Deux exemples parmi des milliers :
– Un fossile d’ophiure de 150 millions d’années montrant que les échinodermes n’ont absolument pas changé depuis des millions d’années.
– Un fossile de tortue de 120 millions d’années est la preuve que les tortues ne descendent pas d’autres êtres vivants, qu’elles n’ont jamais subi des étapes intermédiaires de transformation et qu’elles présentent la même structure depuis des millions d’années.
Les formes intermédiaires sensées porter les caractéristiques de deux espèces différentes n’ont jamais existé à aucun moment. Le manque de formes intermédiaires c’est-à-dire la stagnation n’appuient en rien la conception d’évolution graduelle préconisée.
Pour faire face à cette situation infirmant la théorie de l’évolution, les successeurs de Darwin firent d’énormes efforts pour détecter dans les archives fossiles des exemples de l’évolution lente et graduelle qu’il prévoyait. Leur objectif était de prouver que Darwin avait raison, de démontrer que les fossiles de son époque étaient réellement insuffisants et de dénicher des exemples de formes intermédiaires, preuves de l’évolution des êtres vivants.
Cependant, en 1980, les défenseurs de la conception de l’évolution, relevaient que l’histoire de la plupart des espèces fossiles présente deux caractéristiques particulièrement incompatibles avec le gradualisme proposé par Darwin.
1) La stabilité ou « stase » : la plupart des espèces ne présentent aucun changement directionnel pendant toute la durée de leur existence.
2) L’apparition soudaine : dans une zone donnée, une espèce n’apparaît pas progressivement à la suite d’une transformation régulière de ses ancêtres ; elle surgit d’un seul coup, et « complètement formée »……..
Pour de nombreuses personnes (pour ne pas dire la grande majorité de la population lettrée), la théorie de l’évolution est une vérité qui se vérifie au fur et à mesure des découvertes. Ces gens là ont autant de foi en cette conviction que les croyants dotés de la foi du charbonnier et nous verrons plus bas dans cet article pourquoi il s’agit ici de foi.
Il existe de nombreuses découvertes et de détails discordants qui, pour plus de facilité, ont été écartés d’une pichenette : ils ne rentraient pas dans le tableau. Il suffit de surveiller la presse scientifique, les magazines hebdomadaires, les brèves par-ci, par-là, qui relatent des découvertes ou des correctifs allant à l’encontre de ce qui est admis.
Les seuls fossiles par exemple, sont la preuve que les organismes vivants ne sont pas apparus grâce à une évolution progressive, mais plutôt de manière soudaine et sous une forme complète. Les néo-darwinistes rêvent du jour où les formes transitionnelles perdues seraient découvertes un jour.
Malheureusement aucune « forme transitionnelle », pourtant soutenue par les néo-darwinistes pour démontrer l’évolution progressive des organismes vivants d’un état primitif à celui développé, n’a été découverte en aucun endroit du globe. De plus, l’anatomie comparative a prouvé que les espèces supposées avoir évolué les unes des autres disposent en réalité de caractéristiques anatomiques différentes et qu’elles ne pouvaient en aucun cas être ancêtres ou descendants les unes des autres.
Quant aux mutations des espèces, les néo-darwinistes ont alors essayé d’établir un cas pour les « mutations avantageuses » en procédant à des milliers d’expériences de mutation. Toutes ces tentatives ont été vaines. Par contre les mutations -ou les « accidents »- qui ont eu lieu dans les gènes des organismes vivants ont toujours été nocives. Ils ont également tenté de prouver que les premiers organismes vivants étaient apparus par hasard dans des conditions terrestres primitives que la théorie avait énoncées. Toutefois, ces tentatives s’étaient soldées par un autre échec.
Chaque expérience qui cherchait à prouver que la vie aurait pu apparaître par hasard se soldait par un échec.
Les calculs de probabilité ont prouvé que même la moindre protéine, la base de la vie, ne pouvait devoir son origine au hasard. Et la cellule qui soi-disant serait apparue par hasard dans des conditions terrestres primitives et incontrôlables, comme le soutiennent les évolutionnistes, ne pouvait pas être synthétisée même dans les plus sophistiqués des laboratoires du 20ème siècle.
Les données scientifiques les plus sérieuses prouvent qu’ils est impossible de donner une explication à l’univers en excluant Dieu. Ces savants ne trouvent pas seulement un univers intelligible et très cohérents, mais ils perçoivent en lui un prodige qui donne un sens à la vie parce qu’ils reconnaissent derrière cette création l’esprit et la main d’un architecte. Cette perception d’un créateur se fait ressentir également dans divers domaines tel que la philosophie.
Voltaire n’a-t-il pas dit : « L’univers m’embarrasse et je ne puis songer qu’une telle horloge existe et n’ait pas d’horloger”. Ces érudits défendent donc la pertinence des principes moraux et savent quand il faut cesser de poser la question « pourquoi ». Ils ont eu une vision du monde qui semble plus cohérente que la vision purement évolutionniste des choses.
Le physicien des particules John Polkinghorne démontre avec brio que notre univers intelligible et merveilleusement adapté suggère l’existence de Dieu ; les penseurs athées ont bien du mal à expliquer la précision qui règne dans tous les détails de cet univers :
« Au début de l’expansion de l’univers, il fallait un équilibre parfait entre la force d’expansion (celle qui éloigne les corps) et la force de gravité (qui attire les objets les uns vers les autres). Si la force centrifuge avait été trop grande, la matière se serait dispersée trop rapidement pour pouvoir se condenser en galaxies et pour que les étoiles se forment. Ils ne se seraient rien produit d’intéressant dans un univers tellement dispersé. D’autre part, si la gravité avait été trop prépondérante, le monde aurait de nouveau été attiré vers son point de naissance avant que la vie n’est pu faire son apparition. Nous estimons que pour que la vie ait été possible, il fallait qu’au tout début de la formation de l’univers (le temps de Planck), la force centripète et la force centrifuge ne diffèrent pas de plus de 1 :1060. Celui qui est versé dans les mathématiques ne pourra que s’émerveiller par cette précision. Pour le non-spécialiste, je vais emprunter une illustration de Paul Davies pour faire comprendre ce que cela représente. Davies indique que c’est la précision nécessaire pour atteindre une cible de 2,5 cm placée à l’extrémité de l’univers observable, c’est à dire à vingt mille millions d’années lumière ! «
Imaginons alors qu’aujourd’hui il ne soit pas honteux de se poser des questions ou même, imaginons que croire qu’une entité supérieure ait décidé de créer l’homme, ne soit pas contraire à la raison… Dans ce cadre là, le paléontologue Hans-Joachim Zillmer a compilé de nombreuses découvertes qui prouvent tout autant une vue créationniste que les savants défendent l’évolutionnisme. Mr Zilmer en a fait deux livres intitulée « L’erreur de Darwin » et « Darwin, le mensonge de l’évolution ». Il est possible de vous procurer un audio abordant son livre sur le site Radio Ici et Maintenant. Les temps ont changés et il ne s’agit pas ici de faire de l’esbroufe. De ce fait, peut-être aussi grâce à internet où quiconque peut vérifier ce qui est dit, le sérieux du travail de l’auteur propose d’apprendre des choses passionnantes et surtout offre une base de réflexion solide qui devrait permettre à n’importe qui de se donner la peine de réfléchir. Inutile de vous obliger à être convaincu ou non… car comme tout le monde le sait, la vérité est ailleurs, et surtout elle est de moins en moins académique !
Hans-Joachim Zillmer, à l’instar de Immanuel Velikovsky, s’est fait toutefois l’avocat du catastrophisme en rapport avec la théorie d’une Terre jeune, la toute première modélisation de la théorie d’une catastrophe de notre jeune Terre suggérant que la Terre est relativement vieille, en tant que planète mais qu’elle fût touchée par une catastrophe d’une terrible ampleur ( le déluge) il y a quelques 5000 à 6000 ans. La thèse centrale au niveau géologique, induite par ces bouleversements, est d’affirmer que les continents connurent de formidables inondations du sud et du nord-ouest de l’Amérique du nord, à travers l’Australie ou les montagnes de l’Altaï, à travers la Sibérie vers la mer caspienne, la mer baltique et l’océan artique. Un déplacement de l’axe du globe terrestre eût lieu en association avec ce qui précède et, d’après lui, c’est à cette période que l’ère glaciaire commença par une rapide glaciation des régions arctiques et antarctiques, connue sous le nom de « grand âge de glace » ( le Pleistocène). C’est à cette époque, d’après Zillmer, que la pesanteur de la Terre augmenta aussi et que certaines espèces animales d’une taille démesurée, tel le sloth d’Amérique aussi gros qu’un éléphant, le stag géant et la mammouth d’Eurasie, s’éteignirent. Ainsi, émergea un nouveau monde avec de plus petits animaux sous des conditions atmosphériques différentes, telles une diminution de la pression atmosphérique et une plus grande pesanteur.
Selon Zillmer, compte tenu de ces catastrophes au niveau du globe terrestre, il n’y a eu, par rapport à une micro ou macro évolution, aucune mutation des espèces animales. Ainsi, il est impossible que le singe ait pu engendrer l’homme. Qui plus est, à cette époque, 80% de l’espèce animale fût éradiquée. Un scénario attribué à la fin de la période glaciaire ( = naissance de la période d’enneigement, toujours selon Zillmer). En conséquence de quoi, Zillmer affirme qu’il n’existe aucune théorie vérifiable de l’espèce humaine, raisonnement qu’il explicite dans son ouvrage « Le mensonge de l’évolution ». Dans son livre « l’Erreur de Darwin », Zillmer explique que les crânes paléolithiques et les squelettes n’ont pas plus de quelques milliers d’années, ceci ayant été confirmé par de nouveaux examens des crânes de l’homme de Néanderhal et de Cro-Magnon provenant d’Allemagne en 2004, analyses découlant d’une nouvelle détermination ayant eu lieu en Angleterre. La thèse exposée par Zillmer dans son ouvrage L’erreur de Darwin, est que le Grand Canyon, synonyme de délivrance de la tribu Havasupai, fût le résultat d’un cataclysme gigantesque du temps de leurs ancêtres, théorie qui a été étayée par les nouvelles recherches de la Commission de Géologie américaine. Des flots gigantesques, d’une taille 37 fois supérieurs au fleuve Mississipi sculptèrent le Grand Canyon par des passages successifs, pour la dernière fois il y a plus de 1000 ans. En outre, il présente dans ses ouvrages de nombreuses preuves archéologique venant confirmer les écritures bibliques (découvertes de squelette de géants, cohabitation des dinosaures et de l’homme etc …). De quoi se poser de sérieuses questions…
On pourrait aussi citer Jean-François Moreel, Docteur en biochimie et spécialiste en génétique moléculaire et en embryologie. M. Moreel œuvre pour la démystification du darwinisme afin de libérer les scientifiques de cette idéologie et leur permettre de reconquerrir leur liberté de penser.
D’après lui, le Darwinisme est une des plus grosse fumisterie intellectuelle de notre époque. Il a écrit plusieurs ouvrages sur le sujet dont “Le Darwinisme envers d’une théorie”. Son livre démontre de façon implacable, au travers des différentes diciplines scientifiques en jeu, de la paléontologie jusqu’à la génétique & biologie moléculaire, que la réalité des connaissances scientifiques conduit de façon irréfutable à la non validité de ce “mythe officiel” qu’est le darwinisme.
Les considérables avancées et découvertes scientifiques dans des domaines tels que L’archéologie, la paléontologie, la biologie ou encore la génétique, semblent rendre la théorie de l’évolution tout simplement invalide et incensée tout en avançant des arguments toujours plus convaincant en faveur de l’idée d’une création. Les tentatives de falsification visant à démontrer que des formes transitionnelles existent n’ont pas aidé la théorie évolutionniste (voir dans la vidéo).
Une partie de la science tend visiblement vers le créationnisme tant la complexité et la richesse ordonnée qui nous compose et qui nous entoure rendent naturellement témoignage à un créateur tandis qu’une autre partie toute aussi sérieuse de la science tend de bonne foi vers l’évolutionnisme, excluant Dieu et proclamant que l’univers et tout ce qu’il contient n’est finalement que le fruit du hasard et de la nécessité.
Bien entendu, De nombreux articles scientifiques, sérieux et pertinents démontrent le contraire et présentent la théorie de l’évolution comme une vérité qui n’est plus discutable, et sans les connaissances scientifiques adéquate, difficile de ne pas y adhérer. Mais sans même le savoir, tous ces scientifiques pro-évolutionniste ne démontrent-ils pas seulement la preuve d’une micro-évolution ou adaptation programmée qui est totalement compatible avec le créationnisme ? La macroévolution, donc l’évolution au dessus du niveau de l’espèce est trompeur et non prouvé scientifiquement. En revanche, la microévolution se produit quotidiennement dans la nature et pendant le processus de sélection. L’amalgame entre micro et macroévolution trompent beaucoup de personnes dans la recherches de la vérité. Les règles de l’hérédité sont décrites par les lois de Mendel, qui constituent aujourd’hui l’une des bases de la génétique expérimentale. Si l’on considère en plus les influences climatiques et l’isolement spatial, on obtient des nouvelles variantes d’animaux existants ou aussi d’hommes, qui ne constituent pas une évolution supérieure au sens des théories de Charles Darwin.
Car passer de la micro-évolution (modifications que peuvent subir certaines espèces et qui est prouvée par la science) à la macro-évolution (celle qui explique l’origine des espèces), ne relève-t-il pas subitement du domaine de la foi ?