En 2009, l'organisation Economic Co-Opération & Development a publié un rapport sur l'égalité des sexes et les institutions sociales. L'étude a conclu que 11 des 12 pays ayant les plus hauts niveaux de discrimination à l'égard des femmes étaient des pays majoritairement musulmans.
Une étude similaire menée par The World Economic Forum en 2014, a conclu que 19 des 20 pays ayant les plus grosses différences entre les hommes et les femmes étaient des pays majoritairement musulmans.
Ces résultats sont-ils liés aux enseignements de l'Islam, ou sont-ils simplement une coïncidence? Dans cette vidéo, David Wood présente 3 versets coraniques que chaque femme doit savoir. Ces versets montrent que pour pouvoir faire disparaître ces inégalités et discriminations envers les femmes dans les pays musulmans, nous devons tous défier les commandements et les ordres d'Allah et de Mohammed.
Le musulmans sont endoctrinés à croire que le Coran fut parfaitement préservé, jusqu'à la moindre lettre, depuis l'époque où il fut révélé à Mohammed. Pourtant, les sources les plus fiables et authentiques de l'Islam sont remplies de preuves attestant des modifications du Coran. Par exemple, les sources de l'Islam déclarent qu'Allah a révélé deux versets du Coran concernant l'allaitement des adultes (la coutume islamique où les femmes allaitent les hommes afin qu'ils "deviennent" leurs fils adoptif). Aucun de ces versets ne se trouvent dans le Coran d'aujourd'hui. Mais selon les sources de l'Islam, le mouton d'Aisha mangea ces versets. Mais vu que l'Histoire montre que les femmes du Prophète détestaient la pratique de l'allaitement des adultes, est-ce alors vraiment une coïncidence que ces versets disparurent juste après que Mohammed mourut? Y a-t-il des preuves d'un complot? De la falsification du Coran? Dans "Les femmes du Prophète et le complot pour saboter le Coran", David Wood résout le mystère des versets disparus. Les faits prouvent que les femmes du Prophète ont sabotés le Coran.
Pour en savoir plus sur l'Islam, Mohammed, et le Coran, assurez-vous d'avoir vu ces vidéos:
Lorsque la critique s'abat sur la vie et les enseignements du prophète Mohammed, les hadiths sont très souvent cités.
Cependant, un nombre croissant de musulmans rejettent les hadiths, et prétendent qu'ils croient uniquement à ce qu'il y a dans le Coran.
Que doit-on penser de ces musulmans "anti-hadith" (perçus comme des hérétiques pour les musulmans orthodoxes) ?
David Wood évoque ici les musulmans qui rejettent les hadiths, ainsi que les problématiques qui émergent pour un musulman qui décide de rejeter les hadiths.
-Nidhal Guessoum, astrophysicien musulman, professeur de Physiques aux Emirats Arabe-Unis, a travaillé 2 ans auparavant à la NASA, parle de l'absurdité des miracles scientifiques du coran:
- L' explication du phénomène des courants résiduels dus au mélange progressif de l'eau douce et de l'eau salée dans un estuaire: http://hmf.enseeiht.fr/travaux/CD0001...
Professeur Sami Aldeeb nous explique; Mahomet est-il l'auteur du Coran ? Prof Samy Aldeeb - L'origine judéo-nazaréenne du Coran. Pourquoi le Coran utilise-t-il le nom de ‘Îsâ pour celui de Yasû‘ (Jésus – équivalent arabe de l’hébreu Yešû‘a) utilisé par les chrétiens arabes depuis toujours? http://www.lemessieetsonprophete.com/...
Depuis qu’existe l’islamologie occidentale, les chercheurs se demandent pourquoi on trouve les consonnes ‘YSW pour le nom coranique de Jésus au lieu de YSW‘, comme si le ‘ayn final (‘) était passé devant.
En effet, le texte coranique donne à lire ‘Îsâ, alors que les chrétiens arabes disent Yasû‘.
Or, qu’une consonne passe de la quatrième à la première place est une évolution impossible. On est face à une impasse qu’aucune hypothèse ne parvenait à expliquer. À titre de remarque plus que d’hypothèse, Le messie et son prophète rapprochait l’incomplétude du nom de YSW (sans le «‘» final), de la réalisation non encore accomplie de la signification de ce nom – Yešû‘a voulant dire « Salut » ou « Il sauve » en hébreu, ce salut plénier devant encore arriver, selon la vue très messianiste qu’en avaient les « nazaréens ». Pour autant, le «‘» initial de ‘Îsâ n’était pas expliqué.
En fait, les auteurs montrent que la seule philologie – une discipline où le Professeur Manfred Kropp est une sommité autant du point de vue théorique que pratique dans le domaine sémitique – permet de rendre compte du passage de YSW‘ à ‘YSW, à condition de se placer au pur point de vue de la langue arabe parlée. Dans ce parler, on constate en effet la tendance “à ajouter un ‘ayn pour « arabiser » un terme emprunté. C’est toujours le cas aujourd’hui, par exemple avec ma‘karûna, emprunt de l’italien maccheroni” (p.184). Un tel point de vue n’avait été que peu envisagé jusqu’ici, peut-être parce que la recherche restait hypnotisée par l’idée du langage divin du Coran (Dieu appelant qui Il veut comme Il veut) ou par celle des supposés « polythéistes » arabes (évidemment supposés ne pas utiliser le nom de Jésus).
Pour illustrer les évolutions qui ont dû avoir lieu dans la prononciation populaire arabe, les auteurs s’appuient sur de nombreux exemples de « déformations » coraniques de noms propres (par exemple le syriaque Šlîmûn qui devient Sulaymân en arabe, le š devenant un s comme dans ‘Îsâ) – mais ils en donnent également hors du Coran et notent :
“Si l’on souhaite expliquer la forme ‘Îsâ en se fondant uniquement sur des éléments linguistiques, on constatera qu’il semble raisonnable de partir de la forme araméenne YSÛ‘, dont on voit qu’elle est représentée, dans les dialectes araméens de l’Antiquité tardive, de diverses manières, par exemple: ysw‘ en syriaque, vocalisé Yêšû‘ en syriaque occidental et Κô‘ en syriaque oriental (prononcé Κô, le ‘ayn final tombant dans la prononciation syriaque orientale)” (p.184).
En effet, il est “simple (et plausible) de partir de l’idée que la transmission est avant tout orale. Et là, à partir de la prononciation de Κô‘, c’est-à-dire Κô, les choses s’expliquent très facilement, comme l’avait bien vu FRAENKEL: a) chute du ‘ayn final dans la prononciation du mot araméen ; b) passage de –ô à –â ; c) passage de -š- à -s- ; d) ajout d’un ‘ayn à l’initiale […]
La question n’est pas tant le nombre de changements que la logique avec laquelle ils s’imposent – et ils apparaissent ici d’autant moins arbitraires qu’ils se retrouvent tous (mis à part la chute du ‘ayn final, qui dépend bien sûr du terme emprunté) dans un autre exemple, à savoir le nom de la ville d’Ascalon (Ashqelôn), souvent mentionnée dans la Bible (par exemple Amos 1,8). En effet, l’arabe ‘asqalân ou ‘asqulân doit être comparé au syriaque ’ašqalûn et à l’hébreu ’ašqelôn : on retrouve le passage de alif (’) à ‘ayn (‘) à l’initiale, tout comme ceux de -š- à -s- et de ô /û à â” (p.187).
ANALYSE D'UNE SOURATE VIOLENTE ET SON CONTEXTE : [CORAN 9 -30].
Coran 9 :29] : « Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains, après s'être humilies ».
[Coran 9 ] : « Les Juifs disent : + Uzayr est fils d'Allah + et les Chrétiens disent : + Le Christ est fils d'Allah +. Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu'Allah les anéantisse ! Comment s'écartent-ils (de la vérité) ».
Les Musulmans prétendent que le Coran est parfait, voici une autre démonstration que le Coran est mensonge : Le soleil se couche dans une source boueuse nous dit le Coran. Ces dernières années, confrontés au monde occidental, les apologistes de l'islam prétendent qu'il ne s'agit là que d'une simple vision d'optique. Mais ce n'est pas ce que disent les érudits du Coran.
Le père Zakaria Boutros, parfait arabophone, rapporte aussi que ces versets du Coran qui disent que le soleil se couche dans une source de boue terrestre sont en fait un vulgaire plagiat d'un poème pré-islamique dont l'auteur était apprécié par Muhammad.