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    Mani - Le "prophète" de Babylonie

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    Message  Arlitto Mer 25 Nov 2020 - 4:19

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    Mani - Le "prophète" de Babylonie

     Mani - Le "prophète" de Babylonie  Ur5m



    MANI CHRIST D'ORIENT BOUDDHA D'OCCIDENT


     Mani - Le "prophète" de Babylonie  Gtw4
    Editions du Septénaire ,666 pages, 2002
    Par François Favre


    Tout ce qui concerne le Maître spirituel Mani (3ème siècle) a été impitoyablement détruit: ses écrits et ses disciples ont tous fini sur le bûcher.Le peu qui nous est parvenu suffit cependant à nous donner une idée de la profondeur de son enseignement, qui gagnerait à être mieux connu.


    Lorsqu’on parle aujourd’hui de manichéisme, on songe rarement à cet homme exceptionnel, à ce Messager de la Lumière que fut Mani (216-276). Sept siècles après le Bouddha, deux siècles après le Christ, quatre siècles avant Mahomet, le sage iranien se présentait déjà comme le réunificateur de l’Orient et de l’Occident, le «Paraclet de la Vérité» ou le «Sceau des Prophètes». Peintre visionnaire et philosophe, poète, musicien et médecin, Mani transmit une vision du monde et de la vie si puissante qu’elle se répandit, de manière totalement pacifique, de l’Afrique à la Chine, des Balkans à la péninsule arabique.


    Bien éloignée des jugements excessifs que l’on porte à tort sur elle, sa doctrine tolérante et humaniste visait à concilier les grandes religions de son temps (les chinois le nommeront «Bouddha de lumière»et les égyptiens «l’apôtre de Jésus») et à diriger les chercheurs de vérité vers la découverte de la Lumière intérieure.


    Mani enseignait aux chrétiens l’aspect profond, ésotérique, du christianisme universel,dévoilait aux mages d’Iran le véritable sens du message de Zoroastre, expliquait aux bouddhistes le chemin de la libération.L’«Eglise de Justice» qu’il avait fondée pour transmettre les mystères de l’Homme Parfait, illumina des millions d’âmes pendant plus de mille ans.


    Une telle clarté et une telle puissance suscitèrent évidemment l’adversité, la jalousie, la haine, et ce furent les religieux et les hommes de pouvoir qui, ne comprenant pas ses paroles d’éveil, tentèrent de détruire la pensée lumineuse de Mani. «De sa religion de beauté, de sa subtile religion du clair-obscur, nous n’avons gardé, écrira le romancier Amin Maalouf, que ces mots «manichéen, manichéisme», devenus dans nos bouches des insultes.» (N’oublions pas que mille a près, l’accusation de «manichéisme» conduira les cathares au bûcher.) Par quelle étrange ruse de l’Histoire ce nom sublime est-il devenu le symbole de la divagation intellectuelle et morale ?


    Une tradition arabe rapporte que «lorsqu’on brûla les livres de Mani et de ses disciples, du feu jaillirent des pierres précieuses et s’écoula de l’or liquide». Car les mots, comme les êtres, ont aussi une histoire et recèlent des trésors de significations qu’une analyse minutieuse peut révéler. Un nom est une «signature». Celui de Mani renferme indéniablement les plus grands secrets, ceux qui ont trait aux mystères de l’Esprit et de l’homme intérieur.Cette appellation sacrée désigne en premier, comme l’attestent les disciples du sage iranien, «Celui qui offre la manne, le pain de vie». Selon d’autres auteurs, l’origine de son nom remonterait au mot syriaque mana, «vase» ou «vêtement»,ou au sanscrit mani, qui signifie «pierre, perle précieuse, gemme» (pensons ici au mantram Om mani padme Om, dont le sens est: «Salut à toi, ô joyau [caché] dans le lotus»). Ces trois figures, le vase, la perle et le vêtement, se rattachent directement au mystère du Graal dont la présence est attestée dans toutes les traditions religieuses, de la Chine à l’Europe,en passant par l’Inde, l’Egypte et le Moyen Orient. Calice, pierre, gemme ou livre, sous quelque forme qu’on le décrive, le Graal n’a jamais cessé d’être le symbole de l’union de l’âme humaine avec l’Esprit, but ultime de ceux qui recherchent la Vérité.Symbole, certes, mais dont la vraie signification se rattache étrangement à la physiologie même de l’homme intérieur, de l’Homme de lumière. Car le Vase sacré qui donne accès au Royaume,au Nirvana, à la Terre Originelle, c’est en nous-même, qu’il se trouve : le pied de la coupe repose dans l’orifice cardiaque et les poumons, la tige du calice est dressée dans le cou (trachéeartère et larynx), et le haut de la coupe est formé par le globe de la tête. Il s’agit ici d’un fait spirituel irréfutable,relatif à la régénération du système tête-coeur, base de la réalisation de l’Homme nouveau. Mentionnons que le chakra-couronne (ou chakra coronal), relié à la glandepinéale qui joue un grand rôle dans tous les processus spirituels,a aussi la forme d’une coupe du Graal.
     
    Le mot sanscrit manas évoque encore le mental,la pensée, l’esprit et dans la mythologie indienne, Manu veut dire«premier homme» ou homme originel. En syriaque, on parle encore de Mani Hayya, «Mani le Vivant». Cette formule, utilisée dans le passé pour Orphée et attribuée à Jésus dans l’Evangile de Thomas, signifie : «celui qui vit vraiment, qui est ressuscité».
     
    Ces quelques indications à peine voilées nous permettent de comprendre que chaque image, chaque mot employé dans l’enseignement et la vie du prophète iranien doivent être pris avant tout comme témoignage de la vie de l’âme, et interprétés de manière intériorisée. Ainsi, dans un psaume manichéen, Mani est-il décrit comme «le vent du Nord» qui indique le chemin à ceux qui cherchent : « Un vent du Nord, qui souffle sur nous, tel est Mani. Levons l’ancre avec lui et entreprenons ensemble le voyage vers le pays de la Lumière. « Le manichéen,conduit par le souffle de l’Esprit, peut donc partir en voyage pour chercher la perle précieuse de l’âme. Il lui est alors possible de renaître et de recouvrer le vrai pouvoir de penser qui rétablit le lien entre l’Homme céleste (la monade, le microcosme) et l’homme terrestre (la personnalité, le corps).
     
    C’est pourquoi Mani n’est pas seulement un personnage historique dont les historiens modernes tentent difficilement de reconstituer la biographie, mais c’est aussi le symbole de l’Esprit éternel, consolateur et guérisseur, qui conduit les âmes vers le chemin de la libération ; il est une incarnation du Christ Universel, descendu dans le monde sous la forme des Envoyés de la Lumière et qui se manifeste en nous, comme Esprit vivant. Il est de tous les temps,il est l’Alpha et l’Oméga, «le premier et le dernier».
     
    Formulons l’espoir que l’évocation de l’enseignement qui prit forme en cet être exceptionnel que fut Mani, dont le seul nom évoque les plus hauts mystères, ceux de la Connaissance sacrée, incite de nombreux chercheurs de vérité à partir en quête de la Pierre des Sages, du vase sacré, dont« la vraie demeure est la terra incognita de l’âme «,dans le cœur de l’homme. Notre livre leur est dédié. Il veut mettre en lumière les différents aspects spirituels, philosophiques,ésotériques, alchimiques et civilisateurs de l’œuvre de Mani le Vivant, tout au moins ce que, après tant de siècles d’oublion peut encore en deviner…
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    Message  Arlitto Mer 25 Nov 2020 - 4:20

    Mani - Le "prophète" de Babylonie


    LES TABLEAUX QUI PARLENT N° 100 - Mani, prophète d'ombre et de lumière
     Mani - Le "prophète" de Babylonie  NA_9AzPNh1uhvEMWPCxlX1Q9lQYaX9TGMhWWn_9ain4V4atGd0Gc5FjsIYRrPVFjBLFrsD9QPA=s48-c-k-c0x00ffffff-no-rj
    LES TABLEAUX QUI PARLENT par Francis Rousseau



     Sept siècles après le Bouddha, deux siècles après le Christ, quatre siècles avant Mahomet, le sage iranien se présentait déjà comme le réunificateur de l’Orient et de l’Occident, le «Paraclet de la Vérité» ou le «Sceau des Prophètes»


    Mani et le Manichéisme - Perse : le père du manichéisme 
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    Message  Arlitto Mer 25 Nov 2020 - 4:20

    Mani et le Machinéisme
    Article publié le 04/11/2014Par Olivier de Trogoff

     Mani - Le "prophète" de Babylonie  Gm7f

    Né en Iran au IIIème siècle, Mani crée un courant de pensée qui deviendra quelques siècles plus tard l’une des religions les plus importantes du monde, avant de sombrer progressivement dans l’oubli. La pensée manichéenne va avoir d’importantes influences sur le christianisme, l’islam ou encore le taoïsme. La plupart des traces de cette religion sont fragmentaires et nous viennent des adversaires des manichéens. Mais la découverte de manuscrits au début du siècle dernier en Chine et en Egypte a permis d’approfondir la connaissance des spécialistes sur la théologie manichéenne et sa diffusion.

    La vie du prophète Mani, fondateur d’une nouvelle religion
    Mani est né en l’an 216 de notre ère en Babylonie du nord, sur la rive gauche du Tigre, non loin de l’actuelle Bagdad. A l’âge de quatre ans, il rejoint son père qui a quitté la mère de Mani et s’est converti au Baptisme Elchasaïte. Cette secte chrétienne, baptiste, qui subsiste jusqu’au Xème siècle dans la région, va élever et encadrer le jeune Mani pendant vingt ans. Elle se distingue par une observance stricte du mode de vie prescrit par la torah et par ses règles de vie très sévères.

    Mani vit dans la communauté et y est élevé par son père. A 13 ans, il reçoit ses premières révélations par un ange qui a l’apparence de son jumeau. Il commence alors à contester la religion baptiste, jusqu’à quitter la communauté à l’âge de 24 ans, pour prêcher sa propre religion.

    Mani se présente comme un nouveau prophète, successeur de Bouddha, Zoroastre et Jésus. Il s’adresse ainsi à l’ensemble du monde connu et cherche à délivrer un message universel. Il part immédiatement prêcher la religion nouvelle vers l’Est, jusqu’en Inde, où il découvre le bouddhisme, dont il incorpore certaines croyances dans son propre dogme. Il n’y a pas de conversions notables des populations bouddhistes, mais plutôt au sein des communautés chrétiennes créées par l’apôtre Thomas dans la région.

    De retour à Ctésiphon, capitale de l’empire sassanide, deux ans plus tard, il est reçu à la cour du roi de Shabuhr 1er, qui l’autorise à prêcher dans l’ensemble de son empire. Il accompagne alors le roi lors de sa campagne contre les armées de l’empereur Valérien en 255, durant laquelle il fonde plusieurs communautés. De retour, il élabore les règles de sa nouvelle église et envoie des missionnaires, dont son père et son frère, vers l’Irak, l’Egypte, l’Inde ou encore la péninsule arabique. Quant à Mani, il ne cesse de voyager, pour créer de nouvelles communautés ou bien visiter les communautés déjà créées, tout en attirant un nombre croissant de disciples.

    Mais en 273, le roi Vahram succède à son père. Très influencé par le clergé de l’empire, il interdit le manichéisme, afin de rétablir la religion zoroastrienne, comme unique religion de l’empire. Il reproche à Mani d’avoir converti plusieurs vassaux du roi et d’avoir poursuivi ses voyages de conversion. Refusant de se soumettre, Mani est convoqué à la cour en 277, il est alors enchaîné et meurt au bout d’une agonie de plusieurs jours.

    La pensée Manichéenne et l’organisation du culte
    La vie de Mani et ses enseignements sont relativement bien connus, grâce aux nombreux témoignages, retranscriptions et traductions réalisés. On attribue à Mani la rédaction de neuf ouvrages qui théorisent la pensée manichéenne. Il n’en subsiste aujourd’hui que quelques fragments. La calligraphie de ces ouvrages était très travaillée, Mani était en effet un excellent peintre. Afin de favoriser la diffusion de ses œuvres qu’il écrivait en langue syriaque, Mani a modifié la langue iranienne, en créant « l’alphabet manichéen », ce qui l’a rendu beaucoup plus lisible et a grandement facilité la diffusion de la nouvelle religion en Iran.

    De par son expérience baptiste, Mani rejette frontalement la bible juive. Il s’est en revanche beaucoup inspiré du nouveau testament et de la vie de l’apôtre Thomas. Selon Mani, Jésus a eu le mérite de démontrer la fausseté de la loi juive, il n’est pas réellement mort et Mani lui succède pour annoncer la révélation finale au monde.

    Selon la théologie manichéenne, le monde de la lumière et le monde des ténèbres s’affrontent. Un Dieu unique réside dans le monde de la lumière, il est Lumière, force et sagesse. Le temps est divisé en trois parties. Le moment antérieur est l’ère où ténèbres et lumières sont séparés, ils se mélangent durant le moment médian, et se sépareront à nouveau lors du moment postérieur. Ces moments sont longuement décrits dans la littérature manichéenne comme une série d’affrontements entre les forces de la lumière et des ténèbres. Cette mythologie très riche met en scène des personnages sacrés comme l’homme primordial, Jésus splendeur, les douze vierges de lumière, etc…

    L’être humain est le résultat de l’affrontement entre lumière et ténèbres. Pour les manichéens, l’âme est lumière et le corps est ténèbres. Le manichéen doit donc chercher à favoriser l’esprit et oublier le corps, en créant une certaine séparation entre les deux. Le but est donc de rétablir la division initiale entre le bien et le mal. Si le croyant parvient à atteindre cet état, il sortira du cycle de réincarnation et son âme rejoindra le royaume de la lumière.

    Mani a lui-même définit l’organisation de son église afin d’éviter les conflits qui pourraient survenir après sa mort. Parmi les membres, on distingue essentiellement les élus qui sont les religieux, des auditeurs, laïcs. Les élus sont organisés hiérarchiquement. Ainsi, il y a un guide, des apôtres, des évêques et des prêtres. Les religieux sont entièrement vêtus de blanc, ils font vœu d’honnêteté, de pauvreté, de chasteté et d’obéissance. Leur vie est consacrée à la prière et à la prédication.

    Le laïc sert ses frères religieux. Il est soumis à cinq obligations qui sont le respect des dix commandements de Mani, les quatre prières quotidiennes, l’aumône, le jeûne et la confession des péchés. La fête principale des manichéens est la Bêma, qui équivaut à la fête chrétienne de Pâques, mais commémore le martyr et la mort de Mani. On ne peut pas devenir élu lorsque l’on est simple auditeur. La seule façon d’y parvenir est la réincarnation. Enfin, les femmes peuvent être élues, mais n’ont pas accès aux postes les plus importants de la hiérarchie manichéenne.

    L’église manichéenne, son expansion et sa disparition
    Au cours du IVème siècle, le manichéisme se répand dans le monde romain, notamment en Egypte où il s’implante durablement, en Afrique du nord et jusqu’à Constantinople et Rome. La littérature manichéenne est alors largement traduite en copte, grec et latin. Face à un tel succès, les empereurs Dioclétien, Valentinien 1er et Théodose 1er, promulguent des édits d’interdiction et de répression contre les manichéens. Nombre d’entre eux sont alors arrêtés, exécutés ou exilés hors de l’empire.

    Saint Augustin suit les enseignements de Mani en tant qu’auditeur entre 373 et 387, date à laquelle il est baptisé. A partir de là, il va s’opposer aux manichéens en multipliant les débats publics. Ses écrits, retraçant l’intégralité de ces débats, nous apportent une bonne connaissance du manichéisme. La répression de poursuit jusqu’au VIème siècle, avec l’empereur Justinien. A la suite de cette répression, le manichéisme disparaît alors rapidement d’Europe.

    Après la chute de l’empire Sassanide en 637, les Arabes contrôlent l’Iran où ils tolèrent dans un premier temps les manichéens. La cohabitation entre musulmans et manichéens sera plus longue à Bagdad où se trouve leur pontificat suprême. Cette cohabitation va influencer l’islam naissant sur plusieurs points. Ainsi, l’interdiction de représenter l’image divine existait chez les manichéens, de même que trois des cinq piliers de l’islam (l’aumône, le jeûne et la prière). Mais en 782, suite à la décision du calife abbasside Abdullah al Mahdi de mener des persécutions, le manichéisme péréclite rapidement dans la région. Samarqand va alors devenir la ville centrale du manichéisme, en remplacement de Ctésiphon.

    Parallèlement, les manichéens se tournent vers la Chine. Ils traduisent et adaptent les textes et la mythologie au Bouddhisme chinois, en laissant notamment une grande place à Bouddha. En 694, un dignitaire manichéen est signalé à la cour de Chine. L’empereur autorise les manichéens à construire des temples en 768. Entre le VIIème et le XIIIème siècle, le manichéisme se répand dans toute la Chine, jusqu’à l’île de Taiwan. Il est interdit à partir du XIème siècle et disparaît alors progressivement. Plusieurs textes et rites vont influencer et subsistent encore aujourd’hui dans le taoïsme. Le temple de Cao’an en Chine est le dernier temple manichéen encore existant au monde. Il comporte une statue de Mani, appelé en chine « Le Bouddha de lumière ».

    De nos jours, quelques groupes se revendiquent toujours de l’église manichéenne. Mani est devenu une figure symbolique importante de la culture iranienne contemporaine.

    Bibliographie :
     Mani - Le "prophète" de Babylonie  Puce G.Widengren, Les religions de l’Iran, Payot, 1999.
     Mani - Le "prophète" de Babylonie  Puce Michel Tardieu, Le manichéisme, Paris, Presses Universitaires de France, Que sais-je ? 1981.
     Mani - Le "prophète" de Babylonie  Puce François Décret, Mani et la tradition manichéenne, Paris, Seuil, 2005.
     Mani - Le "prophète" de Babylonie  Puce Amin Maalouf, Les jardins de Lumière, Paris, JC Lattès, 1991.

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