PAS DE TRACES D’ABRAHAM, MOÏSE, JOSEPH EN ÉGYPTEActes 7:22 Moïse fut instruit dans toute la sagesse des Egyptiens, et il était puissant en paroles et en oeuvres.La connaissance réelle de l’histoire de l’ancienne Egypte permet d’en retirer de nombreux éclaircissements scientifiques modernes mais également de comprendre l’origine des textes abrahamiques dont les protagonistes auraient soi-disant tous sejourné sur cette terre.
Cependant, bien qu’une grande partie de leurs récits se passe en ancienne Egypte,
on ne trouve aucune trace d’Abraham, de Joseph, de Moïse ou de qui que ce soit d’autre, c’est pourquoi pour les archéologues, tous ces personnages n’ont jamais existé puisqu’il n’y a aucune preuve nulle part de leur présence, même dans les lieux décrits dans la Genèse et dans l’Exode.
En revanche, les historiens et les archeologues assimilent les soi-disant Hébreux aux Apiru ou Abirous, ou encore aux Shasous autrement dit à des envahisseurs hyksos mais dans tout les cas à des peuples de semi-nomades bédouins qui vivaient en marge de la société égyptienne.
Il n’existe non plus, aucune trace scientifique et archéologique de la sortie des Hébreux d’Egypte telle qu’elle est racontée dans la Bible,
les chercheurs se sont plutôt aperçus que cet événement correspond seulement à l’expulsion des habitants de la ville du renégat Akhenaton peu après sa disparition notamment lorsque vers -1344 sa capitale, Akhet-Aton, (l’actuelle Tell el-Amarna), sera vidée de tous ses citadins, sur ordre du futur roi Aï, qui régnera peu après Toutankhamon.
Ainsi, les habitants d’Akhet-Aton expulsés en Canaan une province située à dix jours de marche de la vallée du Nil, ne s’appelaient pas les Hébreux mais les Yahouds (adorateurs),
où les prêtres et les notables fondèrent, quarante années après la campagne militaire de Toutankhamon, le royaume de Yahouda (la Judée), dans lequel des lettres de l’alphabet hébraïque sous forme de hiéroglyphes ont été retrouvées et dont la comparaison a permis à des chercheurs en theologie de décrypter la Genèse juive, qui reproduit trait pour trait la cosmogonie égyptienne.
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L’Exode de la capitale Akhet-Aton, ordonné par roi Aï, décrit par le fameux passage de la mer des Roseaux, est en fait une image traditionnelle de la mythologie égyptienne, représentant l’océan primordial séparé en deux par le Roi
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Les quarante années dans le désert s’intercalent exactement entre les deux campagnes militaires de Toutankhamon et de Séthy 1er.–
Les quarantes ans suivant, l’expédition militaire de Séthy Ier, seront transformés en la campagne militaire de josué.Même l’histoire d’Abraham est tirée en grande partie de l’exode d’Akhenaton dont le récit biblique respecte non seulement l’ordre chronologique des faits qui ont marqué son existence mais qui traduit également sa vie et son action en parfait accord avec l’égyptologie:C’est pourquoi lorsque l’on regarde attentivement l’épisode de la sortie d’Egypte à partir du coup d’état d’Akhenaton, celle-ci se déroule comme ceci:
Aton parle à Amenhotep IV (Akhenaton) = Dieu parle à Abraham
La rupture d’Akhenaton avec le culte originel = La rupture d’Abraham avec le polytheïsme paternel
La beauté de Nefertiti = la beauté de Sarah
Akhenaton brise les idoles de son père = Abraham brise les idoles de son pèreLes intrigues entre les épouses d’Akhenaton; Nefertiti et Kyia = les intrigues entre les épouses d’Abraham ; Sarah et Agar
Etc..
Voilà comment la sagesse et la spiritualité de la vallée du Nil est parvenue jusqu’à nous par la tradition orale de ces yahouds qui seront arbitrairement appeler Hébreux par la litterature biblique.Source: «les secrets de l’Exode» de Messod et Roger Sabbah
« Moise a peut-être puisé ses renseignements dans des sources historiques plus anciennes. »
Actes 7:22 , et il était puissant en paroles et en oeuvres.