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    L’évolution : une théorie invalidée par les faits

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    L’évolution : une théorie invalidée par les faits - Page 2 Empty L’évolution : une théorie invalidée par les faits

    Message  Arlitto Jeu 19 Nov 2020 - 10:51

    Rappel du premier message :

    L’évolution : une théorie invalidée par les faits


    Louis Boné
    Philippe David
    Gérald Pech
    Marc Polo*

    L’évolution : une théorie invalidée par les faits - Page 2 Icon_reimg_zoom_inL’évolution : une théorie invalidée par les faits - Page 2 Fern

    Dans le livre De la Genèse au génome[1] édité sous la direction de Lydia Jaeger et paru en février 2011, deux chapitres ont été consacrés aux preuves scientifiques en faveur de la théorie de l’évolution. Ces chapitres sont : « Les preuves et les questions ouvertes de la théorie de l’évolution » (pp. 55 à 67) du généticien évangélique Pascal Touzet, et « Les fossiles et l’évolution » du paléontologue Marc Godinot, directeur d’études à l’Ecole pratique des hautes études, catholique (pp. 69 à 83). Par cet ouvrage collectif, les auteurs ont clairement exprimé leur adhésion sans faille à la théorie de l’évolution, à sa logique darwinienne, s’alignant de fait sur l’appréciation de Richard B. Goldschmidt, qui avait déclaré que «l’évolution du monde animal et végétal est considérée par tous ceux qui sont capables de jugement comme un fait qui n’a besoin d’aucune preuve supplémentaire ». (American Scientist 1952, 40:84)[2].


    Le témoignage du registre fossile
    Les fossiles sont la seule preuve directe de l’évolution

    Comme Darwin l’avait reconnu en son temps, la doctrine de l’évolution tient ou tombe avec les fossiles. Selon cette théorie, si elle est vraie, une quantité colossale de fossiles de créatures intermédiaires doit être enfermée dans les strates géologiques. Ces fossiles sont l’unique preuve possible de l’existence, à un moment donné du passé, du passage entre espèces différentes. Or, cette preuve unique était absente à l’époque de Darwin. Darwin reconnaissait cette absence de formes intermédiaires, mais il l’attribuait au faible nombre de fossiles découverts et à l’extrême rareté de leur formation.

    « La géologie ne révèle assurément pas une série organique bien graduée, et c’est en cela, peut-être, que consiste l’objection la plus sérieuse qu’on puisse faire à la théorie. Je crois que l’explication se trouve dans l’extrême insuffisance des documents géologiques[3]. »

    Darwin pensait, espérait que les recherches paléontologiques confirmeraient sa théorie ; de son vivant, il se cramponnait à cette hypothèse devenue sa vision du monde. Maisaujourd’hui les muséums du monde entier contiennent plus de 200 millions de fossiles, de sorte qu’il est impossible d’avancer que le registre fossile est incomplet. Comme Carl Werner l’écrit en citant de nombreux paléontologues réputés, « les archives fossiles sont complètes, équilibrées, précises et impressionnantes[4] ». Que nous enseignent donc, aujourd’hui, les fossiles après cent cinquante ans de recherches et de fouilles intenses ? Il est possible d’affirmer que les fossiles témoignent d’une histoire de la Terre marquée par des catastrophes de grande ampleur, de la discontinuité, de la complexité et de la stabilité des espèces.



    Evolution humaine
    Quand on connaît les circonstances de la découverte des fossiles « pré-humains », on a raison de n’accorder aucun crédit aux thèses élaborées sur l’origine de l’homme. C’est ainsi qu’Hesperopithecus, l’homme du Nebraska, a été reconstitué à partir… d’une dent – qui s’est avérée plus tard être une dent de porc ! L’éminent zoologiste évolutionniste français Pierre-Paul Grassé livre à ce sujet une réflexion intéressante :


    Dans l’histoire des Primates, il faut bien se garder de prendre pour argent comptant les reconstitutions de nos ancêtres, fondées sur de misérables documents (quelques dents, un fragment de mâchoire, une calotte crânienne), que proposent, avec sérieux, des paléontologistes débordant d’imagination. Ceci explique la promptitude avec laquelle les arbres généalogiques de l’Homme sont dressés, mais aussi abattus. Nous avons l’impression que les travaux les plus récents sont médiocres, bien qu’ils portent sur des trouvailles nouvelles et intéressantes ; leurs auteurs n’ont ni le savoir, ni le bon sens qui leur permettraient de les interpréter correctement[21].

    « Lucy », l’australopithèque le plus connu découvert par Donald Johanson en 1974, était un singe comme tous les autres, et non un hominidé. Marvin L. Lubenow le montre après vingt-cinq ans d’étude des fossiles humains[22]. Son bassin était, en particulier, plus large, mais ses phalanges arquées témoignent bien qu’il était arboricole.

    Homo habilis a été ainsi nommé car il fabriquait des outils de pierre très rudimentaires. Or, on a découvert que les chimpanzés actuels peuvent réaliser eux aussi des outils très simples :des sortes de balais pour attraper les termites. Les différences entre le singe et l’homo habilis ne tiennent plus.

    Homo erectus pose lui aussi un sérieux problème, car il reste inchangé pendant 1,7 million d’années selon les évolutionnistes. Il ne témoigne donc pas d’une évolution graduelle vers l’homme.

    L’homme de Néandertal, qui fut longtemps considéré comme l’intermédiaire entre l’homme et le singe, est reconnu maintenant être un homo sapiens comme nous.


    L’échec de l’explication saltationniste
    Ce mécanisme évolutif suggéré par Stephen Gould, Niles Eldredge, Steven Stanley et d’autres collègues, appelé le mécanisme de l’« équilibre ponctué ou intermittent » (« saltationnisme ») a été imaginé pour précisément remédier à l’absence de preuves fossiles de l’évolution. Selon eux, rien ou pas grand-chose ne se passe dans la vie des espèces pendant plusieurs millions d’années : c’est la période de stase, ou d’équilibre ; et puis, d’un coup, de la périphérie d’une zone géographique d’une espèce, quelques individus s’isolent et passent par une évolution rapide pour devenir une nouvelle espèce (la ponctuation). 

    Ces dernières espèces prolifèrent et restent de nouveau inchangées pendant des millions d’années. Voilà ce qui doit produire une archive fossile sans « chaînons manquants ». Cette théorie qui n’est pas plus convaincante que le darwinisme, car il s’agit toujours d’une spéciation mais accélérée, est défendue aujourd’hui par des évolutionnistes comme Pascal Picq.

    Dans ce bref article, nous avons voulu mettre la théorie synthétique de l’évolution à l’épreuve des faits d’observation. De l’étude systématique et approfondie des fossiles, trois choses se dégagent :

    • L’évolution : une théorie invalidée par les faits - Page 2 Black_medium_small_square: L’absence systématique des formes intermédiaires, ce qui est une indication très claire de la discontinuité entre les différents types de plantes et d’animaux.


    • L’évolution : une théorie invalidée par les faits - Page 2 Black_medium_small_square: La complexité évidente de tous les fossiles jamais trouvés, qui défie l’idée d’évolution de formes simples vers des formes complexes.


    • L’évolution : une théorie invalidée par les faits - Page 2 Black_medium_small_square: La remarquable stabilité des espèces au cours du temps.


    Ces renseignements défient la croyance courante que les fossiles sont les témoins de l’évolution. Au lieu de voir les gisements fossiles contenir des formes intermédiaires, on voit chaque ordre, chaque classe, chaque phylum animal ou végétal surgir brusquement et séparé distinctement de tous les autres, sans aucune forme transitoire qui les relie. Dès le début de leur première apparition dans les gisements fossiles, ils sont finis, parfaits et fonctionnent à merveille.


    Lien : http://larevuereformee.net/articlerr/n261/levolution-une-theorie-invalidee-par-les-faits

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    L’évolution : une théorie invalidée par les faits - Page 2 Empty Re: L’évolution : une théorie invalidée par les faits

    Message  Arlitto Jeu 19 Nov 2020 - 10:57

    Création ou évolution ?



    L'origine de l'idéologie de l'évolution est expliquée brièvement et quelques arguments en faveur de la création sont présentés.

    L'origine de l'idéologie de l'évolution est expliquée brièvement et quelques arguments en faveur de la création sont présentés.



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