Forum des Religions - Les Origines

La Tour de Babel :: l'origine de l'empire mondial des religions

    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T.

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    Message  Arlitto Lun 23 Nov 2020 - 12:11

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    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T.

    Destruction par les Juifs des manuscrits Hébreux des Évangiles



    Histo:

    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. Slez


    Talmud : Tosefta Sabbath XIII, 53 :



    Dans le Talmud de Babylone, en Sabbath 116a-b, un verset de l’Évangile selon Matthieu est cité avec des distorsions. En prenant en considération les attestations patristiques relatives à l’origine hébraïque de l’Évangile selon Matthieu

    [En cas d’incendie], on ne sauve pas les  guilyonim, « Évangile », et les livres des Minim, ils brûlent sur place avec les mentions [du Nom de Dieu qu’ils renferment].


    R. Yossi le Galiléen dit : « Les jours de semaine, on se met à lire les mentions [du Nom de Dieu], et on les met à l’abri, tandis qu’on brûle le reste ».


    R. Tarfon déclare : « Que je sois privé de mes enfants [plutôt que de manquer], si [ces livres] tombaient dans mes mains de les brûler, eux, et les mentions [du Nom de Dieu qu’ils renferment], car si l’on me poursuit, j’entrerai dans un lieu d’idolâtrie mais je n’entrerai pas dans leurs maisons, car les idolâtres (serviteurs de dieux étrangers) ne Le connaissent pas et Le renient alors qu’eux Le connaissent et Le renient ». Et c’est pour eux que le verset dit : « Derrière la porte et les linteaux, tu as installé ton mémorial » (Is 57, 8).


    R. Ismaël dit : « Puisque pour faire la paix entre un homme et sa femme, Dieu dit : Que mon Nom écrit dans la sainteté soit effacé avec de l’eau ; les livres des Minim qui entraînent l’inimitié, la jalousie et les dissensions entre le peuple juif et son Père qui est aux cieux, à plus forte raison pourra-t-on les briser 10, eux, et les mentions [du Nom de Dieu qui s’y trouvent] ». Et c’est pour eux que le verset dit : « Certainement, je hais ceux qui te haïssent, et ceux qui se dressent contre toi, je les déteste. Je les hais infiniment, je les considère comme des ennemis » (Ps 139, 21-22). Et de même qu’on ne les sauve pas d’un incendie, on ne les sauve pas non plus d’un éboulement, d’une inondation et de tout ce qui pourrait les perdre.

    La traduction araméenne de l’Évangile selon Marc est introduite par les mots : ‎ריש בשורתא די ישוע משיחא‏ (rech besoratha di yeshua meshih’a) qui signifient littéralement « Commencement de la nouvelle de Jésus le Messie » et qui est rendue en grec par Άρχή του εύαγγελίου Ίήσου Χριστου (Arkhé tou euaggeliou Iesou Khristou). Les judéo-chrétiens utilisaient certainement le terme araméen besorah pour désigner les Évangiles

    Origène mentionne également l’existence d’un Évangile selon Matthieu en hébreu :
    69 Origène, Commentaire sur Matthieu I, cité par Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, VI, 25, 4 (...)
    Comme je l’ai appris dans la tradition au sujet des quatre Évangiles qui sont aussi seuls incontestés dans l’Église de Dieu qui est sous le ciel, d’abord a été écrit celui qui est selon Matthieu, premièrement publicain, puis apôtre de Jésus-Christ : il l’a édicté pour les croyants venus du judaïsme, et composé en langue hébraïque (γράμμασιν Έβραιχοις).


    Epiphane de Salamine (Panarion 29, 9, 4), précise que les nazoréens ne connaissent qu’un Évangile selon Matthieu écrit en hébreu :
    Ils ont aussi l’Évangile selon Matthieu d’une manière très complète, en hébreu, car chez eux il est manifestement conservé en caractères hébraïques comme il était écrit à l’origine. Mais je ne sais pas s’ils en ont retiré aussi les généalogies depuis Abraham jusqu’au Christ.


    Liens :
    https://www.cairn.info/revue-de-l-histoire-des-religions-2009-4-p-583.htm

    Les Chrétiens d'origine juive dans l'Antiquité :
    https://books.google.fr/books?id=1AhND-CpbOkC&pg=PA99&lpg=PA99&dq=R.+Yossi+le+Galil%C3%A9en+et+l'%C3%A9vangile&source=bl&ots=PMf4sYHwjM&sig=7rJ9g48wxy-bpnyWL0CIC0dTFZE&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiT4qDT1-nYAhUFSBQKHa0tB9IQ6AEINDAB

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    Message  Arlitto Lun 23 Nov 2020 - 12:12

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    Destruction par les Juifs des manuscrits Hébreux des Évangiles


    DESTRUCTION DES MANUSCRITS HEBREUX DES EVANGILES
     
    Extrait du bulletin 4ième trimestre 2006 de l'Association Jean Carmignac:  article de Jean-CLaude  OLIVIER membre de cette association,et qui est littéralement retranscrit à la suite :
     
    Des dizaines d'années d'un travail scientifique très rigoureux ont permis à l'abbé Jean Carmignac d'avancer des hypothèses solides dans plusieurs directions. Mais le noyau central de sa précieuse contribution à la recherche exégétique, à travers l'étude des sémitismes - et là cet homme si prudent, si modeste, ne parle plus d'hypothèses mais de preuves - c'est que les Evangiles, rédigés « en hébreu, et bien plus tôt qu'on ne le dit habituellement, sont beaucoup plus proches des faits et ont une valeur historique de premier ordre». Les lignes qui suivent n'ont aucune prétention à l'érudition, elles se contentent de "rapprocher" des réflexions de grands érudits qui, par un autre biais, rejoignent les conclusions de l'abbé Carmignac.

     
    Lors de son exposé à notre assemblée générale du 2 octobre 2004, le Professeur Antoine Luciani s'étonnait, au détour d'une phrase, que les manuscrits hébraïques de nos Evangiles "se soient comme étiolés", au point que nous ne possédons que du grec (les papyrus du Nouveau Testament qu'on a découverts progressivement au XXè siècle- voir l'article de Don Vernet -, sont en grec ; pour l'instant, aucun papyrus en hébreu n'a été trouvé).


    Et je repensais, en l'écoutant, à cette conversation de 1995 entre deux autres grands savants, Claude Tresmontant e t Pierre Chaunu : Pierre Chaunu : Ils [les Juifs] aimaient les calembours, hein… Claude Tresmontant : Ah ! Mais ils faisaient cela constamment ! Les rabbins dans le Talmud, par exemple pour les Evangiles, pour décalquer le mot évangile, « euanggelion », ils ont trouvé l’astuce « ’aven gillayon », ce qui veut dire « les rouleaux de mensonges » ! Parce qu’ils disent ceci, les rabbins – c’est très intéressant pour notre sujet... On trouve chez les petits rabbins de la première génération…


    Ils discutent entre eux : qu’est-ce qu’on fait avec ces abominables rouleaux de ces « Minim », de ces hérétiques ? Alors ils disent : « Quand il y a le saint Tétragramme dedans, qu’est-ce qu’on fait ? Est-ce qu’on le brûle ? Non ! On ne peut pas le brûler. Alors, il faut le découper au couteau » ! Ce qui prouve qu’il y avait des rouleaux en hébreu dans la première génération.


    Pierre Chaunu : Oui, on ne peut pas brûler le Tétragramme… Claude Tresmontant : On n’a pas le droit de le brûler, il fallait le découper… Pierre Chaunu : On peut l’enterrer aussi finalement ? Claude Tresmontant : Oui... Enfin, c’étaient des discussions horribles pour savoir qu’est-ce qu’on fait avec les Evangiles et les rouleaux en hébreu des Minim...
     

    Le professeur israélien Dan Jaffé, dans un livre récemment paru, reproduit cinq petits extraits de la littérature rabbinique naissante, qui reprennent de façon voisine les termes de ce débat, et où l'on retrouve deux types de directives rabbiniques concernant les rouleaux en hébreu des Minim : les uns disent qu'il faut "couper les mentions [du Nom de Dieu] et brûler le reste", les autres qu'il faut "brûler le tout".

    Voici un de ces extraits (Tosefta Sabbath XIII, 5) dans la traduction de l'auteur: « [En cas d'incendie], on ne sauve pas les guilyonim et les livres des Minim, ils brûlent sur place avec les mentions [du Nom de Dieu qu'ils renferment]. R. Yossi le Galiléen dit : "Les jours de semaine, on se met à découper les mentions [du nom de Dieu], et on les met à l'abri, tandis qu'on brûle le reste." R. Tarfon déclare : "Que je sois privé de mes enfants [plutôt que de manquer], si [ces livres] tombaient dans mes mains de les brûler, eux, et les mentions [du Nom de Dieu qu'ils renferment], car si l'on me poursuit, j'entrerai dans un lieu d'idolâtrie mais je n'entrerai pas dans leurs maisons [ variante du Talmud de Babylone (Sabbath 116a) : car si l'on poursuit quelqu'un afin de le tuer, et qu'un serpent se précipite pour le mordre, il entrera dans une maison d'idolâtrie mais non dans leur maison], car les idolâtres (serviteurs de dieux étrangers) ne Le connaissent pas et Le renient alors qu'eux Le connaissent et Le renient." [...] R. Ismaël dit : "Puisque pour faire la paix entre un homme et sa femme, Dieu dit : Que mon Nom écrit dans la sainteté soit effacé avec de l'eau ; les livres des Minim qui entraînent l'inimitié, la jalousie et les dissensions entre le peuple juif et son Père qui est aux cieux, à plus forte raison pourra-t-on les brûler, eux, et les mentions [du Nom de Dieu qui s'y trouvent]." Etc'est pour eux que le verset dit : "Certainement, je hais ceux qui te haïssent, et ceux qui se dressent contre toi, je les déteste. Je les hais infiniment, je les considère comme des ennemis" (Ps 139, 21-22). Et de même qu'on ne les sauve pas d'un incendie, on ne les sauve pas non p lus d'un éboulement, d'une inondation et de tout ce qui pourrait les perdre ».

    Ces textes, marqués d'un forte agressivité, sont à comprendre dans leur contexte. Ils montrent qu'encore après la chute du temple, en 70, la principale crainte des fondateurs du judaïsme rabbinique "était l'influence que pouvaient avoir les judéo-chrétiens sur les autres membres de la société juive" (Dan Jaffé, ouvrage cité, p.40). D'où leur habile stratégie pour les exclure des synagogues en intégrant à la liturgie, dans les années 70-90, la récitation d'une malédiction contre les chrétiens (la Birkat ha-minim) et en intégrant dans la législation la plus sacrée, celle du Sabbath, la prescription impérative de détruire ces fameux rouleaux en hébreu portant les Ecritures saintes des chrétiens. Par contre ce que pouvaient dire ou lire les chrétiens non juifs, les pagano-chrétiens, dans des traductions en langue grecque, n'était plus de leur ressort. Retenons donc qu'à la fin du 1er siècle, ces textes chrétiens en langue hébraïque existaient encore.
     
    J.-C. OLIVIER
    ___ ______________________
    notes /
    (1) Extrait de la 4è de couverture de son livre Naissance des Evangiles synoptiques, Ed. F.-X. de Guibert, Paris 1984. Malheureusement l'abbé Carmignac est mort avant de publier les gros volumes qui devaient convaincre ses pairs, et l'article "Sémitismes" dont il avait été chargé pour le Supplément au Dictionnaire de la Bible a été rédigé par un exégète qui, tout en ayant eu accès à ses papiers, était très hostile à ses conclusions.
    (2) Extrait d’un entretien radiophonique entre Claude Tresmontant et Pierre Chaunu du 28 février 1995, dans le cadre des "Mardis de la Mémoire", émissions produites par Pierre Chaunu.
    (3) Les Chrétiens, ou plus exactement dans ce contexte, les Juifs chrétiens, les Juifs qui avaient foi en Jésus, Messie et Fils de Dieu. Selon les auteurs, on trouve les termes de judéo-chrétiens, de nazaréens ou nazoréens pour les désigner, mais ces termes sont difficiles à manier et recouvrent des réalités variables.
    (4) Et Claude Tresmontant, après avoir constaté cette preuve qu’il y avait des rouleaux en hébreu avant les manuscrits en grec des Evangiles, continuait son raisonnement ainsi : « Ce qui est évident, puisque, lorsque les traducteurs, lorsque les inconnus qui ont traduit la Bibliothèque hébraïque d’hébreu en grec, rencontraient le saint Tétragramme qui était imprononçable, celui qui dictait disait « Adonaï » et celui qui traduisait, traduisait « Kurios », sans l’article. Alors maintenant vous regardez Luc, ou l’Apocalypse, ou Matthieu, dans le texte grec : vous verrez très fréquemment « Kurios » sans l’article, tout à fait au début de Luc par exemple, ce qui est la preuve que vous aviez le saint Tétragramme en hébreu sous les yeux. Pierre Chaunu : Bien sûr. »
    (5) Dan Jaffé, Le judaïsme et l'avènement du christianisme, Orthodoxie et hétérodoxie dans la littérature talmudique, Ier- IIè siècle, , Ed. du Cerf, Paris, mars 2005.
    (6) "Guilyonim" : les Evangiles. Certains disent : les Evangiles joints à la Torah, etc. (voir D. Jaffé, ouvrage cité, p. 246 à 257 ; et p. 250 : "si ce vocable désigne des textes chrétiens, c'est du corpus des Iers Evangiles - rédigés peutêtre en hébreu/araméen - qu'il s'agit")
    (7) « L'idolâtrie polythéiste avait cessé d'être un danger pour les juifs de cette époque, alors que les Sages [ndr : les fondateurs du judaïsme rabbinique] redoutaient fortement l'influence des judéo-chrétiens ». (D. Jaffé, ouvrage cité, p. 304)
    (8) Jacqueline Genot-Bismuth, dans son livre "Un homme nommé Salut", Ed. F.-X. de Guibert, cite des exemples de textes en langue hébraïque qui n'ont survécu que grâce à leur traduction en grec : cas des Livres des Macchabées qui ne seront sauvés de la disparition (car rejetés par les canonistes rabbiniques) que "grâce à leur traduction en grec conservée dans la Bible des Septante", ou du texte connu sous le nom "d'Ezra IV et dont un original hébraïque peut être postulé bien que la censure rabbinique ait finalement conduit à sa perte" ; cas aussi du Livre des Jubilés et autres écrits sacrés rejetés par les fondateurs du judaïsme rabbinique, "écrits dont une grande partie fera finalement naufrage, et que seul le christianisme primitif, plus accueillant, aura préservé, mais sous des traductions grecques" (p. 57 et 201). -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Dans le bulletin de nov.1999, (n°4), nous écrivions : « Savez-vous que Nicolas V, Pape de 1447 à 1455, avait promis à qui aurait retrouvé l'original hébreu de l'Evangile de Saint Matthieu, le poids en or de son corps ? Nous tenons cette information du Père Giuseppe Cagni, du Centre d'Etudes dei Barnabiti à Rome, et nous le remercions. »


    Lien : http://jesus-evangiles-origines.over-blog.com/article-des-documents-et-des-vicissitudes-historiques-70208180.html

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    Message  Arlitto Lun 23 Nov 2020 - 12:12

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    Livre de Mattityahou Témoignage de Yéshoua

    Livre de Mattityahou d'après le texte Hébreu Shem Tov

    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V0z0

    Nous avons des sources historiques qui prouvent l'existence de l'Evangile de Matthieu en Hébreu.

    -citation d'Épiphane de Salamine, Panarion 29.7.2

    "Ils ont l'Evangile selon saint Matthieu dans son intégralité en hébreu. Car il est clair qu'ils le conservent encore dans l'alphabet hébreu, comme il a été écrit à l'origine."

    -citation de Jérôme, Lettre 75 à Augustin concernant JESUS comme Fils de Dieu.

    "Matthieu, également appelé Lévi, apôtre et ancien publicain, a composé un évangile de JESUS-Christ dans un premier temps publié en Judée, en hébreu pour le bien de ceux de la circoncision qui croyaient, mais fut ensuite traduit en grec dont l'auteur est incertain.

    L'hébreu lui-même a été conservé jusqu'à nos jours à la bibliothèque de Césarée, dont le Pamphlet est recueilli avec tant de diligence. J'ai également eu l'occasion d'avoir le volume qui m'a été décrit par les Nazaréens de Bérée, une ville de la Syrie, qui l'utilisent.

    En cela, il est à noter que, partout où l'évangéliste, que ce soit sur son propre compte ou en la personne de notre Seigneur, le Sauveur cite le témoignage de l'Ancien Testament, il ne suit pas l'autorité des traducteurs de la Septante, mais l'hébreu.(...)"


    Aux environs de 1385, un Juif appelé Shem Tob ben Shaprut, de Tudela en Castille, Espagne, a écrit une œuvre polémique contre le christianisme intitulé Eben Bohan dans lequel il incorpore [l’évangile de] Matthieu en hébreu dans un chapitre séparé. Ce même Evangile cité par les sources historiques ci-dessus (Les manuscrits en écritures cursives du Eben Bohan de Shem-Tob se trouvent au Jewish Theological Seminary of America, New York.)

    Cet Evangile de Matthieu en Hébreu nommé Shem Tov ou Evan Bohan a été recopié par un Juif dans un de ces ouvrages pour débattre de ce sujet avec le Christianisme de Rome.

    Ce manuscrit Shem Tov est vraiment intéressant au niveau du texte car sur plusieurs points, il prouve qu'il n'a pas pu être une copie du texte Grec. C'est la copie en Hébreu la plus proche du texte original que nous avons aujourd'hui de cet Evangile.


    Légendes :
    Le Saint Nom du Dieu d'Israël, YHWH se trouve présent dans ce texte marqué par ce sigle dans le texte qui signifie "Hashem" (Le Nom) terme de substitution utilisé par le pharisianisme et le judaïsme orthodoxe aujourd'hui à chaque fois que le Saint tétragramme יהוה YHWH est rencontré.

    L'auteur Juif de cette copie de l'Evangile de Matthieu ainsi que sans doute d'autres copistes de ce texte qui l'ont précédé, étaient aussi dans cette croyance rabbinique ce qui explique le remplacement dans le texte à chaque fois que le Nom יהוה YHWH était rencontré.

    J'ai donc réintroduit Le Saint Nom du Dieu d'Israël dans le texte à chaque fois que ce sigle apparaît.

    J'ai également réécrit Le Nom de notre Seigneur Yéshoua ainsi ישוע tel qu'il est réellement avec le ayin ע à la fin sans acronyme. J'ai également réécrit le nom de Myriam sans acronyme ainsi מדים. Et j'ai remis Elohim אלהים au lieu d'Elokim אלקים.


    Le livre de l'évangile Matthieu en entier traduit de l'Hébreu en Français.

    http://livredemattityahoutemoignagedeyeshoua.blogspot.fr/

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    Message  Arlitto Lun 23 Nov 2020 - 12:13

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    GILYONIM ( Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p668001 = "Gospels"; lit. "scrolls"):

    Terme utilisé par les scribes florissants entre 100 et 135 pour désigner les évangiles.

    La désignation utilisée par eux n'impliquait aucune moquerie; R. Meïr, qui a prospéré après 135, un descendant de prosélytes grecs, fut le premier à jouer sur le mot ἐυαγγέλιον en traduisant comme Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p668002(= « dévalorisation de [ c. -à- écrit sur] un rouleau »). Bien que les paroles de R. Meïr soient généralement interprétées dans ce sens, il est possible que, ayant reçu une éducation grecque, il ait simplement voulu représenter plus précisément le son de "evangelium". R. Johanan (décédé en 279), au contraire, appelle l’Évangile Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p668003= "sin-scroll" (Shab. 116a, dans les éditions non expurgées, et dans Rabinovitz, "Variæ Lectiones", ad loc.). Un seul évangile est mentionné. Le manuscrit de Munich a dans le passage décisif, Shab. 116a, le singulier ( Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p668004) où les éditions imprimées ont le pluriel. Le titre peut avoir été à l'origine brièvement ἀγγέλιον = Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p668005. Dans le premier passage cité ci-dessous Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p668006("évangiles") ne signifie pas plusieurs recensions - c'est -à- dire trois ou quatre évangiles différents - mais seulement plusieurs copies d'un même ouvrage.


    Les principaux passages sont les suivants: (Tosef., Shab. xiii. 5 [ed. Zuckermandelp. 129]; comp. Shab.116a; Yer. Shab.15c, 52; Sifre, Num.16).

    "Le 'Gilyon [im]" et les livres [bibliques] des judéo-chrétiens ["Minim"] ne sont pas sauvés [du sabbat], mais on les laisse brûler avec les noms de Dieu écrits dessus.

    " R. José le Galiléen dit: "Les jours de la semaine, les noms de Dieu sont découpés et cachés pendant que le reste est brûlé.

    " R. Tarphon dit: "Je jure par la vie de mes enfants que s'ils tombent entre mes mains, je les brûlerai avec les noms de Dieu sur eux."

    R. Ismaël dit: "Si Dieu a dit: 'Mon nom a été écrit en sainteté [ c'est -à- dire , dans le" rôle de jalousie "mentionné dans Nombres v. 21 et suiv.] sera anéanti par les eaux, afin de faire la paix entre mari et femme ', d’autant plus que les livres des judéo-chrétiens, qui causent inimitié, jalousie et querelles entre Israël et son Père céleste. . . . Comme ils ne sont pas sauvés du feu, ils ne le sont pas non plus quand ils risquent de se décomposer, quand ils sont tombés dans l'eau, ou quand tout autre malheur leur est arrivé "

    M. Friedländer ("Der Vorchristliche Jüdische Gnosticismus", p. 80 et suivantes , Göttingen, 1898) a affirmé à tort que ce passage ne traitait pas de l'Évangile. Les chrétiens juifs de Palestine avaient leur propre évangile, le soi-disant évangile hébreu, que citent encore plus tard les Pères de l'Église (voir Harnack, "Altchristliche Litteratur", i. 6 et seq.). Matthieu a également été écrit en hébreu (araméen); de nombreuses copies devaient donc être en circulation et des doutes devaient naturellement survenir quant à la manière dont ils devaient être éliminés, car ils contenaient la mention du nom divin.

    En outre, toute la teneur du passage montre que ceux qui ont posé la question qui a suscité ces remarques concernant le "Gilyon" étaient des Juifs pieux, et ils ont certainement utilisé, et par conséquent se sont renseignés, sur l’Évangile hébreu. En effet, la lecture correcte dans ce passage a "Gilyon" au singulier; les écrits gnostiques (parfois appelés "Gilyonim" également) étaient cependant nombreux; et si cela avait été fait ici, le pluriel aurait été utilisé.

    Un autre passage montre que les évangiles n'ont pas la sainteté des livres bibliques. "Les livres de Gilyonim et [bibliques] des judéo-chrétiens ne rendent pas les mains impures. Les livres de Ben Sira et tous les livres écrits à partir de maintenant ne rendent pas les mains impures" (Tosef., Yad. II. 13, Zuckermandel, page 683).



    Citations talmudiques dans les évangiles.

    L'Évangile est cité à deux reprises dans une anecdote, apparemment de Babylone, conservée à Shab. 116b (début): "Le patriarche Gamaliel II [ c. 100] et sa sœur, épouse de R. Eliezer, vivaient près d'un philosophe réputé pour avoir rejeté des pots-de-vin.

    Désirant le ridiculiser, la femme prit un chandelier d'or à lui et dit: «Je veux être un cohérent." Il a répondu: "Divisez." Puis elle dit: "Il est écrit dans la Torah:" La fille n'héritera pas là où il y a un fils. "" Il répondit: "Depuis que tu as été exilé de ton pays, la Torah de Moïse a été abrogée et remplacée le gospel [Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p669001] a été promulguée, dans laquelle il est écrit: "Fils et fille héritent ensemble." Le lendemain, Gamaliel lui apporta un âne libyen. Le philosophe déclara alors: "Observez le principe de l'Évangile, où il est écrit, "Je ne suis pas venu pour enlever quoi que ce soit de l'enseignement de Moïse, mais pour en ajouter"; et il est écrit dans la Torah: "Là où il y a un fils dont la fille n'hérite pas". "La femme lui dit:" Que ta lumière brille comme une bougie. " Gamaliel a ensuite déclaré: "L'âne est venu et a renversé le chandelier." Il n'est pas possible de déterminer si la nouvelle loi sur le droit des filles à hériter a été incluse dans l'évangile hébreu original. Les évangiles ne sont pas mentionnés autrement dans le Talmud ou le Midrash .

    Au moyen Âge.
    D'après les récits talmudiques sur Jésus, il apparaît que le contenu de l'Évangile était connu des enseignants talmudiques.

    À l'époque post-talmudique, les Juifs étaient souvent amenés à étudier les évangiles à travers une controverse avec des chrétiens ( voir Polémiques ). David Ḳimḥi (dans "Milḥemet Ḥobah" et dans son commentaire sur les Psaumes) les cite à plusieurs reprises. Ils ont été traduits tôt en hébreu. Sebastian Münster en a traduit un. Dans les temps modernes, ils ont été traduits en hébreu classique par Salkinson et en hébreu mishnique par Franz Delitzsch.

    La grande masse du peuple juif n'a connu le Nouveau Testament que par ouï-dire; et même aujourd'hui, ils ne le lisent pas, malgré toutes les incitations et sa traduction en dialectes juifs-allemands. Les éditions suivantes du Nouveau Testament existent en hébreu:



    • 1 Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p669002.. L'Évangile selon Matthieu, avec une traduction en latin et des notes de Sebastian Münster, Bâle, 1537.

    • 2 Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p669003. L'Évangile selon Luc, traduit en hébreu par H. Christ. Imm. Fromman, édité par JH Callenberg, Halle, 1735.

    • 3 Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p669004.. Le Nouveau Testament, imprimé par A. Macintosh, Londres, 1817.

    • 4 Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p669005. The Old and New Testaments, publié par S. Bagster, Londres, 1835.

    • 5. Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p669006The New Testament, publié par S. Bagster, Londres, 1836.

    • 6. Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p669007The New Testament, publié par S. Bagster, Londres, 1844.

    • 7. Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p669008Le Nouveau Testament, Londres, 1846.

    • 8. Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p669009The Epistle to the Romans, publié par G. Ph. Löw, Berlin, 1855.

    • 9. Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p669010The Epistle to the Hebrews, publié par G. Ph. Löw, ib. 1858.

    • 10. Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p669011Les Actes des Apôtres, publié par G. Ph. Löw, ib. 1867.

    • 11. Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p669012L'Évangile selon Luc, publié par G. Ph. Löw, ib. 1869.

    • 12. Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p669013The New Testament (édition de Delitzsch), imprimé par Trowitzsch & Son, Berlin, et publié par la British and Foreign Bible Society, Londres, 1885.

    • 13. Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. V05p669014Le Nouveau Testament (édition Salkinson-Ginsburg), imprimé par Carl Fromme, Vienne, 1886, et publié par la Trinitarian Bible Society à Londres.


    Depuis le onzième ou douzième siècle, on connaît une légende de saint Matthieu, qui était à l'origine écrite en hébreu - selon Nöldeke, par un juif baptisé (Lipsius, "Die Apokryphen Apostelgeschichten und Apostellegenden, II. II, 264) - dont cependant, seule une traduction en latin existe maintenant. Voir aussi Nouveau Testament .

    Bibliographie:



    • Kohut, Aruch Completum, i. 45b, ii. 295a;

    • Levy, Neuhebr. Wörterb. je. 41a, 334b;

    • Krauss, Lehnwörter, ii. 21;

    • Jost, Gesch. des Judenthums et Seiner Sekten, ii. 38, Leipsic, 1858;

    • Grätz. Gesch. iv. 112;

    • Derenbourg, Hist. p. 379;

    • Schürer, Gesch. 3d ed., Ii. 378;

    • Grünbaum, Gesammelte Abhandlungen, p. 450, Berlin, 1901;

    • Blau, Studien zum Althebräischen Buchwesen, p. 92,119.



    http://www.jewishencyclopedia.com/articles/6677-gilyonim




    Les Sages du Talmud et l’Évangile selon Matthieu
    Dans quelle mesure l’Évangile selon Matthieu était-il connu des Tannaïm ?

    Lien : https://journals.openedition.org/rhr/7544

    .
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    Message  Arlitto Lun 23 Nov 2020 - 12:14

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    -citation d'Épiphane de Salamine, Panarion 29.7.2
    "Ils ont l'Evangile selon saint Matthieu dans son intégralité en hébreu. Car il est clair qu'ils le conservent encore dans l'alphabet hébreu, comme il a été écrit à l'origine."


    -citation de Jérôme, Lettre 75 à Augustin concernant Jésus comme Fils de Dieu.

    "Matthieu, également appelé Lévi, apôtre et ancien publicain, a composé un évangile de Jésus-Christ dans un premier temps publié en Judée, en hébreu pour le bien de ceux de la circoncision qui croyaient, mais fut ensuite traduit en grec dont l'auteur est incertain. L'hébreu lui-même a été conservé jusqu'à nos jours à la bibliothèque de Césarée, dont le Pamphlet est recueilli avec tant de diligence. J'ai également eu l'occasion d'avoir le volume qui m'a été décrit par les Nazaréens de Bérée, une ville de la Syrie, qui l'utilisent.

    En cela, il est à noter que, partout où l'évangéliste, que ce soit sur son propre compte ou en la personne de notre Seigneur, le Sauveur cite le témoignage de l'Ancien Testament, il ne suit pas l'autorité des traducteurs de la Septante, mais l'hébreu.(...)"


    Au IVe siècle, Jérôme a fait cette observation dans son prologue de Samuel et des Rois:
    "À ce jour, on rencontre toujours le nom quadrilitère de Dieu [YHWH] en caractères archaïques dans certains rouleaux grecs."



    "Les documents en langue grecque qui vocalisent le nom divin sont rares mais ils existent".
    "Par exemple, dans ce papyrus du 3e siècle on peut lire la phrase élèié iéôa rouba (elhie iewa rouba) qui provient de l'hébreu et qui signifie"mon Dieu Iéoa plus grand".

    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. Un36

    L'orthographe elhie est plus proche de l'hébreu que l'araméen elwi (Marc 15:34). De plus, on trouve les termes hlei (Codex D, Q) et elei (papyrus 059) dans quelques manuscrits datés autour de 300 de notre ère.

    le nom de Dieu a été remplacé par des termes comme "Dieu" (Théos) ou "Seigneur" (Kurios) dans les copies de la Septante. .

    le professeur George Howard: "Quand la forme hébraïque du nom divin a été abandonnée dans la Septante en faveur de divers termes suppléants, il a aussi disparu des passages du Nouveau Testament qui citaient la Septante (...). L'Église non juive a bientôt perdu toute trace du nom de Dieu, celui-ci ne subsistant plus que dans les formes contractes qui lui étaient parfois substituées ou dans la mémoire de quelques érudits."

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    Message  Arlitto Lun 23 Nov 2020 - 12:15

    .

    Il ne faut plus dire « Yavhé » : le synode adopte cette disposition
    Une lettre de la congrégation romaine pour la liturgie
    octobre 24, 2008 00:00RedactionÉglise catholique


    ROME, Vendredi 24 octobre 2008 (ZENIT.org) – Par respect pour le Nom de Dieu, pour la Tradition de l’Eglise, pour le Peuple Juif, et pour des raisons philologiques, il ne faut plus prononcer le nom de Dieu en disant «Yavhé ».

    Le synode des évêques sur la Parole de Dieu dans la vie et la mission de l’Eglise a mis en pratique cette nouvelle disposition de la Congrégation romaine pour le culte divin qui demande – « par directive du Saint-Père » qu’on n’emploie plus la transcription des quatre consonnes hébraïques – « le Tétragramme sacré » – vocalisées en « Yavhé » ou « Yahweh », dans les traductions, « les célébrations liturgiques, dans les chants, et dans les prières » de l’Eglise catholique.

    C’est ce qu’a révélé ce matin au Vatican, Mgr Gianfranco Ravasi, président du Conseil pontifical de la culture, bibliste, et président de la commission du Message du synode des évêques, en présentant ce message à la presse et en répondant aux questions des journalistes.

    A une question de Zenit sur ce point, Mgr Ravasi a révélé que quelque membre du synode avait employé ce mot et qu’on a alors rappelé cette disposition nouvelle. Mgr Ravasi a souligné l’importance de respecter l’usage de la communauté juive sur ce point et il a avancé les raisons philologiques.

    En effet, les quatre lettres hébraïques désignant le nom de Dieu, révélé à Moïse (Cf. Exode 3), sont quatre consonnes, le « Tétragramme » (Yod-Heh-Waw-Heh, souvent transcrites dans notre alphabet: IHWH). Ces quatre consonnes sont imprononçables parce qu’on ignore comment ce nom était vocalisé. Ou plutôt, dans la tradition de l’Ancien Testament, le nom de Dieu est imprononçable.

    Rolling Eyes Rolling Eyes Rolling Eyes

    Seul le grand prêtre pouvait le prononcer, une fois l’an, lorsqu’il pénétrait dans la Saint des Saints du Temple de Jérusalem. La vocalisation a ainsi été gardée secrète et perdue. Certains suggèrent même qu’il n’y a jamais eu de vocalisation, personne ne pouvant prétendre mettre la main sur Dieu en prononçant son Nom.

    Rolling Eyes Rolling Eyes Rolling Eyes

    Le livre de l’Ecclésiastique par exemple dit du grand prêtre Simon : « Alors il descendait et élevait les mains, vers toute l’assemblée des enfants d’Israël, pour donner à haute voix la bénédiction du Seigneur et avoir l’honneur de prononcer son nom » (Ecclésiastique, ch. 50, v. 20).

    Mgr Ravasi a rappelé que la traduction de la bible de l’hébreu en grec par les « Septante » sages juifs (72 traducteurs, vers 270 av. J.-C.), a remplacé le Tétragramme par le mot grec « Kurios », signifiant « le Seigneur ». La traduction de la « Vetus latina » et la « Vulgate » de saint Jérôme a traduit « Dominus » « le Seigneur », comme le rappelle le document de la Congrégation romaine qui demande donc de revenir à cet usage de dire « le Seigneur », à chaque fois que le texte emploie le Tétragramme.

    Dans sa Lettre aux conférences des évêques du monde entier sur le Nom de Dieu, la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements demande ainsi la suppression de cette transcription du tétragramme dans les livres destinés à la lecture liturgique.

    Ce document, en date du 29 de juin 2008, a été publié dans la revue « Notitiae » de la Congrégation. Il est signé par le préfet de cette congrégation, le cardinal Francis Arinze, et par Mgr Albert Malcom Ranjith, secrétaire de ce même dicastère.

    La congrégation rappelle son document « Liturgiam Authenticam », de 2001, sur les traductions liturgiques, où il est demandé que « le nom du Dieu tout-puissant », exprimé par « le tétragramme hébreu » et rendu en latin par le mot « Dominus », soit rendu « dans les langues vernaculaires » par un mot de sens « équivalent ».

    Or, la pratique s’est répandue de « prononcer le nom propre au Dieu d’Israël », de le vocaliser dans la lecture des textes bibliques des lectionnaires liturgiques, mais aussi dans les hymnes et les prières : « Yahweh », « Jahweh » ou « Yehovah ».

    En France, les textes liturgiques n’utilisent pas la vocalisation « Yavhé », mais elle apparaît dans les traductions de la Bible – qui ne sont pas normatives pour la liturgie – ou des chants.

    Après une argumentation scripturaire, le document affirme : « L’omission de la prononciation du tétragramme du nom de Dieu de la part de l’Eglise a donc sa raison d’être. En plus d’un motif d’ordre purement philologique, il y a aussi celui de demeurer fidèle à la tradition ecclésiale, puisque le tétragramme sacré n’a jamais été prononcé dans le contexte chrétien, ni traduit dans aucune des langues dans lesquelles on a traduit la Bible ».

    Les différents courants du judaïsme moderne maintiennent cette tradition que le Tétragramme ne peut être prononcé que par le Grand Prêtre dans le Temple, et même que celui-ci ne le prononçait généralement qu’à Yom Kippour (le jour du Grand Pardon, des « Expiations »).

    Le Temple de Jérusalem ayant été détruit, ce Nom n’est jamais prononcé par les Juifs lors de rituels religieux, ni lors de conversations privées. Dans la prière, le Tétragramme est remplacé par « Adonaï » (« le Seigneur »), et dans la conversation courante par HaShem (« le Nom »).

    https://fr.zenit.org/articles/il-ne-faut-plus-dire-yavhe-le-synode-adopte-cette-disposition/
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    Message  Arlitto Lun 23 Nov 2020 - 12:15

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    Traditions ou superstitions

    La Mishna (IIIe siècle de notre ère) affirme que celui qui prononce le nom divin selon les lettres qui le composent ” n’aura “ pas part au monde futur ”. — Sanhédrin X, 1.


    Vérité biblique :

    Exode 20:7 “ Tu ne dois pas prendre le nom de YHWH ton Dieu de manière indigne, car YHWH ne laissera pas impuni celui qui prendra son nom de manière indigne. ”


    Psaume 91:14 : “ Parce qu’il a mis son affection sur moi, je vais aussi le faire échapper. Je vais le protéger parce qu’il a appris à connaître mon nom.


    Isaïe 12:4 Louez YHWH, invoquez son nom, publiez parmi les peuples ses grandes oeuvres, proclamez que son nom est élevé. 5 Chantez YHWH, Car il a fait des choses magnifiques; qu'on le sache dans toute la terre!


    Psaume 79:6 Répands ta fureur sur les nations qui ne te connaissent pas, sur les royaumes qui n'invoquent pas ton nom.


    (Exode 9:16) Mais, en fait, c’est pour cela que je t’ai laissé exister : c’est pour te faire voir ma force et afin qu’on proclame mon nom dans toute la terre.


    Le Saint Nom du Dieu d'Israël, YHWH est marqué par ce sigle dans le texte " ה qui signifie "Hashem" (Le Nom) terme de substitution utilisé par le pharisianisme et le judaïsme orthodoxe aujourd'hui à chaque fois que le Saint tétragramme יהוה YHWH est rencontré.


    Exode 3:14-15 dit:”Et Dieu dit à Moïse : JE SUIS… CELUI QUI SUIS. tu diras ainsi aux enfants d’Israël : [celui qui s'appelle] JE SUIS, m’a envoyé vers vous. Dieu dit encore à Moïse : tu diras ainsi aux enfants d’Israël; YHWH , le Dieu de vos pères,le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, et le Dieu de Jacob m’a envoyé vers vous : c’est ici mon nom éternellement.


    Esaïe 42.8 Je suis YHWH, c'est là Mon Nom; Et je ne donnerai pas ma gloire à un autre, Ni mon honneur aux idoles.


    (Psaume 83:18) pour qu’on sache que toi, dont le nom est YHWH, tu es, toi seul, le Très-Haut sur toute la terre !



    Paroles de Jésus :
    Jean 17:3 Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ.

    .
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    Message  Arlitto Lun 23 Nov 2020 - 12:16

    .

    La B'rit Hadasha (Nouvelle Alliance) a d'abord été écrite en Hébreu puis ensuite traduite en Grec !

    Et s'il faut une preuve de cette évidence : des Manuscrits de l'Evangile de Mattathias (Matthieu) longtemps cachés dans les archives Juives ont été découverts :

    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. N4fx

    Ceci est la preuve que les Juifs avaient bien connaissance des Evangiles écrits dans leur langue. Leur exactitude n'est pas prouvé mais leur existence confirme bien que les Juifs avaient accès aux Evangiles en langue hébraique..

    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. Jt5c

    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. Au2r


    Matthieu 2:13 en hébreu
    המה הולכים והנה מלאך יהוה נראה אל יוסף קום וקח את הנער ואת אמו וברח למצרים ושם תעמוד עד אמרי אליך
    כי הורודוס יבקש את הנער להרוג

    Ils allèrent, et voici, le mala'k (messager) de YHWH apparut à Yosef : Lève-toi et prend le jeune (enfant) et sa mère et réfugie-toi en Mitsrayim (Egypte) et là restes-y jusqu'à ce que je te le dise. Car Horodos cherche le jeune (enfant) pour le tuer.



    Matthieu 1:24 en hébreu.
    ויקץ יוסף משנתו ויעש ככל אשר צוה אותו מלאך יהוה ויקח את אשתו

    Et Yosef se réveilla de son sommeil et fit comme tout ce que lui avait commandé le mala'k (messager) de YHWH et prit sa femme.

    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. Cq3u

    Papyrus Egypte du début de notre ère sous le nom de Oxyrhynchus n 3522.



    Jésus a cité le "Shema Israël" : “Écoute Israël YHVH, notre Élohim, YHVH ékhad (Un)”.



    Deutéronome 6:4,
    שְׁמַע, יִשְׂרָאֵל: יְהוָה אֱלֹהֵינוּ, יְהוָה אֶחָד
    Ecoute Ysraël : YHWH notre Dieu, YHWH Est UN.

    Marc 12:
    28 Un des spécialistes de la loi, qui les avait entendus discuter, vit que Jésus avait bien répondu aux sadducéens. Il s'approcha et lui demanda: «Quel est le premier de tous les commandements?»
    29 Jésus répondit: «Voici le premier: Ecoute, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est l'unique Seigneur....


    -citation d'Épiphane de Salamine, Panarion 29.7.2
    "Ils ont l'Evangile selon saint Matthieu dans son intégralité en hébreu. Car il est clair qu'ils le conservent encore dans l'alphabet hébreu, comme il a été écrit à l'origine."


    -citation de Jérôme, Lettre 75 à Augustin concernant JESUS comme Fils de Dieu.
    "Matthieu, également appelé Lévi, apôtre et ancien publicain, a composé un évangile de Jésus-Christ dans un premier temps publié en Judée, en hébreu pour le bien de ceux de la circoncision qui croyaient, mais fut ensuite traduit en grec dont l'auteur est incertain.

    L'hébreu lui-même a été conservé jusqu'à nos jours à la bibliothèque de Césarée, dont le Pamphlet est recueilli avec tant de diligence. J'ai également eu l'occasion d'avoir le volume qui m'a été décrit par les Nazaréens de Bérée, une ville de la Syrie, qui l'utilisent.

    En cela, il est à noter que, partout où l'évangéliste, que ce soit sur son propre compte ou en la personne de notre Seigneur, le Sauveur cite le témoignage de l'Ancien Testament, il ne suit pas l'autorité des traducteurs de la Septante, mais l'hébreu.(...)"



    Steven Byington à qui l’on doit la Bible in Living English explique en ces termes pour quelle raison il s’est servi du nom de Dieu dans sa version:
    “Ce ne sont pas l’orthographe et la prononciation qui comptent le plus. L’essentiel est de souligner qu’il s’agit d’un nom personnel. Il y a plusieurs textes qu’il est impossible de comprendre convenablement si l’on traduit ce nom propre par un nom commun comme ‘Seigneur’ou pis encore par un adjectif substantivé [comme l’‘Éternel’].”


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    Message  Arlitto Lun 23 Nov 2020 - 12:16

    .
    Des manuscrits hébraïques, écrits très tôt et en hébreu, et qui se seraient (...)



    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. Nwdk
    novembre 2017
    Auteur :

    J. C. Olivier

    Des dizaines d’années d’un travail scientifique très rigoureux ont permis à l’abbé Jean Carmignac d’avancer des hypothèses solides dans plusieurs directions. Mais le noyau central de sa précieuse contribution à la recherche exégétique, à travers l’étude des sémitismes - et là cet homme si prudent, si modeste, ne parle plus d’hypothèses mais de preuves - c’est que les Evangiles, rédigés « en hébreu, et bien plus tôt qu’on ne le dit habituellement, sont beaucoup plus proches des faits et ont une valeur historique de premier ordre » [1].

    Les lignes qui suivent n’ont aucune prétention à l’érudition, elles se contentent de "rapprocher" des réflexions de grands érudits qui, par un autre biais, rejoignent les conclusions de l’abbé Carmignac.

    Lors de son exposé à notre assemblée générale du 2 octobre 2004, le Professeur Antoine Luciani s’étonnait, au détour d’une phrase, que les manuscrits hébraïques de nos Evangiles "se soient comme étiolés", au point que nous ne possédons que du grec (les papyrus du Nouveau Testament qu’on a découverts progressivement au XXè siècle - voir l’article de Don Vernet -, sont en grec ; pour l’instant, aucun papyrus en hébreu n’a été trouvé). Et je repensais, en l’écoutant, à cette conversation de 1995 entre deux autres grands savants, Claude Tresmontant et Pierre Chaunu [2] :
    Pierre Chaunu : Ils [les Juifs] aimaient les calembours, hein…

    Claude Tresmontant : Ah ! Mais ils faisaient cela constamment ! Les rabbins dans le Talmud, par exemple pour les Evangiles, pour décalquer le mot évangile, « euanggelion », ils ont trouvé l’astuce « ’aven gillayon », ce qui veut dire « les rouleaux de mensonges » ! Parce qu’ils disent ceci, les rabbins – c’est très intéressant pour notre sujet... On trouve chez les petits rabbins de la première génération… Ils discutent entre eux : qu’est-ce qu’on fait avec ces abominables rouleaux de ces « Minim » [3], de ces hérétiques ? Alors ils disent : « Quand il y a le saint Tétragramme dedans, qu’est-ce qu’on fait ? Est-ce qu’on le brûle ? Non ! On ne peut pas le brûler. Alors, il faut le découper au couteau » ! Ce qui prouve qu’il y avait des rouleaux en hébreu dans la première génération. Pierre Chaunu : Oui, on ne peut pas brûler le Tétragramme… Claude Tresmontant : On n’a pas le droit de le brûler, il fallait le découper… Pierre Chaunu : On peut l’enterrer aussi finalement ? Claude Tresmontant : Oui... Enfin, c’étaient des discussions horribles pour savoir qu’est-ce qu’on fait avec les Evangiles et les rouleaux en hébreu des Minim... [4]

    Le professeur israélien Dan Jaffé, dans un livre [5] récemment paru, reproduit cinq petits extraits de la littérature rabbinique naissante, qui reprennent de façon voisine les termes de ce débat, et où l’on retrouve deux types de directives rabbiniques concernant les rouleaux en hébreu des Minim : les uns disent qu’il faut "couper les mentions [du Nom de Dieu] et brûler le reste", les autres qu’il faut "brûler le tout". Voici un de ces extraits (Tosefta Sabbath XIII, 5) dans la traduction de l’auteur. :

    « [En cas d’incendie], on ne sauve pas les guilyonim [6] et les livres des Minim, ils brûlent sur place avec les mentions [du Nom de Dieu qu’ils renferment]. R. Yossi le Galiléen dit : "Les jours de semaine, on se met à découper les mentions [du nom de Dieu], et on les met à l’abri, tandis qu’on brûle le reste." R. Tarfon déclare : "Que je sois privé de mes enfants [plutôt que de manquer], si [ces livres] tombaient dans mes mains de les brûler, eux, et les mentions [du Nom de Dieu qu’ils renferment], car si l’on me poursuit, j’entrerai dans un lieu d’idolâtrie mais je n’entrerai pas dans leurs maisons [ variante du Talmud de Babylone (Sabbath 116a) : car si l’on poursuit quelqu’un afin de le tuer, et qu’un serpent se précipite pour le mordre, il entrera dans une maison d’idolâtrie mais non dans leur maison], car les idolâtres [7] (serviteurs de dieux étrangers) ne Le connaissent pas et Le renient alors qu’eux Le connaissent et Le renient." [...] R. Ismaël dit : "Puisque pour faire la paix entre un homme et sa femme, Dieu dit : Que mon Nom écrit dans la sainteté soit effacé avec de l’eau ; les livres des Minim qui entraînent l’inimitié, la jalousie et les dissensions entre le peuple juif et son Père qui est aux cieux, à plus forte raison pourra-t-on les brûler, eux, et les mentions [du Nom de Dieu qui s’y trouvent]." Et c’est pour eux que le verset dit : "Certainement, je hais ceux qui te haïssent, et ceux qui se dressent contre toi, je les déteste. Je les hais infiniment, je les considère comme des ennemis" (Ps 139, 21-22). Et de même qu’on ne les sauve pas d’un incendie, on ne les sauve pas non plus d’un éboulement, d’une inondation et de tout ce qui pourrait les perdre ».

    Ces textes, marqués d’un forte agressivité, sont à comprendre dans leur contexte. Ils montrent qu’encore après la chute du temple, en 70, la principale crainte des fondateurs du judaïsme rabbinique "était l’influence que pouvaient avoir les judéo-chrétiens sur les autres membres de la société juive" (Dan Jaffé, ouvrage cité, p.40). D’où leur habile stratégie pour les exclure des synagogues en intégrant à la liturgie, dans les années 70-90, la récitation d’une malédiction contre les chrétiens (la Birkat ha-minim) et en intégrant dans la législation la plus sacrée, celle du Sabbath, la prescription impérative de détruire ces fameux rouleaux en hébreu portant les Ecritures saintes des chrétiens. Par contre ce que pouvaient dire ou lire les chrétiens non juifs, les pagano-chrétiens, dans des traductions en langue grecque, n’était plus de leur ressort [8].

    Retenons donc qu’à la fin du 1er siècle, ces textes chrétiens en langue hébraïque existaient encore.

    [1] Extrait de la 4è de couverture de son livre Naissance des Evangiles synoptiques, Ed. F.-X. de Guibert, Paris 1984. Malheureusement l’abbé Carmignac est mort avant de publier les gros volumes qui devaient convaincre ses pairs, et l’article Sémitismes dont il avait été chargé pour le Supplément au Dictionnaire de la Bible a été rédigé par un exégète qui, tout en ayant eu accès à ses papiers, était très hostile à ses conclusions.
    [2] Extrait d’un entretien radiophonique entre Claude Tresmontant et Pierre Chaunu du 28 février 1995, dans le cadre des Mardis de la Mémoire, émissions produites par Pierre Chaunu.
    [3] Les Chrétiens, ou plus exactement dans ce contexte, les Juifs chrétiens, les Juifs qui avaient foi en Jésus, Messie et Fils de Dieu. Selon les auteurs, on trouve les termes de judéo-chrétiens, de nazaréens ou nazoréens pour les désigner, mais ces termes sont difficiles à manier et recouvrent des réalités variables.
    [4] Et Claude Tresmontant, après avoir constaté cette preuve qu’il y avait des rouleaux en hébreu avant les manuscrits en grec des Evangiles, continuait son raisonnement ainsi : « Ce qui est évident, puisque, lorsque les traducteurs, lorsque les inconnus qui ont traduit la Bibliothèque hébraïque d’hébreu en grec, rencontraient le saint Tétragramme qui était imprononçable, celui qui dictait disait « Adonaï » et celui qui traduisait, traduisait « Kurios », sans l’article. Alors maintenant vous regardez Luc, ou l’Apocalypse, ou Matthieu, dans le texte grec : vous verrez très fréquemment « Kurios » sans l’article, tout à fait au début de Luc par exemple, ce qui est la preuve que vous aviez le saint Tétragramme en hébreu sous les yeux. Pierre Chaunu : Bien sûr. »
    [5] Dan Jaffé, Le judaïsme et l’avènement du christianisme, Orthodoxie et hétérodoxie dans la littérature talmudique, Ier- IIè siècle, , Ed. du Cerf, Paris, mars 2005.
    [6] "Guilyonim" : les Evangiles. Certains disent : les Evangiles joints à la Torah, etc. (voir D. Jaffé, ouvrage cité, p. 246 à 257 ; et p. 250 : "si ce vocable désigne des textes chrétiens, c’est du corpus des Iers Evangiles - rédigés peut-être en hébreu/araméen - qu’il s’agit")
    [7] « L’idolâtrie polythéiste avait cessé d’être un danger pour les juifs de cette époque, alors que les Sages [ndr : les fondateurs du judaïsme rabbinique] redoutaient fortement l’influence des judéo-chrétiens ». (D. Jaffé, ouvrage cité, p. 304)
    [8] Jacqueline Genot-Bismuth, dans son livre "Un homme nommé Salut", Ed. F.-X. de Guibert, cite des exemples de textes en langue hébraïque qui n’ont survécu que grâce à leur traduction en grec : cas des Livres des Macchabées qui ne seront sauvés de la disparition (car rejetés par les canonistes rabbiniques) que "grâce à leur traduction en grec conservée dans la Bible des Septante", ou du texte connu sous le nom "d’Ezra IV et dont un original hébraïque peut être postulé bien que la censure rabbinique ait finalement conduit à sa perte" ; cas aussi du Livre des Jubilés et autres écrits sacrés rejetés par les fondateurs du judaïsme rabbinique, "écrits dont une grande partie fera finalement naufrage, et que seul le christianisme primitif, plus accueillant, aura préservé, mais sous des traductions grecques" (p. 57 et 201).

    https://www.abbe-carmignac.org/?Des-manuscrits-hebraiques-ecrits

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    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. Empty Re: Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T.

    Message  Arlitto Ven 5 Aoû 2022 - 14:47

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    Romains 10


    Louis Segond Bible

    1 Frères, le voeu de mon coeur et ma prière à Dieu pour eux, c'est qu'ils soient sauvés. 2 Je leur rends le témoignage qu'ils ont du zèle pour Dieu, mais sans intelligence: 3 ne connaissant pas la justice de Dieu, et cherchant à établir leur propre justice, ils ne se sont pas soumis à la justice de Dieu; 4 car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient.

    5 En effet, Moïse définit ainsi la justice qui vient de la loi: L'homme qui mettra ces choses en pratique vivra par elles. 6 Mais voici comment parle la justice qui vient de la foi: Ne dis pas en ton coeur: Qui montera au ciel? c'est en faire descendre Christ; 7 ou: Qui descendra dans l'abîme? c'est faire remonter Christ d'entre les morts. 8 Que dit-elle donc? La parole est près de toi, dans ta bouche et dans ton coeur. Or, c'est la parole de la foi, que nous prêchons. 9 Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. 10 Car c'est en croyant du coeur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut, 

    11 selon ce que dit l'Ecriture: Quiconque croit en lui ne sera point confus. 12 Il n'y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec, puisqu'ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l'invoquent. 13 Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé.

    14 Comment donc invoqueront-ils celui en qui ils n'ont pas cru? Et comment croiront-ils en celui dont ils n'ont pas entendu parler? Et comment en entendront-ils parler, s'il n'y a personne qui prêche? 15 Et comment y aura-t-il des prédicateurs, s'ils ne sont pas envoyés? selon qu'il est écrit: Qu'ils sont beaux Les pieds de ceux qui annoncent la paix, De ceux qui annoncent de bonnes nouvelles!

    -

    16 Mais tous n'ont pas obéi à la bonne nouvelle. Aussi Esaïe dit-il: Seigneur, Qui a cru à notre prédication? 
    Qui a cru à notre prédication ? Le bras de YHWH1, pour qui s’est-il découvert ? 


    Bible de Yéhoshoua ha MashiahYesha'yah 
    (Ésaïe) 53:1 Qui a cru à notre prédication ? Le bras de YHWH, pour qui s’est-il découvert ?
    https://www.bibledeyehoshouahamashiah.org/content/texts/fra_bjc/IS53.html


    Livre d’Isaïe
    Chapitre 53:1 Qui a cru ce que nous avons entendu, et à qui le bras de Yahweh a-t-il été révélé?  
    https://bible.catholique.org/livre-d-isaie/4678-chapitre-53


    Bible Pirot-Clamer 
    Esaïe 53 : 1 Qui aurait cru ce que nous avons entendu - et le bras de Yahweh, à qui aurait-il été révélé ? 
    https://www.levangile.com/Bible-BPC-23-53-1-complet-Contexte-oui.htm


    Isaïe 53​:​1 Qui a eu foi dans ce qu’il a entendu de nous*a ? Et le bras de Jéhovah, à qui a-​t-​il été révélé ?
    https://www.jw.org/fr/biblioth%C3%A8que/bible/bible-d-etude/livres/Isa%C3%AFe/53/


    La Bible de Jérusalem
    1. Qui a cru ce que nous entendions dire, et le bras de Yahvé, à qui s’est-il révélé ?
    http://moniteurs.billings.free.fr/bj/is53.htm




    Ésaïe 53:1-12 BFC 
    Ésaïe 53:1-12 Qui de nous a cru la nouvelle que nous avons apprise? Qui de nous a reconnu que le Seigneur était intervenu? 


    Louis Segond
    Ésaïe 53:1 Qui a cru à ce qui nous était annoncé? Qui a reconnu le bras de l'Éternel? Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. Nono  - YHWH   Smile

     
     



    https://saintebible.com/lsg/romans/10.htm

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    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. Empty Le Nom, YHWH dans l'Évangile de Luc en hébreu

    Message  Arlitto Sam 31 Déc 2022 - 14:12

    .
    Ces manuscrits n'ont jamais été partagés avec le public avant leur diffusion et sont particulièrement intéressants par rapport au texte grec. Ils sont également une autre preuve que le nom de Dieu est sans équivoque Yehovah et montrent clairement la prononciation du nom Yeshua. Vous pouvez télécharger une transcription complète et une traduction des parties survivantes des évangiles hébreux de Luc et Jean du Vatican ci-dessous. 

    Luc et Jean hébreux

     trois pages de l'Évangile de Luc (1:1-35) et une page de l'Évangile de Jean (1 :1-13) en hébreu.

    les manuscrits hébreux du Vatican n'avaient jamais été catalogués.
    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. 43vz

    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. Ex10

    Luc 1:6 en hébreux avec Le Nom propre de Dieu

    .Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. O4u5

    Page de l'Évangile de Jean en Hébreux

    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. 8jh5

    Luc 1:5-6 

    (5) Et il arriva, aux jours d'Hérode, roi de Juda, un certain Cohen, dont le nom était Zacharie parmi les fils d'Aviyah, et sa femme parmi les enfants d'Aaron Zacharie parmi les fils 
    d'Aviyah, et sa femme parmi les enfants d'Aaron et son nom était Elisheva. 
     
    (6) Et tous deux étaient justes devant Yehovah et marchant dans toutes les lois et ordonnances de l'Éternel, sans reproche.

    (9) selon la coutume du service de prêtrise. le sort lui incombait de présenter l'encens. Et il entra dans le sanctuaire de Yehovah 

    (10) et les multitudes de gens se tenaient dehors pour prier au moment de l'encens (11) et l'ange de Yehovah lui apparut, debout à droite de l'autel de l'encens et (12) Zacharie, quand il le vit, fut terrifié 
    et la peur s'empara de lui. (13) Et l'ange lui dit « N'aie pas peur, Zacharie, car ta prière est exaucée, et Elisheva ta femme enfantera un fils et tu appelleras son nom Yochanan. (Jean). (14) et il y aura pour toi joie et bonheur et beaucoup seront heureux au moment de sa naissance, (15) car il sera grand devant Yehovah ...

    (16) et il reviendra plusieurs des fils d'Israël à Yehovah leur Elohim (17) et il marchera devant lui dans l'esprit et la puissance d'Eliyahu, (Elie), pour rendre le cœur des pères aux fils et [il rendra] les hérétiques à la justice des justes et pour préparer à Yehovah un peuple bien disposé.

    (19) Et l'ange répondit et dit : « Je suis Gabriel qui se tient devant Yehovah et j'ai été envoyé pour te parler et pour t'annoncer cette bonne nouvelle.

    (26) Et au sixième mois, l'ange Gabriel fut envoyé par Yehovah dans une ville de Galilée, et son nom était Natzaret, (27) à une certaine vierge qui était fiancée à un homme et son nom était Yoseph, (Joseph), de la maison de David et le nom de la vierge était Myriam, (Marie). (28) Et quand l'ange vint vers elle, il dit : « Shalom à toi, pleine de grâce, Yehovah est avec toi, 12 tu es bénie entre les femmes.

    (30) Et l'ange dit à elle, "N'aie pas peur, Miryam. Car tu as trouvé grâce devant Yehovah.


    (31) Voici, tu deviendras enceinte et tu vas enfanter un fils et tu appelleras son nom Yeshoua, (Jésus) (32) Celui-ci sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut, et Yehovah Elohim lui donnera le Trône de David son père (33) et il régnera sur la maison de Ya'akov, (Jacob). pour toujours. Et il n'y aura pas de fin à son royaume.

    (34) Et Miryam dit à l'ange : « Comment cela se fera-t-il ? car je n'ai pas connu d'homme ? (35) Et l'ange répondit et lui dit : « Le Ru'ach HaKadosh, (l'Esprit Saint), entrera en toi et une puissance exaltée sera dans ton ombre. Car celui qui naîtra sera saint, il sera appelé "Fils de Yehovah".

    https://digi.vatlib.it/view/MSS_Vat.ebr.530.pt.1/0072

    Histo : Le mot Kadoch signifie saint [investi d’une sainteté], consacré, sanctifié. Le mot Kadoch - קדש est une racine. Elle indique une séparation entre deux entités de nature différente.




    Gabriel à Marie

    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. 0hz4

    "Yéhovah soit avec toi. Tu es bénie entre les femmes. Et elle a regardé et a été effrayée à cause de ses paroles et elle s'est dit : " Quelle sorte de shalom était - ce ?"
    Quelle sorte de paix est-ce, ou de salutation ? "Et l'ange lui dit : 'N'aie pas peur, Miriam, car tu as trouvé grâce devant Yehovah. Voici, tu es enceinte et tu vas donner naissance à un fils…' » Je vais lire ceci en hébreu, « Vekarat shemo Yeshua , et tu appelleras Son nom Yeshua. Zeh yihyeh gadol , celui-ci sera grand, veyikarei 'Ben Elyon ', et Il sera appelé 'Fils du Très-Haut'. Veyiten lo Yehovah kisseh David aviv. Et Yehovah, Elohim, lui donnera le trône de David, son père , veyimlokh al beit Yaakov le'olam , et il régnera sur la maison de Yaakov, de Jacob, pour toujours. Ve'lo yihey ketz lemalchuto , il n'y aura pas de fin à son royaume.' » "Et Miriam dit à l'ange : 'Comment cela se fera-t-il, car je n'ai pas connu d'homme ?' Et l'ange répondit et lui dit : "L'esprit de sainteté entrera en toi", et une puissance exaltée sera dans ton ombre, ou dans ta protection..."en hébreu, les derniers mots ici dans Luc. « Al hasher ihiye hanolad kadosh yikareh ben Yehovah , car Celui qui naîtra sera saint, il sera appelé ben Yehovah, Fils de Yehovah.

    Le Nom Divin, YHWH, retiré du N.T. 4iub

    Les derniers mots ici dans Luc. « Al hasher ihiye hanolad kadosh yikareh ben Yehovah , car Celui qui naîtra sera saint, il sera appelé ben Yehovah, Fils de Yehovah.


    Manuscrits
    Lien : https://digi.vatlib.it/view/MSS_Vat.ebr.530.pt.1/0072






    Néhémia Gordon
    Pour vous aider à étudier ces manuscrits fascinants, j'ai créé un PDF avec la transcription complète en hébreu et la traduction en anglais avec des liens vers les photos en couleur sur le site Web du Vatican, que vous pouvez télécharger Ici.

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