Rappel du premier message :
Origine
Chez les grecs TAMMUZ (Dumuzi / Adonis) est appelé BACCHUS. Certains l'identifient à ADONIS. A chaque anniversaire de sa naissance, SEMIRAMIS prétendait que NEMROD venait rendre visite au conifère et y déposait des cadeaux. C'est l'origine " SAPIN DE NOËL ", il représente NIMROD revenu à la vie après sa mort (réincarnation avancée par Sémiramis).
A Rome, le poète Ovide confirme que la déesse médiatrice mère d' ADONIS avait été changée en ARBRE pour enfanter son fils (Ovide, les métamorphoses, X,V). Aussi, le 25 DECEMBRE, jour qu’on observait à Rome comme le jour où le dieu victorieux était la fête de « NATALIS INVICTI SOLIS ».
Cette coutume reçut un autre sens : celui du NATALE, origine du mot NOËL en français, c'est à dire la fête de l’ ARBRE DE NOËL du rituel de " NEMROD REDEVIVUS ", le dieu mis à mort rendu de nouveau à la vie, celui qui revient du royaume des morts pour renaître comme le SOLEIL pendant le solstice de décembre ... Cela n'a strictement aucun lien avec la naissance de JÉSUS.
UNE FÊTE ÉGYPTIENNE MANIPULÉE PAR LE TEMPLE
Le grand cycle des fêtes du solstice d'hiver s'ouvre le 1er novembre (Toussaint) pour durer jusqu'au 6 janvier englobant le cycle des 12 Jours qui s'étend entre Noël et l'Épiphanie. C'est une unité de temps sacré qui revient chaque année, comme une transition entre l'ancienne et la nouvelle année.
Nombre de religions païennes célébraient le 25 DÉCEMBRE, bien avant l'apparition du christianisme.
Certains dieux connus sont supposés être nés pour le solstice d'hiver. Il y a également les rites du FEU des chamans CELTES, les hommes sauvages célébrant les forces primitives dans l'étrange monde de la forêt à l'époque où elle recouvrait une majeure partie de nos terres.
Aucun passage biblique ne justifie le choix du 25 DÉCEMBRE. Au contraire, la naissance de JÉSUS a eu lieu pendant que les bergers passaient la nuit dans les champs avec les moutons. Ce n'était donc pas entre décembre et février car les nuits sont trop froides en Judée à cette époque de l'année. De plus, la naissance de JÉSUS coïncide avec l'époque du recensement romain : les autorités choisissaient toujours une époque de l'année au climat chaud car les populations devaient voyager pour se rendre aux postes de recensement.
On ne trouve pas de fête du 25 DÉCEMBRE dans l'église chrétienne avant le IIIe siècle.
Mais cette fête existait déjà dans les religions païennes. Elle avait lieu pour honorer la naissance du fils de la Reine babylonienne.
Cette fête païenne est rentrée dans l'Église en l'an 230, le chrétien Tertullien écrit qu'à son époque, les chrétiens ont tendance à se prostituer aux cultes idolâtres.
Que ce soit dans le culte babylonien de BAAL (le soleil est adoré sous le nom du dieu Shamash), ou dans le culte hindou de SURYA, ces deux divinités étaient liées au soleil, qui s'incarnait par une naissance terrestre pour soumettre tous les autres dieux ennemis.
A Babylone, la fête avait lieu au mois de THEBETH qui est notre mois de DÉCEMBRE. Pendant tout ce mois, on gardait allumées les bougies sur les autels.
Les Romains, eux, célébraient deux fêtes importantes aux environs du 25 DÉCEMBRE. Les SATURNALES, tout d'abord, dédiées au dieu SATURNE et commémorant un ÂGE D'OR, et qui se déroulaient du 17 au 23 décembre. Puis, plus tard (vraisemblablement en 274 de notre ère), fut introduite la fête de " NATALIS INVICTI SOLIS " le jour de naissance du SOLEIL INVAINCU (Dies Solis Invictis). Sous Caligula, ces fêtes duraient pendant 5 jours de débauche et d'ivrognerie.
L’ARBRE DE NOËL de la tradition occidentale se retrouve en Égypte ancienne sous la forme du palmier, image du messie et seigneur BAAL-TAMAR, et à Rome sous la forme du sapin image du messie et seigneur de l'alliance " BAAL-BERITH ".
Ainsi, Le 25 DÉCEMBRE à Rome, le sapin est dressé sur la Place Saint-Pierre pour la fête de Noël, face à la grande OBÉLISQUE égyptienne que NÉRON avait fait installée au centre de ses arènes.
L'installation de cet arbre sera d'ailleurs considérée comme une pratique païenne jusqu'au milieu du XXe siècle par l'Église catholique. Au contraire les Protestants l'adopteront dès la Réforme de 1560 comme symbole de l'arbre du paradis. Les CELTES décoraient déjà un ARBRE, symbole de vie au moment du solstice d'hiver. Les Scandinaves faisait de même pour la fête de YULE (ou JUL), qui avait lieu à peu près à la même date en décembre.
A chaque anniversaire de sa naissance, SÉMIRAMIS prétendait que NEMROD venait rendre visite au conifère et y déposait des cadeaux. Cet anniversaire était le 25 DÉCEMBRE.
Voici donc la véritable origine du " SAPIN DE NOËL ", il représente NEMROD revenu à la vie après sa mort (réincarnation avancée par Sémiramis).
Aussi, le 25 DÉCEMBRE, jour qu’on observait à Rome comme le jour où le dieu victorieux était réapparu sur la terre était-il considéré comme « NATALIS INVICTI SOLIS ». Or la BÛCHE est le tronc mort de NEMROD, déifié comme DIEU SOLEIL, mais renversé par ses ennemis ; l’ ARBRE DE NOËL est donc " NEMROD REDEVIVUS ", le dieu mis à mort rendu de nouveau à la vie, celui qui revient du royaume des morts.
On plaçait donc dans les maisons à proximité du puits ou du feu, une BÛCHE de bois, et NEMROD, par le pouvoir de la magie, y faisait surgir un arbre vert, chargé de cadeaux pour le peuple. La BÛCHE morte symbolisait la disparition de la bonté et de la piété sur la terre ; la poussée de l’ ARBRE VERT, la naissance d’un sauveur, qui allait infuser une nouvelle vie à l’humanité.
Les cadeaux sur l’arbre indiquaient que NEMROD était un don du Dieu SOLEIL pour sauver les pécheurs. C’est ainsi que naquit l’origine des cadeaux et du sapin de Noël. L' ARBRE moderne du solstice fait son apparition dans sa version contemporaine vers le XVème siècle, en Alsace. Il se diffusera ensuite à une bonne partie de l’Europe et aux États-Unis.
Cette place prépondérante au plus fort même des fêtes solsticiales, tant païennes que chrétiennes, remonte sans doute ici encore à l’Yggdrasil des Germains, l’arbre du monde, de la vie, auprès duquel les Nornes (équivalentes des Parques) tissent la trame des existences humaines. La désacralisation pourtant sera sensible dès le XVIII è S., la fête de la nativité tend alors à se transformer en une fête de l’enfance ; bientôt le sapin supplantera la crèche et la cheminée de la veillée laissera passer le PÈRE NOËL, distributeur de cadeaux.
Quant aux bougies qu’on y allumait, elles étaient sensées encourager le DIEU SOLEIL déclinant lorsqu’il atteint le point le plus bas à l’horizon du ciel méridional à reprendre sa couse ascendante. On y accrochait parfois des pommes, symbole de l'immortalité, de nos jours ce sont des boules. Au cours du Moyen Âge, la longue veillée précédant la messe de minuit autour de la BÛCHE bénéfique amènera la multiplicité des cantiques, des noëls.
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Noël - Une fête païenne par excellence
Origine
Chez les grecs TAMMUZ (Dumuzi / Adonis) est appelé BACCHUS. Certains l'identifient à ADONIS. A chaque anniversaire de sa naissance, SEMIRAMIS prétendait que NEMROD venait rendre visite au conifère et y déposait des cadeaux. C'est l'origine " SAPIN DE NOËL ", il représente NIMROD revenu à la vie après sa mort (réincarnation avancée par Sémiramis).
A Rome, le poète Ovide confirme que la déesse médiatrice mère d' ADONIS avait été changée en ARBRE pour enfanter son fils (Ovide, les métamorphoses, X,V). Aussi, le 25 DECEMBRE, jour qu’on observait à Rome comme le jour où le dieu victorieux était la fête de « NATALIS INVICTI SOLIS ».
Cette coutume reçut un autre sens : celui du NATALE, origine du mot NOËL en français, c'est à dire la fête de l’ ARBRE DE NOËL du rituel de " NEMROD REDEVIVUS ", le dieu mis à mort rendu de nouveau à la vie, celui qui revient du royaume des morts pour renaître comme le SOLEIL pendant le solstice de décembre ... Cela n'a strictement aucun lien avec la naissance de JÉSUS.
UNE FÊTE ÉGYPTIENNE MANIPULÉE PAR LE TEMPLE
Le grand cycle des fêtes du solstice d'hiver s'ouvre le 1er novembre (Toussaint) pour durer jusqu'au 6 janvier englobant le cycle des 12 Jours qui s'étend entre Noël et l'Épiphanie. C'est une unité de temps sacré qui revient chaque année, comme une transition entre l'ancienne et la nouvelle année.
Nombre de religions païennes célébraient le 25 DÉCEMBRE, bien avant l'apparition du christianisme.
Certains dieux connus sont supposés être nés pour le solstice d'hiver. Il y a également les rites du FEU des chamans CELTES, les hommes sauvages célébrant les forces primitives dans l'étrange monde de la forêt à l'époque où elle recouvrait une majeure partie de nos terres.
Aucun passage biblique ne justifie le choix du 25 DÉCEMBRE. Au contraire, la naissance de JÉSUS a eu lieu pendant que les bergers passaient la nuit dans les champs avec les moutons. Ce n'était donc pas entre décembre et février car les nuits sont trop froides en Judée à cette époque de l'année. De plus, la naissance de JÉSUS coïncide avec l'époque du recensement romain : les autorités choisissaient toujours une époque de l'année au climat chaud car les populations devaient voyager pour se rendre aux postes de recensement.
On ne trouve pas de fête du 25 DÉCEMBRE dans l'église chrétienne avant le IIIe siècle.
Mais cette fête existait déjà dans les religions païennes. Elle avait lieu pour honorer la naissance du fils de la Reine babylonienne.
Cette fête païenne est rentrée dans l'Église en l'an 230, le chrétien Tertullien écrit qu'à son époque, les chrétiens ont tendance à se prostituer aux cultes idolâtres.
Que ce soit dans le culte babylonien de BAAL (le soleil est adoré sous le nom du dieu Shamash), ou dans le culte hindou de SURYA, ces deux divinités étaient liées au soleil, qui s'incarnait par une naissance terrestre pour soumettre tous les autres dieux ennemis.
A Babylone, la fête avait lieu au mois de THEBETH qui est notre mois de DÉCEMBRE. Pendant tout ce mois, on gardait allumées les bougies sur les autels.
Les Romains, eux, célébraient deux fêtes importantes aux environs du 25 DÉCEMBRE. Les SATURNALES, tout d'abord, dédiées au dieu SATURNE et commémorant un ÂGE D'OR, et qui se déroulaient du 17 au 23 décembre. Puis, plus tard (vraisemblablement en 274 de notre ère), fut introduite la fête de " NATALIS INVICTI SOLIS " le jour de naissance du SOLEIL INVAINCU (Dies Solis Invictis). Sous Caligula, ces fêtes duraient pendant 5 jours de débauche et d'ivrognerie.
L’ARBRE DE NOËL de la tradition occidentale se retrouve en Égypte ancienne sous la forme du palmier, image du messie et seigneur BAAL-TAMAR, et à Rome sous la forme du sapin image du messie et seigneur de l'alliance " BAAL-BERITH ".
Ainsi, Le 25 DÉCEMBRE à Rome, le sapin est dressé sur la Place Saint-Pierre pour la fête de Noël, face à la grande OBÉLISQUE égyptienne que NÉRON avait fait installée au centre de ses arènes.
L'installation de cet arbre sera d'ailleurs considérée comme une pratique païenne jusqu'au milieu du XXe siècle par l'Église catholique. Au contraire les Protestants l'adopteront dès la Réforme de 1560 comme symbole de l'arbre du paradis. Les CELTES décoraient déjà un ARBRE, symbole de vie au moment du solstice d'hiver. Les Scandinaves faisait de même pour la fête de YULE (ou JUL), qui avait lieu à peu près à la même date en décembre.
A chaque anniversaire de sa naissance, SÉMIRAMIS prétendait que NEMROD venait rendre visite au conifère et y déposait des cadeaux. Cet anniversaire était le 25 DÉCEMBRE.
Voici donc la véritable origine du " SAPIN DE NOËL ", il représente NEMROD revenu à la vie après sa mort (réincarnation avancée par Sémiramis).
Aussi, le 25 DÉCEMBRE, jour qu’on observait à Rome comme le jour où le dieu victorieux était réapparu sur la terre était-il considéré comme « NATALIS INVICTI SOLIS ». Or la BÛCHE est le tronc mort de NEMROD, déifié comme DIEU SOLEIL, mais renversé par ses ennemis ; l’ ARBRE DE NOËL est donc " NEMROD REDEVIVUS ", le dieu mis à mort rendu de nouveau à la vie, celui qui revient du royaume des morts.
On plaçait donc dans les maisons à proximité du puits ou du feu, une BÛCHE de bois, et NEMROD, par le pouvoir de la magie, y faisait surgir un arbre vert, chargé de cadeaux pour le peuple. La BÛCHE morte symbolisait la disparition de la bonté et de la piété sur la terre ; la poussée de l’ ARBRE VERT, la naissance d’un sauveur, qui allait infuser une nouvelle vie à l’humanité.
Les cadeaux sur l’arbre indiquaient que NEMROD était un don du Dieu SOLEIL pour sauver les pécheurs. C’est ainsi que naquit l’origine des cadeaux et du sapin de Noël. L' ARBRE moderne du solstice fait son apparition dans sa version contemporaine vers le XVème siècle, en Alsace. Il se diffusera ensuite à une bonne partie de l’Europe et aux États-Unis.
Cette place prépondérante au plus fort même des fêtes solsticiales, tant païennes que chrétiennes, remonte sans doute ici encore à l’Yggdrasil des Germains, l’arbre du monde, de la vie, auprès duquel les Nornes (équivalentes des Parques) tissent la trame des existences humaines. La désacralisation pourtant sera sensible dès le XVIII è S., la fête de la nativité tend alors à se transformer en une fête de l’enfance ; bientôt le sapin supplantera la crèche et la cheminée de la veillée laissera passer le PÈRE NOËL, distributeur de cadeaux.
Quant aux bougies qu’on y allumait, elles étaient sensées encourager le DIEU SOLEIL déclinant lorsqu’il atteint le point le plus bas à l’horizon du ciel méridional à reprendre sa couse ascendante. On y accrochait parfois des pommes, symbole de l'immortalité, de nos jours ce sont des boules. Au cours du Moyen Âge, la longue veillée précédant la messe de minuit autour de la BÛCHE bénéfique amènera la multiplicité des cantiques, des noëls.
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