Forum des Religions - Les Origines

La Tour de Babel :: l'origine de l'empire mondial des religions

    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge !

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    Message  Arlitto Mar 10 Nov 2020 - 13:40

    Rappel du premier message :

    Un seul Coran unique et incréé ??? La fin d'un mensonge !


    "Le calife Uthman" a brûlé 31 versions différentes des Corans qui tournés à l'époque !. 

    Sous le califat de `Uthman, troisième calife (644 - 656), le territoire musulman s'est considérablement agrandi et de nouveaux problèmes surgissent : quatre types de divergences apparaissent à propos du texte du Coran. Le calife Uthman décide alors d'officialiser un type unique d'écriture du texte coranique et d'établir une classification unique des sourates les unes par rapport aux autres. 

    C'est à cette fin qu'il charge une commission de préparer plusieurs copies (mus'haf) du Coran. Et cela se passait en l'an 25 de l'hégire, soit quinze ans après la mort du Prophète. Ces copies préparées, `Uthman les fait envoyer en différents points importants du territoire musulman. 

    Tous ces éléments sont rapportés par Al-Bukhârî, no 4 702. Les copies du Coran écrites de nos jours suivraient toujours mot pour mot et lettre pour lettre cette écriture des copies d'Uthman, écriture nommée « ar-rasm al-uthmanî ». Quelques-unes de ces copies existeraient encore aujourd'hui, l'une se trouverait à Istanbul (Turquie), l'autre à Tachkent (Ouzbékistan).

    Après avoir envoyé ces copies dans chaque région, `Uthman fit détruire toutes les copies précédentes, dont celle d'Ali, gendre de Mahomet, celle d'Ubai b. Ka'b ainsi que celle d'Ibn Mas`ud. Bien que ce dernier ait refusé de détruire sa copie de son vivant, elle fut brûlée par la suite.

    Le Kallif othman ibn afan a brûlé toutes les 31 versions du coran pour garder sa version qui circule aujourd'hui, c’est pourquoi il y a un seul coran.

    Mais on trouve quelques versions qui circulent toujours comme : 

    1)Coran version Hafess en Égypte
    2)Coran version Warche au Maroc
    3)Coran version Kaloun en Tunisie


    Ref:

    Dairat el maaref el islamiya, livre 26 page 8177 à 8194
    Al masahef de Iben Daoud al Cijistani page 21
    Fehrest de Iben al nadim
    Le plus grand auteur arabe Dr Taha Houssen dans son livre al fetna al koubra partie 1 page 160 a 183 a critiqué l'islam
    Al Tabari


    Le Coran d'Othman ou de Mohammed ? 

    Voici une liste de corans qui ont été brûlé par Othman.

    Le Coran d'Abdullah Bin Amre Ibn Al-Ass
    le Coran d'Abdullah Ibn Abbas
    le Coran d'Abdullah Ibn Al Zoubir
    le Coran d'Abe Baker Al Sedeek
    le Coran d"Abe Mosa Al Asharee
    le Coran de Abu Zaied
    le Coran d' Aïcha,
    le Coran d'Akrama
    le Coran d'Al Asoad Ibn Yazid 
    le Coran d'Al Hajaj Ibn Yousef Al Thakafy
    le Coran d'Anes Bin Malek
    le Coran d'Ata' Abe Rabeh
    le Coran d'Hafsa
    le Coran de Moaaz Bin Gabel
    le Coran de Moujahid
    le Coran de Muhammad Bin Abe Mosa.
    le Coran d'Obaid Bin Omeir Al-Laithy.
    le Coran d'Othman Ibn Affan
    le Coran de Qualown /Abu Mosa Ibn Mina
    le Coran de Saeed Bin Gabber 
    le Coran de Salem Maola Abe Hozaifa
    le Coran de Suleiman Ibn Mahran
    le Coran de Talha
    le Coran de Waresh
    le Coran de Zaied Ibn Thabet
    etc...

    De toutes ces anciennes versions du Coran qui ont été détruites, seuls deux manuscripts ont survécu jusqu'à notre époque : le Codex de Samarcande (daté de 654) conservé au musée Doktary à Istamboul et le Codex de Londres (daté de 772) conservé au British Museum. Chacun contient environ 750 divergences par rapport au Coran actuel (on remarque que c'est souvent le Coran actuel qui semble avoir ajouté des mots ou des phrases au texte primitif).


    Al Tabry, au 10ème siècle, l'avouait carément : 

    "Le texte du coran n’était pas fixé à mon époque." 



    Et l'Imam Ja'far, pour résumer la situation, allait plus loin encore :

    "Le véritable Coran n'existe pas !"


    Selon As-Suyuti (mort en 1505) Ibn ’Umar al Khattab aurait dit :

    "Que personne d’entre vous ne dise qu’il a acquis le Coran entier, car qu’en sait-il ? Beaucoup du Coran a été perdu ! Alors qu’il dise : J’ai acquis ce qui était disponible. "
    (As-Suyuti, Itqan, partie 3, page 72). 


    Jabir a rapporté que l'Imam Bar a dit :

    "Personne ne peut affirmer avoir rassemblé tout le Coran tel qu'il a été révélé par Allah, si ce n'est un menteur ! Le Prophète dit alors : c'est ainsi que le démon m'a envoyé ses deux serviteurs à l'instant Abu Bakr et Omar". (Commentaire de bas de page de la traduction de Maqbool : Sourate "Hajj": 674)


    Un grand nombre d'exemple de modification du Coran. En voici un

    L’Imâm Al-Bukhârî et Ibn Jarîr disent que, selon Ubayy Ibn Ka`b et Anas b. Malik, ces paroles ont été révélées dans la Sourate 102 "At-Takâthur" (La course aux richesses) : 

    "Le Prophète (paix et bénédiction d’Allâh sur lui) a dit : 'Si le fils d’Adam avait deux vallées de richesses, il souhaiterait que lui en fût échue une troisième. Rien ne peut remplir le ventre du fils d'Adam sauf la terre (= la mort), mais Dieu revient vers celui qui revient à Lui' ...". 


    -----> Pourtant on ne retrouve plus ce passage dans la sourate 102 (qui ne contient que 8 versets) du coran actuel. Il a donc été enlevé.

     Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi.
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    Message  Arlitto Mar 10 Nov 2020 - 13:57

    Coran : aux origines d’un grand bricolage.

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
    Par Mireille Vallette
    Depuis quelques décennies, des chercheurs utilisent les méthodes modernes pour aborder scientifiquement les origines de l’islam. Epigraphes, philologues, linguistes, historiens ont déjà déblayé un riche terrain. Ils révèlent une réalité bien éloignée des récits religieux.


    Encore une belle histoire qui s’effondre. 
    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

    Celle de lettres descendues des nuées comme autant de petites étoiles tombant sur l’ange Gabriel et illuminant Mahomet dans sa grotte. Sans intervention humaine. En fait, seuls les tenants de la magie divine en seront étonnés: les humains ont tout fait. Le Coran n’est ni incréé, ni parfait. Et ses versions ont beaucoup évolué au fil du temps.

    Sur ses origines, décrites par les chercheurs, je ne donnerai ici que quelques exemples destinés à ouvrir l’appétit des amis du savoir. Ils trouveront des liens susceptibles d’approfondir leurs connaissances en bas d’article. Dison d’emblée que le site [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] fait un remarquable résumé de l’avancée actuelle. Je lui ai beaucoup emprunté. Des divergences existent encore sur ces sujets, mais l’histoire, la vraie, est en marche.

    Premiers textes, premiers corans
    Selon la tradition, les révélations de Mahomet (censé être mort en 632, date à retenir pour ce qui va suivre) ont été notées sur des pierres plates, des omoplates de chameaux, des nervures de feuilles de palmier et... dans la mémoire de ses disciples. Etrange, alors que le parchemin existait depuis plusieurs centaines d’années. Et qu’à propos de La Mecque, «les spécialistes s’accordent sur le fait qu’en ce lieu, à cette époque, personne ne savait écrire». ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien])Toujours selon les traditionnistes musulmans, le livre a d’abord été constitué de fragments, des codex (ensembles de feuilles cousues en cahier). La recherche et le recueil de ces textes auraient commencé vers 650. Les premières versions ne contiennent pas de voyelles courtes, ni de points diacritiques permettant de distinguer les consonnes. Dans cette écriture, un mot peut avoir jusqu’à 30 sens différents. Ces textes sont illisibles pour les non-spécialistes.

    Une trouvaille extraordinaire a été faite à Sanaa (Yémen) en 1972 : des [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qui datent des VIIe et VIIIe siècles et dont la majeure partie doit encore être étudiée. Ils confirment déjà que le Coran officiel, censé être intouchable et intouché, a subi bien des retouches.

    Selon l’orthodoxie musulmane, c’est le calife Othman qui aurait fait une recension définitive en 656, avec quatre à sept copies envoyées dans les capitales de l’empire, puis aurait fait détruire le matériel. On n’a aucune trace de ce Coran. Les spécialistes historico-critiques estiment que sa formalisation s’est poursuivie environ 200 ans après Othman.

    Les premières versions complètes apparaissent aux VIIIe et surtout IXe Abbassides.

    Des points et des accents ont été ajoutés par des grammairiens perses afin d'éviter une fausse lecture. Ils ont aussi noté de nombreux commentaires qui expliquent les contenus incompréhensibles. C’est au terme de violentes disputes et de versions différentes que le sens final a été décidé.

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]La version finale, censée être celle d’Othman, a été fixée au Caire en 1923, 1300 ans après la mort de Mahomet. Mais même avec tous ces rajouts et explications, le saint livre ne se comprend pas aisément. Peut-être est-ce la raison de l’importance de l’apprendre par cœur. C’est tellement plus simple que se demander pourquoi Dieu a créé un livre aussi imparfait.

    Les sourates (chapitres) sont classées non pas par ordre chronologique, mais par longueur, des versets en abrogent d’autres, sans mention, et de nombreux passages restent obscurs. On ne sait ni où, ni quand se déroulent de nombreux récits ou allusions, les personnages ne sont pas présentés.

    Le texte comprend par ailleurs de très nombreuses fautes linguistiques et stylistiques, des expressions ambigües et des mots au sens multiple (voir cet entretien avec Sami Aldeeb maître incontesté du sujet). Les ambiguïtés représentent 20 à 25% de l’ensemble du texte. Certains passages restent incompréhensibles. D’autres font l’objet d’interprétations contredites par l’histoire. C’est le cas du «voyage nocturne» de Mahomet censé avoir été, en rêve, porté par une jument vers «la Mosquée sacrée» ou «Mosquée très éloignée», que les musulmans situent à Jérusalem. Or, il n’y avait pas de mosquée à Jérusalem à l’époque du prophète. La «mosquée al-Aqsa», dont le nom reprend la désignation coranique, a été construite plus tard.

    L’origine religieuse
    L’élaboration du Coran primitif s’est déroulée dans un contexte judéo-chrétien tourmenté comprenant une foule de sectes et de courants. Les recherches actuelles penchent pour une origine nazaréenne de l’islam, une tendance qui faisait une synthèse du judaïsme et du christianisme dans une optique messianique. Elle considère Jésus comme un prophète. Cette secte s’opposait vivement aux juifs traditionnels, ce qui explique la hargne antijuive du coran. Une hypothèse se précise: les premiers manuscrits coraniques seraient des [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qui voulaient convertir les Arabes.

    De nombreux emprunts sont faits à des religions préislamiques, par exemple le manichéisme («Sceau des prophètes », Bible falsifiée, révélations d’un ange dans une grotte, jeûne type ramadan, etc.) ainsi qu’aux légendes et écrits chrétiens et juifs, la Bible en particulier. Ces récits sont souvent déformés.

    Pas de Mahomet à La Mecque
    De très nombreuses indications du Coran et des autres textes majeurs (sunna, sirah) rendent peu plausible, voire impossible, que Mahomet ait eu ses premières révélations à La Mecque. L’un des plus récents ouvrages, celui de Dan Gibson, est particulièrement convaincant. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a relaté ici ses découvertes majeures. Les descriptions climatiques, géologiques, géographiques et topographiques ne correspondent pas à La Mecque, mais parfaitement à Pétra en Jordanie. D’autres chercheurs estiment que c’est en Syrie que les événements décrits se sont déroulés et que les premières sourates ont été écrites.


    La Mecque était au mieux un village. 
    Il ne se situait pas sur la route des caravanes, alors que cet élément joue un grand rôle dans les récits islamiques. Les premiers vestiges archéologiques et la mention de ce lieu sur une carte géographique datent de 900On ne trouve pas non plus trace dans cette ville des trois déesses citées dans plusieurs versets, contrairement à leur présence attestée en Jordanie, en Syrie actuelle et dans le nord-ouest de l’Arabie saoudite.

    Selon [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], on ne trouve de La Mecque «aucune mention, que ce soit en grec, en latin, en syriaque, en araméen, en copte, ou en une autre littérature composée en dehors de l’Arabie avant l’époque des conquêtes ».

    Autre bizarrerie: quelle idée d’interdire la consommation de porc au VIIe siècle dans les révélations mecquoises, alors que le porc n’existait pas dans la région ? Les chercheurs en déduisent que ces sourates ont été écrites plus au nord, en Palestine ou en Jordanie, où cette espèce était présente.

    Enfin, La Mecque n’est mentionnée que deux fois dans le Coran.

    Mahomet prophète post mortem
    Le mot Mahomet n’apparaît que quatre fois dans le Coran, et ce n’est probablement pas un prénom, mais un titre. Et même ces quatre mentions auraient été des ajouts. Pour compenser ce manque, l’orthodoxie considère que les termes de « prophète, annonciateur, avertisseur, apôtre, etc. », présents 405 fois dans le Coran, sont des mentions indirectes de Mahomet. Selon certains spécialistes, ce serait plutôt à Moïse que ces termes s’appliquent, un nom mentionné 150 fois.

    Le terme de musulman est apparu vers 720, près d’un siècle après la mort du prophète. Sur le plan numismatique, la croix figure sur les pièces de monnaie califales jusqu’en 696. C’est avec le calife Abd al-Malik vers 700 que commence le processus de disparition du symbole chrétien.

    L’empreinte de l’araméen
    L’écriture arabe a été créée par des moines chrétiens à partir du nabatéen, du syriaque et de l’araméen vers l’an 400, près de Bagdad. La langue était parlée par les tribus arabes. Les toutes premières et rares inscriptions en arabe dans le Hedjaz, région de La Mecque, datent de 652, soit 20 ans après la mort de Mahomet. Elles ne se multiplieront qu’un bon siècle plus tard. C’est une raison de plus pour exclure que le prophète ait vécu à La Mecque au temps de ses premières révélations.

    L’influence de l’araméen éclaire beaucoup les premiers écrits coraniques, dont les manuscrits de Sanaa. Un grand nombre de termes sont issus de cette langue comme «islam», «musulman», «ramadan». Mais l’arabe est considéré dans la doxa musulmane comme la langue qu’Allah parle avec les anges depuis avant la fondation du monde. Et le Coran est censé être écrit en «arabe pur».

    Un linguiste allemand, Christoph Luxenberg, a montré que de nombreuses obscurités et non-sens du Coran s’éclairent si l’on recherche le sens des mots et des tournures grammaticales non pas dans la langue arabe, mais dans l’araméen parlé en Syrie. Les fragments de Sana comportent des «aramaïsmes» en très grand nombre. Des mots et des formes ont été ôtés des versions ultérieures afin de garder l’idée de «l’arabe pur».

    Le grand nombre de termes et de formes venus du syro-araméen présents dans le Coran indique que son origine se trouve plutôt à Médine ou plus au nord, dans le cœur du territoire syro-araméen. Mais pas à la Mecque qui se trouvait en dehors de cette aire linguistique.

     Un exemple de ces recherches linguistiques: les versets sur les houris, ces jeunes vierges peuplant le paradis. Ils sont particulièrement difficiles à comprendre. 

    En fait, nous apprend Christoph Luxenberg, le mot houri du Coran dérive de la racine araméenne hur, qui signifie grappe de raisin. Par quelles contorsions sémantiques les auteurs du Coran l’ont-ils traduit par jeunes vierges et comment ont-ils bricolé les versets qui s’y rapportent? Je vous invite à lire le résumé de la brillante [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], résumé qui se conclut ainsi: «Retenons que sa recherche dans la grammaire et le vocabulaire araméen résout tous les problèmes de ces versets de façon simple, sans avoir à imaginer des interprétations par des allégories, ou par des hypothèses ad hoc sur ce qu’aurait pu être le dialecte de La Mecque ou l’arabe du paradis, ou encore par des explications qui prétendent que blanc signifie noir, ou par des sous-entendus qui conduisent à dire que blanc signifie jeune fille et gonflée adolescente. (...) ce choix était probablement fondé (...) sur la volonté d’occulter la présence des nazaréens, de leur langue et de la valeur symbolique qu’ils attachaient au vin et à la vigne. »

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]   Une interview d’une heure de Leila Qadr, auteure de «Les 3 visages du Coran», à laquelle sont joints une douzaine d’exemples d’emprunts du Coran à des textes préexistants.


    Lien : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

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    Message  Arlitto Mar 10 Nov 2020 - 13:57

    Un grand mensonge Islamique


    "Histoire de la compilation et de la diffusion du Coran"

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] 

    La « compilation » du Coran ne signifie pas son écriture ; puisque le Coran est la Parole de Dieu révélée au Prophète Mohammad, messager dont le devoir était de transmettre cette Parole à l’Humanité. D’après le Coran lui-même, ce Livre est une représentation physique d’un autre Coran, incréé et préservé dans "La Tablette gardée" [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] : [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]]

    "Ce Qoran glorieux
    Est écrit sur une table gardée avec soin" [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]]
    Le Coran a été révélé au prophète Mohammad par l’intermédiaire de l’archange Gabriel durant 23 années. Le Prophète a récité au fur et à mesure ce qui lui était révélé du Livre aux hommes.

    Ainsi la compilation du Coran ne signifie pas sa "rédaction" mais sa transcription et son rassemblement dans un volume unique. Cette compilation s’est faite en trois temps : du vivant du Prophète, où ce dernier s’est assuré de la mise en écrit de toute la Parole qui lui avait été révélée ; après son décès et à l’époque du premier calife, où la validité de tous les versets a été vérifiée et le Coran rassemblé dans des volumes uniques ; et enfin le califat de ’Othmân, où les diverses compilations ont été unifiées en une seule, qui est la version originelle de tous les Corans existants et publiés aujourd’hui.

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Manuscrit en script hijazi remontant à la première moitié du Ier siècle de l’hégire

    La première étape de la préservation du Coran
    Elle a commencé dès la Révélation, avec le travail du Prophète lui-même et son acharnement à préserver le verset exactement, dans les moindres détails, même phonétiques. Dès les premières conversions - qui étaient d’ailleurs souvent provoquées par l’écoute du Coran -, les nouveaux musulmans apprenaient les versets par cœur et le Prophète vérifiait l’exactitude de ce qu’ils avaient appris. Les nouveaux musulmans appréciaient tant le Coran qu’ils rivalisaient dans sa connaissance, à tel point que le Prophète devait parfois calmer les ardeurs des nouveaux convertis. [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] Le Prophète écoutait lui-même les musulmans réciter pour vérifier leur prononciation et la correction de ce qu’ils avaient retenu. Il faut préciser que la culture arabe était essentiellement une culture orale, où la mémoire jouait un rôle fondamental. Les Arabes de la péninsule arabique des débuts de l’islam disposaient pour la plupart d’une capacité de mémorisation exacte et extraordinaire qui les rendait capables de retenir des livres entiers par cœur. Il était courant pour beaucoup d’Arabes de cette période de connaitre plusieurs dizaines de milliers de chants ou de poèmes. Ainsi, la première « compilation » du Coran fut orale et se fit au fur et à mesure de la Révélation des versets divins au Prophète, qui les transmettait immédiatement.

    Combien de personnes ont été les premières à connaître l’intégralité du Coran ? C’est une question polémique qui a posé beaucoup de problèmes. Le Français Blachère cite sept noms, se basant sur un hadith de Bokhâri [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]], alors qu’un autre hadith cite uniquement quatre noms et que les historiens estiment aujourd’hui que leur nombre dépassait les dizaines.

    La compilation écrite des versets
    Considérant que la tradition arabe était une tradition orale, il faut insister sur le fait que le Coran s’est diffusé de façon orale sous la supervision du Prophète, mais ce dernier s’est également chargé immédiatement de transcrire par écrit les versets. Le mot "Coran" est dérivé de la racine arabe relative à "lecture" et le premier verset de la Révélation musulmane a été un ordre de lecture :
    1. Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé,
    2. qui a créé l’homme d’une adhérence.
    3. Lis ! Ton Seigneur est le Très Noble,
    4. qui a enseigné par la plume [le calame],
    5. a enseigné à l’homme ce qu’il ne savait pas. [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]]

    C’est donc normal que la compilation écrite du Coran ait également été immédiatement poursuivie par le Prophète. Dès le départ, rassemblant les rares lettrés, le Prophète a procédé à la mise en écrit du Coran, parallèlement à sa diffusion orale. [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] Le Coran lui-même est la meilleure preuve de cette compilation écrite. Dans la sourate 98 Al-Bayyinah (La preuve), versets 1 à 3, il est insisté sur le caractère "écrit" du Coran :

    1. Les infidèles parmi les gens du Livre, ainsi que les Associateurs, ne cesseront pas de mécroire jusqu’à ce que leur vienne la Preuve évidente :
    2. un Messager, de la part d’Allah, qui leur récite des feuilles purifiées,
    3. dans lesquelles se trouvent des prescriptions d’une rectitude parfaite.

    Les scribes du Coran étaient tous des Compagnons du Prophète et des musulmans dignes de confiance. Hakim dit dans le Mostadrak que "Le Coran fut compilé trois fois : la première fois durant la vie du Prophète, la deuxième et la troisième fois sous la supervision des deux califes" et il cite Zeyd "Nous étions auprès du Prophète et rassemblions le Coran qui était écrit sur les feuilles fraîches." Le théologien chiite du Xe siècle, Seyyed Râzi, estime également que le Coran a été compilé intégralement sous sa forme actuelle à l’époque du Prophète, suivant le raisonnement suivant : les premiers Compagnons du Prophète ont plusieurs fois récité l’intégralité du Coran suivant l’ordre actuel du Coran – la version actuellement existante du Coran datant d’après le décès du Prophète -, pour que le Prophète vérifie la justesse de leur récitation, il y avait donc déjà à l’époque une compilation "intégrale".

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Coran en style kufi datant du VIIe siècle

    Les « scribes » de la Révélation
    L’histoire raconte que durant les débuts de la Révélation, dans tout le clan des Quraysh, seuls dix-sept personnes savaient lire et écrire et à Médine, région plus rurale, leur nombre était encore plus réduit.
    Mais dès l’apparition de l’islam, l’alphabétisation commença sous l’impulsion du Prophète et finalement, durant les dernières années de sa vie, une quarantaine de scribes étaient chargés de transcrire le Coran. C’est un chiffre également très polémique. Certains de ces scribes, comme Zeyd et Ubbay, qui maîtrisaient tous deux le syriaque et l’hébreu, ont uniquement travaillé à cette transcription, alors que d’autres étaient également chargés de la correspondance officielle de la nouvelle communauté musulmane. Parmi ces derniers, le calife ’Othmân et l’Imâm ’Ali étaient particulièrement actifs.

    Les versets étaient inscrits sur des feuilles de qualité diverse : feuilles de palmier, peaux de gazelle, cuir, soie, pierres ou os blancs et plats, ou même des tablettes en bois. Il y avait aussi du papier et de l’encre disponibles, puisque la ville de La Mecque était située sur une route de commerce et que les riches Mecquois avaient donc besoin de tenir une comptabilité.

    Les compilations écrites du Coran
    A la mort du Prophète, l’ensemble du Coran avait été compilé et le Prophète avait vérifié la conformité des versets et l’ordonnance des sourates. Tous les hadiths et souvenirs recueillis de cette époque confirment effectivement que le Prophète lui-même avait indiqué l’ordre des versets dans les sourates et l’ordonnance des sourates dans le Livre. Ainsi, la sourate qui ouvre le Coran, « Al-Fatiha » (L’ouverture ou Le prologue) avait le même nom du vivant du Prophète.

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Verset 17 de la sourate al-Isra’, Coran datant du IXe siècle, calligraphe anonyme, Library of Congress
    Les compilations du Coran après le décès du Prophète

    La guerre du Yamâmah
    Un an après le décès du Prophète, la guerre du Yamâmah causa la mort de centaines de récitants du Coran, les chiffres variant de 70 à 450. Cet événement poussa le calife Abou-Bakr à rassembler l’ensemble du Coran en un livre unique, sous l’instigation du futur calife ’Omar, dit-on. [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] Ce fut la deuxième compilation. Ainsi, ’Omar ordonna que tous ceux qui possédaient un manuscrit de versets l’apportent pour que les versets soient ajoutés à l’ensemble et aucun verset n’était accepté, pas même s’il était apporté par un des scribes du Prophète, sans qu’au moins deux personnes témoignent de la validité du verset, c’est-à-dire qu’ils témoignent que ce verset avait été transcrit directement sous la supervision du Prophète. L’histoire et les commentaires du Coran sont en soi des preuves de l’extrême méticulosité qui fut portée au rassemblement du Coran à cette occasion. Le scribe Zeyd, secondé par ’Omar Ibn al-Khattâb, fut choisi par le calife pour mener à bien cette compilation. Ce travail commença en l’an 13 de l’hégire (633) et dura quatorze mois. Cette compilation est le Coran tel qu’il est connu aujourd’hui. Une unique version fut donc préparée, et conservée par Abou-Bakr jusqu’à son décès. Puis ce fut le second calife ’Omar, qui le conserva, et finalement Hafsa, sa fille et épouse du Prophète. Le calife ’Othmân copia ce Coran en deux exemplaires et il fut finalement détruit – certains disent brulé, d’autres disent lavé, d’autres disent déchiré, par Marvan, le calife omeyyade - [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]], mais il avait déjà été copié et distribué dès l’an 30, après la troisième compilation (qui a conduit à l’unification de tous les exemplaires) ; et c’est le Coran aujourd’hui existant dans la communauté musulmane qui veille sur son intégrité.

    Les Corans personnels
    Avant l’ordre de rassemblement des versets et sourates épars, il était courant, surtout pour les premiers musulmans et les Compagnons du prophète, d’avoir des Corans propres, c’est-à-dire des Corans comportant uniquement quelques versets ou sourates, qui n’étaient pas intégraux et dont l’ordonnance était également variable d’un exemplaire à l’autre. Ces Corans étaient des quasi-titres de noblesse et donnaient un prestige immense à leurs propriétaires. On cite 23 de ces exemplaires dont les noms des propriétaires soient parvenus jusqu’à nous. Aucune de ces compilations n’a été découverte à ce jour et les plus anciennes pages des Corans trouvées datent d’après l’unification. Durant ces années, les musulmans utilisèrent ces compilations souvent incomplètes éparses et certaines d’entre elles avaient également des spécificités graphiques basées sur les différences de récitations ou d’accents. Le Coran qui existe aujourd’hui est entendu dans l’accent mecquois des Quraysh et au moment de son rassemblement par Zeyd, un groupe de lettrés et de poètes qurayshites fut chargé de s’assurer de la justesse de la prononciation. Ces diverses compilations, surtout celles qui étaient intégrales, avaient chacune leurs défenseurs.

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Versets 85-88 de la sourate Al-Anaam, IXe siècle, calligraphe anonyme, écriture koufique, Library of Congress

    L’unification des compilations à l’époque du calife ’Othmân
    Avec le développement et la diffusion de l’islam dans des pays non-arabophones et les difficultés de prononciation de ces peuples, ainsi que les particularités des différents accents arabes de la péninsule elle-même, une demande en traduction se montra très tôt, ainsi qu’une pression pour l’acception de toutes les prononciations existantes. D’un autre côté, les récitants avaient chacun leur propre manière de lire et chacun était libre de suivre l’une de ces récitations. Ainsi, des problèmes sérieux avaient surgi en matière de lecture coranique et de prononciation phonétique à l’époque du calife ’Othmân. Une organisation, un groupe fut mis en place, encore une fois sous la direction de Zeyd, pour unifier toutes les compilations existantes. Durant cette unification, toutes les compilations différentes, y compris la compilation d’Abou-Bakr, furent comparées ensemble.
    Cette comparaison des différentes compilations fut le secret du succès de cette unification car à cette époque, chacune des compilations avait ses défenseurs qui s’accusaient mutuellement d’hérésie. De plus, parallèlement à la comparaison, la même méthode utilisée pour compiler le Coran à l’époque d’Abou-Bakr fut utilisée pour vérifier la validité des versets et sourates de chaque compilation. Ainsi, un nouveau Coran fut transcrit avec une grande attention, non seulement dans la vérification de l’authenticité des versets et des sourates et de leur ordonnance, mais aussi du choix de leur graphie. A l’époque, l’écriture arabe était encore en formation et chaque mot pouvait être orthographié de plusieurs manières. Les scribes se montrèrent très attentifs à utiliser exactement la même graphie pour chaque mot et ses dérivés et ainsi ce Coran fut aussi parfaitement homogène graphiquement. Quand il y avait des différences d’avis sur la phonétique d’un mot selon les différences de récitations, on transcrivait le mot avec une autre orthographe dans un autre manuscrit, pour ne pas mélanger les graphies. C’est-à-dire qu’on conserva les différentes récitations à l’écrit de façon indépendante les unes des autres. [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] Quant aux récitations, on n’accepta que celles qui étaient le plus en accord avec la récitation du Prophète lui-même. Malik Ibn Amir, qui était membre du groupe de vérification raconte : "Quand il existait une divergence d’opinion sur un verset, et si par exemple, ce verset avait été récité par le Prophète à une personne, on le transcrivait en laissant un espace blanc, puis on allait chercher la personne à qui le Prophète l’avait récité et ce dernier témoignait de la prononciation du Prophète. Son témoignage était vérifié et s’il était validé, le verset était définitivement transcrit." [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]]

    Ainsi, l’immense œuvre de transcription définitive du Coran à l’époque du calife ’Othmân se fit sans heurts et sans dissensions. Après la compilation définitive, le calife ’Othmân ordonna le rassemblement de toutes les compilations personnelles et de tous les manuscrits coraniques existants, puis il en ordonna la destruction totale. On sait qu’effectivement la plupart des manuscrits furent détruits à ce moment, mais certains ont refusé de rendre le leur et au fil de l’Histoire, certains de ces manuscrits ont parfois réapparus. [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] Pourtant, les deux seules compilations intégrales dont on sait qu’elles n’ont pas été détruites à l’époque sont celle de l’Imâm ’Ali (quatrième calife), qui demeura dans sa famille et celle de ’Abdollâh. Deux siècles plus tard, le grand libraire et collectionneur persan Ibn Nadim, auteur de la plus ancienne bibliographie du monde musulman, dit avoir vu ce Coran chez Abou Yalâ, un des descendants du Prophète. [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] Quant à la date exacte de cette compilation, les avis des historiens divergent, mais au vu des documents existants, cette compilation a probablement commencé vers la fin de l’an 24 de l’hégire ou au début de l’an 25 et s’est terminée avant l’an 30, soit sur une durée d’environ cinq années.

    Cette œuvre du calife ’Othmân est sans conteste l’une des grandes victoires de l’islam. Au fil des siècles, d’incessants débats ont eu lieu autour du Coran et sur son contenu, mais les millions de musulmans, même aujourd’hui, n’ont jamais eu affaire à des versions différentes et il n’existe définitivement qu’un seul Coran.

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Versets 35-36 de la sourate al-Ghafir, XIe-XIIe siècles, calligraphe anonyme, Library of Congress

    Les copies du Coran et sa diffusion
    Après que la compilation définitive du Livre saint prit fin, des copies en furent faites et envoyées aux quatre coins des territoires islamiques. [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] Cet événement n’a jamais subi le moindre démenti et pendant des siècles, ces copies étaient si prestigieuses qu’elles étaient conservées avec le plus grand soin dans la grande mosquée de la région où elles avaient été envoyées. [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] Mais il existe des dissensions quant au nombre de ces premières copies. Finalement, les historiens, au vu des études faites, sont d’accord sur le fait que ce nombre premier de copies correspond au nombre des "provinces" stratégiques du territoire islamique, c’est-à-dire un total de cinq copies, qui furent chacune envoyées aux gouverneurs de ces provinces : la région de La Mecque, la région de Médine, Koufa, Bassora et la Syrie (Damas).

    Très vite, ces cinq copies furent de nouveau copiées et mises à la disposition de tous. Aujourd’hui, il existe une dizaine de très anciennes copies, certaines même datant des deux premiers siècles de l’Hégire, conservées un peu partout dans le monde. [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] Pour conclure, il faut préciser que les millions de copies existantes du Coran aujourd’hui sont toutes basées sur cette compilation finale conduite à l’époque de ’Othmân.

    Bibliographie : 
    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Râmyâr, Mahmoud, Târikh-e Qor’ân (Histoire du Coran), Téhéran, éd. Amir Kabir, 1983.

    Notes

    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] Al-Lawh al-Mahfoûdh ou Tablette préservée est le Livre divin où Dieu a inscrit la destinée de toutes les créatures avant même leur création.
    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] "La nuit d’al-Qadr, le Coran était révélé en une seule fois depuis la Table conservée aux cieux (Al-Lawh al-Mahfoûdh) vers les cieux inférieurs (littéralement le ciel terrestre). Al-Lawh al-Mahfoûdh est évoqué par ailleurs dans le Coran (Sourate al-Bûrûj, les Constellations) et interprété comme l’exemplaire original du Coran, c’est-à-dire celui qui ne peut subir aucune altération." Faher, Mourad, Approche critique des représentations de l’Islam contemporain, Collection Histoire et perspectives méditerranéennes, Editions L’Harmattan, 2003, p. 30.
    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Le Koran, traduction de Kazimirski.
    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] Râmyâr, Mahmoud, Târikh-e Qor’ân (Histoire du Coran), Téhéran, éd. Amir Kabir, 1983. Cite Ibn Sa’ad, Kitâb al-Tabaghât-el Kabir, Beyrout 1968, 13 vol.
    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Ibid. p.248, Blachère, Régis, Introduction au Coran, Paris, 1943, note 26.
    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] Sourate Al-’Alaq (L’adhérence) ; 96 : 1-5.
    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] Râmyâr, M., op.cit., p. 257.
    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Ibid., p. 306.
    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Ibid., cite Abou-Shâmeh, p. 326.
    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Ibid., p. 425.
    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Ibid., p. 426, cite Abou-Shâmeh, Masâhef,60,65, Mughana’, 7.
    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Ibid., p. 431, cite Noldeke, Theodor, Die Sammlung des Qurans, Leipzig, 1919, p. 122.
    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Ibid.
    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Ibid.p. 460.
    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Ibid.
    [[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]] On peut notamment citer la copie conservée au Conseil musulman Académie culturelle ouzbek depuis 1923, qui est si ancienne qu’on pensait qu’elle était l’une des copies originales faites à l’époque du calife ’Othmân, ou la copie offerte par le sultan ottoman à l’empereur Guillaume II à la veille de la Grande Guerre. Il y a également un manuscrit, le codex Parisino-petropolitanus, comportant une soixantaine de feuillets figurant à la Bibliothèque Nationale de France, qui daterait de l’an 34 de l’Hégire. Voir : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]



    Lien : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

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    Message  Arlitto Mar 10 Nov 2020 - 13:58

    Dans le Coran, livre incréé, la terre est plate comme une crêpe, contrairement à la Bible.

    Bible Jean Frédéric Ostervald (1744)
    40:22 C'est lui qui est assis au-dessus du globe de la terre, et ceux qui l'habitent sont comme des sauterelles; c'est lui qui étend les cieux comme un voile, et les déploie comme une tente pour y habiter;



    "Miracle scientifique du Coran" - Dans le Coran, livre incréé, la terre est plate 





    Sourate 15, 20 :
    "Et quant à  la terre, Nous l'avons étalée et y avons placé des montagnes et y avons fait pousser toute chose harmonieusement proportionnée.

    Sourate 71, 19 :
    ... "et c'est Dieu qui vous a assigné la terre comme tapis."

    Sourate 79, 30 :
    "... et quand à la terre, en plus de cela il l'a écrasée / roulée comme une pâte."

    Sourate 88, 20 :
    "... et la terre comme elle est aplatie ?"

    Sourate 78, 6-7 :
    "N'avons-Nous pas fait de la terre une couche ? Et mis les montagnes comme des piquets de tente (pour la fixer) ?"

    Sourate 15, 20 :
    "Et quant à la terre, Nous l'avons étalée et y avons placé des montagnes et y avons fait pousser toute chose harmonieusement proportionnée.

    Sourate 71, 19 :
    ... "et c’est Allah qui vous a assigné la terre comme tapis."

    Sourate 79, 30 :
    "... et quand à la terre, en plus de cela il l'a écrasée / roulée comme une pâte."

    Sourate 88, 20 :
    "... et la terre comme elle est aplatie ?"

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

    Sourate 78:6-7: "N'avons-Nous pas fait de la terre une couche?  Et placé les montagnes comme des piquets?"

    Sourate 21:30: "Et Nous avons assigné des montagnes à la terre, parce qu'elle aurait bougé, et les gens avec."

    Sourate 16:15 : "Et Il a implanté des montagnes immobiles dans la terre afin qu'elle ne branle pas en vous emportant avec elle..."

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    Message  Arlitto Mar 10 Nov 2020 - 13:59

    Le Coran est l’œuvre des nazaréens

    Des thèses, largement vérifiées, de BardetThéry et Bertuel : Le Coran est l’œuvre des nazaréens et en occurrence d'un prêtre judéo-chrétien (Waraqa Bin Nawfal), qui a converti Mahomet et les arabes au monothéisme 

    (thèse expliquée en détail dans le grand ouvrage de Joseph Bertuel :
     « L'Islam : Ses véritables origines »). Les discours et les allocutions de Mahomet, qui composent les sourates du Coran, tirent essentiellement leur racines sur les textes de la secte des nazaréens.

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


    Waraqa ibn Nawfal est le cousin de Khadija, première épouse de Mahomet. Waraqa était selon certaines sources un prêtre converti au christianisme nestorien, prêcheur à la Mecque, qui y mourut en chrétien nestorien.
    Date de décès : 1 janvier 610 ap. J.-C.

    La création du Coran et du monothéisme arabe appelé Islam serait l’œuvre des nazaréens (secte des judéo-chrétiens), l'un d'eux est judéo-nazaréen, il s'appelle Waraqa Bin Nawfal, prêtre de la secte à la Mecque à l'époque de la jeunesse de Mahomet. Il est cousin à Khadija, la première femme de Mahomet, une juive convertie au christianisme de la secte nazaréenne des judéo-chrétiens.


    HADITHS AUTHENTIQUES ATTESTENT :

    Des hadiths de Aïsha en parlent de Waraqa :
    (...)
    (Sahih Al-Bukhari, Volume 4, Book 55, Number 605) : « Le Prophète retourna vers Khadija tandis que son coeur battait rapidement. Khadijâ le conduisit chez son cousin Waraqa bin Nawfal ibn Asad ibn 'Abd al-'Uzzä ibn Ouzzä. Celui-ci avait embrassé le christianisme lors de son âge d'ignorance, et il avait pris l'habitude de transcrire l’écriture hébraïque et l'Injil de l'hébreu, tant que Dieu lui en avait accordé la force de le faire. Waraqa était très âgé et il était privé de la vue .... ».

    (Sahih Al-Bukhari, Volume 9, livre 87,111) : « ... Waraqa était le fils de son oncle paternel, c'est à dire le frère de son père, qui pendant la période pré-Islamique était devenu un chrétien. Il savait tracer les caractères hébraïques et avait copié en hébreu toute la partie de l’Évangile qu’Allah avait voulu qu’il transcrivit. Il était âgé et était devenu aveugle .... ».
    (...)
    Waraqa a probablement influencé fortement Mahomet. 

    En effet, Bukhari disait ceci : 
    « Lorsque Waraqa est décédé, la révélation s’est tarie ». Cela montre qu'il était l'inspirateur de Mahomet pour l'écriture des Sourates. Lorsque Waraqa est mort, Mahomet n'en a plus écrit.

    La (Sourate 16, 105). : montre d'ailleurs que les Arabes soupçonnaient cette influence de Waraqa : « Certes nous savons que les infidèles disent : + Cet homme a seulement pour maître un mortel ! Mais la langue de celui auquel ils pensent est une langue barbare, alors que cette prédication est en claire langue arabe ».

    D'autres hadiths principaux le mentionnent, qu'il a joué un rôle significatif :
    (...)
    Voici ce qu’écrit (Al Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Cet homme (Waraqa Ibn Nawfalqui était cousin de Khadidja du côté de son père, avait embrassé le nazaréisme avant l’apparition de l’islam. Il savait écrire l’hébreu, et avait copié en hébreu toute la partie de l’évangile que Dieu avait voulu qu’il transcrivît ».

    Autre citation de (Al Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Le prêtre Waraqa écrivait le Livre hébreu. Il écrivait de l’évangile en hébreu ce que Dieu voulait qu’il écrivît ».

    Ibn Kusaïr, Biographie du prophète, 1, 386. Abû al-Faraj al-Isfahânî, Kitâb al-agânî, (Le livre des chants). Abû al-fida Ibn Kathîr, Tafsîr al-qur’ân, (Explication du Coran), une copie de l’ouvrage de Tabari.et al-Isfahânî et Ibn Kathîr donnent la même information : « Ce texte indique que Waraqa était un prêtre nazaréen ». Le fait qu’il ne mentionne qu’un seul évangile le signifiait également, et nous en verrons encore d’autres attestations.

    Muslim, compilateur de l’un des six recueils principaux, très célèbre, mais moins cependant que celui d’Al Boukhari, cite le même hadith, avec cependant une différence significative, (Muslim, Sahih, I, 78 et 79) : « Le prêtre Waraqa écrivait le Livre arabe. Il écrivait de l’évangile en arabe ce que Dieu voulait qu’il écrivît ».

    Dans la Sira (ce qui signifie l’histoire) d’Ibn Hichâm, écrite 200 ans après la mort de Mahomet, unique biographie n’ait pas disparu, on peut lire (Ibn Hicham, Sira, 1,175 et 203) : « Waraqa était devenu nazaréen et avait suivi les livres et appris la science des hommes ... Il était excellent connaisseur du nazaréisme. Il a fréquenté les livres des nazaréens, jusqu’à les connaître comme les gens du Livre ».



    Au début du dixième siècle, près de trois siècles après la mort de Mahomet, Al Yaqûbî publia un recueil de sermons attribués à Mahomet, dans lequel il écrit (Al-Yaqubi, Tarikh, 1, 256 et 257) : « Parmi les Arabes qui sont devenus nazaréens, il y a un groupe de Quraysh ... parmi eux figuren t... Waraqa ibn Nafal ibn Assad ».

    (Al Isfahânî, Al kital al-agânî, Le livre des chansons Le Caire, 1937, vol 3, 144) écrit lui aussi : « Waraqa s’est converti au nazaréisme au temps de l’ignorance (c’est-à-dire avant l’islam) ». Ainsi, Waraqa était un juif converti au nazaréismeet devenu prêtre nazaréen. C'est lui qui célébra la bénédiction du mariage de Mahomet avec Khadidja.

    Al Halabi écrivit une biographie de Mahomet en utilisant essentiellement l’œuvre d’Ibn Hichâm. Quelques renseignements anciens ont pu lui parvenir par tradition orale, et enrichir son œuvre. D’après lui, lors du mariage de Mahomet avec Khadidja, Waraqa a déclaré : « Nous sommes les chefs et les guides des Arabes ».
    (...)

    Les sources islamiques elles-mêmes confirment la profondeur de leur accord, car Waraqa était l’inspirateur de Mahomet. Boukhari ajoute en effet cette indication (Al-Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Lorsque Waraqa fut décédé, la révélation s’est tarie ».

    Cela laisse penser que Waraqa fournissait à Mahomet la matière des ses allocutions et discours, à partir de traductions en arabe de textes religieux ou liturgiques nazaréens. À la mort de Waraqa, Mahomet déclara qu’il l’avait vu au paradis (Alépine, vol 1. opus cit.).

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    Message  Arlitto Mar 10 Nov 2020 - 13:59

    D'où sont tirées les histoires et les légendes du Coran ???

    Coran 2.37. Puis Adam reçut de son Seigneur des paroles, et Allah agréa son repentir car c´est Lui certes, le Repentant, le Miséricordieux.

    La Genèse ne fait aucune allusion au repentir d'Adam. L'idée a été prise du Talmud Erubin 18b; Abodah Zarah 8a.


    Texte ancien de la mythologie Grec :

    Des légendes relatives à des hommes qui tombent endormis pour se réveiller des années plus tard dans un monde métamorphosé se retrouvent dans toutes les cultures. 

    Voici ce que "Mahomet" relate : 

    Sourate 18 :16-26. 

    Et quand vous vous serez séparés d'eux et de ce qu'ils adorent en dehors d'Allah, réfugiez-vous donc dans la caverne : votre Seigneur répandra de Sa miséricorde sur vous et disposera pour vous un adoucissement à votre sort". Tu aurais vu le soleil, quand il se lève, s'écarter de leur caverne vers la droite, et quant il se couche, passer à leur gauche, tandis qu'eux-mêmes sont là dans une partie spacieuse (de la caverne)... Cela est une des merveilles d'Allah. Celui qu'Allah guide, c'est lui le bien-guidé. Et quiconque Il égare, tu ne trouveras alors pour lui aucun allié pour le mettre sur la bonne voie. Et tu les aurais cru éveillés, alors qu'ils dorment. Et Nous les tournons sur le côté droit et sur le côté gauche, tandis que leur chien est à l'entrée, pattes étendues. Si tu les avais aperçus, certes tu leur aurais tourné le dos en fuyant; et tu aurais été assurément rempli d'effroi devant eux. Et c'est ainsi que Nous les ressuscitâmes, afin qu'ils s'interrogent entre eux. L'un parmi eux dit : "Combien de temps avez-vous demeuré là? " Ils dirent : "Nous avons demeuré un jour ou une partie d'un jour". D'autres dirent : " Votre Seigneur sait mieux combien [de temps] vous y avez demeuré. Envoyez donc l'un de vous à la ville avec votre argent que voici, pour qu'il voie quel aliment est le plus pur et qu'il vous apporte de quoi vous nourrir. Qu'il agisse avec tact et qu'il ne donne l'éveil à personne sur vous. Si jamais ils vous attrapent, ils vous lapideront ou vous feront retourner à leur religion, et vous ne réussirez alors plus jamais". Et c'est ainsi que Nous fîmes qu'ils furent découverts, afin qu'ils (les gens de la cité) sachent que la promesse d'Allah est vérité et qu'il n'y ait point de doute au sujet de l'Heure. Aussi se disputèrent-ils à leur sujet et déclarèrent-ils : "Construisez sur eux un édifice. Leur Seigneur les connaît mieux". Mais ceux qui l'emportèrent [dans la discussion] dirent : "élevons sur eux un sanctuaire". Ils diront : "ils étaient trois et le quatrième était leur chien". Et ils diront en conjecturant sur leur mystère qu'ils étaient cinq, le sixième étant leur chien et ils diront : "sept, le huitième étant leur chien". Dis : "Mon Seigneur connaît mieux leur nombre. Il n'en est que peu qui le savent". Ne discute à leur sujet que d'une façon apparente et ne consulte personne en ce qui les concerne. Et ne dis jamais, à propos d'une chose : "Je la ferai sûrement demain" sans ajouter : "Si Allah le veut", et invoque ton Seigneur quand tu oublies et dis : "Je souhaite que mon Seigneur me guide et me mène plus près de ce qui est correct". Or, ils demeurèrent dans leur caverne trois cent ans et en ajoutèrent neuf (années). Dis : "Allah sait mieux combien de temps ils demeurèrent là. A Lui appartient l'Inconnaissable des cieux et de la terre. Comme Il est Voyant et Audient! Ils n'ont aucun allié en dehors de Lui et Il n'associe personne à Son commandement. 



    D’où vient cette histoire ? 

    L’écrivain grec Siméon Métaphrastes semble en être à l’origine via sa "Vies des Saints". (Elle fut popularisée en occident par Grégoire de Tours.

    Elle se résume ainsi : au cours du règne de l’empereur Decius ou Dèce (249-251), sept jeunes gens de la ville d’Éphèse préfèrent se cacher dans une caverne plutôt que d’obtempérer à l’empereur qui veut les contraindre à apostasier. 

    La nuit même de leur fuite, les soldats que l’empereur a lancé à leur recherche les découvrent dormants, si j’ose dire, du sommeil du juste. Decius, qui à son âge et avec les responsabilités qui sont les siennes, semble n'avoir rien de mieux à faire que mener des battues de nuit dans les collines, décide alors de leur jouer un tour à sa façon (quel farceur quand même) et fait murer la grotte (toujours au cours de la même nuit et sans les réveiller – on trouvait encore de bons ouvriers à l’époque). 

    Presque deux siècles plus tard, sous le règne de Théodose II, des gens du coin remarquent les pierres de tailles qui murent la grotte et les descellent pour les utiliser dans une nouvelle construction. Une fois le mur démonté les martyrs se réveillent miraculeusement, croyant n'avoir dormi qu'une seule nuit, tout étonnés de constater que leurs vivres sont tombés en poussière ils envoient l'un de leurs au ravitaillement en ville. Il y est fort étonné d'apercevoir partout des églises et étonne pareillement les marchands en les payant avec des pièces vielles de plusieurs siècles. L'évêque d'Éphèse, l'empereur et l'impératrice s'empressent d'aller à la caverne pour contempler le phénomène ; puis les sept martyrs, après d’édifiantes paroles, s'endorment de nouveau pour ne plus se réveiller. 

    Au fil du temps, des gens simples ont cru de bonne foi que cette histoire était véridique, les autorités d’Éphèse n’avaient certainement pas manqué d’encourager cette croyance qui attirait les pèlerins. 


    2.56 Puis Nous vous ressuscitâmes après votre mort afin que vous soyez reconnaissants.

    => Talmud, Shabbat 88b.


    Coran plagiat + 7 dormants d'Éphèse 



    Le Pardon des 7 saints d'Ephèse en Bretagne réunit tous les ans chrétiens et musulmans. A cette occasion est lue la sourate 18 du Coran qui raconte la légende de ces jeunes croyants chrétiens persécutés par les Romains, qui fidèles à leur foi , se laissèrent  enfermés dans une caverne .


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    Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge ! - Page 2 Empty Re: Un seul Coran unique et incréé ? La fin d'un mensonge !

    Message  Arlitto Mar 10 Nov 2020 - 14:00

    D'où sont tirées les histoires et les légendes du Coran ???

     Or, ils ne l'ont ni tué ni crucifié; mais ce n'était qu'un faux semblant!

    Coran :

    Et à cause de leur parole: "Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le Messager d’Allah"… Or, ils ne l'ont ni tué ni crucifié; mais ce n'était qu'un faux semblant! Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l'incertitude: ils n'en ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures et ils ne l'ont certainement pas tué. (Sourate An-Nissa': 157)


    Quelle est l'origine de cette légende ???

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

    Basilide a enseigné la philosophie à Alexandrie de  l'an 125 à l'an 155.   Il était polythéiste et appartenait au courant gnostique. 

    Le Coran étant exact en tout selon les musulmans, il n'est nul besoin de le démontrer. 

    Selon Basilide, le monde a été créé par un démiurge, un dieu inférieur qui règne sur le monde matériel. Ce démiurge, ce dieu inférieur, correspondrait à Yahvé, le dieu redoutable de l'Ancien Testament. Yahvé entretiendrait la violence et le désordre sur terre. Un dieu tout puissant, dominant Yahvé, est lui, bienveillant.

    Basilide croyait en la transcendance de ce dieu bon et souverain : la Pensée, puis la Parole, puis la Prudence, la Sagesse et la Force émanent de Lui. Le dieu bon envoie le Christ céleste, l'expression de sa Pensée, prendre chair dans Jésus de Nazareth, un homme ordinaire, afin de corriger les querelles engendrées par Yahvé. 

    Basilide pense que ce Christ céleste vient en l'homme Jésus à son baptême et le quitte sur la croix. C'est lui premier qui va imaginer que le Christ a été remplacé par un sosie. 

    Même si Basilide ne croit pas en Christ, le seul fait que Jésus soit l'envoyé de Dieu, lui rend insupportable qu'il ait souffert et qu'il soit mort... Il va donc inventer la substitution du Christ... 


    Légende inventé par Basilide :

    Basilide écrit : « Le Christ ne souffrit pas lui-même la Passion, mais un certain Simon de Cyrène fut réquisitionné et porta sa croix à sa place. Et c'est ce Simon qui, par ignorance et erreur, fut crucifié après avoir été métamorphosé par Jésus pour qu'on le prît pour lui. Jésus s'est métamorphosé lui-même en l'image de Simon et il l'a livré pour être crucifié à sa place. Quand Simon fut crucifié, Jésus se tenait en face en riant de ceux qui avaient crucifié Simon à sa place. Quant à lui, il … s'est retiré au ciel sans souffrir. Quant à Simon, c'est lui qui a été crucifié et non Jésus. ».


    Question : Basilide, le philosophe polythéiste travaillant en Égypte au II e siècle a été inspiré par qui pour raconter une telle ânerie sur Jésus ??? 


    " Ils disent que nous avons tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le Messager d'Allah... Or, ils ne l'ont ni tué ni crucifié; Une autre personne qui lui ressemblait a été tuée à sa place! Mais Allah l'a élevé vivant vers Lui. Et Allah est Puissant et Sage ". 


    En réalité, le Coran, par la voix de "Mahomet" n'a fait que reprendre cette hérésie inventée par un philosophe du 2e siècle, ce qui est confirmé par lui-même dans ses écrits et que plusieurs après lui, ont reprit à leur compte pour en faire une vraie fausse vérité !.


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    Message  Arlitto Mar 10 Nov 2020 - 14:00

    Deux sourates différentes


    La première qui dit : « Wa K’annahom min kulli hadbin yansiloun » (وَكَأنَّهم مِن كُلِّ حَدبٍ بَنسِلونٍ), se trouve textuellement dans le verset 96 de la sourate 21 (Les prophètes) et qu’on traduit par :« comme ils(?) dévalaient en masse de toutes les hauteurs. »


    L’autre moitié du deuxième vers dit : « Limithli haza falya’mal al’âmiloun », (لِمِثلِ هذا فَليَعمَل العامِلون). Celle-ci est reproduite dans le verset 61 de la sourate 37 (As-Saffat  = Celles qui sont alignées dans des rangs), et ainsi traduite : « Pour cela (sous-entendu la félicité, selon certains traducteurs trop zélés), que les ouvriers se mettent au boulot. » Une autre traduction dit : « Voilà ce pourquoi doivent œuvrer ceux qui œuvrent. » 

    Histo :
    Le poète arabe, « Imru’ al-Qaïs », mort trente ans avant la naissance de Mahomet, certains chercheurs lui ont rendu – post mortem – son honneur et mis en lumière son grand génie, puisque le dieu même de l'islam, ou plutôt "Mahomet" a daigné s’inspirer de sa poésie et en voler frauduleusement plusieurs vers de son œuvre pour composer son coran. On pille le patrimoine des autres, on se l’approprie et on l’attribue au « génie » de l’islam.

    Taha Hussein (1889-1973), le premier égyptien ayant obtenu un doctorat ès-Lettres de la Sorbonne en 1919. Il est l’un des premiers critiques ayant mis en lumière l’influence de la poésie préislamique dans le coran. Il illustre cette évidence criante dans son fameux ouvrage, « De la littérature préislamique »

    Il y confirme la fraude et le plagiat dans le coran. Son œuvre a ouvert l’esprit de nombreux lecteurs et chercheurs à une réalité irréfutable et choquante.

     « ALLAH, qui es-tu ? », Editions de Paris 2014, p. 51-59 

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    Message  Arlitto Mar 10 Nov 2020 - 14:01

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    Le coran : un plagiat, la preuve par A + B



    Le coran : un plagiat, la preuve par A + B

    Les inspirations talmudiques et midrashiques du Coran 



    LES INSPIRATIONS TALMUDIQUES ET MIDRASHIQUES DU CORAN.

    Ces œuvres sont en partie imparfaites, tendancieuses, polémiques ... Nous avons retenus quelques versets coraniques d'inspiration d’œuvres humaines du Talmud et du Midrash :


    1) « Dieu invita Satan à se prosterner devant Adam, Satan refusa, au motif qu'il avait été fait de feu alors qu'Adam avait été fait d'argile. Pour ce refus, Satan fut maudit par Dieu » = [Bereshit Rabbah 8] et [Bereshit Rabbah 10] ; [Pirké Rabbi Eliezer 11] ; [Tanhuma Pequde 3] ; [Pesikta de Rab Kahana 57a]. 

    Le Coran reprend cette légende dans de nombreux versets: [Coran 2 -34] ; [Coran 7 -18] ; [Coran 15 -44] ; [Coran 17 -65] ; [Coran 18 ] ; [Coran 20 ] et [Coran 38 -85].


    2) « Un tiers des hommes qui bâtirent la tour de Babel furent changés en singes » = [Sanhedrin 109a]Ceci se retrouve dans le Coran dans les versets : [Coran 5 ] et [Coran 7 ].


    3) « Il y a sept cieux superposés. C'est une conception répandue dans une zone immense ». Elle est présente dans le = [Talmud (Hagigah 12b]. Le Coran la reprend en [Coran 2 ] ; [Coran 28 ] ; [Coran 41 ] ; [Coran 65 ] et en [Coran 68 ].


    4) Dans le Talmud encore, « un corbeau apprend à Caïn à enterrer un mort » = [Midrash Tanhuma, Bereshit 10] ; [Pirke de Rabbi Eliezer 21]. Le Coran le reproduit en [Coran 5 ].


    5) « Abraham se demande si le soleil, la lune, etc. sont des dieux, et répond par la négative parce qu'ils disparaissent à certains moments ». Une tradition juive =  [Bereshit Rabbah 38] et [Bereshit Rabbah 13] reproduite par le Coran en [Coran 4 -78].


    9) « Salomon, commandant une armée formée d'hommes, d'oiseaux et de djinns, envoie la huppe faire une reconnaissance au pays des Saba, à la suite de quoi la reine vient rendre visite à Salomon. Ce dernier la fait passer à travers une pièce dallée de cristal. La reine croit voir de l'eau, et relève sa robe. Salomon peut ainsi voir si oui ou non elle a des jambes de chèvre »Une légende juive = (Targum Shéni (2ème paraphrase araméenne du livre d'Esther) 1,2,3. [Midrash Bamidar Rabbah 14 ] ; [MidrashTanhuma 4 ] et [Midrash Qoheleth Rabbah 1 ] reprise dans les [Coran 21 -82] ; [Coran 27 -40] ; [Coran 34 -13] ; [Coran 38 -19].


    10) « Salomon, ayant perdu son anneau magique, fut dépossédé de la royauté, et un démon prit son apparence et s'assit sur son trône. Lorsqu'il mourut, Salomon resta immobile appuyé sur son bâton, et pendant longtemps nul ne s'aperçut de sa mort ». La source juive = [Sanhedrin 20b] se retrouve dans le [Coran 34 -14] et [Coran 38 -34].


    11) « Deux anges surveillent chaque homme afin de témoigner pour et contre lui lors du jugement dernier »La source juive, = [Shabbat, 119b] ; [Ketubot, 104a] et [Hagigah, 16a], est reprise dans le [Coran 50 -18].


    14) On peut lire dans la sourate [Coran 50 ] : « Le Jour où nous dirons à la Géhenne : Es-tu remplie ? Elle répondra : Peut-on en ajouter encore ? » et dans le livre rabbinique = [Othioth Drabbi Akiba 8 ], on trouve : « Le prince des ténèbres dira, jour après jour, + Donne-moi de la nourriture que je sois plein + ».


    15) Les [Talmud Chegiga 16] et [Talmud Taanith 11] disent : « Les membres mêmes d'un homme portent témoignage contre lui, car il est dit : + Vous-mêmes êtes mes témoins dit le Seigneur + », devient dans la sourate [Coran 24 ] : « Le jour où leur langue, leurs mains et leurs pieds témoigneront contre eux sur ce qu'ils ont fait » (voir aussi [Coran 36 ] et [Coran 41 ].


    16) « Les enfants ne doivent pas obéir à leurs parents quand ceux-ci leur demandent de s'associer au Malin » = [Jebhamoth 5I] se retrouve au [Coran 29 ].


    17) Le verset [Coran 4 ] dit « que les croyants ne doivent pas prier quand ils sont ivres, impurs ou quand ils ont touché des femmes » ; toutes ces restrictions se retrouvent dans [Berachoth 31 ] ; [Berachoth 111 ] et dans [Erubin 64].


    18) « Les prières peuvent être dites debout, en marchant, ou même en chevauchant » [Berachoth 10] aux [Coran 11 ] ; [Coran 3 ] et [Coran 10 ].


    19) « En cas d'urgence, les dévotions peuvent être abrégées sans commettre de péché » [Mishnah Berachoth 4 ] se retrouve au [Coran 4 ].


    21) Selon les sourates [Coran 4 ] et [Coran 5 ], « la purification par le sable est admise quand il n'y a pas d'eau disponible », et pour le Talmud, celui qui « se purifie avec du sable en fait assez » [Berachoth XLVI].

    22) « Les prières ne doivent pas être trop bruyantes » [Coran17 ] plagié de [Berachoth 31 ]


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    Message  Arlitto Mar 10 Nov 2020 - 14:02

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    Le Coran est constitué de textes plagiés de la poésie arabe préislamique, de récits persans et/ou zoroastriens...

    Poésie préislamique : « livre tombé du ciel ». Un plagiat mot à mot, de groupes de phrases, de périphrases de la poésie arabe qui existait avant la venue de l’islam.


    Coran : 
    Sourate 54 « Al-Qamar = La Lune », on trouve au moins quatre phrases prises textuellement d’un poème écrit par le poète « Imru’ al-Qaïs », décédé en 540 de notre ère, soit trente ans avant la naissance même de votre prétendu prophète en 570.

    Le poème commence par la phrase suivante : « Danat al-sa’a wanchaqqa al Qamar », ((دَنَت السّاعة وانشقّ القَمَر Cette phrase constitue le premier verset de la sourate 54 qui dit « Iqtarabat al-sa’a wanchaqqa al Qamar », et qui se traduit littéralement par « L’heure s’est approchée et la lune s’est fendue »A signaler que les deux verbes (Danatدَنَت  et Iqtarabatإقتَرَبَت ) sont synonymes en langue arabe et utilisés ici à la forme passée.

    Pour rendre cette phrase plus ou moins intelligible pour les lecteurs non arabophones, les traducteurs ont malignement  insinué une périphrase dans leur traduction, sans justifier ni préciser d’où elle est extraite ni la raison de cette invention : « L’heure (du jugement dernier) s’est approchée et la lune s’est fendue. »

    Le troisième vers de ce même poème se termine par « Fata’âta fa’aqar » ; et le verset 29 de la même sourate 54 s’achève également par la même phrase « Fata’ata fa’aqar » (فًتًعاطى فًعَقًر).

    Quant à sa traduction, elle diffère d’un traducteur à l’autre. Le marocain, Mohamed Chiadmi, l’a traduite ainsi : « Il eut l’audace de se saisir et de la mettre à mort. » En revanche, le français, Kasimirski, l’a reproduite autrement : « Il tira le sabre et tua la chamelle. »  Et un autre traducteur français, Jean-Louis Michon, l’interprète comme suit : « Ils appelèrent leur compagnon qui prit le couteau et trancha les jarrets de la bête. » Or dans l’original arabe il n’y a ni compagnon, ni couteau, ni sabre ni chamelle. 



      Le quatrième vers de ce poème se termine par le groupe de mots « Kahachimi lmuhtazir » (كَهشيمِ المُحتَظِر). Avec ce même groupe de mots s’achève aussi le verset 31 de la même sourate 54 « Kahachimi lmuhtazir », et qu’on traduit « comme le foin desséché » (Chiadmi), ou « comme des brins de paille qu’on mêle à l’argile » (Kasimirski) ou « réduits à l’état de paille desséchée. » (Jean-Luc Monneret).



    • Le septième vers de ce même poème débute par le groupe de mots « Bi ddouha wal layâli » (بالضّحى والليالي) qui est également le début du premier verset de la sourate 93 (Ad-Dhuha = La clarté du matin) et qui veut dire « (Je jure) par la clarté du matin et les nuits ».


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    Message  Arlitto Mar 10 Nov 2020 - 14:02

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    Coran: « Qui sauve une seule vie, sauve le monde entier »

    Traité Sanhedrin, chapitre 5, Mishna 5
    [size=130](…) C’est pour cela que l’homme a été créé seul, pour t’apprendre que celui qui ôte la vie à un fils d’Israël, détruit un monde entier; et celui qui sauve la vie d’un fils d’Israël, sauve un
    monde entier. (…)[/size]


    Mahomet a beaucoup repris des talmudistes, des judéo-nazaréens et des légendes de son époques, c'est pour cela que son entourage "les juifs et les chrétiens arabes" se moquaient de lui parce qu'ils connaissaient parfaitement ces légendes.

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

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    Message  Arlitto Mar 10 Nov 2020 - 14:03

    La sourate 105 du Coran a pour titre « l’éléphant ». 


    Le coran a plagié les contes juives 



    Le professeur Hamed Abdel Samad explique la source d'inspiration de ces versets coraniques et de toute la fable islamique qui en découle.
    Pour lire la suite : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


    Hamed Tv, la chaine du professeur Hamed Abdel Samad dans laquelle il présente chaque semaine durant une vingtaine de minutes un épisode de la vie de Mahomet 
    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

    En 591, le général perse Vahram VI, engagé dans une guerre contre les byzantins chrétiens, demande l’aide de ses voisins Arméniens dans des lettres qu’il leur envoie. Mais les Arméniens, eux-mêmes chrétiens, refusent de combattre aux côtés des perses zoroastriens d’autres chrétiens. Vahram VI menace d’envahir les arméniens avec ses éléphants. Les Arméniens répondent que leur Seigneur leur portera secours en envoyant une armée d’oiseaux qui lapidera les Perses.

    Ces lettres échangées entre l’empereur perse et les Arméniens sont, selon Hamad Abdel Samad, encore disponibles aujourd’hui en Arménie. Il ne fait pas de doute que ces échanges sont à l’origine de la fable islamique.

    Le plagiat coranique le plus éléphantesque

    La sourate 105 du Coran a pour titre « l’éléphant ». Elle est composée de 5 versets que voici :
    1. N’as-tu pas vu comment ton Seigneur a agi envers les gens de l’Eléphant ?
    2. N’a-t-Il pas rendu leur ruse complètement vaine?
    3. et envoyé sur eux des oiseaux par volées
    4. qui leur lançaient des pierres d’argile?
    5. Et Il les a rendus semblables à une paille mâchée.

    Le Coran ne dit rien de plus à propos de ces « gens de l’éléphant ».

    Toute une fable s’est pourtant construite autour de ces quelques versets. Les musulmans racontent en effet que cette sourate relate une attaque menée depuis le Yémen par Abraha l’Abyssin contre la Mecque. Cette attaque aurait eu lieu quelques décennies avant la « révélation » coranique. Plus précisément, l’année de la naissance de Mahomet, vers 570-571. La Mecque était alors gardée par Abd al-Muttalib, grand-père de Mahomet. Elle a « miraculeusement » survécue à cette attaque de l’armée abyssine et de la charge de son grand éléphant. Les musulmans prétendent que cet éléphant a refusé d’attaquer la Mecque et de charger la Ka’ba. Lorsqu’il était dirigé vers la Mecque, l’éléphant s’agenouillait. Les musulmans lui ont même donné un prénom : Mahmoud. Les soldats abyssins ont été tous complètement anéantis à coup de pierres d’argile lancées par des oiseaux. Telle est la fable islamique.

    Mais le professeur Hamed Abdel Samad, égyptien, explique [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], la source d’inspiration de ces versets et de toute la fable qui en découle.

    En 591, Vahram-i-Chubin, un général perse renverse l’empereur sassanide Khosro II et prend le pouvoir sous le nom de Vahram VI. Engagé dans une guerre contre les byzantins chrétiens, il demande l’aide de ses voisins Arméniens dans des lettres qu’il leur envoie. Mais les Arméniens, eux-mêmes chrétiens, refusent de combattre aux côtés des perses zoroastriens d’autres chrétiens. Vahram VI menace d’envahir les arméniens avec ses éléphants. Les Arméniens répondent que leur Seigneur leur portera secours en envoyant une armée d’oiseaux qui lapidera les Perses.

    Ces lettres échangées entre l’empereur perse et les Arméniens sont, selon Hamad Abdel Samad, encore disponibles aujourd’hui en Arménie. Il ne fait pas de doute que ces échanges sont à l’origine de la fable islamique.



    .
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    Message  Arlitto Mar 10 Nov 2020 - 14:03

    Le premier pilier de l'Islam "la Chahada" =  le premier mensonge !


    PILIER 1 : LA CHAHADA (Le témoignage) = le premier mensonge.

    "Ach-hadou an la ilaha illa Allah wa ach-hadou anna Mohamadane Rassouloullah"
    J'atteste qu'il n'y a pas de Dieu sauf Allah et j'atteste que Mohamed est son Messager


    Tous les islamologues savent que la profession de foi islamique telle que nous la connaissons n’est pas attestée avant le 8e siècle.

     Celle qui la précédait ne portait la seconde partie de la formulation actuelle : « Muḥammad est le messager d'Allah » (Muḥammadrasûli] [Llah). 

    Cette seconde partie de la 
    Shahâdah apparaît au mieux à l’extrême fin du 7e siècle, mais sous la forme d’une troisième partie ajoutée à ce qui était manifestement la profession de foi primitive : « Pas de divinité sinon Allah, pas d’associé à Lui » (Lâ ilahaillâ Llah, lâ šarîkalahu). Manifestementparce qu’on la connaît par l’épigraphie et qu’elle est même attestée sur des pièces de monnaie islamiques – en Afrique du nord notamment, comme l’a montré une étude du Prof. Michael L. Bates (1995)


    Aspect religieux des textes épigraphiques du début de l’islam", Solange Ory,

    "Il n'est donc pas étonnant que les énoncés de la sahàda (profession de foi) soient fréquents dans les textes officiels, textes de construction insérés sur la façade, ou à l'intérieur, d'un monument érigé sur l'ordre du calife, par exemple. 

    La formulation de cette profession de foi ne se limite d'ailleurs pas à ses termes essentiels : là ilàha illà-llàh Muhammad rasùlu-llàh (Point de divinité hormis Allah. Muhammad est l'Envoyé d'Allah). 

    Dans les premières sahàda gravées sur pierre, le mot Allah est presque toujours complété par un qualificatif coranique : wahda-hu (l'Unique)15, et souvent, par un fragment de verset : là sarïka la-hu (il n'a pas d'associé)

    16. Cette forme de la sahàda est constante dans les premiers textes épigraphiques officiels. Elle le sera encore au début de l'époque 'abbâside.

    Une autre observation mérite d'être notée. 

    Dans la formulation de la sahàda, la référence au Prophète n'est pas systématiqueAinsi, celle-ci est absente du texte gravé à droite de la porte d'entrée de la mosquée umayyade de Busrâ17, texte sur lequel nous reviendrons plus loin. Elle est également absente de la plupart des textes funéraires. 

    Dans les cimetières d'Adri'ât (aujourd'hui Der'a, sur la route de Damas à 'Amman), sur dix épitaphes de cette époque, dans lesquelles figurent la sahàda, aucune ne fait référence au Prophète 18. Elle se limite à la formule de proclamation de l'unicité divine, formule que le croyant doit prononcer avant de mourir.

    C'est évidemment dans les grands centres chrétiens que le contenu apologétique des inscriptions va avoir tendance à se développer. Un bel exemple nous est donné dans le célèbre texte, en mosaïque, qui orne la Coupole du Rocher à Jérusalem 19, premier monument de prestige de l'Islam, en plein cœur de la chrétienté. Il est intéressant d'en analyser le contenu..........................."


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