles protégées se poursuivront après la mort de Nathan Knorr, qui s’éteint le 8 juillet 1977, après une longue agonie de plusieurs mois due à une tumeur au cerveau. Dans le numéro du 1er janvier 1986 de La Tour de Garde (version allemande), page 13, la direction de la secte reconnaît que d’autres personnalités de la direction ont des attirances homosexuelles, échangistes et pédophiles.
Le journal norvégien Billedbladet du 5 octobre 1989, avertit que les dirigeants ayant des moeurs sexuelles dépravées, ne sont pas exclus de la hiérarchie.
D’après l’article, les Témoins de Jéhovah norvégiens dissimuleraient un problème qui se manifeste dans leur rang. Le journaliste Jan Fiksdal évoque les pratiques pédophiles d’un éminent membre norvégien, qui doit comparaître devant le Comité de justice des Témoins de Jéhovah. Bien que l’homme ait besoin d’une aide médicale, le comité n’en informe pas la police. Le pédo-criminel poursuit donc ses pratiques répugnantes, car la Société de la Tour de Garde n’a jamais puni l’individu par une mesure d’exclusion, ni ne prit aucune sanction disciplinaire. Bien au contraire ! L’année suivante, en 1990, il abusera de treize autres enfants.
Le 14 juillet 2002, un documentaire de la BBC, qui sera repris aux États-Unis par les chaînes CBS, CNN et par le New York Times, établit - sur les témoignages de Bill Bowen ayant passé vingt ans au sein de la secte et qui fut élevé à la distinction d’Ancien (L’Ancien constitue l’autorité spirituelle de la secte.
Ce ministre du culte s’acquitte de l’oeuvre pastorale dans sa congrégation. Désigné sous la direction du Collège central des Témoins de Jéhovah, cette dénomination correspond à l’évêque dans l’Église catholique ou au pasteur dans les protestantismes.)-, l’existence d’un fichier secret faisant état de 23 720 cas de pédophilie au sein de la Société de la Tour de Garde.
Bill Bowen déclare que les « pédophiles sont protégés par le système structuré par Joseph Franklin Rutherford. »
Les pédophiles ont encore de beaux jours de tranquillité devant eux dans cette organisation qui exige deux témoins pour un tel acte.
EX-Témoin a écrit:-
lundi, 9 octobre 2023
Les Témoins de Jéhovah néo-zélandais veulent être exemptés de l’enquête sur les abus
- Spoiler:
Photo : RNZ
La branche néo-zélandaise des Témoins de Jéhovah va devant les tribunaux pour tenter de faire en sorte que l’église soit exemptée de l’enquête sur les abus dans les soins aujourd’hui.
Devant la Haute Cour de Wellington, les avocats de l’église cherchent à obtenir une déclaration selon laquelle l’église n’est pas responsable de la prise en charge des enfants ou des personnes vulnérables en Nouvelle-Zélande.
Shayne Mechen, défenseur des victimes d’abus et ancien ancien de l’église, a déclaré que l’église essayait d’utiliser un détail technique pour éviter leur inclusion dans l’enquête.
« La réponse des anciens Témoins de Jéhovah est qu’ils disent essentiellement 'quelle bande de menteurs'. Parce que tous ceux qui ont fait partie de cette organisation savent que les aînés sont encouragés à s’occuper des enfants, à faire des choses avec eux. »
Mechen a déclaré que cette décision était un « coup de pied dans les tripes » pour ceux qui ont subi des abus et ceux qui ont eu le courage de revivre leur expérience pour l’enquête.
« Ils avaient de grands espoirs, ces espoirs ont été brisés », a-t-il déclaré.
« Ils ont été traumatisés à nouveau et il n’y a aucun espoir pour eux d’obtenir justice de ce que font les Témoins de Jéhovah. »
Mechen a déclaré que l’argument était basé sur le manque d’installations de briques et de mortier pour les jeunes.
Il a ajouté que, s’il était confirmé, l’examen pourrait permettre aux groupes de Témoins de Jéhovah à travers le Commonwealth d’échapper à leur culpabilité pour les abus passés.
Luke Hollis était un survivant d’abus d’un suivi des Témoins de Jéhovah en Grande-Bretagne.
Il a dit qu’il espérait que les tribunaux néo-zélandais comprendraient l’argument de l’église.
« C’est une rhétorique très courante : 'Nous n’avons pas de crèches, nous n’avons pas d’écoles spécifiques pour les enfants qui sont Témoins de Jéhovah, alors comment pouvons-nous rendre des comptes ? Nous ne sommes pas des soignants ». Mais la réalité réelle est très, très différente », a déclaré Hollis.
La structure de pouvoir de l’église signifiait que les anciens de confiance pouvaient contrôler avec qui les jeunes passaient du temps, a déclaré Hollis.
Enfant, il a dit qu’il serait assigné à passer du temps sous la seule supervision de son agresseur bien au-delà des limites de toute structure officielle de l’église.
« Dans leur travail de prédication, ils font du porte-à-porte, ils vont à différents événements et tout le reste. Pour moi, chaque semaine, mon agresseur avait le pouvoir de dire « cette personne va venir avec moi pendant deux heures et frapper à des portes ».
« Donc, même si ce n’est pas dans un cadre physique, c’est un exemple de la façon dont les auteurs d’abus ont accès aux enfants, mais pas dans un cadre officiel comme une école ou une crèche », a déclaré Hollis.
L’examen judiciaire devait se dérouler sur deux jours à la Haute Cour de Wellington cette semaine.
https://www.odt.co.nz/news/national/nz-jehovahs-witnesses-want-exemption-abuse-inquiry