Pas joyeux comme sujet, mais la triste réalité...
Nous allons voir les diverses croyances existantes, autour de ce funeste sujet.
Y a-t-il une vie après la mort ?
La mort nous effraie. Les réflexes de survie sont là pour nous rappeler que la vie est en nous, comme un cadeau. C’est pourquoi nous voudrions bien savoir si elle va s’arrêter un jour, ou continuer...
Tant de croyances sur la vie après la mort ont vu le jour depuis que l’homme est homme... Que croire ?. Voici un dossier qui explore les différentes pistes que nous pouvons à l’heure actuelle dégager...
la science aux frontières de la mort :
Qu'est-ce que la mort ?
La mort d'un être vivant est l'arrêt irréversible des fonctions vitales. Cette définition biologique montre à quel point la science est dans l'impasse quand il s'agit d'expliquer la vie et la mort. Nous ne pouvons que décrire "extérieurement" les manifestations de deux phénomènes qui en réalité nous échappent dans leur essence. Leurs causes profondes nous sont inconnues.
La définition de la mort évolue constamment. Après l’arrêt de la respiration, puis la cessation des battements du cœur, est apparu le critère de mort cérébrale. Dans cette situation, il y a arrêt des activités électriques du cerveau (mesuré par éléctroencéphalogramme), mais le corps peut continuer à vivre (par maintient artificiel des battements du cœur).
Cela montre que la mort est plus que l'arrêt de l'activité biologique. Quand un être meurt, "quelque chose" disparaît : il "n’est plus là". Mais qu'est-ce qui n'est plus là ? Lorsque nous mourons, c'est aussi ce qui fait notre identité, c'est-à-dire notre personnalité, notre affectivité, notre "présence", qui disparaît. Qu'est-ce que la vie, en définitive ? La science est bien incapable en réalité de dire en quoi consiste la vie, quelle est la nature du souffle qui nous anime, d'où il vient et où il part lors de notre mort.
On est conduit à se poser la question : la mort est-elle un terme ultime à notre vie sur terre ou n’est-elle qu’une étape dans une histoire de vie qui continue ? Croire en une autre vie après la mort est une exigence humaine qui fait la caractéristique de notre espèce (c'est à la découverte de tombes et de rituels du passage de la mort que les anthropologues peuvent affirmer qu'il s'agit d'ossements du genre Homo). S'il n'y a rien après la mort, à quoi sert la vie ?
Ici donc finit la science et là commence la métaphysique. S'il y a un « après la mort », les connaissances scientifiques ne nous servent à rien parce qu’il ne s’agit pas de biologie mais de vie immatérielle. Il nous faudrait un témoin revenu de la mort, pour nous décrire ce qui se passe. Mais cela est-il jamais arrivé ? En réalité, oui :
"témoignage de quelqu'un qui est revenu de la mort"
L'au-delà : témoignage de quelqu'un qui est revenu de la mort par Eric Kiledjian, médecin
Eric Kiledjian est médecin en gériatrie, auteur de:
« Guérir, repères spirituels dans la maladie et la souffrance » éd. Desclée de Brower, 1996
« La souffrance spirituelle au cours de la maladie d’Alzheimer »éd. Desclée de Brower, 2010
Résumé : On aimerait écouter le témoignage de quelqu’un qui a vécu la mort et qui en serait revenu !
Le Christianisme est le seul à aborder clairement la question, par un témoin : Jésus.
Voyons comment Jésus-Christ a expérimenté dans son être les différents aspects de la mort ...
Mais sa mort a-t-elle un sens ? Pourquoi mourir sur une croix quand on est innocent ? Pourtant il s'est donné volontairement, pour nous ... Car nous étions appelés, non pas à la mort éternelle, mais à la Vie éternelle...
Qui peut nous parler de la mort ?
Essayons d’explorer la réalité de la mort. Il serait très intéressant d’écouter le témoignage de quelqu’un qui a vécu la mort et qui en serait revenu ! Mais est-ce possible ? De toutes les croyances des hommes, il est significatif de constater que seul le Christianisme aborde clairement la question et y répond directement. En effet, la Bible affirme qu'il y a un homme qui a expérimenté dans son être les différents aspects de la mort et qui est ressuscité ensuite, continuant à vivre parmi ses proches pendant plusieurs jours. Ce témoin de la mort, c'est Jésus.
Jésus-Christ a expérimenté dans son être les différents aspects de la mort d’un homme ou d’une femme. Il nous amène à distinguer deux expériences humaines de la mort. La première est évidente, c’est la mort en tant que lâcher-prise biologique, avec l’arrêt des fonctionnements cellulaires et organiques. L’autre est moins connue mais pourtant fondamentale, c’est le lâcher-prise psycho-spirituel. Il s’agit d’un retournement ou un redirectionnement, qui comporte la remise en question de choix de vie découverts comme mortifères, pour l’adoption d’autres, dans un mouvement de confiance en Dieu.
Ces deux expériences sont toutes aussi concrètes l’une que l’autre. L’une est inévitable, toute existence la rencontre, l’autre est vitale et illumine toute la vie au point de donner sens à la mort.
Comment une mort en éclaire une autre
Le premier aspect c’est choisir la vie. Au début de sa mission Jésus va passer 40 jours dans un désert, pour réfléchir et prier à l’écart. Il se trouve face à lui-même et à ses pulsions, et réalise que ses réflexes naturels ne sont pas toujours des chemins de vie mais qu’ils l’éloignent de ce qui doit remplir sa vie pour qu’elle soit accomplie. Il vit d’une certaine manière une mort volontaire à ses tendances naturelles morbides, aux tensions qu’elles provoquent en lui, et choisit délibérément la vie véritable. Sa destinée était de servir les hommes, de donner de l’amour et de témoigner de l’amour de Dieu pour les humains, même au prix de sa vie, et sa vie a été vraiment réussie.
Le deuxième aspect se joue vers la fin de son parcours terrestre. Jésus s’achemine vers sa mort biologique. Durant les heures qui ont précédé son supplice Jésus était extrêmement lucide (certainement pas anesthésié émotionnellement par je ne sais quel truc spirituel ou quelle potion narcotique). Son stress était tel qu’il a transpiré une sueur mêlée de sang.
La mort de Jésus-Christ procure la paix à ceux qui croient, et pourtant elle a été une fin particulièrement atroce. C’est la
condamnation à mort d’un innocent (ce qu’a reconnu le gouverneur Ponce Pilate), à la suite de la trahison d’un ami intime (Judas Iscariote), sur la déposition de faux témoins (il s’agissait d’un complot délibéré de certains religieux), par le supplice de la croix qui entraîne une mort lente et particulièrement pénible.
Après avoir été encloué au niveau des deux poignets sur la traverse de la croix, le supplicié a été hissé sur le pilier, et les pieds cloués à leur tour. Les genoux ont été fléchis sur le côté, ce qui entraînait l’impossibilité de se reposer. Le condamné était vraiment pendu par les mains clouées. Cela provoquait d’horribles douleurs positionnelles, des difficultés respiratoires et une lente asphyxie. Jésus a aussi présenté sur cette croix une insuffisance cardiaque, ce qui explique que le coup de lance du légionnaire dans sa poitrine après sa mort ait provoqué l’issue d’eau et de sang d’une pleurésie.
Inhumé dans un tombeau creusé dans le rocher, devant lequel plusieurs hommes avaient roulé une énorme pierre, c’est pourtant cet homme Jésus qui réapparaît au milieu de dizaines de personnes quelques jours après. Il a montré et laissé toucher son corps de ressuscité, marqué par les blessures de son supplice, et cela n’était pas une représentation virtuelle, ni symbolique, ni poétique.
La mort de Jésus a-t-elle un sens ?
La mort n’a pas souvent de sens. Celle de Jésus est particulièrement riche de sens. Il avait donné à ses disciples toutes les clés de la compréhension de sa fin pénible dans les derniers jours de sa vie libre. Le message que Jésus nous adresse dans les Évangiles peut être résumé en ces mots :
« Je donne ma vie, on ne me la prend pas. Je la donne pour que nombreux soient ceux qui puissent vivre de la Vie véritable que Dieu donne et que le mal en eux (le péché) empêche de connaître. Ma motivation est l’amour pour vous, la compassion, c’est-à-dire l’amour souffrant, pour votre condition d’homme ou de femme aspirant au bonheur et empêchés de vivre. La preuve de ce que je promets, c’est ma victoire sur la mort et le péché : c’est ma résurrection. Car la vie ne s'arrête pas à la mort physique. Elle continue dans l'au-delà, j'en suis le témoin. ».
Le sens de la mort sur une croix à cette époque, c’était la punition pour des crimes commis. Jésus, innocent de tout mal, a été puni à cause de nos fautes. En aucun cas la mort de Jésus était un anéantissement de son être car il a inauguré dans son corps la résurrection de tous les êtres humains. Toute la révélation de Dieu aux hommes c’est son amour immense pour nous, et il choisi de le rendre clairement visible à la croix, la mort de Jésus. Jésus a consenti à se donner pour que nous vivions. Son lâcher-prise sur sa vie a donné sens à sa mort. Sa victoire devient notre victoire sur les forces qui nous entraînent à l’existence absurde et la mort coupés de Dieu.
Nous sommes appelés à la vie
Au fond nos aspirations profondes sont accordées avec le projet de Dieu pour nous, projet dans lequel nous pouvons entrer par la foi en Jésus-Christ. Une vie libérée de la peur de la mort. Nous sommes tous destinés à la résurrection. Selon que j’aurai cru ou non à l’amour de Dieu pour moi, ce pourra être pour le salut, ou la séparation éternelle.
La mort et la résurrection de Jésus, c’est aussi mon histoire, c’est ma vie, l’espérance pour mon existence. Ma mort à venir reste quelque peu inconnaissable, mais elle est inscrite dans mon itinéraire de vie terrestre puis de vie de ressuscité. Si j’accorde ma vie à celle de Dieu, je trouve l’amour et le sens dont j’ai profondément besoin pour vivre. Une vie qui dépasse le parcours terrestre.
Nous allons voir les diverses croyances existantes, autour de ce funeste sujet.
Y a-t-il une vie après la mort ?
La mort nous effraie. Les réflexes de survie sont là pour nous rappeler que la vie est en nous, comme un cadeau. C’est pourquoi nous voudrions bien savoir si elle va s’arrêter un jour, ou continuer...
Tant de croyances sur la vie après la mort ont vu le jour depuis que l’homme est homme... Que croire ?. Voici un dossier qui explore les différentes pistes que nous pouvons à l’heure actuelle dégager...
la science aux frontières de la mort :
Qu'est-ce que la mort ?
La mort d'un être vivant est l'arrêt irréversible des fonctions vitales. Cette définition biologique montre à quel point la science est dans l'impasse quand il s'agit d'expliquer la vie et la mort. Nous ne pouvons que décrire "extérieurement" les manifestations de deux phénomènes qui en réalité nous échappent dans leur essence. Leurs causes profondes nous sont inconnues.
La définition de la mort évolue constamment. Après l’arrêt de la respiration, puis la cessation des battements du cœur, est apparu le critère de mort cérébrale. Dans cette situation, il y a arrêt des activités électriques du cerveau (mesuré par éléctroencéphalogramme), mais le corps peut continuer à vivre (par maintient artificiel des battements du cœur).
Cela montre que la mort est plus que l'arrêt de l'activité biologique. Quand un être meurt, "quelque chose" disparaît : il "n’est plus là". Mais qu'est-ce qui n'est plus là ? Lorsque nous mourons, c'est aussi ce qui fait notre identité, c'est-à-dire notre personnalité, notre affectivité, notre "présence", qui disparaît. Qu'est-ce que la vie, en définitive ? La science est bien incapable en réalité de dire en quoi consiste la vie, quelle est la nature du souffle qui nous anime, d'où il vient et où il part lors de notre mort.
On est conduit à se poser la question : la mort est-elle un terme ultime à notre vie sur terre ou n’est-elle qu’une étape dans une histoire de vie qui continue ? Croire en une autre vie après la mort est une exigence humaine qui fait la caractéristique de notre espèce (c'est à la découverte de tombes et de rituels du passage de la mort que les anthropologues peuvent affirmer qu'il s'agit d'ossements du genre Homo). S'il n'y a rien après la mort, à quoi sert la vie ?
Ici donc finit la science et là commence la métaphysique. S'il y a un « après la mort », les connaissances scientifiques ne nous servent à rien parce qu’il ne s’agit pas de biologie mais de vie immatérielle. Il nous faudrait un témoin revenu de la mort, pour nous décrire ce qui se passe. Mais cela est-il jamais arrivé ? En réalité, oui :
"témoignage de quelqu'un qui est revenu de la mort"
L'au-delà : témoignage de quelqu'un qui est revenu de la mort par Eric Kiledjian, médecin
Eric Kiledjian est médecin en gériatrie, auteur de:
« Guérir, repères spirituels dans la maladie et la souffrance » éd. Desclée de Brower, 1996
« La souffrance spirituelle au cours de la maladie d’Alzheimer »éd. Desclée de Brower, 2010
Résumé : On aimerait écouter le témoignage de quelqu’un qui a vécu la mort et qui en serait revenu !
Le Christianisme est le seul à aborder clairement la question, par un témoin : Jésus.
Voyons comment Jésus-Christ a expérimenté dans son être les différents aspects de la mort ...
Mais sa mort a-t-elle un sens ? Pourquoi mourir sur une croix quand on est innocent ? Pourtant il s'est donné volontairement, pour nous ... Car nous étions appelés, non pas à la mort éternelle, mais à la Vie éternelle...
Qui peut nous parler de la mort ?
Essayons d’explorer la réalité de la mort. Il serait très intéressant d’écouter le témoignage de quelqu’un qui a vécu la mort et qui en serait revenu ! Mais est-ce possible ? De toutes les croyances des hommes, il est significatif de constater que seul le Christianisme aborde clairement la question et y répond directement. En effet, la Bible affirme qu'il y a un homme qui a expérimenté dans son être les différents aspects de la mort et qui est ressuscité ensuite, continuant à vivre parmi ses proches pendant plusieurs jours. Ce témoin de la mort, c'est Jésus.
Jésus-Christ a expérimenté dans son être les différents aspects de la mort d’un homme ou d’une femme. Il nous amène à distinguer deux expériences humaines de la mort. La première est évidente, c’est la mort en tant que lâcher-prise biologique, avec l’arrêt des fonctionnements cellulaires et organiques. L’autre est moins connue mais pourtant fondamentale, c’est le lâcher-prise psycho-spirituel. Il s’agit d’un retournement ou un redirectionnement, qui comporte la remise en question de choix de vie découverts comme mortifères, pour l’adoption d’autres, dans un mouvement de confiance en Dieu.
Ces deux expériences sont toutes aussi concrètes l’une que l’autre. L’une est inévitable, toute existence la rencontre, l’autre est vitale et illumine toute la vie au point de donner sens à la mort.
Comment une mort en éclaire une autre
Le premier aspect c’est choisir la vie. Au début de sa mission Jésus va passer 40 jours dans un désert, pour réfléchir et prier à l’écart. Il se trouve face à lui-même et à ses pulsions, et réalise que ses réflexes naturels ne sont pas toujours des chemins de vie mais qu’ils l’éloignent de ce qui doit remplir sa vie pour qu’elle soit accomplie. Il vit d’une certaine manière une mort volontaire à ses tendances naturelles morbides, aux tensions qu’elles provoquent en lui, et choisit délibérément la vie véritable. Sa destinée était de servir les hommes, de donner de l’amour et de témoigner de l’amour de Dieu pour les humains, même au prix de sa vie, et sa vie a été vraiment réussie.
Le deuxième aspect se joue vers la fin de son parcours terrestre. Jésus s’achemine vers sa mort biologique. Durant les heures qui ont précédé son supplice Jésus était extrêmement lucide (certainement pas anesthésié émotionnellement par je ne sais quel truc spirituel ou quelle potion narcotique). Son stress était tel qu’il a transpiré une sueur mêlée de sang.
La mort de Jésus-Christ procure la paix à ceux qui croient, et pourtant elle a été une fin particulièrement atroce. C’est la
condamnation à mort d’un innocent (ce qu’a reconnu le gouverneur Ponce Pilate), à la suite de la trahison d’un ami intime (Judas Iscariote), sur la déposition de faux témoins (il s’agissait d’un complot délibéré de certains religieux), par le supplice de la croix qui entraîne une mort lente et particulièrement pénible.
Après avoir été encloué au niveau des deux poignets sur la traverse de la croix, le supplicié a été hissé sur le pilier, et les pieds cloués à leur tour. Les genoux ont été fléchis sur le côté, ce qui entraînait l’impossibilité de se reposer. Le condamné était vraiment pendu par les mains clouées. Cela provoquait d’horribles douleurs positionnelles, des difficultés respiratoires et une lente asphyxie. Jésus a aussi présenté sur cette croix une insuffisance cardiaque, ce qui explique que le coup de lance du légionnaire dans sa poitrine après sa mort ait provoqué l’issue d’eau et de sang d’une pleurésie.
Inhumé dans un tombeau creusé dans le rocher, devant lequel plusieurs hommes avaient roulé une énorme pierre, c’est pourtant cet homme Jésus qui réapparaît au milieu de dizaines de personnes quelques jours après. Il a montré et laissé toucher son corps de ressuscité, marqué par les blessures de son supplice, et cela n’était pas une représentation virtuelle, ni symbolique, ni poétique.
La mort de Jésus a-t-elle un sens ?
La mort n’a pas souvent de sens. Celle de Jésus est particulièrement riche de sens. Il avait donné à ses disciples toutes les clés de la compréhension de sa fin pénible dans les derniers jours de sa vie libre. Le message que Jésus nous adresse dans les Évangiles peut être résumé en ces mots :
« Je donne ma vie, on ne me la prend pas. Je la donne pour que nombreux soient ceux qui puissent vivre de la Vie véritable que Dieu donne et que le mal en eux (le péché) empêche de connaître. Ma motivation est l’amour pour vous, la compassion, c’est-à-dire l’amour souffrant, pour votre condition d’homme ou de femme aspirant au bonheur et empêchés de vivre. La preuve de ce que je promets, c’est ma victoire sur la mort et le péché : c’est ma résurrection. Car la vie ne s'arrête pas à la mort physique. Elle continue dans l'au-delà, j'en suis le témoin. ».
Le sens de la mort sur une croix à cette époque, c’était la punition pour des crimes commis. Jésus, innocent de tout mal, a été puni à cause de nos fautes. En aucun cas la mort de Jésus était un anéantissement de son être car il a inauguré dans son corps la résurrection de tous les êtres humains. Toute la révélation de Dieu aux hommes c’est son amour immense pour nous, et il choisi de le rendre clairement visible à la croix, la mort de Jésus. Jésus a consenti à se donner pour que nous vivions. Son lâcher-prise sur sa vie a donné sens à sa mort. Sa victoire devient notre victoire sur les forces qui nous entraînent à l’existence absurde et la mort coupés de Dieu.
Nous sommes appelés à la vie
Au fond nos aspirations profondes sont accordées avec le projet de Dieu pour nous, projet dans lequel nous pouvons entrer par la foi en Jésus-Christ. Une vie libérée de la peur de la mort. Nous sommes tous destinés à la résurrection. Selon que j’aurai cru ou non à l’amour de Dieu pour moi, ce pourra être pour le salut, ou la séparation éternelle.
La mort et la résurrection de Jésus, c’est aussi mon histoire, c’est ma vie, l’espérance pour mon existence. Ma mort à venir reste quelque peu inconnaissable, mais elle est inscrite dans mon itinéraire de vie terrestre puis de vie de ressuscité. Si j’accorde ma vie à celle de Dieu, je trouve l’amour et le sens dont j’ai profondément besoin pour vivre. Une vie qui dépasse le parcours terrestre.