La direction des Témoins de Jéhovah a courageusement défié les ordonnances du tribunal de remettre les noms et les allées et venues de l'enfant présumé agresseurs sexuels à travers les États-Unis.
Depuis 2014, les tribunaux ont giflé la société mère - la Watchtower Bible and Tract Society of New York - avec des jugements et des sanctions de plusieurs millions de dollars pour avoir violé l'ordre de remettre les documents secrets.Les documents pourraient servir de feuille de route pour ce qui sont des milliers probables de présumés agresseurs d'enfants vivant en liberté dans les communautés à travers le pays, qui pourrait encore être abusent des enfants.
Les dossiers contiennent les noms des auteurs connus ou présumés, les emplacements de leurs congrégations et des descriptions de leurs crimes présumés.«Je pratique le droit depuis 37 ans, et je ne l'ai jamais vu quelque chose comme ça", a déclaré l'avocat Irwin Zalkin, qui représente les victimes d'abus sexuels par les Témoins de Jéhovah. "Ils font tout pour protéger la réputation de l'organisation sur la sécurité des enfants.""Il est une question de sécurité publique», at-il dit. "A ce stade, cela doit être étudié." Dit Zalkin il croit que les organismes d'application de la loi étatiques et fédérales ont l'obligation morale d'enquêter sur les politiques d'abus d'enfants de la Watchtower et de saisir ses fichiers.
Révéler de The Center for Investigative rapports fait des tentatives pour interroger les responsables des organismes d'application de la loi qui pourraient potentiellement obtenir des mandats de perquisition pour les documents répété - le New York et les avocats de la Californie généraux et le Département américain de la Justice. Aucun des organismes a accepté de parler.
Pour plus de 25 ans, Témoins de Jéhovah fonctionnaires
ont demandé les dirigeants locaux - appelés anciens - dans toutes les congrégations 14,000 américaines de la religion à
cacher les abus sexuels d'application de la loi. Au lieu de cela, les agresseurs devaient être traitées à l'interne.
Ce secret est un principe de la religion.
Les Témoins de Jéhovah sont enseignés pour éviter le monde extérieur. Ils ne votent pas ou servir dans l'armée et habituellement ne vont pas à l'université.
Les prédateurs exploitent délibérément que l'isolement, a déclaré Kathleen Hallisey, un avocat de Londres fer de lance des poursuites civiles similaires en Angleterre.
"Je pense qu'ils choisissent ces types d'environnements très soigneusement, où ils savent qu'ils peuvent agir en toute impunité, et malheureusement, les politiques de la Watchtower leur permettent de continuer à le faire encore et encore et encore», a déclaré Hallisey.
En 1997, la Watchtower
émis une directive appelant pour les aînés à l'enfant reportalleged agresseurs sexuels au siège de la religion à Brooklyn, New York. La forme devait être envoyé par la poste dans une enveloppe bleue spéciale.
Cette directive est le fondement d'une base de données de la Watchtower a collecté et maintenu pendant près de deux décennies, selon les documents de la Watchtower.
"Ecrit, exigé, ordonné la politique. Très différent. L'Eglise catholique, il était non écrite. Ils l'ont appelé «viva voce» - par la voix seulement. Ils ne l'ont pas écrit nulle part, il a été tout compris ", a déclaré Zalkin. "Ici, il est écrit. Je veux dire qu'il n'y a pas de question ".
Zalkin est tout à fait familier avec les détails de scandale des abus sexuels de l'Eglise catholique. Dans 2007, il a négocié un
200 millions $ règlement pour plus de 100 victimes d'abus du clergé. Après cette affaire, a fait des nouvelles, il a commencé à recevoir des appels de victimes de mauvais traitements dans toutes sortes d'institutions, y compris les universités et les Boy Scouts of America.
Environ une douzaine de ces appels provenaient des Témoins de Jéhovah ex-. Plusieurs d'entre eux nommé le même agresseur: Gonzalo Campos. Ces cas ont conduit Zalkin à des documents secrets de la Watchtower.
Campos était témoin de Jéhovah qui a abusé sexuellement au moins sept enfants dans les congrégations de San Diego dans les '80s et' 90s. Pendant ce temps, les dirigeants de la Watchtower savaient Campos abusait des enfants, mais ne l'a pas rapport à l'application de la loi, selon
témoignage d'anciens de la congrégation. Au lieu de cela, ils l'ont promu au poste de sureau.
Campos serait toiletter ses victimes d'abus au cours des séances d'études bibliques, selon les documents judiciaires. L'une de ces victimes était Jose Lopez, qui était 7 lorsque Campos abusé de lui.
"La Tour de Garde ou de l'organisation, je pense qu'ils auraient dû communiquer avec les autorités et, vous le savez, avait ce gars derrière les barreaux", a déclaré Lopez.
Dans 2012, Zalkin déposé une poursuite contre la Watchtower au nom de Lopez.Campos a admis avoir abusé des enfants témoins de Jéhovah dans une déposition sous serment.
Au cours de l'affaire, Zalkin formellement demandé à toutes les lettres de la Watchtower avait reçues en réponse à la directive 1997. Il voulait prouver un motif, et les documents montrerait que la Watchtower savait au sujet de la portée de la maltraitance des enfants dans l'organisation.
En 2014, le juge San Diego Cour supérieure Joan Lewis a ordonné la Watchtower de remettre les documents. La Cour suprême de Californie a confirmé l'ordonnance. La Tour de Garde a refusé.
Lewis a lancé la Watchtower hors cour et a accordé Lopez
13.5 millions $ en dommages-intérêts. Elle a exprimé sa frustration face aux tactiques de la Watchtower dans sa décision.
«Les actions ou omissions de la Watchtower étaient« répréhensibles ». Je pense que «honteuse» peut être synonyme de «répréhensible, mais je pense que« honteuse »ne dit pas assez à ce sujet", écrit-elle.
"L'attribution de dommages-intérêts punitifs contre eux, nous l'espérons envoyer un message à Watchtower et ses agents de gestion, l'organe directeur des Témoins de Jéhovah, que leur traitement des cas d'abus sexuels au sein de leur congrégation était absolument irresponsable."
La Tour de Garde n'a pas obtenu ce message. Dans la prochaine affaire Zalkin, il a de nouveau demandé les dossiers d'abus d'enfants de la Watchtower. Encore une fois, la Watchtower a refusé. Cette fois, le juge du comté de Riverside Cour supérieure Raquel Marquez a jeté la défense hors de la cour. Le coût de la retenue à la source des documents: 4 millions $.
Enfin, dans le prochain cas de Zalkin, il semblait que les Témoins de Jéhovah avaient acquiescé. Ils ont convenu de remettre les documents. Mais avec une mise en garde: Zalkin ne pouvait pas les partager avec personne.
San Diego juge de la Cour supérieure Richard Strauss a accepté, et la Watchtower a commencé à envoyer les documents à Zalkin.
Mais comme ils sont arrivés, il a remarqué que quelque chose clochait. La Tour de Garde hadonly envoyé la valeur des fichiers quatre ans, au lieu des 19 ans, le tribunal avait ordonné. Et la Watchtower avait expurgé certaines des informations les plus cruciales dans les documents: les noms des auteurs et les congrégations.
En Juin, Strauss a ordonné la Watchtower de payer 4,000 $ par jour jusqu'à ce qu'il conformé à l'ordonnance du tribunal. La Tour de Garde est séduisante.
«Ils ont pris une décision d'affaires de ne pas produire ces documents", a déclaré Zalkin.
Les dirigeants des Témoins de Jéhovah ont refusé de discuter des cas. L'année dernière, ils ont publié une
déclaration disant qu'ils abhorrent la maltraitance des enfants et de se conformer à toutes les lois de rapports d'abus d'enfants.
La Tour de Garde a interjeté appel de la décision 13.5 millions $ dans le cas Lopez. le
cour d'appel a statué plus tôt cette année que le juge ne devrait pas avoir jeté la Watchtower hors cour avant d'essayer des mesures moins extrêmes, telles que des amendes quotidiennes jusqu'à ce qu'il produise les documents.
Mais le tribunal a également confirmé la décision de la Watchtower à la main sur tous ses fichiers d'abus d'enfants, non expurgés, sauf pour les noms des victimes. Le cas est de retour dans la cour inférieure.
Pendant ce temps, Zalkin a actuellement 18 poursuites en cours contre la Watchtower.
Il dispose également de quatre années de documents expurgés enfermés dans une armoire de classement dans son bureau. ordonnance de protection du juge l'empêche de dire combien de documents qu'il a reçu ou de décrire ce qu'ils révèlent sur la maltraitance des enfants dans les Témoins de congrégations de Jéhovah.
"Il est très frustrant d'avoir vu ce que je vois et de savoir ce qui se passe dans cette institution et cette organisation," at-il dit. "Il est très frustrant quand j'ai un gag dans ma bouche. Il est assez difficile. Nous essayons de notre mieux pour exposer cette vérité, et ils font tout ce qu'ils peuvent interférer avec cet effort, pour bloquer cet effort. "
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