La preuve de l'existence de Dieu
La création intelligente, une évidence
Depuis des décennies, les évolutionnistes persistent à supposer, à émettre des hypothèses, à spéculer sur de l’indémontrable alors que des évidences criantes se révèlent sous leurs yeux et sur les plaquettes de leurs microscopes.
Peut-on encore hésiter aujourd’hui à soutenir la théorie d’une création intelligente quand on se penche sur l’activité cellulaire? Regardons de plus près le fonctionnement des cellules d’une matière vivante végétale, animale ou humaine.
La cellule est l’unité fondamentale structurale et fonctionnelle des organismes vivants. Elle peut absorber des substances, les transformer et également les relarguer, c’est-à-dire participer au métabolisme. De nombreuses cellules peuvent croître, se diviser et réagir à des stimulations de leur environnement. Le corps humain adulte est composé d’environ dix mille milliards de cellules. Plusieurs millions y sont créées et autant y sont détruites par seconde.
Avec de simples microscopes optiques 1 , on a reconnu très tôt que les cellules sont formées au minimum de deux éléments : un corps cellulaire contenant la substance de base (cytoplasme) et le noyau cellulaire. Avec des microscopes plus puissants et ensuite électroniques, on a découvert des «organes cellulaires» plus petits que le noyau, appelés les organites cellulaires et on a pu observer jusqu’à la structure fine de ceux-ci.
Chaque cellule est entourée d’une membrane très mince, d’environ un centième de millimètre d’épaisseur, qu’on appelle la membrane cellulaire (membrane cytoplasmique). Des récepteurs à l’intérieur de celle-ci peuvent reconnaître, entre autres, des substances messagères comme les hormones ou les neurotransmetteurs.
Cette membrane est capable de sélectionner les substances qu’elle laissera entrer dans la cellule. Pour cela, elle possède des protéines de transport membranaire. Chacune de ces protéines est responsable du transport d’une substance déterminée.
Le noyau est le centre de commande du métabolisme cellulaire et contient l’information génétique sous la forme d’ADN – qui se présente regroupé en quarante-six chromosomes – ainsi qu’un certain nombre de différentes substances et protéines.
Pour être fonctionnelle, chaque cellule a besoin d’énergie, tant pour son métabolisme que pour les processus de transport transmembranaires. Les «centrales de production d’énergie» de la cellule sont les mitochondries. Ces dernières sont plus ou moins nombreuses en fonction de l’exigence en énergie de l’organe en question.
Chaque organe ou partie de notre corps a des cellules spécifiques. Une cellule du foie ne pourrait pas vivre dans un muscle, ni une cellule d’os dans un œil, de même qu’aucune cellule n’a jamais pu et ne pourra jamais vivre en dehors de la matière qu’elle compose.
Elle serait alors privée d’éléments nutritifs et d’énergie, donc vouée à la mort.
Ceci contredit la théorie évolutionniste selon laquelle une première cellule aurait fonctionné seule, grâce à des composants chimiques, sans aucune impulsion intelligente.
Tout scientifique qui se respecte reconnaît qu’il est impossible de reproduire ce phénomène en laboratoire, ni de l’observer dans la nature. La plus petite mutation ou erreur de transcription de l’ADN au cours de la formation d’une plante, d’un animal ou d’un être humain entraîne une anomalie ou l’élimination du sujet. Les chromosomes sont si petits qu’ils ne sont visibles au microscope électronique qu’en phase de division.
Pourtant, une petite erreur sur la 21 e paire des chromosomes chez l’être humain (trois chromosomes au lieu de deux : trisomie 21) provoque des dommages physiques et psychiques évidents. Aucune mutation de cellules d’une quelconque matière vivante n’a jamais apporté d’amélioration du sujet, mais elle est, au contraire, toujours handicapante ou entraîne la mort de celui-ci.
Qu’en est-il donc des unicellulaires comme les protozoaires qui seraient, selon les évolutionnistes, à l’origine de la vie? Il y a d’innombrables sortes d’unicellulaires invisibles à l’œil nu et pourtant présents partout autour de nous, jusque dans notre propre corps. Ceux-ci n’ont pas évolué non plus, car aussitôt en dehors des milieux dans lesquels ils peuvent se développer, ils meurent, tout comme les cellules de notre corps.
Comment peut-on ne pas constater l’évidence d’une création intelligente, d’une création divine en ayant découvert avec quelle précision chaque élément est à sa place et fonctionne avec harmonie?
"En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance et sa divinité, se voient comme à l’œil nu, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages". Romains 1 : 20
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Depuis des décennies, les évolutionnistes persistent à supposer, à émettre des hypothèses, à spéculer sur de l’indémontrable alors que des évidences criantes se révèlent sous leurs yeux et sur les plaquettes de leurs microscopes.
Peut-on encore hésiter aujourd’hui à soutenir la théorie d’une création intelligente quand on se penche sur l’activité cellulaire? Regardons de plus près le fonctionnement des cellules d’une matière vivante végétale, animale ou humaine.
La cellule est l’unité fondamentale structurale et fonctionnelle des organismes vivants. Elle peut absorber des substances, les transformer et également les relarguer, c’est-à-dire participer au métabolisme. De nombreuses cellules peuvent croître, se diviser et réagir à des stimulations de leur environnement. Le corps humain adulte est composé d’environ dix mille milliards de cellules. Plusieurs millions y sont créées et autant y sont détruites par seconde.
Avec de simples microscopes optiques 1 , on a reconnu très tôt que les cellules sont formées au minimum de deux éléments : un corps cellulaire contenant la substance de base (cytoplasme) et le noyau cellulaire. Avec des microscopes plus puissants et ensuite électroniques, on a découvert des «organes cellulaires» plus petits que le noyau, appelés les organites cellulaires et on a pu observer jusqu’à la structure fine de ceux-ci.
Chaque cellule est entourée d’une membrane très mince, d’environ un centième de millimètre d’épaisseur, qu’on appelle la membrane cellulaire (membrane cytoplasmique). Des récepteurs à l’intérieur de celle-ci peuvent reconnaître, entre autres, des substances messagères comme les hormones ou les neurotransmetteurs.
Cette membrane est capable de sélectionner les substances qu’elle laissera entrer dans la cellule. Pour cela, elle possède des protéines de transport membranaire. Chacune de ces protéines est responsable du transport d’une substance déterminée.
Le noyau est le centre de commande du métabolisme cellulaire et contient l’information génétique sous la forme d’ADN – qui se présente regroupé en quarante-six chromosomes – ainsi qu’un certain nombre de différentes substances et protéines.
Pour être fonctionnelle, chaque cellule a besoin d’énergie, tant pour son métabolisme que pour les processus de transport transmembranaires. Les «centrales de production d’énergie» de la cellule sont les mitochondries. Ces dernières sont plus ou moins nombreuses en fonction de l’exigence en énergie de l’organe en question.
Chaque organe ou partie de notre corps a des cellules spécifiques. Une cellule du foie ne pourrait pas vivre dans un muscle, ni une cellule d’os dans un œil, de même qu’aucune cellule n’a jamais pu et ne pourra jamais vivre en dehors de la matière qu’elle compose.
Elle serait alors privée d’éléments nutritifs et d’énergie, donc vouée à la mort.
Ceci contredit la théorie évolutionniste selon laquelle une première cellule aurait fonctionné seule, grâce à des composants chimiques, sans aucune impulsion intelligente.
Tout scientifique qui se respecte reconnaît qu’il est impossible de reproduire ce phénomène en laboratoire, ni de l’observer dans la nature. La plus petite mutation ou erreur de transcription de l’ADN au cours de la formation d’une plante, d’un animal ou d’un être humain entraîne une anomalie ou l’élimination du sujet. Les chromosomes sont si petits qu’ils ne sont visibles au microscope électronique qu’en phase de division.
Pourtant, une petite erreur sur la 21 e paire des chromosomes chez l’être humain (trois chromosomes au lieu de deux : trisomie 21) provoque des dommages physiques et psychiques évidents. Aucune mutation de cellules d’une quelconque matière vivante n’a jamais apporté d’amélioration du sujet, mais elle est, au contraire, toujours handicapante ou entraîne la mort de celui-ci.
Qu’en est-il donc des unicellulaires comme les protozoaires qui seraient, selon les évolutionnistes, à l’origine de la vie? Il y a d’innombrables sortes d’unicellulaires invisibles à l’œil nu et pourtant présents partout autour de nous, jusque dans notre propre corps. Ceux-ci n’ont pas évolué non plus, car aussitôt en dehors des milieux dans lesquels ils peuvent se développer, ils meurent, tout comme les cellules de notre corps.
Comment peut-on ne pas constater l’évidence d’une création intelligente, d’une création divine en ayant découvert avec quelle précision chaque élément est à sa place et fonctionne avec harmonie?
"En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance et sa divinité, se voient comme à l’œil nu, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages". Romains 1 : 20
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