Rappel du premier message :
Le nom: Le nom de Jean, remplacé avec ceux génériques de Christ (Kristos avec la signification de Oint) et de Seigneur, fut définitivement transformé en celui de Jésus aux alentours de l'an 180 d'après ce qui résulte d'un livre de Celse* contre les chrétiens où il écrit: << Celui auquel vous avez donné le nom de Jésus en réalité n'était simplement que le chef d'une bande de brigands dont les miracles que vous lui attribuez n'étaient que les manifestations effectuées selon la magie et les tromperies ésotériques.
La vérité est que tous ces prétendus faits ne sont que des mythes que vous-mêmes avez fabriqués sans néanmoins réussir à donner à vos mensonges une teinte de crédibilité. Tous savent bien que ce que vous avez écrit est le résultat de remaniements faits à la suite des critiques qui vous étaient portées >>.
Ce nom de Jésus, accepté par la masse plébéienne qui dans son ignorance ne se posait aucun problème étymologique, fit au contraire rire les opposants qui, ayant en évidence la tromperie, accusèrent encore une fois les théologiens chrétiens d'effronterie et d'escroquerie.
Le temps avec son oubli et les répressions utilisées par les chrétiens contre leurs adversaires firent en sorte que le nom de Jésus, ayant acquis le statut de nom propre, fut adopté comme tel, bien qu'exprimant en réalité le même sens de Soter qui était généralement attribué aux divinités païennes lesquelles, néanmoins, avaient aussi un nom propre. En pratique, les chrétiens donnèrent un nom à leur Messie en ayant recours à la même tromperie qu'utilisèrent les rédacteurs de la Bible lorsque, au sixième siècle, ils attribuèrent à leur Dieu le nom de Yahvé qui, signifiant "je suis", leur permettait d'en défendre l'existence grâce à l'anonymat. (C'est vraiment le cas de dire: tel le père, tel le fils!).
Ayant ainsi éludé le problème du nom en remplaçant par Jésus celui de Jean qui était rappelé par la tradition, il resta à contrefaire les appellatifs de Galiléen et de Nazaréen dont le sens zélote aurait décidément contrasté avec la nature religieuse et pacifique de leur Messie en construction. Puisque c'était impossible de les supprimer, ils leur donnèrent d'autres significations en fraudant de la même façon dont ils l'avaient fait avec les autres noms des membres de la bande des Bohenerghes.
Si l'appellatif de Galiléen fut facilement fait passer pour "habitant de la Galilée", l'autre, c'est-à-dire celui de Nazaré, se montra particulièrement difficile. La première tentative qu'ils firent pour lui enlever tout sens révolutionnaire, d'après ce qui résulte des documentations, fut celle de le faire dépendre d'une prophétie avec le recours à l'annonce que l'ange avait donnée à la femme de Manoach: <>. Mais cette annonciation, se rapportant trop manifestement à Samson, fut mise de coté afin d'être remplacée par l'autre prophétie de Michée qui, se référant à la naissance du futur roi d'Israël, s'exprima ainsi: <>. S'il avait choisi cette prophétie pour justifier pourquoi Jésus avait l'appellatif de Nazaréen, ce fut dû au fait que la parole "rejeton" (netzer) et la parole Natzir s'écrivant toutes les deux en hébraïque avec les lettres n z r, avaient les mêmes consonnes. (En langue hébraïque, comme pour le phénicie et l'égyptien ancien, les paroles étaient écrites en reportant seulement les consonnes. Exemple: raison = r s n, ou bien vérité = v r t ).
Cette solution fut considérée inacceptable par les faussaires parce qu'elle paraissait trop imaginaire et presque impossible à soutenir, mais surtout parce qu'elle ne pouvait être référée à Jésus puisqu'elle s'adressait à un autre personnage, c'est-à-dire à David, fils de Iesse. Donc, après avoir cherché inutilement dans la Bible un passage qui aurait pu justifier en qualité de prophétie l'appellatif de Nazaréen, ils eurent recours encore une fois à l'expédient géographique en le mettant en connexion avec la ville de Nazareth, comme Qananite et Iscariote qu'ils avaient fait dériver de Cana et de Keriot. Mais ce sera surtout avec l'implantation de cette énième escroquerie que les faussaires nous fourniront la preuve définitive et irréfutable que Jésus, personnage n'ayant jamais existé, est simplement la doublure de Jean.
Tous les quatre évangiles canoniques font dépendre le nom Nazaréen (Nazarenus) de la ville de Nazareth en affirmant que ce fut le pays où Jésus grandit et se forma durant les trente ans qui précédèrent ses prédications. Étant donné que c'est de Nazareth que nous tirerons la preuve irréfutable pour démontrer que Jésus en réalité est Jean, arrêtons-nous un instant pour examiner cette ville qui résulte être complètement différente de celle que les évangiles reportent.
Pourquoi la ville de Nazareth, située en plaine, et lointaine du lac de Tibériade nous est, au contraire, décrite dans les évangiles comme construite au-dessus d'un mont et au bord d'un lac? La réponse est simple: parce que la ville située sur le mont et placée au bord du lac est la vraie ville où vécut le Messie reporté par la tradition - sur lequel furent construits les évangiles - alors que l'autre, celle dans la plaine et distante de quarante kilomètres du lac, est celle que les faussaires utilisèrent pour justifier l'appellatif de Nazaréen. Pratiquement, cette contradiction entre la description que reportent les évangiles de la vraie patrie du Messie et la ville de Nazareth dépendit du fait que les faussaires, ayant construit les quatre évangiles canoniques à Rome sans connaître la Palestine, commirent la grande légèreté de raconter les faits selon la tradition qui se référait à Jean, sans se préoccuper de les adapter à la ville de Nazareth qu'ils avaient choisie seulement parce que par son nom ils pouvaient ainsi justifier l'appellatif de Nazaréen.
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Les Antichrists
JEAN LE NAZARÉEN
Contrefaçons que les chrétiens effectuèrent sur Jean pour le transformer en Jésus.
Le nom: Le nom de Jean, remplacé avec ceux génériques de Christ (Kristos avec la signification de Oint) et de Seigneur, fut définitivement transformé en celui de Jésus aux alentours de l'an 180 d'après ce qui résulte d'un livre de Celse* contre les chrétiens où il écrit: << Celui auquel vous avez donné le nom de Jésus en réalité n'était simplement que le chef d'une bande de brigands dont les miracles que vous lui attribuez n'étaient que les manifestations effectuées selon la magie et les tromperies ésotériques.
La vérité est que tous ces prétendus faits ne sont que des mythes que vous-mêmes avez fabriqués sans néanmoins réussir à donner à vos mensonges une teinte de crédibilité. Tous savent bien que ce que vous avez écrit est le résultat de remaniements faits à la suite des critiques qui vous étaient portées >>.
(*Celse : philosophe platonique du II siècle, célèbre pour sa critique contre le christianisme- " Le Véritable Discours ").
En effet dans les premières éditions des Évangiles de Mathieu, Marc et Luc, apparus dans les années soixante du second siècle, le Messie était encore appelé avec les appellatifs génériques de Christ et de Seigneur. Les Chrétiens ne pouvant lui attribuer un nom propre, comme par exemple Pascal, Didier ou Anselme, c'est-à-dire un nom qui n'ayant jamais existé dans l'ère Messianique aurait fait s'effondrer dans le ridicule toute leur construction, lui donnèrent celui de Josuha (Jésus) qui en réalité, signifiant "Celui qui sauve", l'enlevait seulement apparemment de son anonymat. Il ne faut pas de grandes explications pour comprendre que soutenir l'existence d'un Messie qui, dépourvu d'un nom, aurait pu échapper à tout contrôle historique, est bien plus simple que de défendre l'existence de quelqu'un qui, présenté sous un nom propre, aurait exigé une documentation historique pour être soutenu.Ce nom de Jésus, accepté par la masse plébéienne qui dans son ignorance ne se posait aucun problème étymologique, fit au contraire rire les opposants qui, ayant en évidence la tromperie, accusèrent encore une fois les théologiens chrétiens d'effronterie et d'escroquerie.
Le temps avec son oubli et les répressions utilisées par les chrétiens contre leurs adversaires firent en sorte que le nom de Jésus, ayant acquis le statut de nom propre, fut adopté comme tel, bien qu'exprimant en réalité le même sens de Soter qui était généralement attribué aux divinités païennes lesquelles, néanmoins, avaient aussi un nom propre. En pratique, les chrétiens donnèrent un nom à leur Messie en ayant recours à la même tromperie qu'utilisèrent les rédacteurs de la Bible lorsque, au sixième siècle, ils attribuèrent à leur Dieu le nom de Yahvé qui, signifiant "je suis", leur permettait d'en défendre l'existence grâce à l'anonymat. (C'est vraiment le cas de dire: tel le père, tel le fils!).



Ayant ainsi éludé le problème du nom en remplaçant par Jésus celui de Jean qui était rappelé par la tradition, il resta à contrefaire les appellatifs de Galiléen et de Nazaréen dont le sens zélote aurait décidément contrasté avec la nature religieuse et pacifique de leur Messie en construction. Puisque c'était impossible de les supprimer, ils leur donnèrent d'autres significations en fraudant de la même façon dont ils l'avaient fait avec les autres noms des membres de la bande des Bohenerghes.
Si l'appellatif de Galiléen fut facilement fait passer pour "habitant de la Galilée", l'autre, c'est-à-dire celui de Nazaré, se montra particulièrement difficile. La première tentative qu'ils firent pour lui enlever tout sens révolutionnaire, d'après ce qui résulte des documentations, fut celle de le faire dépendre d'une prophétie avec le recours à l'annonce que l'ange avait donnée à la femme de Manoach: <>. Mais cette annonciation, se rapportant trop manifestement à Samson, fut mise de coté afin d'être remplacée par l'autre prophétie de Michée qui, se référant à la naissance du futur roi d'Israël, s'exprima ainsi: <>. S'il avait choisi cette prophétie pour justifier pourquoi Jésus avait l'appellatif de Nazaréen, ce fut dû au fait que la parole "rejeton" (netzer) et la parole Natzir s'écrivant toutes les deux en hébraïque avec les lettres n z r, avaient les mêmes consonnes. (En langue hébraïque, comme pour le phénicie et l'égyptien ancien, les paroles étaient écrites en reportant seulement les consonnes. Exemple: raison = r s n, ou bien vérité = v r t ).
Cette solution fut considérée inacceptable par les faussaires parce qu'elle paraissait trop imaginaire et presque impossible à soutenir, mais surtout parce qu'elle ne pouvait être référée à Jésus puisqu'elle s'adressait à un autre personnage, c'est-à-dire à David, fils de Iesse. Donc, après avoir cherché inutilement dans la Bible un passage qui aurait pu justifier en qualité de prophétie l'appellatif de Nazaréen, ils eurent recours encore une fois à l'expédient géographique en le mettant en connexion avec la ville de Nazareth, comme Qananite et Iscariote qu'ils avaient fait dériver de Cana et de Keriot. Mais ce sera surtout avec l'implantation de cette énième escroquerie que les faussaires nous fourniront la preuve définitive et irréfutable que Jésus, personnage n'ayant jamais existé, est simplement la doublure de Jean.
Tous les quatre évangiles canoniques font dépendre le nom Nazaréen (Nazarenus) de la ville de Nazareth en affirmant que ce fut le pays où Jésus grandit et se forma durant les trente ans qui précédèrent ses prédications. Étant donné que c'est de Nazareth que nous tirerons la preuve irréfutable pour démontrer que Jésus en réalité est Jean, arrêtons-nous un instant pour examiner cette ville qui résulte être complètement différente de celle que les évangiles reportent.
Pourquoi la ville de Nazareth, située en plaine, et lointaine du lac de Tibériade nous est, au contraire, décrite dans les évangiles comme construite au-dessus d'un mont et au bord d'un lac? La réponse est simple: parce que la ville située sur le mont et placée au bord du lac est la vraie ville où vécut le Messie reporté par la tradition - sur lequel furent construits les évangiles - alors que l'autre, celle dans la plaine et distante de quarante kilomètres du lac, est celle que les faussaires utilisèrent pour justifier l'appellatif de Nazaréen. Pratiquement, cette contradiction entre la description que reportent les évangiles de la vraie patrie du Messie et la ville de Nazareth dépendit du fait que les faussaires, ayant construit les quatre évangiles canoniques à Rome sans connaître la Palestine, commirent la grande légèreté de raconter les faits selon la tradition qui se référait à Jean, sans se préoccuper de les adapter à la ville de Nazareth qu'ils avaient choisie seulement parce que par son nom ils pouvaient ainsi justifier l'appellatif de Nazaréen.