Le satanisme au point de vue de la Bible
Des nouvelles effrayantes dans les médias nous laissent songeurs :
Ce ne sont là que deux exemples parmi un nombre croissant de « faits divers » qui se produisent au milieu des adhérents du groupe des satanistes. Ils sont maintenant portés à la connaissance du grand public. Dans notre monde « cartésien », personne pourtant ne semble disposé à croire à l'existence du Diable. Pourtant, force est de constater que le Satanisme est terriblement populaire, en particulier chez les jeunes.
SATANISME
Les articles de journaux concernant le satanisme sont relativement rares et mal relayés par la presse, en voici quelques uns...
Ouverture d'un procès sur des meurtres d'enfants dans des rituels sataniques
RIO DE JANEIRO, 28 août 2003 (AFP)
Le procès de cinq personnes accusées d'avoir torturé, castré et assassiné cinq enfants de 8 à 13 ans dans des rituels de magie noire à Altamira, une ville d'Amazonie, vient de s'ouvrir avec treize ans de retard. Le secrétaire spécial pour les droits de l'Homme, Nilmario Miranda, a déploré jeudi que la justice ne soit que "partielle" puisqu'une seule des sept enquêtes ouvertes sur les crimes commis entre 1989 et 1993 sur 19 enfants avait donné des résultats et permis de traduire les présumés coupables en justice. Les cinq accusés dont la dirigeante d'une secte, Valentina de Andrade, 75 ans, ont réussi pendant toutes ces années à entraver les enquêtes par un trafic d'influence, en faisant disparaître des preuves et en intimidant les victimes. ... La dirigeante de la secte et deux médecins ayant pratiqué les émasculations, seront jugés à partir de mardi prochain.
Après le saccage d'un cimetière à Lucerne, la police a arrêté 6 personnes. Ces déprédations de plus de 90 tombes ne sont pas des actes isolés. Il s'agirait plutôt d'une descente aux enfers. En effet, ces actes font suite à une série de 9 profanations satanistes depuis 1997 en Suisse.
Deux adeptes du satanisme sont passé en jugement devant le tribunal de Widnau le 18 mai 2001, pour le meurtre d'une femme de 55 ans.
Le Matin 25.07.01 ;
Le Courrier 18.05.01
L'assassin du curé de Kingersheim (Alsace) à été condamné à 20 ans de réclusion criminelle. Il invoquait une " pulsion satanique ". L'expert chargé d'étudier son cas a estimé que ses fréquentations avaient pu susciter une "émulation préjudiciable".. Il s'est par ailleurs inquiété de la banalisation de la mort que véhiculaient certains médias et certains groupes de musique "black metal".
Musique gothique et satanisme
La cour d'assises de Colmar a condamné hier David Oberdorf pour l'assassinat en 1996 du curé de Kingersheim (Haut-Rhin). L'abbé Benoît Domergue, qui a étudié le phénomène de la musique dite «néo-gothique» explique au Figaro comment ces courants musicaux exercent une emprise croissante chez les jeunes.
LE FIGARO. - En quoi la musique «néo-gothique» vous paraît-elle plus dangereuse que d'autres mouvements musicaux, considérés en leur temps comme très provocateurs ?
Abbé Benoît DOMERGUE. - Dans les années 60 et 70, il y avait certes beaucoup de provocation, voire quelques messages subliminaux. Mais cela n'allait guère plus loin. Aujourd'hui, les groupes de musique «heavy metal» utilisent non seulement les décibels, mais aussi les images virtuelles ou le laser pour aboutir à une mise en condition psychologique du public très «performante». En janvier dernier, le chanteur américain Marilyn Manson a réuni près de 10 000 personnes au Zénith. Il prône un antichristianisme avéré, singeant le Pape, affichant un Christ dépecé sur son album et un poster d'un enfant Jésus sans peau sur scène.
Quel public ces groupes attirent-ils ?
Principalement la tranche des 15-20 ans. En France, des milliers de jeunes écoutent cette musique très internationale, prisée aux États-Unis comme au Japon ou au Brésil. Dans les concerts, on rencontre des lycéens, des étudiants, comme des apprentis. C'est principalement une musique de «Blanc» qui ne trouve pas d'écho dans les banlieues, beaucoup plus tournées vers le rap. Encore confidentielle dans les années 80, elle a explosé dans la dernière décennie. Outre les disques, qui se vendent très bien, on trouve des manuels de messes noires, des bandes dessinées, des vidéo-clips, des fanzines. C'est toute une «culture» et un business qui se développent.
Peut-on rattacher cette musique à un courant politique ?
D'un côté, il existe des liens avec les mouvements néo-nazis. De l'autre, avec un courant syncrétique relevant du néo-satanisme.
N'y a-t-il pas une ambiguïté à parler de musique «satanique», à faire ainsi allusion à une possession démoniaque ?
Dans la majorité des cas, il ne s'agit que d'un conditionnement, d'un envoûtement collectif. A rapprocher de tentations morbides, d'obsessions plutôt que de «possession». Cependant, parmi ces groupes, certains appartiennent à des églises sataniques officielles, comme la San Francisco Satanic Church. En France, ces liens sont plus officieux : à la sortie de concerts, des petits groupes lucifériens ou satanistes distribuent des tracts, font du prosélytisme. Parmi ces quelques centaines de «purs et durs», le but est bien de faire des émules, de manipuler des jeunes influençables, d'induire des comportements aberrants.
Y a-t-il une corrélation entre cette mode musicale et la récente augmentation des profanations de cimetières ?
Selon des sources officielles, la moitié des actes de vandalisme ou de profanation sont liés à cette mode. Le passage à l'acte est fréquent. On retrouve des tombes ouvertes, des crucifix cassés. Cela n'atteint évidemment pas la gravité de l'affaire jugée à Colmar où un curé a été assassiné.
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Des nouvelles effrayantes dans les médias nous laissent songeurs :
- Trois jeunes gens de 14, 17 et 18 ans sautent volontairement depuis le haut du pont de Göttzschal, le plus haut pont en briques du monde, dans la région du Vogtland en Allemagne. On peut lire sur leur lettre d'adieu, des symboles sataniques.
- Des articles détaillés, dans la Presse, relatent l'assassinat bestial perpétré par un couple « satanique » vis à vis d'un homme de leur connaissance.
Ce ne sont là que deux exemples parmi un nombre croissant de « faits divers » qui se produisent au milieu des adhérents du groupe des satanistes. Ils sont maintenant portés à la connaissance du grand public. Dans notre monde « cartésien », personne pourtant ne semble disposé à croire à l'existence du Diable. Pourtant, force est de constater que le Satanisme est terriblement populaire, en particulier chez les jeunes.
SATANISME
Les articles de journaux concernant le satanisme sont relativement rares et mal relayés par la presse, en voici quelques uns...
Ouverture d'un procès sur des meurtres d'enfants dans des rituels sataniques
RIO DE JANEIRO, 28 août 2003 (AFP)
Le procès de cinq personnes accusées d'avoir torturé, castré et assassiné cinq enfants de 8 à 13 ans dans des rituels de magie noire à Altamira, une ville d'Amazonie, vient de s'ouvrir avec treize ans de retard. Le secrétaire spécial pour les droits de l'Homme, Nilmario Miranda, a déploré jeudi que la justice ne soit que "partielle" puisqu'une seule des sept enquêtes ouvertes sur les crimes commis entre 1989 et 1993 sur 19 enfants avait donné des résultats et permis de traduire les présumés coupables en justice. Les cinq accusés dont la dirigeante d'une secte, Valentina de Andrade, 75 ans, ont réussi pendant toutes ces années à entraver les enquêtes par un trafic d'influence, en faisant disparaître des preuves et en intimidant les victimes. ... La dirigeante de la secte et deux médecins ayant pratiqué les émasculations, seront jugés à partir de mardi prochain.
Après le saccage d'un cimetière à Lucerne, la police a arrêté 6 personnes. Ces déprédations de plus de 90 tombes ne sont pas des actes isolés. Il s'agirait plutôt d'une descente aux enfers. En effet, ces actes font suite à une série de 9 profanations satanistes depuis 1997 en Suisse.
Deux adeptes du satanisme sont passé en jugement devant le tribunal de Widnau le 18 mai 2001, pour le meurtre d'une femme de 55 ans.
Le Matin 25.07.01 ;
Le Courrier 18.05.01
L'assassin du curé de Kingersheim (Alsace) à été condamné à 20 ans de réclusion criminelle. Il invoquait une " pulsion satanique ". L'expert chargé d'étudier son cas a estimé que ses fréquentations avaient pu susciter une "émulation préjudiciable".. Il s'est par ailleurs inquiété de la banalisation de la mort que véhiculaient certains médias et certains groupes de musique "black metal".
Musique gothique et satanisme
La cour d'assises de Colmar a condamné hier David Oberdorf pour l'assassinat en 1996 du curé de Kingersheim (Haut-Rhin). L'abbé Benoît Domergue, qui a étudié le phénomène de la musique dite «néo-gothique» explique au Figaro comment ces courants musicaux exercent une emprise croissante chez les jeunes.
LE FIGARO. - En quoi la musique «néo-gothique» vous paraît-elle plus dangereuse que d'autres mouvements musicaux, considérés en leur temps comme très provocateurs ?
Abbé Benoît DOMERGUE. - Dans les années 60 et 70, il y avait certes beaucoup de provocation, voire quelques messages subliminaux. Mais cela n'allait guère plus loin. Aujourd'hui, les groupes de musique «heavy metal» utilisent non seulement les décibels, mais aussi les images virtuelles ou le laser pour aboutir à une mise en condition psychologique du public très «performante». En janvier dernier, le chanteur américain Marilyn Manson a réuni près de 10 000 personnes au Zénith. Il prône un antichristianisme avéré, singeant le Pape, affichant un Christ dépecé sur son album et un poster d'un enfant Jésus sans peau sur scène.
Quel public ces groupes attirent-ils ?
Principalement la tranche des 15-20 ans. En France, des milliers de jeunes écoutent cette musique très internationale, prisée aux États-Unis comme au Japon ou au Brésil. Dans les concerts, on rencontre des lycéens, des étudiants, comme des apprentis. C'est principalement une musique de «Blanc» qui ne trouve pas d'écho dans les banlieues, beaucoup plus tournées vers le rap. Encore confidentielle dans les années 80, elle a explosé dans la dernière décennie. Outre les disques, qui se vendent très bien, on trouve des manuels de messes noires, des bandes dessinées, des vidéo-clips, des fanzines. C'est toute une «culture» et un business qui se développent.
Peut-on rattacher cette musique à un courant politique ?
D'un côté, il existe des liens avec les mouvements néo-nazis. De l'autre, avec un courant syncrétique relevant du néo-satanisme.
N'y a-t-il pas une ambiguïté à parler de musique «satanique», à faire ainsi allusion à une possession démoniaque ?
Dans la majorité des cas, il ne s'agit que d'un conditionnement, d'un envoûtement collectif. A rapprocher de tentations morbides, d'obsessions plutôt que de «possession». Cependant, parmi ces groupes, certains appartiennent à des églises sataniques officielles, comme la San Francisco Satanic Church. En France, ces liens sont plus officieux : à la sortie de concerts, des petits groupes lucifériens ou satanistes distribuent des tracts, font du prosélytisme. Parmi ces quelques centaines de «purs et durs», le but est bien de faire des émules, de manipuler des jeunes influençables, d'induire des comportements aberrants.
Y a-t-il une corrélation entre cette mode musicale et la récente augmentation des profanations de cimetières ?
Selon des sources officielles, la moitié des actes de vandalisme ou de profanation sont liés à cette mode. Le passage à l'acte est fréquent. On retrouve des tombes ouvertes, des crucifix cassés. Cela n'atteint évidemment pas la gravité de l'affaire jugée à Colmar où un curé a été assassiné.
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