ISIS entend parler de l’odeur qui s’échappait du tronc alors qu’on le coupait. Elle en comprend aussitôt la signification et se rend en Phénicie où on lui remet la colonne prodigieuse. Elle ouvre la colonne de bois et en retire le cercueil de son époux qu’elle arrose de ses larmes. Elle le ramène en Egypte et le cache au fonds des marais afin que Seth ignore que le corps ait été retrouvé, mais au cours d’une chasse, ce dernier découvre le coffre. Furieux qu’OSIRIS soit encore entier malgré le temps écoulé, il décide d’en découper le cadavre en quatorze morceaux qu’il disperse à travers le pays.
Légende reprise par la Thora : Un Lévite inconnu Viol collectif, homosexualité et démembrement Juges 19 25 Ces gens ne voulurent point l'écouter. Alors l'homme prit sa concubine, et la leur amena dehors. Ils la connurent, et ils abusèrent d'elle toute la nuit jusqu'au matin; puis ils la renvoyèrent au lever de l'aurore. 26 Vers le matin, cette femme alla tomber à l'entrée de la maison de l'homme chez qui était son mari, et elle resta là jusqu'au jour. 27 Et le matin, son mari se leva, ouvrit la porte de la maison, et sortit pour continuer son chemin. Mais voici, la femme, sa concubine, était étendue à l'entrée de la maison, les mains sur le seuil. 28 Il lui dit: Lève-toi, et allons-nous-en. Elle ne répondit pas. Alors le mari la mit sur un âne, et partit pour aller dans sa demeure. 29 Arrivé chez lui, il prit un couteau, saisit sa concubine, et la coupa membre par membre en douze morceaux, qu'il envoya dans tout le territoire d'Israël.
Elle le ramène en Egypte et le cache au fonds des marais afin queSeth
Genèse 5.3 À l’âge de 130 ans, [size=140]Adam eut un fils à sa ressemblance[/size], à son image, et il l’appela Seth.
Seth (de l'égyptien Setesh / Soutekh) est l'une des plus anciennes divinités égyptiennes. Sa représentation, au museau effilé et aux oreilles dressées mais tronquées, est une composition hybride née de l'imaginaire des Égyptiens des temps prédynastiques.
Moïse est né à Goshen en Egypte vers 1200 avant J-C.
Ceci explique peut-être cela..
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Les récits bibliques des 11 premiers chapitres de la Genèse sont inspirés des mythes et légendes sumériennes
Les sumériens laissent quantités de pièces d'argile gravées en écriture cunéiforme. La Bible a emprunté de nombreux passages aux sumériens comme le paradis terrestre décrit dans le poème " ENKI et NINHURSAG " où l'Eden hébraïque et le Dilmun sumérien ne font qu'un : mêmes fleuves, même endroit, même souffrance, même péché originel. Ce poème explique d'ailleurs le mystère de la côte d'Adam : c'est là ou est le mal d'Enki, la côte vient du jeu de mot sumérien "Ti" ("côte" ou "faire vivre").
Ce sont les sumériens qui ont écrit le premier le mythe du déluge avec Ziusudra (le Noé sumérien), repris par les babyloniens. (Source: S.N Kramer "L'histoire commence à Sumer", University museum Philadelphie, Musée du Louvre, Les collections de l'Histoire N°22 janvier mars 2004). Il apparaît clairement que le monothéisme juif s'est constitué progressivement en 3 étapes clés : l'hénothéisme d'Abraham, la monolâtrie de Moïse et le monothéisme des prophètes de l'exil à Babylone. il est possible de reconstituer les étapes qui marquèrent l'histoire de la présence de Dieu chez les hommes.
Un des épisodes les plus célèbres de la mythologie sumérienne, celui de " GILGAMESH " en quête de l'immortalité.Cette légende nous est parvenue à travers des copies datant de 2000 av JC. Elle relate les exploits des héros et des dieux sumériens. Le plus célèbre de ces personnages est GILGAMESH, roi d' URUK peu après 3000 av JC. Il est l'un des tout premiers rois après le DELUGE. Le NOE biblique est largement inspirée de cette histoire, on devine une source de la mythologie grecque (les exploits d'Héraclès), et de la Bible (le Déluge y est conté).
MYTHE DE LA CREATION SUMERIEN Les dieux mineurs ou prolétaires (les Igigi) furent forcés de travailler pour les grands dieux. C'est alors que les Igigi commencèrent à gémir à grands cris pour demander du repos. Namma, mère d'Enki, appela ce dernier pour qu'il vienne en aide à ces dieux mineurs et trouve ainsi une solution.
Enki fut appelé parce qu'il était non seulement le dieu des eaux, mais aussi celui de la sagesse. Les grands dieux avaient en effet besoin des Igigi pour leur faire cuire le pain et les décharger des travaux pénibles. Mais, ces grands dieux devaient, dans un même temps, soulager les dieux prolétaires de leurs durs labeurs avant qu'ils ne se révoltent. La solution fut donc de créer une race d'esclaves : les hommes. Enki prit alors de l'argile ( ou poussière ) et la trempa dans la chair et le sang d'un dieu sacrifié ; l'homme aurait ainsi une part de l'intelligence divine.
LE DELUGE SUMERIEN Après avoir créé les hommes, les dieux entreprirent à plusieurs reprises d'anéantir l'humanité. Les hommes s'étaient en effet multipliés à un tel point qu'ils en vinrent à faire trop de bruit, gênant ainsi les dieux. Namtar, dieu de la mort et de la peste, fut, par exemple, chargé de déchaîner une maladie sur les hommes. Mais un autre dieu, Enki, eut pitié d'eux et déjoua ce plan. D'autres calamités furent ainsi décidés, mais, à chaque fois, Enki aida les hommes. Enki se vit donc accuser par les autres dieux, c'est alors que ce dernier, pour se défendre, amena l'idée d'un déluge.
Enlil, sur l'idée d'Enki, décida que toute l'humanité devrait périr noyée.
Mais, Enki parla à Atra-Hasis (le 'Noé sumérien') dans un rêve et l'avertit que l'humanité était en danger. Il lui dit de construire un bateau. Sur ce, Atra-Hasis informa les autres hommes. Il quitta ensuite la ville, prenant avec lui des artisans qui l'aideraient dans la construction du bateau. Ils assemblèrent donc le matériel, construisirent le bateau, puis embarquèrent des oiseaux, du bétail et des humains de la famille d'Atra-Hasis.
La pluie commença à tomber, pendant 7 jours et 7 nuits les vents soufflèrent et l'eau se déchaîna. Enfin, la tempête se calma. Atra-Hasis sortit du bateau et fit des offrandes à tous les dieux, qui avaient faim. Ils s'étaient attroupés autour des offrandes comme des mouches. Les dieux constatèrent que les hommes avaient survécu au déluge. Enlil était furieux. Les dieux avaient juré par serment la perte des humains, et, pourtant, ils avaient survécu.
"Comment cela était-ce possible ?", demanda Enlil. An lui répondit que cela ne pouvait être que le fait d'Enki. Enki pour apaiser la fureur d'Enlil suggéra une solution : les humains ne se multiplieraient plus si vite. Les maladies en décimeraient un tiers. Les accouchements deviendraient douloureux et dangereux, les enfants pourraient d'ailleurs mourir pendant l'opération.
"Six jours et sept nuits passèrent ; Les tempêtes du déluge soufflaient encore; Les tempêtes du sud couvraient le pays. Le septième jour; Les tempêtes du déluge ; Qui telles une armée ; Avaient tout massacré sur leur passage; Diminuèrent d'intensité ; La mer se calma ; Le vent s'apaisa ; La clameur du déluge se tut." (L'Epopée de Gilgamesh, traduction d'A. Azrié).
La version Latine D'après le poète latin Ovide, le Déluge eut pour cause le fait que les hommes oubliaient de sacrifier aux dieux. Leurs uniques pensées étaient pour l'argent et le plaisir. Pour les punir, Zeus décida donc de les anéantir. Le déluge détruisit alors tout ce qui se trouvait sur la Terre, noyant les hommes, les villes et les forêts. Tous les hommes moururent, hormis un couple qui avait construit une barque. C'était Deucalion et sa femme Pyrrha. Au bout de plusieurs jours, la pluie cessa et la barque s'arrêta au sommet de Parnasse. Lorsque Zeus aperçut les deux survivants , il décida de leur laisser la vie sauve pour qu'ils puissent régénérer le genre humain. Ils devraient jeter des pierres derrière eux, qui aboutiraient à des hommes et à des femmes.
La version Indienne Les versions indiennes du Déluge sont nombreuses, celle du Catapatha Brâhmana narre que le Noé indien se nomme Manou et qu'il est lui aussi prévenu du Déluge, mais par un poisson providentiel : " Un matin, on apporta à Manou de l'eau pour se laver, comme à présent on en apporte pour se laver les mains. Tandis qu'il se lavait ainsi, un poisson lui vint dans les mains. Le poisson lui adressa la parole : " Garde-moi, je te sauverai ! -De quoi me sauveras-tu ? - Un déluge va emporter toutes les créatures. C'est de cela que je te sauverai. " (Anthologie sanskrite, traduction de L. Renou).
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Si on étudie la théologie égyptienne d'Amon et d'Aton, on s'aperçoit que la théologie hébraïque de l'Eternel a des points commun avec celle d'Amon, et qu'avec Moïse, c'est la théologie d'Aton qui influence celle de l'Eternel (qui tout comme Amon a des aspects multiples et plusieurs noms).
La genèse révèle que c'est à la naissance du petit fils de Seth (le même nom que le Dieu égyptien ci-dessous ce qui montre bien un lien entre hébreux et égyptiens très ancien,seth signifie en hébreux "qui remplace", hors Seth troisième fils d'Adam, berger comme Abel assassiné par Caïn, Abel étant le second fils d'Adam et Caïn l'aîné, a donc "remplacé" Abel, et Seth,
Seph Dieu jaloux assassina Osiris son frère et était en compétition avec Horus, fils de la déesse Isis, pour mener la barque solaire.). Noé, ancêtre de plusieurs peuples, dont les hébreux, rescapé du déluge, est un descendant de Seth.
Les pharaons réprimèrent certains cultes à Seth, seuls cultes à pratiquer des sacrifices humains (wikipédia). Abraham, quitta Ur, cité sumérienne, et redevenant berger - nomade, c'est sous la protection de l'Eternel qu'il se place, ou encore c'est à un appel de l'Eternel qu'il répond. Donc l'Eternel est bien un protecteur d'un peuple nomade. La bible nous rapporte qu'Abraham veut lui sacrifier son fils Isaac, avant d'y renoncer; ce qui n'a rien de surprenant puisque, Ur est une cité sumérienne, les cités sumériennes initialement ne pratiquaient pas de sacrifices humains, puis à une époque donnée, des sacrifices humains en nombre important furent faits. La bible n'aura de cesse de rappeler l'interdiction du sacrifice humain et de le remplacer par un sacrifice animal, l'holocauste, animal entièrement consumé par le feu. D'autre part de nombreux passages bibliques évoquent un séïsme (lire plaidoyer pour nos enfants, pour un monde viable) ou une éruption volcanique, plusieurs villes occupées par les hébreux sous la direction de Moïse se trouvaient sur une faille sismique. On retrouve donc là un lien séïsme, volcanisme -sacrifice
humain remplacé chez les hébreux par un sacrifice animal consumé.
Pour mieux comprendre lisons ce que wikipédia nous apprend sur la théologie solaire des égyptiens:
Pour les égyptiens de l'antiquité, le cycle perpétuel du lever et du coucher du soleil est comparable au cycle de la vie et de la mort. Ainsi, chaque matin le soleil naît à l'orient, croît jusqu'au zénith, puis vieillit jusqu'à l'occident ou il disparaît dans le royaume des morts. Ce voyage diurne, le dieu solaire Rê le fait à bord d'une barque appelée mandjet. Le choix d'une barque comme moyen de transport se comprend aisément dans une civilisation résolument fluviale où le Nil occupe la place d'axe principal de communication et de source quasi-exclusive d'alimentation grâce aux crues, à l'irrigation et à la pêche.
Le périple perpétuel de Rê ne connaît pas de pause à la tombée de la nuit; bien au contraire, il ne fait que recommencer. C'est aux commandes d'une autre barque, appelée mesektet qu'il entame son périple souterrain et traverse les douze heures de la nuit avant de pouvoir renaître au matin. Dans le royaume des morts (la nuit), il doit affronter les forces du chaos dont le représentant le plus puissant est le serpent Apophis. Il est accompagné sur la barque par d'autres divinités qui, comme Seth, l'aident à lutter contre le chaos.
Les Égyptiens de l'Antiquité ont imaginé qu'en s'associant au dieu solaire lors de sa course perpétuelle à bord des barques sacrés, leurs âmes vivraient éternellement. C'est ainsi que le culte funéraire est fortement marqué par ce mythe solaire. Par exemple, on construisait de préférences les tombeaux sur la rive occidentale du Nil (où « meurt » le soleil) et lors de l'enterrement on faisait traverser le fleuve au défunt sur des barques semblables à celle du dieu solaire.
Là encore, histoire et philosophie religieuse se confondent, et en lisant ces lignes on comprend mieux la complémentarité entre le dogme égyptien et le dogme de Joseph, fils de Jacob nommé aussi Israël, ancêtre des hébreux qui chercha à les sédentariser à nouveau. Joseph épouse la fille du grand prêtre égyptien, ce qui montre le rapprochement religieux entre les deux peuples. La légende de la barque solaire montre un lien fait par les égyptiens entre le soleil, "le feu du ciel" qui la nuit, dans une autre barque entame un périple souterrain, et donc "le feu sous terre" qui se manifeste dans le volcanisme.
On a vu que "l'Eternel" se manifeste par le feu, buisson ardent, nuée, description évoquant un séÏsme, donc l'Eternel correspond à l'aspect bénéfique du Dieu Seth, nom que l'on retrouve avec l'ancêtre des hébreux qui invoqua le premier l'Eternel. Dans le culte d'Aton, les égyptiens s'associent au Dieu, leur pharaon prend le nom d'Akineton, "celui qui est utile à Aton", de même les hébreux, servent "l'Eternel" qui pour les égyptiens évoquent Seth qui aide à la traversée de la barque solaire. Les plaies d'Egypte décrites dans la bible, évoque les conséquences d'un volcanisme, on peut supposer qu'il s'agissait du volcan qui détruisit une île, Thera en mère Egée et dont seul subsiste le pourtour constitué parl'archipel des îles du Santorin*.
On peut donc supposer que Joseph, héritier du patriarches des hébreux, intendant de Pharaon, époux de la fille du grand prêtre, était considéré comme serviteur de Seth, d'autant que le livre de la genèse décrit des séïsmes (terre qui s'ouvre) ou y fait allusion ou encore le volcanisme, comme manifestation de la colère divine. Mais l'éruption volcanique qui obscurcit le soleil fut vécu comme une nouvelle querelle entre Seth et Horus, et donc les hébreux furent chassés avec également des égyptiens, probablement tenu pour responsable de ce seïsme.
Akineton instaura le culte du disque solaire seul, source de vie, sans Dieu Horus à tête de faucon, portant le disque solaire, Dieu fragile nécessitant le soutien du terrible Dieu Seth.
Ce culte du dieu soleil, Aton, assisté de Seth, le dieu qui gronde sous terre et dans le ciel et qui porte le nom de l'ancêtre fondateur de la tribu prédiluvienne de Noé, se retrouve également dans les légendes sumériennes:
Gilgamesh voyagea longtemps et finit par arriver à une montagne dont le sommet était double. C'était le Mt Mashu, devant lequel veillent des monstres, des hommes scorpions, qui montent la garde aux portes du soleil. Lorsque chaque matin le Soleil sort du royaume des dieux pour éclairer les hommes....derriière cette porte est un tunnel obscur qui s'enfonce sous la montagne, et, marcherait-on deux fois douze heures, l'on n'en aurait pas encore atteint l'extrémité. Nul homme ne doit en fouler le sol, car il appartient au Soleil.
SETH (nom propre hébreu qui signifie : mis à la place ; cf. l'ail. Ersatz).
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Le mythe d'Osiris ou la version égyptienne d'Abel et Caïn
Le premier livre de la Bible, la Genèse, retrace le début de l'humanité. L'un des tout premiers récits fondateurs, relaté au chapitre IV , raconte l'histoire de deux frères ennemis. Il est intéressant de noter que le mythe osirien est similaire à l'histoire biblique de Caïn et d'Abel.
Comment expliquer les similitudes de ce que Mircea Eliade définit comme une « œuvre fondatrice de l’imaginaire occidental » qui renvoie au temps « primordial » et aux « fabuleux des commencements »? Et que dire de ces coïncidences troublantes que l'on retrouvent aussi dans d'autres cultures et traditions ? Une origine commune, décrite dans la Genèse, et la quête de l'immortalité en lien avec le premier mensonge sont une explication plausible. Analyse de la question à travers les textes et les salles.
Le mythe d'Osiris
La progéniture de Nout, déesse du Ciel et de Geb, dieu de la Terre, compte 3 hommes : Osiris, l'aîné des fils, Seth et Horus l'ancien et 2 femmes, Isis et Nephhtys qui s'entraident dans leur amour commun pour Osiris.
Osiris et Seth étaient frères. Seth est l'antithèse de son frère. Il est fauteur de troubles quand Osiris est pacificateur. Il rend le désert aride alors qu'Osiris est le dieu de la fertilité. Jaloux d'Osiris, Seth son frère cadet, l'assassine, coupe son corps en morceaux qu'il renferme dans un coffre et jette à la mer. Après de multiples recherches, Isis retrouve le corps de son mari et frère. Et par ses larmes et ses baisers elle ranime son cadavre et engendre un fils, Horus. Le martyre d'Osiris lui vaut de gagner le monde de l'au-delà dont il devient le souverain et le juge suprême des lois de Maât. La légende faisait aborder à Byblos le corps d'Osiris.
Le récit biblique du meurtre d'Abel
On retrouve le récit au chapitre 4 versets 1 à 8 du livre de la Genèse. "Adam eut des relations conjugales avec sa femme Eve. Elle tomba enceinte et mit au monde Caïn. Elle dit: « J'ai donné vie à un homme avec l'aide de l'Eternel. » Elle mit encore au monde le frère de Caïn, Abel. Abel fut berger et Caïn fut cultivateur. Au bout de quelque temps, Caïn fit une offrande des produits de la terre à l'Eternel. De son côté, Abel en fit une des premiers-nés de son troupeau et de leur graisse. L'Eternel porta un regard favorable sur Abel et sur son offrande, mais pas sur Caïn et sur son offrande. Caïn fut très irrité et il arbora un air sombre. L'Eternel dit à Caïn: « Pourquoi es-tu irrité et pourquoi arbores-tu un air sombre? Certainement, si tu agis bien, tu te relèveras. Si en revanche tu agis mal, le péché est couché à la porte et ses désirs se portent vers toi, mais c'est à toi de dominer sur lui. » Cependant, Caïn dit à son frère Abel: « Allons dans les champs» et, alors qu'ils étaient dans les champs, il se jeta sur lui et le tua.. " - Bible Segond 21
Caïn a été regardé comme le type des persécuteurs des justes. Jésus-Christ le dit assez clairement en Matthieu 23:35 et Luc 11:51. Ces paroles du Christ, témoin oculaire céleste, sont pour le chrétien l'argument suprême en faveur d'un événement réel et non mythique. Il est question de Caïn dans trois passages du NT, Hébreux 11:4, 1 Jean 3:12 et Jude 11. Abel est le premier cité dans la longue liste d'Hébreux 11. L'apôtre Paul parle aussi du sang d'Abel en Hébreux 12:24.
Le lecteur de la Bible ne sera pas surpris par les similitudes et coïncidences avec ce récit de la Genèse. Le récit biblique de la rivalité fratricide dans le livre de la Genèse en évoque d'autres présentes sur tous les continents, ce qui laisse penser qu'elle a une origine très ancienne.
Des frères rivaux dans plusieurs civilisations Le récit biblique de la rivalité fratricide dans le livre de la Genèse en évoque d'autres présentes sur tous les continents, ce qui laisse penser qu'elle a une origine très ancienne. Ancré structurellement dans l'histoire culturelle de l'humanité, le récit biblique de Caïn et d'Abel se manifeste dans la série interminable des échos du motif dans la mythologie des différentes cultures et traditions, babylonienne
(Tammouz et Ishtar), persane (Ahriman et Ahura Mazda), égyptienne (Seth et Osiris), romaine (Romulus et Remus) et grecque (Etéocle et Polynice).
Il est intéressant de noter la lumière que fait la Bible sur l’origine possible des différentsmythes. Selon Genèse 6:1-13, avant le déluge des fils angéliques de Dieu vinrent sur la terre. Ils engendrèrent les Nephilim ou ‘ Tombeurs ’. A cause de cette union contre nature de créatures spirituelles et d’humains, la terre se remplit d’immoralité et de violence (Jude 6; 2 Pierre 2:4). Les écrits attribués à Homère et à Hésiode sont peut-être le reflet amplifié, embelli et dénaturé du récit que rapporte la Genèse. Ces légendes parlent des amours adultères de ces innombrables dieux et déesses de forme humaine, de grande beauté mais au caractère souvent violent et cruel. Autre parallèle étonnant : en plus des dieux principaux, il est fait mention de demi-dieux, doués d’une force supra-humaine mais mortels. Ressemblance frappante avec les Nephilim du texte biblique.
« Dans les panthéons grec et romain, comme dans le panthéon chaldéen, on reconnaît le même groupement général, et souvent la même succession généalogique. La ressemblance est trop étendue pour que cette coïncidence soit le fait du pur hasard. » Remarquant aussi cette correspondance fondamentale, l’orientaliste E. Speiser fait remonter le thème des mythes grecs jusqu’en Mésopotamie. Là où se trouvait justement Babylone et l’endroit d’où les humains se dispersèrent après la confusion du langage. – Genèse 11:1-9.
Concernant ces peuples du passé, on retrouve partout des coïncidences les plus surprenantes dans les rites, les fêtes populaires, les traditions ainsi que dans les relations avec les dieux. Tous ces peuples ont pu puiser leurs conceptions religieuses à une source commune. Ces traits communs peuvent trouver leur explication biblique dans la dispersion des humains à partir de Babylone. Et si la finalité de ce premier mensonge n'était pas aussi de faire croire que le récit biblique de la Genèse n'était qu'une fable …
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C'est la Destinée qui détermine le cours des événements : les premiers seront les derniers.
Spécialistes et théologiens admettent maintenant que les récits bibliques de la Création, d’Adam et Ève, du Déluge et de la Tour de Babel se sont inspirés de textes écrits des milliers d’années plus tôt en Mésopotamie, en particulier par les Sumériens.
Ces écrits affirmaient à leur tour tirer leur connaissance d’événements passés (dont certains avaient eu lieu avant l’apparition de la civilisation) et des écrits des Anunnakis (« Ceux qui des cieux vinrent sur Terre »): les « dieux » de l’Antiquité.
Un siècle et demi de découvertes archéologiques dans les ruines des civilisations de l’Antiquité a permis de mettre au jour un grand nombre de ces textes, en particulier au Proche-Orient. Les découvertes ont également permis de mesurer l’étendue des textes manquants (les « écrits perdus »), qu’ils soient cités ou suggérés dans les textes trouvés, ou que leur existence passée ait été cataloguée dans les bibliothèques royales ou sacrées.
La trace écrite des "Dieux" de l'histoire de l'humanité
Les « secrets des dieux » étaient parfois révélés en partie dans les épopées, par exemple :
le cas de l’Épopée de Gilgamesh, qui révèle le débat entre les dieux ayant mené à la décision de laisser périr l’Humanité dans le déluge,
le texte intitulé Atra Hasis, qui relate comment la mutinerie des Anunnakis qui peinaient dans les mines mena à la création des travailleurs primitifs, c’est-à-dire les Terriens.
De temps à autre, les meneurs des astronautes eux-mêmes rédigèrent des textes, les dictant parfois à un scribe élu. C’est le cas du texte connu sous le nom d’Erra Epos, dans lequel l’un des deux dieux à l’origine de la catastrophe nucléaire essaie de rejeter la responsabilité sur son adversaire.
Parfois, c’est le dieu lui-même qui tient le stylet, comme :
dans le Livre des secrets de Thot (dieu égyptien de la sagesse), que le dieu a rédigé dans le secret d’une chambre souterraine.
ou Lorsque le seigneur-dieu Yahvé, selon la Bible, offre les Dix Commandements à Son peuple élu, Il grave de Sa propre main deux tablettes de pierre qu’Il confie à Moïse sur le mont Sinaï. Moïse détruit le premier jeu de tablettes en réaction à l’incident du veau d’or, puis grave lui-même de nouvelles tablettes recto verso pour les remplacer. Il passe quarante jours et de quarante nuits sur le mont Sinaï à graver les mots du Seigneur.
Il arrive que nous sachions que certains textes ont existé sans pour autant connaître leur contenu, ce qui n’est pas moins frustrant. C’est le cas du Livre des guerres de Yahvé et du Livre de Jasher (« Livre de la justice »), qui sont spécifiquement mentionnés dans la Bible :
Sans un récit sur le Livre des secrets de Thot, écrit sur un papyrus datant du règne du roi égyptien Khufu (Chéops), l’existence de ce livre serait restée inconnue.
Sans les récits bibliques de l’Exode et du Deutéronome, nous n’aurions jamais entendu parler des tablettes divines et de leur contenu.
Tout cela aurait été relégué au rang des énigmatiques « écrits perdus » dont l’existence même ne nous aurait jamais été connue.
L’existence de deux livres anciens (textes antérieurs connus du narrateur biblique) peut être déduite dans au moins deux cas :
Le chapitre cinq de la Genèsecommence par l’affirmation suivante: « Voici le livret du Toledoth d’Adam. » Le terme Toledoth est en général traduit par « descendance », mais pour être plus précis, il signifie en réalité « compte rendu historique ou généalogique ».
Le chapitre six de la Genèse, lorsque le récit concernant Noé et le Déluge commence par les mots « Voici le Toledoth de Noé ». Il s’avère que des fragments d’un ouvrage connu sous le nom de Livre d’Adam et Ève ont traversé les millénaires sous leur version arménienne, slavonique, syriaque ou éthiopique. Le Livre d’Enoch (l’un des apocryphes qui n’ont pas été inclus dans la Bible canonisée) contient des passages qui, selon les chercheurs, seraient des fragments tirés d’un Livre de Noé bien plus ancien.
Les restes de la biliothèque d'Alexandrie comme mémoire
L’exemple de la célèbre bibliothèque d’Alexandrie, en Égypte, est souvent cité pour illustrer l’ampleur des livres perdus :
Fondée par le général Ptolémée après la mort d’Alexandre en 323 av. J.-C., elle est réputée avoir contenu plus de cinq cent mille « volumes » écrits sur toutes sortes de supports (argile, pierre, papyrus, parchemin);
La grande bibliothèque où les érudits se rassemblaient pour étudier les connaissances accumulées a brûlé et fut détruite au cours des guerres qui ont fait rage entre 48 av. J.-C. et la conquête par les Arabes, en 642 apr. J.-C.;
De ses trésors, il ne nous reste qu’une traduction des cinq premiers livres de la Bible hébraïque en grec et quelques fragments qui ont survécu dans les écrits de certains chercheurs attitrés de la bibliothèque;
Manéthon (prêtre égygtien)
C’est seulement ainsi que nous savons que le second roi Ptolémée confia vers 270 av. J.-C. la rédaction de l’histoire et de la préhistoire de l’Égypte à un prêtre égyptien que les Grecs connaissaient sous le nom de Manéthon.
"Au début, écrit Manéthon, seuls étaient les dieux. Puis apparurent les demi-dieux et enfin, vers 3100 av. J.-C., les dynasties pharaoniques. Le règne des dieux, écrit-il, commença dix mille ans avant le Déluge et se poursuivit pendant des milliers d’années après lui, cette seconde période étant marquée par des combats et des guerres intestines."
Dans les contrées asiatiques soumises à Alexandre, dont le pouvoir tomba aux mains du général Séleucos et de ses successeurs, on essaya de même d’offrir aux savants grecs un compte rendu des événements passés.
Bérose (prêtre babylonien)
Bérose, un prêtre du dieu babylonien Mardouk qui avait accès aux librairies de tablettes d’argile dont le cœur était la librairie d’Harran (sud de l’actuelle Turquie), rédigea une histoire des dieux et des hommes en trois volumes qui commence avec la venue de dieux sur Terre 432 000 ans avant le Déluge.
Bérose dresse une liste des dix premiers chefs, donnant leur nom et la durée de leur règne. Il rapporte que le premier meneur, habillé en poisson, est sorti de la mer en marchant. C’est lui qui apporta la civilisation à l’humanité. Son nom, transcrit en grec, était Oannes.
Ces deux prêtres rapportèrent donc la venue de dieux célestes sur Terre, évoquant une époque où seuls les dieux régnaient sur Terre et décrivant la catastrophe du Déluge. Leurs récits concordent sur de nombreux points.
Assurbanipal (roi assyrien)
Dans les quelques fragments de ces trois volumes ayant survécu (à travers des écrits de la même époque), Bérose mentionne l’existence d’écrits datant d’avant le Déluge. Il s’agit de tablettes de pierres qui furent dissimulées dans une ancienne ville appelée Sippar, l’une des cités originelles fondées par les anciens dieux.
Bien que Sippar, comme les autres villes antédiluviennes des dieux, fût submergée et rayée de la carte par le déluge, une référence aux écrits antédiluviens a refait surface dans les annales du roi assyrien Assurbanipal (668-633 av. J.-C.). Jusqu’au milieu du XIXe siècle, l’ancienne capitale de Ninive n’était connue que dans l’Ancien Testament.
Lorsque les archéologues la découvrirent, ils mirent au jour dans les ruines du palais d’Assurbanipal une bibliothèque contenant les restes de quelque 25 000 tablettes couvertes d’inscription.
Collectionneur assidu de « textes anciens », Assurbanipal se vante dans ses annales: « Le dieu des scribes m’a accordé le don de la connaissance de son art, j’ai été initié aux secrets de l’écriture. Je suis capable de lire les tablettes sumériennes, pourtant si compliquées. Je comprends les mots énigmatiques gravés dans la pierre avant le Déluge. »
La civilisation shumérienne (ou sumérienne)
Nous savons maintenant que la civilisation shumérienne (ou sumérienne) :
s’est épanouie dans la région qui est ensuite devenue l’Irak presque un millénaire avant le début de l’ère des pharaons en Égypte, et que ces deux civilisations ont été suivies par celle de la vallée de l’Indus, dans le sous-continent indien.
elles furent les premiers à rédiger annales et autres récits sur les dieux et les hommes, à partir desquels les autres peuples, dont les Hébreux, ont tiré les textes de la Création, d’Adam et Ève, d’Abel et Caïn, du Déluge, de la Tour de Babel, des guerres et des amours des dieux, comme on peut le voir dans les écrits des Grecs, Hittites, Cananéens, Perses et Indo-européens.
Ces écrits anciens prouvent que leurs sources étaient des textes plus anciens encore, certains retrouvés, d’autres perdus.
Le volume de ces anciens écrits est prodigieux
Ce ne sont pas des milliers mais des dizaines de milliers de tablettes d’argiles qui ont été découvertes dans les ruines du Proche-Orient de l’Antiquité. Nombre de ces écrits décrivent certains aspects de la vie quotidienne, dont le commerce, le salaire des travailleurs et les contrats nuptiaux.
D’autres, mis au jour principalement dans les bibliothèques des palais, forment les annales royales. D’autres encore, découverts dans les ruines des bibliothèques des temples ou des écoles où l’on formait les scribes, forment un corpus de textes canonisés, une littérature secrète. Ils furent écrits en langue sumérienne puis traduits en akkadien (la première langue sémitique) et autres langues anciennes. Même ces écrits, qui ont plus de six mille ans, font référence à des « livres » perdus (textes inscrits sur des tablettes de pierre).
Le mot « chance » ne suffit pas à qualifier la découverte miraculeuse, dans les ruines des villes et bibliothèques de l’Antiquité, de prismes d’argile recouverts d’informations sur les dirigeants antédiluviens et leurs 432 000 ans de règne combiné auxquels faisait allusion Bérose.
Connues sous le nom de Listes des rois sumériens (et exposées au musée Ashmolean à Oxford, Angleterre), les différentes versions ne laissent aucun doute sur le fait que leurs compilateurs sumériens devaient avoir accès à une référence textuelle publique ou canonisée antérieure.
Associées à des textes aussi anciens plus ou moins bien conservés, elles suggèrent fortement que la première personne à avoir rapporté l’Arrivée, mais aussi les événements qui l’ont précédée et suivie, devait être l’un de ces meneurs, un participant clé, un témoin visuel. Parmi ceux qui avaient assisté à ces événements (et qui y avaient en fait participé activement) se trouvait le chef qui s’était écrasé dans l’eau avec le premier groupe d’astronautes. À cette époque, son épithète était E.A. « Celui qui demeure dans l’eau ». Il avait connu la déception de voir le commandement de la Mission Terre confié à son demi-frère et rival EN.LIL (« Seigneur de l’Autorité »), une humiliation atténuée par le fait qu’on lui avait accordé le titre d’EN.KI (« Seigneur de la Terre »). Relégué dans l’E.DIN (« Éden »), loin des villes des dieux et de leur spatioport, le grand scientifique Ea/Enki supervisait l’extraction de l’or dans l’AB. ZU (Afrique du sud-est).
Naissance de l'Humain
Le grand scientifique Ea/Enki rencontra par hasard les hominidés qui peuplaient ces régions. Lorsque les Anunnakis qui peinaient dans les mines se rebellèrent contre leur sort, c’est lui qui réalisa que la main-d’œuvre nécessaire pouvait être obtenue en faisant un bond dans l’évolution grâce à la manipulation génétique, et c’est ainsi que naquit l’Adam (littéralement, « Celui qui vient de la Terre », le Terrien).
Hybride, l’Adam ne pouvait procréer. Les événements repris dans le récit biblique d’Adam et Ève relatent la seconde modification génétique à laquelle Enki eut recours pour ajouter les chromosomes sexuels nécessaires à la procréation. Et lorsqu’il apparut que l’Humanité avait évolué dans une direction inattendue, ce fut lui, Enki, qui défia le plan de son frère Enlil de la laisser périr dans le Déluge. Le héros de ces événements a été appelé :
Noé dans la Bible
Ziusudra dans le texte sumérien antérieur
Premier fils d’Anu, le dirigeant de Nibiru, Ea/Enki connaissait parfaitement le passé de sa planète (Nibiru) et de ses habitants. Scientifique accompli, il transmit les plus importants aspects des connaissances avancées des Anunnakis à ses deux fils Mardouk et Ningishzidda, dieux qui étaient connus par les Égyptiens sous les noms de Ra et Thot. Il joua également un rôle prépondérant dans le partage avec l’Humanité de certains aspects de ces connaissances avancées, en enseignant « les secrets des dieux » à des individus choisis.
À deux occasions au moins, ces deux initiés compilèrent ces enseignements divins en tant qu’héritage de l’humanité, comme il le leur avait été demandé :
Adapa, est connu pour avoir écrit l’un des premiers ouvrages perdus, intitulé Écrits sur le temps. Adapa était probablement le fils d’Enki et d’une Terrienne;
Enmeduranki, a selon toute probabilité inspiré le personnage d’Hénoch dans la Bible, celui qui fut emporté aux cieux après avoir confié à ses fils le livre des secrets divins. Il est possible qu’une version de cet ouvrage ait survécu dans le livre apocryphe d’Hénoch;
Bien qu’il soit le premier-né d’Anu, il n’était pas destiné à succéder à son père sur le trône de Nibiru. Des règles de succession complexes à l’image de l’histoire torturée des Nibiriens accordaient ce privilège au demi-frère d’Enki, Enlil. Dans une tentative de résoudre ce conflit profond, Enki et Enlil furent envoyés en mission sur une planète étrangère, la Terre, dont l’or était nécessaire pour préserver l’atmosphère mourante de Nibiru.
C’est dans ce contexte, rendu encore plus complexe par la présence sur Terre de leur demi-sœur Ninharsag (officier médical en chef des Anunnakis), qu’Enki décida de contrer le projet d’Enlil visant à faire périr l’humanité dans le déluge.
Le conflit se poursuivit entre les fils des demi-frères, et même entre leurs petits-enfants. Tous, et en particulier ceux nés sur Terre, étaient confrontés à la perte de la longévité que la lente période orbitale de Nibiru leur aurait procurée, ce qui générait de l’angoisse et exacerbait les ambitions.
La tension atteignit son paroxysme au cours du dernier siècle du troisième millénaire av. J.-C., lorsque Mardouk, le premier fils d’Enki et de son épouse officielle, affirma que c’était lui qui devrait hériter de la Terre, et non le premier fils d’Enlil, Ninurta. Ce terrible conflit ponctué d’une série de guerres conduit à l’usage des armes nucléaires, qui entraîna la malencontreuse disparition de la civilisation sumérienne.
L’initiation d’individus choisis aux « secrets des dieux » avait marqué l’avènement du clergé, les lignées de médiateurs entre les dieux et le peuple, ceux qui transmettaient la Parole divine aux Terriens mortels.
Les oracles, interprétations de la parole divine, allaient de pair avec l’observation des cieux à la recherche de présages. Alors que l’humanité était de plus en plus encline à prendre un parti dans les conflits entre les dieux, les prophéties commencèrent à jouer un rôle. En fait, le terme qui désigne ces porte-parole des dieux qui proclamaient ce qui allait se produire, Nabih, était l’épithète du premier fils de Mardouk, Nabu, qui avait essayé au nom de son père de convaincre l’humanité que les signes divins annonçaient la suprématie future de Mardouk.
Ces changements soulignèrent la nécessité de distinguer le Sort et le Destin. Les proclamations d’Enlil et celles d’Anu n’avaient jusqu’alors jamais été remises en question. Désormais, on examinait la différence entre NAM (le destin dont la course, comme les orbites planétaires, était prédéterminée et ne pouvait être modifiée) et NAM.TAR (littéralement, un destin que l’on pouvait influencer, briser, changer: le Sort).
En se remémorant et en réexaminant la série d’événements et l’apparent parallélisme entre ce qui s’était passé sur Nibiru et ce qui s’était produit sur Terre, Enki et Enlil entamèrent une réflexion philosophique sur ce qui était écrit et ne pouvait être évité, et ce qui n’était qu’une conséquence de bonnes ou mauvaises décisions et du libre arbitre. Le second ne pouvait être prédit, mais le premier pouvait être prévu, en particulier si tout, comme les orbites des planètes, était cyclique, si ce qui s’était produit devait se produire à nouveau, si les Premiers allaient être les Derniers.
La catastrophe nucléaire est un événement crucial qui a exacerbé la réflexion intense des chefs anunnakis et a provoqué le besoin d’expliquer ses causes aux innombrables victimes humaines. Était-ce le Destin, était-ce le résultat du Sort forgé par les Anunnakis? Pouvait-on désigner un responsable, pouvait-on blâmer quelqu’un?
Au cours des conseils anunnakis qui précédèrent la catastrophe, ce fut Enki qui se dressa seul contre l’usage des armes interdites. Il était donc important pour Enki d’expliquer aux survivants blessés comment les extraterrestres avaient fini par tout détruire malgré leurs bonnes intentions. Qui d’autre qu’Ea/Enki, qui avait été le premier arrivé et avait été témoin de tout, était le mieux qualifié pour raconter le passé afin de deviner le futur?
La meilleure façon de tout raconter était un rapport d’Enki lui-même écrit à la première personne. Il ne fait aucun doute qu’il a rédigé son autobiographie. Un long texte (s’étendant sur au moins douze tablettes) découvert dans la bibliothèque de Nippur cite ces paroles d’Enki: Bientôt la Terre, largement inondée. J’approche ses prairies verdoyantes, Je demande à ce que des monts soient érigés. Dans un lieu pur je construis ma maison, et je lui donne le nom qui lui sied.
Ce long texte se poursuit par une description des tâches assignées par Ea/Enki à ses lieutenants pour mettre en marche la Mission Terre. De nombreux autres textes portant sur divers aspects du rôle d’Enki dans les événements qui vont suivre permettent de compléter son récit. Ils comprennent notamment une cosmogonie, une Épopée de la Création qui repose sur le récit d’Enki lui-même et que les spécialistes appellent la Genèse d’Eridu. Ils comprennent des descriptions détaillées de la création de l’Adam.
Ils décrivent la façon dont d’autres Anunnakis et Anunnakies vinrent à Enki dans sa ville d’Eridu pour obtenir de lui le ME, une sorte de disquette où tous les aspects de la civilisation étaient codés. Ils comprennent des textes sur la vie privée d’Enki et ses problèmes personnels, comme le récit de sa tentative de concevoir un fils avec sa demisœur Ninharsag, ses aventures avec déesses et filles de l’homme, et leurs conséquences imprévues.
Le texte de l’Atra Hasis montre comment Anu s’est efforcé d’éviter que les rivalités entre Enki et Enlil s’intensifient, en partageant les domaines terrestres entre eux. D’autre part, les textes qui décrivent les événements ayant précédé le déluge rapportent pour ainsi dire mot pour mot les débats qui ont eu lieu lors du Conseil des dieux au sujet du sort de l’Humanité, mais aussi le subterfuge d’Enki, l’arche de Noé. Ce récit n’était connu qu’à travers la Bible, jusqu’à ce que l’une de ses versions originales mésopotamiennes soit découverte dans les tablettes de l’Épopée de Gilgamesh.
Les principale sources écrites relatant les affaires des dieux et des hommes sont :
Tablettes d’argile sumériennes
Tablettes d’argile akkadiennes
librairies des temples babyloniens
librairies des temples assyriens
« mythes » égyptiens
« mythes » hittites
« mythes » cananéens
récits bibliques
Zecharia Sitchin
Pour la toute première fois, ces documents dispersés et fragmentés ont été rassemblés par Zecharia Sitchin pour recréer le récit d’Enki en tant que témoin: les mémoires autobiographiques et les prophéties d’un dieu extraterrestre.
Présenté sous la forme d’un texte dicté par Enki à un scribe élu, ce Livre témoin destiné à être révélé le moment venu évoque les instructions données par Yahvé au prophète Isaïe (VIIe siècle av. J.-C.):
"Maintenant va, écris-le sur une tablette, grave-le dans un livre, que ce soit un témoignage pour toujours et à jamais"
Isaïe 30, 8 En étudiant le passé, Enki lui-même avait entrevu le futur.
La notion que les Anunnakis, faisant usage de leur libre arbitre, étaient maîtres de leur propre sort (ainsi que du sort de l’Humanité) a finalement cédé la place à la prise de conscience du fait que c’était la Destinée qui déterminait le cours des événements, et non les paroles ou les actions des Anunnakis. Ainsi, comme l’ont annoncé les prophètes hébreux, "les Premiers seront les Derniers". Les événements décrits par Enki peuvent donc donner naissance à des prophéties. Le Passé sera le Futur.
Vous pensez que la Bible est la parole de Dieu et quelle est authentique et digne de confiance a 100%??? Et bien NON hélas! En plus de mes recherches sur la et les falsifications de la bible des TJ j'ai été amené a chercher pourquoi certains livres ont été écartés du canon biblique...et j'ai découvert ce livre qui ma été conseillé par un autre chercheur de vérité! Il faut savoir tout remettre en question si on veut avancer dans la vérité.
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Sur une terre paradisiaque à la végétation luxuriante, un homme et une femme furent poussés à des relations charnelles par les conseils funestes d'un serpent. Leur idylle s'en trouva brisée. Ainsi apparurent la maladie et la mort. Cela vous rappelle quelque chose ?Il ne s'agit pourtant pas d'Adam et Ève, mais d'Enki et Ninhursag, deux divinités sumériennes.
Leur légende nous est narrée par des tablettes cunéiformes retrouvées entre 1889 et 1900 à Ur, puissante cité de la basse Mésopotamie du IIIe millénaire avant notre ère. Les monothéismes modernes ont longtemps cru à l'originalité absolue du récit de la création de l'homme dans la Genèse.
Or, ce récit procède en fait de la réécriture d'un fonds polythéiste dans lequel baignaient les anciens Hébreux, tout particulièrement après leur déportation à Babylone, en 586 avant notre ère.
Chaque élément du texte hébraïque possède ainsi son équivalent dans un mythe de Mésopotamie. La confection de l'homme à partir d'argile, le fruit défendu, la chute du paradis ? Dans la suite des tablettes d'Enki et Ninhursag, le premier homme, Adapa,est créé d'un mélange de boue et de sang.
Plus tard, Adapa est convoqué par le roi des dieux, Anu, et se voit proposer une nourriture qui le rendrait éternel. Trompé par Enki, Adapa refuse et est renvoyé sur terre.
Un plagiat ? D'autres similarités se retrouvent dans le mythe d'Atrahasis (ou Le Poème du Supersage, compilation sur la Création et le déluge du XVIIIe siècle avant notre ère), l'Épopée de la Création (une nouvelle version du XIIe siècle avant notre ère), l'Épopée de Gilgamesh (XVIIe siècle avant notre ère)... De là à dire que les Hébreux ne furent que des plagiaires ? Au contraire, car la Bible innove radicalement. Elle pose les cadres du monothéisme, de cette relation directe entre l'Homme et Dieu. Les éléments de l'univers ne sont plus...
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plus on creuse, et plus je me rend compte que la bible a des connexions avec moîse et l'égypte, joseph fils de jacob, etc. y'a trop de connexions avec l'égypte ancienne pour que cela soit un simple hasard
il existait même une divinité en égypte du nom de iâh qui était un dieu mineur lié à l'astre lunaire
Iâh Divinité égyptienne
Caractéristiques.Dans la mythologie égyptienne, Iâh est un dieu mineur lié à l'astre lunaire
Nom en hiéroglyphes
Iâh (Aâh): Dieu lune qui était représenté sous la forme d'un homme à tête d'épervier ou, parfois, à tête d'ibis, toujours coiffé du croissant et du disque lunaire. Il est généralement assimilé à Thot, à Khonsou et à Osiris. Il est devenu le dieu du renouveau, de la renaissance, du rajeunissement. https://www.egyptos.net/egyptos/dieux/lesdivinites.php
Moïse l'Égyptien ou l'histoire de la confrontation symbolique entre Israël et l'Égypte. Trait d'union entre ces deux univers religieux, ce Moïse égyptien n'appartient pourtant pas à la tradition canonique et relève d'une «contre-histoire», qui place au premier plan des éléments réprimés dans la mémoire officielle.
Elle commence avec Aménophis IV, pharaon égyptien du XIVe siècle avant notre ère qui imposa le premier monothéisme, et s'achève avec le livre de Freud, L'Homme Moise et la religion monothéiste (1939). Avec un sens aigu des enjeux spécifiques à chaque époque, Jan Assmann retrace l'entreprise de «déconstuction» qu'ont opérée, entre autres, John Spencer (1630-1693), Spinoza, Schiller et Freud, qui ont tous œuvré, selon des modalités différentes, à la réhabilitation de la religion égyptienne. Cet engouement culmine avec l'égyptophilie de la fin du XVIIIe siècle et décroît jusqu'à sombrer dans l'oubli à l'époque romantique. Politique, philosophique et religieux, le débat mosaïque rencontre quelques-unes des préoccupations essentielles de la civilisation occidentale : le rapport à l'autre, la vérité, la tradition... Il permet également à l'auteur de poser les fondements d'une histoire de l'antisémitisme qui emprunte certaines de ses notions à la psychanalyse.
Champs histoire
Thomas Römer : "Moïse est-il juif ou égyptien ?" - Les grandes questions
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Les secrets de l'Exode. L'origine égyptienne des Hébreux
Résumé Peu après la disparition d'Akhenaton, le pharaon adorateur d'Aton, vers 1344 av. J.C., sa capitale Akhet-Aton, l'actuelle Tell el-Amarna, est désertée. C'est la fin du monothéisme en Egypte. Ce n'est pas pour autant la fin du Dieu unique
Messod et Roger Sabbah, deux chercheurs hébraïsants, ont découvert après vingt ans d'études le message caché de la Bible :le peuple Hébreu, celui de l'Exode, celui dont on ne trouve aucune trace dans l'Egypte historique, n'est autre que la population d'Akhet-Aton chassée par le Grand Vizir, qui régna peu après Toutankhamon sous le nom de pharaon Aï. Déportés en Canaan, province égyptienne située à quinze jours de marche de la vallée du Nil, les prêtres et les notables monothéistes fondent, quarante années après la campagne militaire de Toutankhamon, le royaume de Yahouda (la Judée).
Messod et Roger Sabbah découvrent de troublantes analogies entre l'alphabet hébreu et l'écriture hiéroglyphique, entre la Genèse et la cosmologie égyptienne. Ils montrent que les noms des personnages de la Bible, Abraham, Moïse, Aaron, Josué, Sarah, Laban, dissimulent les noms et les titres royaux des pharaons de la XVIIe dynastie.
Ils retrouvent transcrit le nom d'Akhenaton dans la Bible, notamment grâce à l'histoire de l'ânesse de Balaam qui proclame : "Anokhi Atone-Kha", ce qui veut dire : "Je suis ton Dieu Aton", qui deviendra "Anokhi Adonaï", Je suis l'Eternel ton Dieu".
Grâce à la Bible, la quintessence de la sagesse égyptienne est parvenue jusqu'à nous, portée par la tradition orale de ceux qui se firent appeler les H
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La connaissance réelle de l’histoire de l’ancienne Egypte permet d’en retirer de nombreux éclaircissements scientifiques modernes mais également de comprendre l’origine des textes abrahamiques dont les protagonistes auraient soi-disant tous sejourné sur cette terre,
Cependant, bien qu’une grande partie de leurs récits se passe en ancienne Egypte, on ne trouve aucune trace d’Abraham, de Joseph, de Moïse ou de qui que ce soit d’autre, c’est pourquoi pour les archéologues, tous ces personnages n’ont jamais existé puisqu’il n’y a aucune preuve nulle part de leur présence, même dans les lieux décrits dans la Genèse et dans l’Exode
En revanche, les historiens et les archeologues assimilent les soi-disant Hébreux aux Apiru ou Abirous, ou encore aux Shasous autrement dit à des envahisseurs hyksos mais dans tout les cas à des peuples de semi-nomades bédouins qui vivaient en marge de la société égyptienne. Il n’existe non plus, aucune trace scientifique et archéologique de la sortie des Hébreux d’Egypte telle qu’elle est racontée dans la Bible, les chercheurs se sont plutôt aperçus que cet événement correspond seulement à l’expulsion des habitants de la ville du renégat Akhenaton peu après sa disparition notamment lorsque vers -1344 sa capitale, Akhet-Aton, (l’actuelle Tell el-Amarna), sera vidée de tous ses citadins, sur ordre du futur roi Aï, qui régnera peu après Toutankhamon.
Ainsi, les habitants d’Akhet-Aton expulsés en Canaan une province située à dix jours de marche de la vallée du Nil, ne s’appelaient pas les Hébreux mais les Yahouds (adorateurs), où les prêtres et les notables fondèrent, quarante années après la campagne militaire de Toutankhamon, le royaume de Yahouda (la Judée), dans lequel des lettres de l’alphabet hébraïque sous forme de hiéroglyphes ont été retrouvées et dont la comparaison a permis à des chercheurs en theologie de décrypter la Genèse juive, qui reproduit trait pour trait la cosmogonie égyptienne.
C’est pourquoi lorsque l’on regarde attentivement l’épisode de la sortie d’Egypte à partir du coup d’état d’Akhenaton, celle-ci se déroule comme ceci
– L’Exode de la capitale Akhet-Aton, ordonné par roi Aï, décrit par le fameux passage de la mer des Roseaux, est en fait une image traditionnelle de la mythologie égyptienne, représentant l’océan primordial séparé en deux par le Roi
– Les quarante années dans le désert s’intercalent exactement entre les deux campagnes militaires de Toutankhamon et de Séthy 1er.
– Les quarante ans suivant, l’expédition militaire de Séthy Ier, seront transformés en la campagne militaire de Josué.
Même l’histoire d’Abraham est tirée en grande partie de l’exode d’Akhenaton dont le récit biblique respecte non seulement l’ordre chronologique des faits qui ont marqué son existence mais qui traduit également sa vie et son action en parfait accord avec l’égyptologie:
La rupture d’Akhenaton avec le culte originel = La rupture d’Abraham avec le polytheïsme paternel
La beauté de Nefertiti = la beauté de Sarah
Akhenaton brise les idoles de son père = Abraham brise les idoles de son père
Les intrigues entre les épouses d’Akhenaton; Nefertiti et Kyia = les intrigues entre les épouses d’Abraham ; Sarah et Agar Etc..
Voilà comment la sagesse et la spiritualité de la vallée du Nil est parvenue jusqu’à nous par la tradition orale de ces yahouds qui seront arbitrairement appeler Hébreux par la litterature biblique.
Source: «les secrets de l’Exode» de Messod et Roger Sabbah
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