Rappel du premier message :
Les autorités supérieures sont les gouvernements terrestres
Cette période d'interrègne ou d'intervalle entre l'enlèvement du sceptre et gouvernement de Dieu et sa restauration en plus grande puissance, gloire et magnificence en Christ, est nommée par les Ecritures "les temps des nations." Et ces "temps" (ou années), durant lesquels il est permis aux "royaumes de ce monde" de régner, sont limités, et la période de rétablissement du royaume de Dieu sous le Messie est également fixée et marquée dans l'Ecriture.
Il est vrai que ces gouvernements des nations ont été bien mauvais, mais, dans un sage but, ils furent permis ou "ordonnés de Dieu" (Rom. 13:1).
Leur imperfection et leur tyrannie forment une partie de la leçon générale qui nous montre l'énormité du péché et nous prouve l'incapacité des hommes déchus de se gouverner eux-mêmes, ne serait-ce qu'en vue de leur propre satisfaction.
1886 - Etudes dans les Ecritures, Vol 1, Le Divin Plan Des Ages, page 277, page 278
Les autorités supérieures
Que toute âme soit soumise aux autorités supérieures, car il n’y a pas d’autorité si ce n’est de par Dieu; les autorités qui existent se trouvent placées de par Dieu dans leurs positions relatives.
Romains 13:1 - TMN
Les autorités supérieures sont les gouvernements terrestres
Cette période d'interrègne ou d'intervalle entre l'enlèvement du sceptre et gouvernement de Dieu et sa restauration en plus grande puissance, gloire et magnificence en Christ, est nommée par les Ecritures "les temps des nations." Et ces "temps" (ou années), durant lesquels il est permis aux "royaumes de ce monde" de régner, sont limités, et la période de rétablissement du royaume de Dieu sous le Messie est également fixée et marquée dans l'Ecriture.
Il est vrai que ces gouvernements des nations ont été bien mauvais, mais, dans un sage but, ils furent permis ou "ordonnés de Dieu" (Rom. 13:1).
Leur imperfection et leur tyrannie forment une partie de la leçon générale qui nous montre l'énormité du péché et nous prouve l'incapacité des hommes déchus de se gouverner eux-mêmes, ne serait-ce qu'en vue de leur propre satisfaction.
1886 - Etudes dans les Ecritures, Vol 1, Le Divin Plan Des Ages, page 277, page 278