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La Tour de Babel :: l'origine de l'empire mondial des religions

    "Ishou , le Msih kdaba ", (le messie le menteur), des Mandéens

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    Message  Arlitto Dim 15 Nov 2020 - 14:22

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    "Ishou , le Msih kdaba", (le messie le menteur), des Mandéens


    Les Mandéens professent donc une haine implacable contre les Juifs et les chrétiens, tout en se nommant Nazaréens comme ces derniers :Adonaï, que les Juifs adorent, est un faux dieu, Jésus est un imposteur, et le Saint-Esprit des chrétiens--Rûhâ--est une diablesse.



    La racine et l'origine du nom " Îsâ, le jésus musulman"
    " Ishou , le Msih kdaba " (messie le menteur) des mandéens


    ‘Ishou , le Msih kdaba (messie le menteur) des mandéens, peuple proche des araméens de Harran en Syrie actuelle .


    Selon les Écritures mandéennes, le Guinza Rba encore appelé le livre d’Enoch, l’homme, enjeu de la lutte entre le monde Supérieur de la Lumière et le monde inférieur des ténèbres est tenté par les religions infernales mais trois Sauveurs sont envoyés par le Royaume de la Lumière  pour affermir sa croyance.



    «Ensuite la place de Jérusalem sera dévastée : les juifs s'en iront en exil et ils seront dispersés dans toutes les villes.  Ensuite viendra Ahmat, le fils du magicien Bisbat  (Ahmat Bar Bisbat)... (Guinza Rba.)



    Parmi ces trois « sauveurs »   -- il y-a d’abord le premier messager céleste :

    -Yokhanan (Jean le baptiste ) qui dès sa vingt deuxième année va au bord du Jourdain et pendant quarante deux ans prêche la repentance et baptise les hommes.  


    Il y voit venir à lui -Ishou, le second et principal messager céleste, l’illuminateur des fidèles, celui qui apporte la Vérité, c’est-a-dire le Salut. 


    Enfin :  Anosh Outhra, le troisième messager céleste, descendu du ciel parmi les juif. Ce dernier opère de miracles, prêche la bonne doctrine et convainc ‘Ishou, le second et principal messager céleste, de mensonges  puis remonte au Ciel d’où il reviendra sous la forme d’un aigle blanc pour châtier Israël… 


    Ishou le second et principal messager céleste aurait, d’après les Écritures mandéennes, annoncé la venue parmi les mandéens d’un prophète du nom d’Ahmat.



    Alfred Loisy  assimile « Ahmat » à Mohamed alors que le Coran confond Ahmed et Mohamed, Ahmat étant le nom du prophète qu’attendaient les mandéens.


    Le texte coranique aurait visiblement considéré les textes mandéens comme des Évangiles chrétiens annonçant Ahmat.


    Quant à Jésus fils de Marie annonciateur selon le Coran de la venue d'Ahmat, il s'agit de ‘Ishou forme mandéenne de Ieshou’a, nom que les mandéens attribuant Jésus dans leurs manuscrits et qu’ils désignent par le nom de «Messie le menteur» (M’sih kdaba) après qu’ils l’eurent confondu de mensonge ou ‘Issa, sa forme arabisée.


    Ni la Torah ni les Évangiles n'avaient annoncé la venue d'un prophète du nom d'Ahmed.
    En revanche, le Ginza Rba (gawaïta harran) livre mandéen, parle de la venue d'un prophète du nom d'Ahmat .



    L’ambigüité et l’ambivalence qu’entretient Mahomet quant à ces deux personnages c’est qu’il distingue l’un de l’autre. 


    Le premier (Ishou*-‘Issa) est un « menteur » mais il annonce «sa» venue, le second, (Jésus fils de Marie), selon l’islam, reviendra porté par les anges à la grande mosquée de Damas (mosquée Zacharia, sur le tombeau de Jean Baptiste), mettra à mort Ishou le «Messie le menteur», mais  confortera la véracité du Coran et justifiera  Mahomet comme envoyé de Dieu.  (Et c’est là tout l’intérêt posthume que Mahomet rencontre auprès du véritable sauveur Jésus fils de Marie) 


    ’Ishou , prononciation mandéenne contractée ou déformée de Ieshou’a, devient  ‘Îsâ dans le Coran. Le son  « ch » mandéen, araméen , nabatéen ou hébreux est prononcé « SE » par les arabes  
               
                              Exemples :  MoSHé  (Moïse) devient MouSSa
                                                   Shlomo (Salomon) devient Souleîman
                                                   SHalom (Paix) devient Salam
                                                   SHabat devient Sebt                                  


    Les Évangiles disaient Jésus-Iasu’ « Massih », c’est-à-dire qu’il était oint d’une mission et de pouvoirs exceptionnels. A ne pas confondre avec ‘ichou  le « second  messager » envoyé par le Royaume de la Lumière des Écrits mandéens, le Guinza Rba, convaincu d’imposture et qui n’était plus à leurs yeux que le « Msih Kdaba », - « Messie le menteur », le « Massih  adadjal » des musulmans – ‘Ishou  en mandéen ou «  ‘Issa » sa forme arabisée coranique.


    Coran:
    Voilà ‘Îsâ  fils  de Maryam Le  verbe de  vérité dont  ils*  doutent. Sourate 19 Maryam,


    Il s’agit indéniablement de ces mandéens dont le troisième messager Anosh Outhra d’après leur livre sacré le Guinza Rba aurait convaincu « ‘Ishou » qu’ils appellent Msih Kdaba (Messie le menteur) de mensonge et d’imposture.


    Mahomet ne pouvait ignorer pour les avoir côtoyés en Arabie que les Arabes chrétiens tout comme les moines rencontrés çà et là, désignaient Jésus par « Iasu’ al Massih ».  


    Le réflexe ou le choix mandéen de Mahomet de l’appeler ‘Issa (Ishou’-M’sih  kdaba) est soit une tentative évidente de déprécier son statut de «Sauveur», soit un parfait amalgame des personnes, conscient ou non, délibéré ou non».


    Toutefois Mahomet retient à toutes fins utiles que ce M’sih  kdaba, ‘Ishou, annonce la venue dans leur peuple d’un prophète nommé Ahmat( le fils du magicien Bisbat : Ahmat Bar Bisbat)...» qu’il assimile sans plus de façon à « Ahmed » nom qu’il se donne dans deux sourates du Coran.



    Toutefois  son père abd al Lah ibn abd al Mouttalib, n’est pas magicien, mais qu’à cela ne tienne il suffit d’escamoter le « ben  Bisbat » ( le fils du magicien) et ne conserver qu’Ahmat, transformé pour la bonne cause en Ahmed. C’est là tout l’intérêt que Mahomet  porte à ce Ahmat  .


    Ainsi confondu avec « Ishou » mandéen c’est à dire « Messie le menteur » Jésus ne sera plus désormais que ’Îsâ de son nom arabisé, qui devra lui céder la place tout en le désignant Paraclet, « l’Esprit de Vérité qui ne parlera pas de lui-même mais dira tout ce qu’il entendra au Ciel. »


    Mahomet Infaillible par préservation al-Lahienne, ne fait quant à lui que recevoir et transmettre sans rien y altérer, ou apporter de lui-même, le Verbe incréé d’al Lah, sa parole parfaite, sa Vérité sublime et immuable qu’aucun mortel ne peut imiter, qu’aucun prophète avant lui n’a pu dire ou recevoir, le Coran. La couverture est vite tirée à lui par Mahomet qui lui ne fait donc que transmettre « ce qu’al Lah lui dictera par Gabriel » … comme le Paraclet !


    Il veut alors convaincre les Arabes chrétiens qu’il est « envoyé » en tant que continuateur mais néanmoins restaurateur de leurs Écritures altérées et dévoyées ; en tant que le prophète naturel et véridique que leur espérance attendait. Il est « Ahmed* » le prophète annoncé par les Écritures, mais qu’ils  refusent de reconnaître comme tel.


    Mais s’il veut faire accroire aux chrétiens qu’il a de la considération pour «‘Issa» (et pour «Maryam» sa mère) en réalité Mahomet instrumentalise cette «considération» pour mieux séduire  les disciples  de «Ieshou’a», se faire accepter comme « prophète » dans le lignage et la filiation spirituels de ce dernier par les tribus chrétiennes de son époque


    Il va jusqu’à faire usage dans sa « révélation coranique » de quelques emprunts aux religions judaïque et chrétienne, mais c’est pour les utiliser à nier certaines de leurs vérités dogmatiques, les faire mentir et accréditer par la même occasion sa propre version des faits notamment en ce qui concerne Jésus.


    (Tiré du livre de  Jacques Hureiki, « Essais sur l’ origine  des  Touaregs .  Ed Karthala, 2003. Pages 633 à 636.)


    Lien : 
    Quelle est l'origine de ce nom " Îsâ "


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    Message  Arlitto Dim 15 Nov 2020 - 14:23

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    La racine et l'origine du nom " Îsâ"

    Jésus dans le Coran

    " Ishou , le Msih kdaba " (messie le menteur) des mandéens


    ‘Ishou , le Msih kdaba (messie le menteur)  des mandéens, peuple proche des araméens de Harran en Syrie actuelle .


    Selon les Écritures mandéennes, le Guinza Rba  encore appelé le livre d’Enoch, l’homme, enjeu de la lutte entre le monde Supérieur de la Lumière et le monde inférieur des ténèbres est tenté par les religions infernales mais trois Sauveurs sont envoyés par le Royaume de la Lumière  pour affermir sa croyance.


    «Ensuite la place de Jérusalem sera dévastée : les juifs s'en iront en exil et ils seront dispersés dans toutes les villes. Ensuite viendra Ahmat, le fils du magicien Bisbat  (Ahmat Bar Bisbat)... (Guinza Rba.)


    Parmi ces trois « sauveurs »   -- il y-a d’abord le premier messager céleste :


    -Yokhanan (Jean le baptiste ) qui dès sa vingt deuxième année va au bord du Jourdain et pendant quarante deux ans prêche la repentance et baptise les hommes.  


    Il y voit venir à lui - ‘Ishou  , le second et principal messager céleste, l’illuminateur des fidèles, celui qui apporte la Vérité, c’est-a-dire le Salut. 


    Enfin :  Anosh Outhra, le troisième messager céleste, descendu du ciel parmi les juif. Ce dernier opère de miracles, prêche la bonne doctrine et convainc ‘Ishou, le second et principal messager céleste, de mensonges puis remonte au Ciel d’où il reviendra sous la forme d’un aigle blanc pour châtier Israël… 


    Ishou  le second et principal messager céleste aurait, d’après les Écritures mandéennes, annoncé la venue parmi les mandéens d’un prophète du nom d’Ahmat


    Alfred Loisy  assimile « Ahmat » à Mohamed alors que le Coran confond Ahmed et Mohamed, Ahmat étant le nom du prophète qu’attendaient les mandéens. 


    Le texte coranique aurait visiblement considéré les textes mandéens comme des Évangiles chrétiens annonçant Ahmat

    Quant à Jésus fils de Marie annonciateur selon le Coran de la venue d'Ahmat, il s'agit de ‘Ishou forme mandéenne de Ieshou’a, nom que les mandéens attribuant Jésus dans leurs manuscrits et qu’ils désignent par le nom de «Messie le menteur» (M’sih kdaba) après qu’ils l’eurent confondu de mensonge ou ‘Issa, sa forme arabisée.


    [size=22Ni la Torah ni les Évangiles n'avaient annoncé la venue d'un prophète du nom d'Ahmed. [/size]

    En revanche, le Ginza Rba (gawaïta harran) livre mandéen, parle de la venue d'un prophète du nom d'Ahmat .


    L’ambigüité et l’ambivalence qu’entretient Mahomet quant à ces deux personnages c’est qu’il distingue l’un de l’autre.


    Le premier (Ishou*-‘Issa) est un « menteur » mais il annonce «sa» venue, le second, (Jésus fils de Marie), selon l’islam, reviendra porté par les anges à la grande mosquée de Damas (mosquée Zacharia, sur le tombeau de Jean Baptiste), mettra à mort Ishou le «Messie le menteur», mais  confortera la véracité du Coran et justifiera  Mahomet comme envoyé de Dieu.  (Et c’est là tout l’intérêt posthume que Mahomet rencontre auprès du véritable sauveur Jésus fils de Marie) 


    ’Ishou , prononciation mandéenne contractée ou déformée de Ieshou’a, devient  ‘Îsâ dans le Coran. Le son  « ch » mandéen, araméen , nabatéen ou hébreux est prononcé « SE » par les arabes             

                               Exemples :  MoSHé  (Moïse) devient MouSSa

                                                    Shlomo (Salomon) devient Souleîman

                                                    SHalom (Paix) devient Salam

                                                    SHabat devient Sebt                                  


    Les Évangiles disaient Jésus-Iasu’ « Massih », c’est-à-dire qu’il était oint d’une mission et de pouvoirs exceptionnels. A ne pas confondre avec ‘ichou  le « second  messager » envoyé par le Royaume de la Lumière des Écrits mandéens, le Guinza Rba, convaincu d’imposture et qui n’était plus à leurs yeux que le « Msih Kdaba », - « Messie le menteur », le « Massih  adadjal » des musulmans – ‘Ishou  en mandéen ou «  ‘Issa » sa forme arabisée coranique.


    Coran:

    Voilà ‘Îsâ  fils  de Maryam
    Le  verbe de  vérité dont  ils*  doutent.
    Sourate 19 Maryam,


    Il s’agit indéniablement de ces mandéens dont le troisième messager Anosh Outhra d’après leur livre sacré le Guinza Rba aurait convaincu « ‘Ishou » qu’ils appellent Msih Kdaba (Messie le menteur) de mensonge et d’imposture.


    Mahomet ne pouvait ignorer pour les avoir côtoyés en Arabie que les Arabes chrétiens tout comme les moines rencontrés çà et là, désignaient Jésus par « Iasu’ al Massih ».  


    Le réflexe ou le choix mandéen de Mahomet de l’appeler ‘Issa (Ishou’-M’sih  kdaba) est soit une tentative évidente de déprécier son statut de «Sauveur», soit un parfait amalgame des personnes, conscient ou non, délibéré ou non».


    Toutefois Mahomet retient à toutes fins utiles que ce M’sih  kdaba, ‘Ishou, annonce la venue dans leur peuple d’un prophète nommé Ahmat ( le fils du magicien Bisbat : Ahmat Bar Bisbat)...» qu’il assimile sans plus de façon à « Ahmed » nom qu’il se donne dans deux sourates du Coran. 


    Toutefois  son père abd al Lah ibn abd al Mouttalib, n’est pas magicien, mais qu’à cela ne tienne il suffit d’escamoter le « ben  Bisbat » ( le fils du magicien) et ne conserver qu’Ahmat, transformé pour la bonne cause en Ahmed. C’est là tout l’intérêt que Mahomet  porte à ce Ahmat  .


    Ainsi confondu avec « Ishou » mandéen c’est à dire « Messie le menteur » Jésus ne sera plus désormais que ’Îsâ de son nom arabisé, qui devra lui céder la place tout en le désignant Paraclet, « l’Esprit de Vérité qui ne parlera pas de lui-même mais dira tout ce qu’il entendra au Ciel. »


    Mahomet Infaillible par préservation al-Lahienne, ne fait quant à lui que recevoir et transmettre sans rien y altérer, ou apporter de lui-même, le Verbe incréé d’al Lah, sa parole parfaite, sa Vérité sublime et immuable qu’aucun mortel ne peut imiter, qu’aucun prophète avant lui n’a pu dire ou recevoir, le Coran. La couverture est vite tirée à lui par Mahomet qui lui ne fait donc que transmettre « ce qu’al Lah lui dictera par Gabriel » … comme le Paraclet !


    Il veut alors convaincre les Arabes chrétiens qu’il est « envoyé » en tant que continuateur mais néanmoins restaurateur de leurs Écritures altérées et dévoyées ; en tant que le prophète naturel et véridique que leur espérance attendait. Il est « Ahmed* » le prophète annoncé par les Écritures, mais qu’ils  refusent de reconnaître comme tel.  


    Mais s’il veut faire accroire aux chrétiens qu’il a de la considération pour «‘Issa» (et pour «Maryam» sa mère) en réalité Mahomet instrumentalise cette «considération» pour mieux séduire  les disciples  de «Ieshou’a», se faire accepter comme « prophète » dans le lignage et la filiation spirituels de ce dernier par les tribus chrétiennes de son époque


    Il va jusqu’à faire usage dans sa « révélation coranique » de quelques emprunts aux religions judaïque et chrétienne, mais c’est pour les utiliser à nier certaines de leurs vérités dogmatiques, les faire mentir et accréditer par la même occasion sa propre version des faits notamment en ce qui concerne Jésus.


    (Tiré du livre de  Jacques Hureiki, « Essais sur l’ origine  des  Touaregs .  Ed Karthala, 2003. Pages 633 à 636.)


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    Message  Arlitto Dim 15 Nov 2020 - 14:23

    .

    Eesho

    Il semblerait que cette vocalisation du nom de Jésus n'est pas araméenne, mais indienne, (Le malayalam (മലയാളം (malayāḷaṃ), /maləjaːɭəm/) est une langue dravidienne d’Inde)
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Malayalam

    Divyakarunyame Eesho | ദിവ്യകാരുണ്യമേ ഈശോ | Malayalam christian devotional songs 2018 | Kester Hits 



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    ദിവ്യകാരുണ്യമേ ഈശോ
    സ്നേഹവാത്സല്യമേ ഈശോ
    എന്റെ നെഞ്ചിന്റെ താളം നീ അല്ലോ
    എന്റെ ശ്വാസത്തിന്‍ നാളം നീ അല്ലോ
    അടിയനിതാ തിരുമുമ്പില്‍ 
    കനിവോടെ എന്നെ തൊടേണേ 
    അതുമാത്രമാണെന്റെ ആശ

    Divyakarunyame Eesho L'Eucharistie est Jésus 
    https://translate.googleusercontent.com/translate_c?depth=1&hl=fr&prev=search&rurl=translate.google.com&sl=ml&sp=nmt4&u=http://malayalamdevotionalsongs.weebly.com/malayalam-christian-devotional-songs/divyakarunyame-eesho&usg=ALkJrhgNZ4hk2a0F6fk8b9bKc5-Y9Oyg0w




    Qui est Îsa : «le Jésus musulman du Coran»

    Bien comprendre la traduction du nom de "Jésus", Îsa en arabe, c'est se rendre compte que nous ne parlons pas de la même personne.

    Le nom en français de « Jésus » dérive du latin  « lésus », qui est une translittération du grec Ἰησοῦς « Iēsoûs ». Du fait que la langue maternelle de Jésus était l’Araméen,  il fut appelé Yeshua.

    Un grand nombre de musulmans sont convaincus que le nom de Jésus en Arabe est « Îsa », si Îsa est la vraie traduction de Jésus en Arabe alors comment expliqué que les Arabes chrétiens appellent Jésus "Yassou" !


    Les noms de la Bible commençant par "Y" en Hébreu ( "J" en Français) sont aussi traduit dans le Coran  par "Y". Comme l'on peut le vérifier dans le tableau suivant.


    Français ---------- Hébreux ---------- Arabes

    Joseph--------------Yossef-------------Yousseph

    Jacques-----------  Yacob--------------Yacoub

    Jean  ---------------Yohanan-----------Youhya ou Yahya

    Jacob---------------Ya`aqov------------Yakoub

    Jonas---------------Yônah---------------Younis


    Le nom de Jésus commençant lui aussi par un "Y", (Yeshoua en hébreu) a été  curieusement  traduit par Îsa "Issa" dans le Coran !

    Alors on peut se poser la question, pourquoi  le Coran traduit Jésus par Îsa alors que  l'Arabe est une langue sémitique très similaire à l’Hébreu et à l’Araméen ???

    Français----------Hébreux----------Araméens--------Arabes coranique

    Jésus-------------Yehoshua---------Yeshua-------------Issa ( ou Îsâ )


    Il faut noter que "Yehoshua" renferme le Nom Propre hébreu de « Dieu », la première syllabe "Yéh" étant l’abréviation de YHWH (Yahvé ). "Yehoshua" se traduit par  " Yahvé est salut

    Deux formes d'écritures pour le nom  "Yehoshua" : une forme longue "Yehoshua" qui se traduit en français par Josué (Josué, le successeur de Moïse) et une courte "Yeshoua" qui se traduit en français par Jésus.

    Dans certains passages de la Bible Josué peut être écrit dans sa version courte comme dans sa version longue. Dans tous les cas le nom reste traduit Josué (la distinction entre la forme longue Yeshoshua et la forme courte Yeshoua n'existe pas en grec).

    Josué en Hébreu :  יהושוע 

    Josué comme Jésus se traduisent par " YHWH sauve " puisque ces deux noms ont les mêmes racines et la même étymologie. Ils sont tous deux formé des syllabes hébraïque  יְהוֹ « YéH  » et  ישע « sauver » (ou traduit par « le salut » ).

    Français----------Hébreux----------Arabes coranique------Arabes traditionnels

    Jésus------------Yehoshua------------ _Îsa ou Issa-----------------Yassou

    Josué------------Yehoshua-----------Youcha------------------------Youcha


    Ainsi « Josué » et « Jésus » sont des variantes du même prénom, mais bizarrement le Coran traduit Jésus par Îsa ou Issa et Josué par Youcha ( prononcé Youhachaw) !

    Le Coran a-t-il voulu délibérément remplacer le vrai prénom de Jésus par un autre prénom qui ne veut rien dire et par cela privé Jésus de sa vraie identité ???


    Dans le Coran, Jésus n'est pas le Fils unique de Dieu comme il s'est présenté lui-même "Jean 3:16", qu'il n'est pas mort, donc, qu'il pas ressuscité des morts par son Dieu, (la foi chrétienne repose sur ce fait), qu'il n'a pas racheté le péché originel celui qui a engendré la mort puisque selon le Coran Adam aurait été pardonné, chose dont la Bible ne dit mot. « si Dieu avait pardonné Adam, la mort ne serait pas entrée dans le monde, selon la Bible»


    Islam - Le nom de Jésus traficoté !   


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    "Ishou , le Msih kdaba ", (le messie le menteur), des Mandéens Empty Re: "Ishou , le Msih kdaba ", (le messie le menteur), des Mandéens

    Message  Arlitto Dim 15 Nov 2020 - 14:24

    .

    La vérité scientifique sur le Coran



    Professeur Sami Aldeeb nous explique; Mahomet est-il l'auteur du Coran ? Prof Samy Aldeeb - L'origine judéo-nazaréenne du Coran. 

    Pourquoi le Coran utilise-t-il le nom de ‘Îsâ pour celui de Yasû‘ (Jésus – équivalent arabe de l’hébreu Yešû‘a) utilisé par les chrétiens arabes depuis toujours? http://www.lemessieetsonprophete.com/...

    Depuis qu’existe l’islamologie occidentale, les chercheurs se demandent pourquoi on trouve les consonnes ‘YSW pour le nom coranique de Jésus au lieu de YSW‘, comme si le ‘ayn final (‘) était passé devant. 


    En effet, le texte coranique donne à lire ‘Îsâ, alors que les chrétiens arabes disent Yasû‘.


    Or, qu’une consonne passe de la quatrième à la première place est une évolution impossible. On est face à une impasse qu’aucune hypothèse ne parvenait à expliquer. À titre de remarque plus que d’hypothèse, Le messie et son prophète rapprochait l’incomplétude du nom de YSW (sans le «‘» final), de la réalisation non encore accomplie de la signification de ce nom – Yešû‘a voulant dire « YHWH est Salut » ou « YHWH sauve » en hébreu, ce salut plénier devant encore arriver, selon la vue très messianiste qu’en avaient les « nazaréens ». Pour autant, le «‘» initial de ‘Îsâ n’était pas expliqué.

    En fait, les auteurs montrent que la seule philologie – une discipline où le Professeur Manfred Kropp est une sommité autant du point de vue théorique que pratique dans le domaine sémitique – permet de rendre compte du passage de YSW‘ à ‘YSW, à condition de se placer au pur point de vue de la langue arabe parlée. Dans ce parler, on constate en effet la tendance “à ajouter un ‘ayn pour « arabiser » un terme emprunté. C’est toujours le cas aujourd’hui, par exemple avec ma‘karûna, emprunt de l’italien maccheroni” (p.184). Un tel point de vue n’avait été que peu envisagé jusqu’ici, peut-être parce que la recherche restait hypnotisée par l’idée du langage divin du Coran (Dieu appelant qui Il veut comme Il veut) ou par celle des supposés « polythéistes » arabes (évidemment supposés ne pas utiliser le nom de Jésus).

    Pour illustrer les évolutions qui ont dû avoir lieu dans la prononciation populaire arabe, les auteurs s’appuient sur de nombreux exemples de « déformations » coraniques de noms propres (par exemple le syriaque Šlîmûn qui devient Sulaymân en arabe, le š devenant un s comme dans ‘Îsâ) – mais ils en donnent également hors du Coran et notent :

    “Si l’on souhaite expliquer la forme ‘Îsâ en se fondant uniquement sur des éléments linguistiques, on constatera qu’il semble raisonnable de partir de la forme araméenne YSÛ‘, dont on voit qu’elle est représentée, dans les dialectes araméens de l’Antiquité tardive, de diverses manières, par exemple: ysw‘ en syriaque, vocalisé Yêšû‘ en syriaque occidental et Κô‘ en syriaque oriental (prononcé Κô, le ‘ayn final tombant dans la prononciation syriaque orientale)” (p.184).

    En effet, il est “simple (et plausible) de partir de l’idée que la transmission est avant tout orale. Et là, à partir de la prononciation de Κô‘, c’est-à-dire Κô, les choses s’expliquent très facilement, comme l’avait bien vu FRAENKEL: a) chute du ‘ayn final dans la prononciation du mot araméen ; b) passage de –ô à –â ; c) passage de -š- à -s- ; d) ajout d’un ‘ayn à l’initiale […]

    La question n’est pas tant le nombre de changements que la logique avec laquelle ils s’imposent – et ils apparaissent ici d’autant moins arbitraires qu’ils se retrouvent tous (mis à part la chute du ‘ayn final, qui dépend bien sûr du terme emprunté) dans un autre exemple, à savoir le nom de la ville d’Ascalon (Ashqelôn), souvent mentionnée dans la Bible (par exemple Amos 1,8). En effet, l’arabe ‘asqalân ou ‘asqulân doit être comparé au syriaque ’ašqalûn et à l’hébreu ’ašqelôn : on retrouve le passage de alif (’) à ‘ayn (‘) à l’initiale, tout comme ceux de -š- à -s- et de ô /û à â” (p.187).

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    "Ishou , le Msih kdaba ", (le messie le menteur), des Mandéens Empty Re: "Ishou , le Msih kdaba ", (le messie le menteur), des Mandéens

    Message  Arlitto Dim 15 Nov 2020 - 14:25

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    "Ishou , le Msih kdaba ", (le messie le menteur), des Mandéens Glas Livre sacré des mandéens, compilation composée au Moyen âge, en araméen, d'éléments d'origines différentes provenant de la Bible mais aussi du manichéisme, de l'astrologie et de la magie babyloniennes, du parsisme. - En deux parties : "Ginzā de droite" qui présente la doctrine mandéenne, "Ginzā de gauche" moins importante, avec des textes sur la montée de l'âme. - Plusieurs ms dont : BnF, Paris (Sabéen 1, 1560 ; Sabéen 2, 1632-1633 ; Sabéen 3, 1680 ; Sabéen 4)



    Nous avons vu les origines de l'Islam des Mandéens qui sont en réalité les "Sabéens, adorateurs des astres" cité dans le Coran dont "Mahomet" a agréé le culte à la Kaaba.
    Les Sabéens se réclament aussi du "Parsisme" et nous allons voir les points communs qui existent avec l'Islam des écritures !

    Histo :

    PARSIS
    Parsis, c'est-à-dire « persans » :

    Zoroastrisme / Parsisme
    Le Zoroastrisme est une ancienne religion aryenne originaire de Perse il y a plus de 2500 ans. Bien qu’elle a relativement peu d'adhérents, moins de cent trente mille dans le monde entier, c'est l'une des religions les plus anciennes. Le prophète iranien Zoroastre était le fondateur du Zoroastrisme, généralement connue sous le nom Parsisme. Elle est aussi connue comme la religion des adorateurs de feu et Mazdéisme.

    Les écritures religieuses sont retrouvées en deux langages :le Pahlawis (les écritures Pahlawis ressemblent aux écritures Perses actuel) et le Zindi. En plus de ces deux écritures, certaines littératures religieuse se trouvent dans les écritures Cunéiforme. Certains Parsis considèrent le Zend Avesta comme étant plus authentique que le Dasatir pendant que les autres considèrent le Dasatir comme étant le plus authentique.

    Concept de Dieu dans le Parsisme / Zoroastrisme
    1.Dieu dans le Zoroastrisme est connu comme ‘Ahura Mazda'. «Ahura» signifie le Seigneur ou le Maître et «Mazda» signifie le Sage, d'où « Ahura Mazda » signifie « le Seigneur Sage » ou « le Dieu Sage ». Ahura Mazda est synonyme de Dieu, dans un sens strictement monothéiste.


    Les qualités de Dieu selon le Dasatir :

    Selon le Dasatir, Ahura Mazda a les qualités suivantes :

    Il est un.

    Il est sans origine, sans fin.

    Il n'a pas de père ou de mère, ni femme, ni fils.

    Il est sans corps ou forme.

    Rien ne Lui ressemble.

    Aucun œil ne peut Le voir, ni la puissance de la pensée ne peut le concevoir.

    Il est au dessus de tout ce que vous pouvez imaginer.

    Il est plus proche de vous que vous même.

    Les Qualités de Dieu selon l'Avesta :

    Selon l'Avesta, les Gathas et le Yasna, on donne diverses caractéristiques à Ahura Mazda tels que :

    Createur

    Le Tout-Puissant - Le Plus Grand.

    Bienfaisant - Hudai.
    Généreux - Spenta ;

    Ainsi, dans le Zoroastrisme aussi, nous trouvons un concept d'un Dieu Éternel, Omnipotent. Plusieurs versets du Yasna louange le Seigneur en tant que créateur Généreux.

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