Forum des Religions - Les Origines

La Tour de Babel :: l'origine de l'empire mondial des religions

    Ils ont régné en despotes et ils règnent encore en despotes

    Mikaël Malik
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    Message  Mikaël Malik Lun 3 Mai 2021 - 16:52

    Ils ont régné en despotes et ils règnent encore en despotes non inspirés et pouvant se tromper sur la doctrine.

    Fuyez les imposteurs et les hypocrites qui ne peuvent se sauver eux-mêmes



    L’organisation des Témoins de Jéhovah mise sur “ pilote automatique ”

    Par “ AlanF ”

          Il est évident que l’organisation des Témoins de Jéhovah (TJ) a maintenant été mise sur “ pilote automatique ”. Charles Russell, Joe “ Lèvelecou­de ” Rutherford, Nathan Knorr et Fred Franz savaient tous plus ou moins vers où ils voulaient diriger l’organisation. Ils régnaient en despotes et marquèrent tous l’organisation de leurs personnalités respectives. 

    Mais maintenant que ces lumières se sont éteintes, les TJ se voient dirigés par un comité.

          Les choses se sont détériorées comme cela se passe habituellement après le décès des fondateurs et des premiers dirigeants de la plupart des organisations. Elles tombent entre les mains de bureaucrates dont l’unique préoccupation est de maintenir ces organisations à flot de manière à conserver leurs places. 

    Le but des fondateurs est soutenu du bout des lèvres mais ne joue qu’un très petit rôle dans la réalité. Cela est vrai tant des organisations politiques qu’économiques et religieuses.

          Ceux qui dirigent l’organisation des TJ de nos jours ont toute leur vie été entraînés à obéir, ce qui leur était nécessaire pour survivre aux passages au crible effectués par Rutherford, Knorr et Franz

    Ces derniers n’admettaient aucune dissidence et exigeaient une fidélité absolue envers leurs personnes. 

    Ces dirigeants ordonnaient à leurs subalternes d’effectuer des tâches que ces derniers n’ap­prouvaient pas, voire même qu’ils savaient être mauvaises. Seuls ceux qui étaient capables d’étouf­fer en permanence leur conscience sans en être gênés purent y survivre.

          Rutherford, par exemple, est tombé dans l’al­coolisme après l’échec de sa prédiction selon laquelle “ la fin ” viendrait en 1925. Il était excessivement perturbé par cette déconfiture. 

    Il prit une maîtresse dont il fit sa cuisinière afin qu’ils puissent voyager ensemble. En 1929 Rutherford était si incontrôlable que ses subalternes firent construire pour lui à San Diego la résidence appelée Beth Sarim. Il était ainsi absent pendant la moitié de l’année. Il y a même des preuves indiquant que Rutherford est mort, non pas du cancer du côlon qui l’aurait emporté de toute façon, mais des blessures consécutives à une chute dans les escaliers à Beth Sarim, alors qu’il était complètement saoul.

          Des hommes comme Knorr et Franz, qui étaient ses subordonnés immédiats, savaient certainement toutes ces choses, mais comme ils pensaient que ce bon vieux Joe était l’“ oint de Dieu ”, ils étaient très indulgents. Dit plus clairement, ils voyaient Rutherford constamment ivre, commettant l’adultère, faisant du mal à pratiquement tout le monde autour de lui et provoquant des dégâts partout où il passait. Mais, comme ils pensaient que c’était Dieu qui l’avait mis à la place qu’il occupait, ils ne voulaient rien faire pour retirer toute responsabilité à ce déchet. Ils croyaient apparemment que Rutherford était comme le roi infidèle Saül, et ils refusaient de toucher à “ l’oint de Jéhovah ”.

          Pensez un peu au genre de personnalité que peuvent engendrer deux décades passées sous les ordres d’un homme comme Rutherford. On peut alors voir la méchanceté et le mal tout autour de soi sans en être incommodé, et on finit par développer une fidélité aveugle et amorale. C’est le même état d’esprit qui a permis à Adolph Hitler ainsi qu’à bien d’autres despotes de continuer dans leur mauvaise voie sans être inquiétés.


          Lorsque Knorr et Franz prirent le pouvoir en 1942 après la mort de Rutherford, ils apportèrent beaucoup de changement dans l’organisation des TJ. Ils nettoyèrent pas mal de la crasse laissée par Rutherford. Toutefois, ils exigèrent la même fidélité aveugle que le vieux avait voulue. 

    Les membres actuels du Collège central occupent la position qui est la leur parce qu’ils ont su montrer, depuis plusieurs décades, la même fidélité et la même absence de conscience. Il en va de même aujourd’hui pour les assistants du Collège central et pour pratiquement tous ceux qui ont une position de responsabilité dans l’organisation. Autrement dit, ils ne sont pas chefs parce qu’ils en ont les qualités, mais parce que ce sont de bons disciples obéissants qui savent étouffer leur conscience.

          Avec un tel schéma mental, ils ne savent pas quoi faire dans des situations inattendues, à part essayer d’appliquer de vieilles lignes de conduite et de vieilles idées et tenter de résoudre les problèmes nouveaux en faisant du rafistolage. Ils sont maintenant comme des outres usagées, et cet état d’esprit mène à la stagnation de l’organisation. C’est probablement à ce stade qu’en est maintenant l’organisation des TJ. 

    Les vieilles idées sont abandonnées à mesure que des preuves solides prouvent qu’elles sont erronées, et les nouvelles con­duisent l’organisation sur la voie du christianisme traditionnel. Laughing

    Les articles de La Tour de Garde ne sont presque tous que des textes recyclés, et les décisions qui sont prises ne le sont que pour éviter les problèmes que ne manquent pas de provoquer les anciennes lignes politiques. L’organisation est tout simplement en train de faire des embardées sur un chemin qu’elle a commencé à emprunter quand Knorr et Franz ont perdu le pouvoir dans les années 1970.


          On trouve une bonne description de la manière dont les organisation tombent généralement dans le déclin dans l’article “ Imprisonned Ideas ” de W. P. Brown, que l’on peut le lire sur le site suivant :  http://www.freeminds.org/fishin/ideas.htm. [Traduction française en annexe de cet article]

          Je pense qu’il donne une description presque parfaite de l’évolution passée et future de l’organi­sation des Témoins de Jéhovah. Elle en est probablement actuellement à ce que Brown décrit com­me le troisième stade, le stade dégénéré où l’orga­nisation est en pilote automatique parce que tous ceux qui voyaient clair ont été éliminés.
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    Message  Mikaël Malik Lun 3 Mai 2021 - 16:53

    Idées emprisonnées
    par W. P. Brown,
    membre de la Chambre des Communes

    Un membre du parlement britannique souligne le danger qu’il y a à devenir esclave

    d’une institution ou d’une organisation.

          On peut classer les hommes et les femmes selon plusieurs systèmes : les classes dirigeante, moyenne ou ouvrière, les riches, les bourgeois et les pauvres, les croyants, les sceptiques et les athées, les conservateurs, les libéraux ou les socialistes, les catholiques et les protestants, les maîtres et les employés, et ainsi de suite, indéfiniment. 
    Mais je crois que la seule classification qui importe vraiment et celle qui divise les hommes entre les serviteurs de l’esprit et les esclaves des organisations.
    Cette classification, qui empiète sur toutes les autres, est en réalité fondamentale. L’idée, l’inspiration, a son origine dans le monde intérieur, le monde de l’esprit. Mais, tout comme l’esprit humain doit s’incarner dans un corps, l’idée doit s’incarner dans une organisation. Que celle-ci soit politique, religieuse ou sociale n’a aucun espèce d’importance pour mon argumentation. Le point important est que, l’idée ayant pris corps dans une organisation, cette dernière se met petit à petit à assassiner l’idée qui lui a donné naissance.
          On peut voir ce processus à l’œuvre dans quantité de domaines. Illustrons cela par un ou deux exemples. Dans le domaine de la religion, un prophète, un inspiré, aura une vision de la vérité, vision qu’il exprimera du mieux qu’il pourra, par des mots. Il ne dira pas tout ce qu’il a vu, car chaque expression de la vérité en fixe même temps les limites. Mais il exprimera la signification de sa vision. 
    Ce qu’il dira ne sera que partiellement compris par ceux qui l’écouteront, et lorsque ces derniers répéteront ce qu’ils penseront avoir compris de l’idée du prophète, il y aura déjà une grande différence avec sa vision originale. C’est sur ce que les disciples comprendront du message du pro­phéte qu’une organisation, une église, sera bâtie. 
    Le message à moitié compris deviendra un credo, et avant longtemps le principal souci de l’église sera de subsister en tant qu’organisation. Pour ce faire, toute déviation par rapport au credo donnera lieu à polémique et, si nécessaire, sera supprimée comme hérétique. En quelques dizaines ou en quelques centaines d’années ce qui avait été conçu pour véhiculer une nouvelle et brillante vérité sera devenu une prison pour les âmes. C’est ainsi que les hommes se tuent les uns les autres par amour pour Dieu et que l’on obtient l’opposé de ce qui était initialement prévu.
          Dans le domaine de la politique, le rêve de l’ordre social, fondé sur la justice, est un système dans lequel l’homme n’exploitera pas son prochain, dans lequel chacun apportera sa contribution selon ses capacités et dans lequel chacun recevra selon ses besoins. C’est sur cette conception que l’on pourra bâtir un parti politique, lequel livrera bataille au fil des ans à l’ordre de choses existant. Tout comme dans le cas de l’église, il ne se passera pas longtemps avant que la principale préoccupation du parti ne soit sa propre survie. Là encore, toute déviation par rapport au credo politique sera réprimée. La “ ligne du parti ” devra être maintenue et les dissidents éliminés. Au fil du temps, le parti arrivera au pouvoir. Mais, à ce moment-là, il ne sera plus dirigé par des idéalistes rêveurs, mais par des gens inflexibles qui se mettront alors à utiliser leur autorité nouvellement acquise pour établir un despotisme plus dur encore que celui de ceux qui auront été chassés du pouvoir et à tomber dans exactement les mêmes travers que ceux qu’ils dénonçaient chez leurs anciens adversaires. Il n’en résultera ni liberté ni justice sociale, mais un contrôle totalitaire plus étroit dont le but sera de maintenir au pouvoir une nouvelle classe privilégiée, laquelle sera, du fait de l’expérience de ses membres, plus impitoyable que l’ancienne.
          On peut trouver des exemples de ce genre dans tous les domaines de la vie. Ces deux-là suffiront, cependant, pour démontrer ce qui est l’objet de ma préoccupation, à savoir que, une fois que l’idée a donné naissance à l’organisation, cette dernière n’a plus d’intérêt que pour elle-même, intérêt qui n’a plus aucun rapport avec l’idée qui lui a donné naissance, et lui devient même hostile. Qu’est-ce qui permet à ce processus de se mettre en place ? Qu’est-ce qui permet à l’organisation de s’opposer à l’idée qui est à l’origine de son existence et qui l’a inspirée ? Il s’agit tout simplement de la tendance qu’ont les hommes et les femmes à devenir prisonniers de l’organisation au lieu d’être serviteurs de son esprit. De nombreux éléments composent cette tendance. Il y a, par exemple, le sentiment que l’on ne peut diriger une organisation sans en devenir prisonnier. L’organisation a ses propres nécessités dans le cadre desquelles l’idée originale devait être plutôt conforme. Dès que l’idée n’est plus simple spéculation et prend corps dans les faits, elle commence à être dénaturée petit à petit par toute sorte d’influences rampantes et insidieuses. À ce moment-là, les dirigeants n’ont nul besoin d’être conscients de leur infidélité à l’idée originelle. Mieux, ils peuvent présenter des arguments pour dire que cette grande idée ne peut être manifestée qu’en partie et qu’elle ne devrait rester qu’une simple idée. En somme, mieux vaut n’avoir que la moitié de la miche idéale que pas de pain du tout.
          
    Ensuite, plus la zone dans laquelle l’idée est introduite est grande, plus large est le cercle d’hommes et de femmes auprès desquels l’organi­sation la propage, plus elle doit être “ schémati­sée ” à des fins de propagande. L’idée qui donne naissance à un parti qui veut établir une communauté coopérative doit être traduite en propositions pratiques comme la journée de huit heures ou la semaine de cinq jours afin d’obtenir le soutien des masses. Ainsi, l’organisation devient moins le véhicule d’une idée qu’un canal servant à servir des intérêts particuliers. Le fait de servir de tels intérêts particuliers attire d’autres groupes organisés qui sont plus intéressés par les objectifs limités nouvellement adoptés par l’organisation que par la grande idée de départ. La pression exercée par de tels groupes sera ressentie par l’organisation, et le résultat sera que l’idée d’origine sera reléguée à l’arrière-plan au profit d’objectifs moins ambitieux. Le Diable circule dans ce monde, et il est parfois nécessaire de lui tendre une bougie.
          Voici un autre élément à considérer : il y a tou­jours une bonne probabilité que les prophètes se fassent supprimer. Cette probabilité s’accroît s’ils quittent l’anonymat pour se faire connaître publiquement comme prophètes, et augmente d’avanta­ge encore s’ils arrivent sur la place publique en étant désarmés. Les prophètes ne devraient arriver sans armes que s’ils pensent que leur œuvre est accomplie et sont donc préparés à s’en aller. Certains prophètes prennent les armes, et même si le prophète originel ne le fait pas, ses disciples peuvent le faire. Il faut combattre le Diable avec ses propres armes. Voilà un argument qui peut paraî­tre logique, mais qui est désastreux en pratique, car il signifie que les serviteurs de Dieu, les disciples de l’idée, ont tendance à descendre se mettre au niveau du Diable. À mesure que l’organisation s’accroît, elle dégénère et ses dirigeants ne sont plus ce qu’ils étaient à l’origine.
          De nombreux éléments se combinent pour maintenir les membres de base dans l’organisation, même lorsqu’ils prennent conscience, parfois à leur insu, qu’un gouffre commence à se former, voire même à béer, entre l’organisation et l’idée d’origine. Il y a premièrement la force de l’iner­tie : il est plus facile de rester que de partir, et se laisser entraîner est plus facile que de prendre une décision. Il y a ensuite le facteur affectif. Nous avons tous tendance à projeter sur l’organisation dont nous sommes membres les vertus que nous voudrions posséder et à être aveugles quant à ses défauts. Et, finalement, les hommes sont des créa­tures grégaires et détestent quitter des amis de longue date. L’organisation change petit à petit, et à mesure que s’effectuent ces changements elle attire à elle de nouveaux éléments qui approuvent ces changements. Cela ne se fait pas par des calculs conscients, lesquels viennent plus tard, au moment où l’idée de départ a été abandonnée, mais parce que l’organisation développe sa propre logique, sa propre raison d’être [en français dans le texte — N.d.T.], et parce que les hommes ont tendance à devenir les prisonniers de l’organisation, celle-ci peut finir par soutenir des idées opposées à celle qui est à l’origine de son existence.
          Quelle morale doit-on tirer de tout ceci ?
          D’abord, et ce ne serait pas totalement ironique que de le suggérer, il faudrait que la première règle d’une organisation soit d’envisager sa propre dissolution après une période d’existence limitée, en prévoyant par exemple : “ Cette organisation devra être dissoute avant le… ” Mais notre principale préoccupation est notre attitude envers l’orga­nisation en tant que telle. La morale est que, en tant que membres d’une organisation, nous devrions en être partiellement détachés. Nous devrions nous placer au-dessus d’elle, même en en étant membres. Nous devrions nous y joindre tout en sachant qu’il ne devrait en aucun cas y avoir de place pour une totale allégeance. Nous devrions n’être que des locataires temporaires, et non pas des occupants à long terme. Nous ne devrions pas accepter le moindre engagement qui nous empêcherait de quitter l’organisation lorsque les circonstances rendraient cette démarche nécessaire. Il nous faudrait accepter d’être pratiquement en perpétuelle rébellion tout en étant à l’intérieur. Et, par dessus tout, nous devrions considérer toute loyauté envers l’organisation comme provisoire. Le con­cept qui nous fait dire : “ c’est mon parti, qu’il ait tort ou raison ”, ou “ c’est ma société, qu’elle ait tort ou raison ”, ou encore “ c’est ma religion, qu’elle ait tort ou raison ”, devrait être totalement étranger à notre schéma mental. Nous devons être des serviteurs de l’esprit, et non pas des prisonniers de l’organisation. Il faut rester en contact avec la source de la vie et ne pas nous perdre dans ses véhicules temporaires. Et quelles que soient les demandes de l’esprit, les impératifs catégoriques de l’âme et les conflits avec les demandes de l’organisation, tout se résume par une des paroles attribuées à Jésus mais qui porte les marques de l’authenticité :
          “ Le monde est un pont. Vous devez le traverser, mais pas y bâtir vos maisons. ”
          Un bivouac : Oui ! Une tente : Peut-être ! Des maisons : Non !
    http://www.freeminds.org/foreign/automatique.htm
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    Message  Mikaël Malik Lun 3 Mai 2021 - 16:55

    Le mode de vie des  chefs jéhovistes

    JB

    "Par les âges la richesse de la religion qui se professe chrétienne a dérangé beaucoup de personnes. Les papes, des évêques et d'autres dignitaires religieux ont vécu dans la splendeur soutenue par leurs fidèles, tandis que beaucoup de ceux-ci vivaient dans la pauvreté. La situation n'a pas changé de temps modernes." – Réveillez-vous! Le 22 octobre 1988, p. 31. (Voir aussi Reveillez-vous! Le 22 octobre 1982, p. 30). Laughing 


    Ce qui est drôle, c’est que ceux qui pointent ici leurs doigts sur les autres, ne sont pas meilleurs que le reste, (Jean 8:7) comme les exemples suivants montrent clairement :

    * JOSEPH F. RUTHERFORD, le deuxième Président du WBTS, avait de luxueux appartements. Partout où il a voyagé, son agréable chambre et son bureau au Béthel de Brooklyn, l'utilisation d'une suite dans un hôtel à 10,000 $ par an dans le loyer, l'accès aux appartements privés de Staten Island, à NEW YORK (où la Watchtower avait placer sa station de radio WBBR  jusqu'à ce qu'elle  soit fermé en 1957), l'accès aux appartements privés à la Ferme de Royaume, au Sud Lansing, NEW YORK, son hôtel particulier, Bethsarim à San Diego, Californie, ses deux Cadillacs, plus les fournitures pour son confort aux succursales de la Société au ROYAUME-UNI, en France et en Allemagne. De Plus, Rutherford avait demandé au directeur Canadien de la Société, Walter F. Salter, de lui envoyer d’énormes quantités de spiritueux pendant les années 1920 où les liqueurs était illégales aux Etats-Unis.

    Olin R. Moyle, (un avocat de la Watchtower) a accusé Rutherford sur beaucoup de choses par exemple : "vous travaillez dans une agréable chambre climatisée. Vous et vos préposés passez une partie de la semaine dans le calme de la campagne. Les garçons de l'usine travaillent diligemment sans de telles aides, et sans aucun effort fait pour leur donner."


    * NATHAN H. KNORR, a voyagé dans le monde partout en première classe. Il a vécu dans un appartement de grand standing au dixième étage du Bethel, avec des peintures murales aux murs, une cuisine privée, la télévision et d'autre facilités

    De plus, Knorr avait un « travailleur » du Bethel qui le servait personnellement et agissait aussi en tant que cuisinier personnel. Il a possédé une Cadillac, a invité des personnes dans les restaurants les plus cher  et dans les « shows » de Broadway. (Voir « Questions pour les Témoins de Jéhovah » - William I. Cetnar)


    * HAYDEN C. COVINGTON, Avocat et vice-président de la Watchtower, dans une interview a déclaré : "nous avons voyagés en première classe, le Frère Rutherford m'a dit," je veux que, chaque fois que vous voyagez, vous voyager en première classe. "Et c’est ce que j’ai fait, tout comme le Frère Heads [le secrétaire de Rutherford] , tout comme Nathan Knorr et Freddy Franz aussi, toute la bande entière." (Interview du 19 novembre 1978, par Jerry Murray, p. 13)


    * MILTON G. HENSCHEL, à deux occasions, en visitant l'Île de la Malte, a logé dans un hôtel cinq  étoiles. (Accompagné par Walter Farneti, le coordonnateur de la branche Italienne ainsi que leurs femmes) Quand on lui demanda pourquoi, par le moyen d’une lettre, (le 19 août 1994) il l'a ignoré. Quand un ex- Témoin de Jéhovah lui a posé la question par téléphone, Henschel a commencé à rire et devant l’insistance pour avoir une réponse, il a avec arrogance répondu : "ce n'est pas votre affaire" et a brusquement raccroché.


    * ALBERT D. SCHROEDER, accompagné de son fils Judah-Ben, invita le docteur Gabriele Yonan, pour un repas, dans un des restaurants les plus huppés en Allemagne. Au cours du repas, il proposa même à ce docteur de lui payer le voyage en Italie pour suivre la conférence du CESNUR se déroulant en 1998 à Turin. (Conversation privée, docteur Yonan, septembre 1998, Torino, l'Italie)


    * "LES MEMBRES DU CONSEIL D'ADMINISTRATION peuvent régulièrement prendre leurs vacances dans des lieux où la plupart des personnes ne peuvent qu’aller en rêve. En 1978, ma femme et moi [Ray Franz] nous sommes monter à bord d'avions au moins cinquante fois dans l’année." - Crise de Conscience, R. Franz, 3ème édition, p. 265.


    "Les allocations mensuelles de quatorze dollars couvrent souvent à peine (et dans quelques affaires pas complètement ) les dépenses de transport pour aller aux réunions dans les salles de royaume.

     Ceux dont la famille ou des amis étaient riches n'avaient aucun problème car ils recevaient de l'aide de l’extérieur. Mais d'autres pouvaient rarement se permettre quelque chose au-delà du strict nécessaire. Ceux venant des points les plus éloignés, particulièrement des états de l’Ouest, pouvaient  trouver pratiquement impossible de passer des vacances avec leurs familles, particulièrement s'ils venaient d'une famille pauvre. Ils recevaient régulièrement les salutations passées à la famille du Béthel par les membres du Conseil d'administration ou d'autres quand ils  voyageaient dans tout les pays du monde pour donner des discours. Ils voyaient les officiels de la société conduire les nouvelles voitures « Oldsmobile » achetées par la Société et qui étaient entretenues et nettoyées par des travailleurs comme eux." - ibid., p. 82.

    * À certain BETHELS, comme au ROYAUME-UNI, ils ( les membres du Conseil d’Administration) ont même des chambres à coucher de VIP. (Confirmé par un  ancien béthélite local, Roger Kay)

    D'autre part, de loyaux serviteurs, comme Adams Akuetteh, du Ghana, ont naïvement, passer quatre ans pendant la construction de la Succursale du Ghana, chaque matin rassemblant les clous perdus. Le surveillant du projet, lui a dit que son travail économisait l'argent de la Société, l'argent de Jéhovah. Ils ont régné en despotes et ils règnent encore en despotes 4294321852 ........ Avec joie il recyclait des clous pour sauver l'argent de Jéhovah! (Réveillez-vous! Le 22 mai 1992, p. 31)

    Que fait le Gouverning Body (conseil d’administration) l avec "l'argent de Jéhovah" ? Est-ce  ' le voeu de pauvreté ' que tous les membres du GB sont supposé avoir souscrit ? (Voir les Témoins de Jéhovah - Proclamateurs du Royaume de Dieu p. 351). Leurs actions ressemblent plutôt à celles de certains politiciens du monde!


    "Quand des leaders qui professent être Chrétiens adoptent des styles de vie opulents, cela ne pousse pas les autres à se demander si ils sont les vrais disciples de Christ ?" Réveillez-vous! Le 22 octobre 1988, p. 31. Laughing  


    Tiré de http://www.jehovahs-witness.com/forum/thread.asp?id=6211&site=3
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    Message  Mikaël Malik Lun 3 Mai 2021 - 16:56

    LES POSSESSIONS MATERIELLES : L'ambiguïté jéhoviste ...

    Ils ont régné en despotes et ils règnent encore en despotes 3cd71c27
    27 septembre 2009

     Enseignement contradictoire et obscur de la richissime secte WatchTower...

    Le 1er septembre 2009, le magazine bi-mensuel des Témoins de Jéhovah que publie la TOUR DE GARDE, suscite une nouvelle fois l'étonnement et met à nu les contradictions entre le message biblique, d'une part et le comportement du messager chargé de l'annoncer, d'autre part :

    En effet, cette édition n°17 intitulé "Dieu promet il LA RICHESSE ?"présente sur sa page de couverture, toute en dorure, l'image en buste d'un proclamateur témoin de jéhovah, sa bible inséparable (TMN) câlée sous le bras droit, désignant de sa main gauche les symboles tangibles et extérieures de la réussite sociale symbolisés ici par un habitat pharaonique, une voiture de sport et un yatch ultra moderne...
     
    Les pages intérieures de ce fascicule démontrent (avec raison), en citant la  bible :
    - qu'il est difficile à ceux qui possédent beaucoup de biens  d'entrer dans le Royaume de Dieu (p.4)
    - que la véritable richesse plus précieuse que l'or et l'argent est celle qui provient de la foi (p.5),
    - que la pauvreté n'est pas un signe de désapprobation divine (p.8)
    - et dénonce  l'amour de l'argent comme étant est une racine de toutes choses mauvaises (p.9)
    .
    Ce qui ne manque pas d'étonner le lecteur c'est  :
    Qu'en contradiction avec le contenu laudatif de la pauvreté developpé dans les pages intérieures, le dessinateur a représenté  ce missionnaire de la Parole de Jehovah fièrement replet, richement vêtu, la main gauche parée ostensiblement des atours de la richesse, à savoir de couteux bijoux (bracelet- montre en or et deux bagues en or) ???!
     
     
    En clair, la question que soulève cette image de couverture est la suivante :
    Pourquoi ce témoin de Jehovah modèle, fait il un discours critique et moralisateur sur la détention de  richesse, alors qu'il est lui même richement vêtu ?

     
    En d'autres termes, pourquoi l'Organisation Watchtower :

    -promeut elle envers les adeptes TJs et le lecteur un esprit chrétien de pauvreté et de partage, d'une part,
    -et met en scène  un témoins de jehovah pourvu d'une  situation socio-économique ostensiblement très cossue, d'autre part ?

    Ce n'est pas la première fois que les responsables des  témoins de jehovah font montre d'amateurisme et de contradictions doctrinales, eux qui pourtant se disent prophètes inspirés par l'Esprit de Jehovah et Canal terrestre de Jéhovah-Dieu,...
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    Message  Mikaël Malik Lun 3 Mai 2021 - 17:00

    L'arnaque intellectuelle de la Société Watchtower


    I. LEURS CHEFS
    A la tête de l'étrange secte que constituent les Témoins de Jéhovah, trois pontifes se sont succédé jusqu'à nos jours: Charles-T. Russell, Joseph-Frederick Rutherford, Nathan-H. Knorr. Une brève biographie de chacun d'eux, surtout des deux premiers qui sont les mieux connus, nous permettra de soupçonner déjà la sainteté (!) du mouvement auquel ils ont voué une grande partie de leur vie.


    CHARLES-T. RUSSELL
    Le fondateur de la secte est né en 1852, à Pittsburg en Pennsylvanie, aux États-Unis. Élevé dans la religion presbytérienne, il prétendit avoir perdu la foi dès l'âge de 16 ans. Cette confession qu'il fit, nous ne pouvons en nier la vérité ; mais, ce qui est encore plus sûr, c'est que jamais dans la suite il n'a recouvré la véritable foi prêchée par le Christ.

    En 1876, son imagination maladive lui fit croire que le second avènement du Christ venait d'arriver deux ans plus tôt. Poussé par le même illuminisme qui le dirigera toute sa vie, il se dit alors le Précurseur du "règne millénaire" de Jésus, l'Envoyé de Dieu pour prêcher cette étonnante nouvelle, la Trompette de vérité qui démasquerait "les fraudes, les erreurs, les enseignements et les pratiques des religions établies, aussi bien de la religion catholique que des religions protes-tantes".

    Les tribunaux judiciaires et les commissions d'enquête ne surent pas toutefois rendre justice à sa sainteté et reconnaître sa mission divine. Pour ébahir les ignorants et essayer de montrer que l'Église catholique déforme la Bible, il citait souvent des passages bibliques d'après le texte original, écrit en grec. 

    Or, devant une commission d'enquête de la radio américaine, il dut avouer qu'il ne pouvait même pas énumérer les lettres de l'alphabet grec. Sa femme obtint le divorce sur des accusations de cruauté et d'infidélité. Un pitoyable "miracle" le conduisit aussi devant la cour de justice. Des fermiers naïfs, en effet, avaient acheté de lui du "blé miraculeux", au prix phénoménal de $60.00 le boisseau. Comme le blé ne fit pas merveille - on aurait dû s'y attendre -, le pseudo-thaumaturge fut traîné devant les tribunaux et condamné à rembourser (Radio Replies, second volume, nn. 1352, 1354).


    JOSEPH-F. RUTHERFORD
    A la mort du fondateur, en 1916, le faux juge J.-F. Rutherford se vit confier la noble (!) tâche de présider aux destinées des Témoins.

    Même s'il est universellement connu sous le nom de "Juge Rutherford", juge il ne le fut jamais; c'est sa grande humilité (!), caractéristique de toute sa vie, qui l'incita à ajouter pareil titre à son nom. Laughing Journaliste judiciaire au début de sa carrière, il devint vite au courant de la procédure légale ; fort de cette expérience, il voulut devenir avocat. Des ficelles habilement tirées lui valurent finalement la licence qui lui permit de pratiquer le droit. Or, dans l'État de Missouri, aux Etats-Unis, où il exerçait sa profession, c'est la coutume que chaque avocat, à tour de rôle, monte sur le banc pour remplacer le juge qui s'absente inopinément. C'est parce qu'il a siégé 4 fois, donc 4 jours bien espacés, que Rutherford se proclama juge.  Laughing

    A une telle prétention, les autres avocats du Missouri ne voulurent jamais souscrire pour eux-mêmes. Si Rutherford fut un véritable juge, il n'y a plus d'avocats dans l'État de Missouri, mais seulement des juges (Radio Replies, l.c., n. 1359).

    Les écrits de Russell disparurent complètement de la circulation, quelque temps après l'arrivée de Rutherford.

    Ce dernier, seul, voulait envahir le monde avec sa littérature de dernier ordre. La multitude de ses volumes et de ses tracts, tous plus indigestes et plus mal écrits les uns que les autres, n'est que la répétition des mêmes blasphèmes et des mêmes vociférations contre tout ce qui est cher aux âmes bien nées et croyantes, contre tout ordre établi.


    Croyez-le ou non, si Dieu a mis fin à la première Grande Guerre, ce fut pour permettre aux colporteurs de vendre les écrits de Rutherford Laughing ; lui-même nous fait cette sotte confidence dans son tract intitulé Le Royaume, p. 8. Fourbe et lunatique, le successeur l'a été autant que le fondateur.


    En 1894, 1895 et 1897, il eut lui aussi des troubles légaux, accusé qu'il fut de conduite anti-professionnelle. En 1918, il fut condamné à 20 ans d'emprisonnement pour conspiration et déloyauté ; il avait essayé de soulever une révolte militaire contre le gouvernement de son propre pays. Après la guerre, en 1919, il fut relâché avec plusieurs autres prisonniers. Il avait été 9 mois derrière les barreaux du pénitencier d'Atlanta (Radio Replies,l.c, n. 1354).

    Le jour du 8 janvier 1942 vit la fin de sa triste vie, à San-Diego, Californie.


    NATHAN-H. KNORR
    Le chef actuel, celui qui fait danser les marionnettes, est Nathan-H. Knorr.

    Cinq jours après la mort de Rutherford, Knorr, qui avait été son principal assistant, fut choisi à l'unanimité comme son successeur par les conseils dirigeants aux États-Unis. Le 27 janvier, la section anglaise des Témoins acceptait le même chef, qui devenait en conséquence le grand roi mondial des Témoins.

    Héritier de l'illuminisme et de l'intolérance bigote de ses prédécesseurs, il ne se fait pas, cependant, chevalier de la plume comme eux. Il se contente plutôt des bijoux de sottises façonnés avant lui, et il préside surtout à la diffusion des écrits de Rutherford. Son autre fonction principale consiste à trouver des fonds pour alimenter les batailles légales qui aideront à porter partout le nom des Témoins.

    Une fois les masques enlevés, la figure des chefs des Témoins ne montre rien qui inspire la sainteté et la vérité. 

    Une incursion que nous ferons dans le fouillis glacial de leur littérature ne laissera voir que fantaisies ridicules, négations sectaires et blasphèmes. et de leur morale, dont ils ont inspiré le mouvement qu'ils ont fondé et dirigé, nous n'en voulons pas ! Des Témoins de Jéhovah, nous n'en voudrons jamais !


    II. LA RELIGION
    Rutherford retrouve toujours la même prose fielleuse, sa joie et sa consolation, pour essayer de propager une invention infernale que seuls les Témoins voudront accepter. Le démon, personne avant eux n'aurait été capable d'imaginer pareille insipidité sacrilège, serait le père de tout ce qui a nom de religion :

    "Depuis l'Eden, l'instrument de l'adversaire pour tenir les peuples dans l'esclavage du péché et de la mort, a toujours été la religion" (Liberté dans le Nouveau Monde, p. 15).

    "La religion dite "religion chrétienne" est une industrie élaborée par le Diable pour profaner le nom du Tout-Puissant" (Ennemis, p. 130).

    En sage qu'il se prétend, Rutherford n'affirme, le plus souvent, rien qu'il ne prouve (!). Que toutes les religions soient sous l'influence de Satan, en voici des preuves qui lui suffisent

    Les religions sont d'inspiration diabolique, prétend-il, parce que nos Premiers Parents ont succombé à la tentation (Ennemis, p. 28), parce que Caïn a tué Abel (l.c., p. 31), parce qu'il y a eu le déluge (l.c. p. 44), parce qu'une danse de la fille d'Hérodiade a été payée par la mort de saint Jean-Baptiste (l.c., p. 103).

    Ces preuves ne vous convainquent pas ? en voici d'autres : 

    Les religions ne peuvent être l’œuvre de Dieu, puisqu'il y a des pestes dans le monde (Ses oeuvres, p. 8), puisque des gens se lèvent quand la musique fait entendre le God save the King (Le Royaume, p. 43) et que "la situation économique aux États-Unis laisse beaucoup à désirer" (Le Royaume, p. 3).

    Quoi répondre à toutes ces élucubrations, dont seul est capable un magicien comme Rutherford ? Le ridicule fantaisiste, qui est leur commun partage, les a déjà écrasées toutes.

    Elle est surtout diabolique la religion des Témoins où nous trouvons un agrégat pitoyable formé de chacune des négations hérétiques apportées par les sectaires de tous les temps. Oh ! non ; nous ne devrions pas parler de la "religion" des Témoins, car c'est une profanation que d'employer un tel mot pour désigner un monstre pestilentiel. Pour une fois Rutherford disait vrai quand il écrivait que sa "Société n'est pas une organisation religieuse" (Guérison, p. 29). Laughing


     Rutherford s'en prend surtout à la religion catholique et à chacun de ses dogmes.
    La religion catholique ne serait pas bonne, parce que lui, Rutherford, veut qu'il en soit ainsi ; elle serait d'inspiration diabolique, parce que lui, Rutherford, a décidé dans son illuminisme grotesque que l'oracle prononcé contre Tyr par le prophète Isaïe (ch. 23) et les malédictions adressées par le Christ aux scribes et aux pharisiens visaient plutôt l'Église de Rome :

    "La prédiction d'Esaïe (sic) s'applique en petit à l'ancienne Tyr et, sur une plus vaste échelle, au système catholique romain.(Ennemis, p. 183).

    L'Eglise de Rome abandonnera son prosélytisme... On saisira alors toute la portée des paroles de Jésus : "Mal-heur à vous (conducteurs et souverains de Tyr), scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous courez la mer et la terre pour faire un prosélyte..." (Matth., 23, 15) (Ennemis, p. 206).

    Rutherford prétend que l'Église catholique n'enseigne que des "traditions humaines dont le Diable a été l'inspirateur", mais que lui propose le véritable message biblique (Dévoilées, p. 21 ; Ennemis, pp. 19-21). 

    Laughing

    REVENANTS DOUTRE-TOMBE
    Le magicien Rutherford va ramener vivre sur la terre ces saints personnages de l'Ancien Testament, qu'il ne croit pas capables du ciel. Ils vont venir présider à l'administration du nouveau paradis terrestre que Dieu est à la veille d'instaurer :

    "Puisqu'ils ne doivent pas résider au ciel (morts qu'ils étaient au temps du premier avènement de Jésus, en Palestine), ils auront leur place ailleurs et coopéreront à l'instauration du règne de Jéhovah sur la terre... ces hommes fidèles seront sur la terre les gouverneurs visibles, par l'intermédiaire desquels le Seigneur Jésus-Christ, le grand Roi, administrera les affaires du monde... D'ici très peu de temps, et avant que passe la génération actuelle, ces hommes fidèles seront ramenés de la mort et la vie parfaite leur sera accordée sur la terre" (Le Royaume, pp. 47 et 50).

    Les Témoins de Jéhovah tiennent tellement à ce que l'on sache qu'ils acceptent une telle aberration, qu'ils ont construit une maison, aux États- Unis, destinée à ces trois patriarches. C'est aussi, sans doute, qu'il faut être pratique et pré-voyant, et qu'il ne faut pas qu'Abraham, Isaac et Jacob soient aux prises avec la crise actuelle du logement.  

    Pratiques, les Témoins ne le sont pas à demi. En attendant les trois chefs qui doivent venir d'outre-tombe. En effet, si les patriarches ne voulaient pas obéir à la baguette de Rutherford... il ne fau-drait pas que la maison demeure vacante ! En une telle occurrence, il n'aura pas été mal de l'avoir occupée dès le moment de l'achat !

    Au sujet de ces chimères, Rutherford disait plus vrai qu'il ne croyait, quand il écrivait: 

    "Sans doute il est très difficile pour quiconque lit ces lignes (les siennes) de s'assimiler et d'admettre cette étonnante vérité" (Le Royaume, p. 37). Laughing

    Pour être "étonnante" cette utopie l'est sûrement. Quel ridicule ! quel illuminisme ! ils n'ont d'égal que la folie. Il vaudrait mieux dire : quelle fourberie !

    Réfuter toutes ces niaiseries utopiques, ces prétentions orgueilleuses, n'est certainement pas nécessaire

    Leur seul exposé les fait sombrer dans le ridicule dont elles s'affublent. Tout de même, citons encore un passage de l'Évangile que veulent oublier les Témoins. Détruisant une partie de la charpente de leur édifice céleste, il ébranle celui-ci jusqu'à le faire s'écrouler complètement avec ses appentis. Les Témoins prétendent qu'avant 1914 aucun homme n'est allé au ciel vivre près du Père, si ce n'est le Christ. Mais, que disait Jésus au bon larron qui demandait à son Sauveur de se souvenir de lui ? Jésus lui répondit, nous rapporte saint Luc (23, 43) : Je te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec Moi en Paradis.

    DE FAUX TÉMOINS
    Des beautés (!) que recèlent les pamphlets des Témoins, il en est encore plusieurs que nous pourrions étaler. Toutes, elles brillent du même éclat : ce ne sont que sottes fantaisies, mensonges, blasphèmes, négations au sujet des vérités philosophiques les plus certaines et de l'enseignement le plus explicite des divines Écritures

    Là où les Témoins mettent le comble à l'effronterie et au sacrilège, c'est lorsqu'ils essaient d'établir leurs blasphèmes sur des textes bibliques. Avec un air de sincérité qui ne leur sied pas, ils prétendent avoir eu enfin l'intelligence de la Bible, ignorée selon eux, et mal interprétée pendant plus de 18 siècles. 


    Lisons deux oracles de leurs pseudo-prophètes :

    "On peut maintenant comprendre la Bible et l'harmoniser" (Ennemis, p. 20). 4.gif


    "Ces témoins de Jéhovah se présentent à vous non pas avec un message provenant de l'homme, car le message ou la doctrine d'aucun nomme est entièrement insuffisant pour remplir les exigences. Ils se présentent à vous avec la Parole de Dieu" (Le plus grand besoin des peuples, p. 4).

    FAUSSAIRES DES ÉCRITURES
    Que personne n'ait compris la Bible avant vous, ne dites plus cela, pauvres Témoins, vous allez provoquer des rires de pitié ! Mais que personne n'ait compris les Saintes Écritures à la manière avec laquelle les interprètent Russell, Rutherford & Co., voilà un fait véridique qui n'est pas à votre honneur et qui fait votre honte.

    Jamais avant les Témoins, en effet, aucun hérétique n'avait tant faussé la doctrine révélée ; jamais on ne s'était tant opposé à des affirmations très claires du texte sacré ; jamais, jamais on n'avait tant tortillé des passages de la Sainte Écriture pour essayer de les accommoder à des idées fantaisistes, extravagantes, mensongères et anarchiques, aux-quelles ils étaient tout à fait étrangers.

    Il ne peut y avoir de doute : les scribes des Témoins sont des faussaires de profession ; ils sont ou des lunatiques ou des fourbes, ou mieux, un mélange des deux.

     Ils n'ont pas d'égaux pour "harmoniser" la Bible, comme ils ont l'audace de l'avouer, pour tirer un passage inspiré hors de son contexte et vouloir lui faire affirmer des théories abracadabrantes ou nier des vérités affirmées de façon explicite par la Sainte Écriture elle-même. De cela, nous en connaissons déjà des preuves qui suffisent !

    Que "ces témoins se présentent à vous non pas avec un message provenant de l'homme", soyez-en tous convaincus. Car, jamais le cerveau humain seul n'a été capable d'autant de turpitudes et de mensonges. 

     L'inspirateur de la littérature abjecte, du poison que colportent les Témoins de maison en maison, c'est celui dont ils font l'oeuvre, celui qui est menteur et le père du mensonge (Jean, 8, 44). 

    Quand les Témoins disent que c'est la Bible et la Bible seule qu'ils veulent comme source et mesure de vérité, ils mentent effrontément

    . Dans leur littérature, les Bibles sont des parents pauvres. En 1940, par exemple, leur centre de Brooklin propagea 25,832,260 livres ou brochures. Or, sur ce nombre, il n'y avait que 26,009 exemplaires des Saintes Écritures.

     De la Bible, les Témoins ne connaissent ordinairement que les extraits tronqués qui sont parsemés dans les écrits de leurs pontifes; la Bible qu'ils acceptent alors, c'est donc celle que leurs chefs, des fourbes et des maniaques religieux, morcellent, retouchent et assaisonnent à leur mauvais goût.


    FAUX TÉMOINS
    "Témoins de Jéhovah" est un nom qu'ils ont usurpé et qui ne leur convient pas, puisqu'ils trahissent constamment Dieu et Sa Parole inspirée.

    A l'aide de la Bible elle-même, nous leur en suggérons un nouveau qu'ils devraient accepter, parce qu'il les peint à merveille : FAUX TÉMOINS.

    Chez eux, en effet, tout n'est que perfidie et mensonge ; or, nous disent les Saintes Écritures, le faux témoin profère la perfidie,... le faux témoin profère des mensonges (Livre des Proverbes, 12, 17 ; 14, 5)

      La date/heure actuelle est Jeu 21 Nov 2024 - 17:51